La  descendance naturelle du Roi Louis XI en Rouergue

par la famille de Marcilhac, seigneur de la Bastide-Capdenac (66 et 67)

Quel est le point commun existant entre le cardinal François Marty (1904-94), le généalogiste Hippolyte de Barrau (1794-1863), l’épouse de l’ingénieur du cadastre Jean-François Henry de Richeprey (1751-87) et de nombreux rouergats ou descendants de rouergats contemporains dont plusieurs membres du C.G.R. ?

Ils descendent tous du roi de France Louis XI par la famille de Marcilhac, seigneurs de La Bastide-Capdenac, près de Villefranche-de-Rouergue.

Le roi Louis XI a eu une descendance fort nombreuse en Rouergue et dans les provinces voisines par sa fille naturelle légitimée, Jeanne de Valois qu’il eut lors de son séjour en Dauphiné avec Phélise Regnard, dame de Beaumont[1].

La fille de Jeanne de Valois et de son mari (l’amiral Louis de Bourbon), Anne de Bourbon, épousa en 1493[2] le plus puissant seigneur du Rouergue Jean d’Arpajon, baron d’Arpajon et de Sévérac[3].

Le fils cadet de ce couple Jacques d’Arpajon, vicomte d’Hauterives, baron de Castelnau-de-Lévézou épousa en 1526 Charlotte de Castelpers, âgée d’environ douze ans, fille de Raymond de Castelpers et de Marguerite de Narbonne, dont il eut quatre fils et deux filles. Les deux fils aînés Jean et Charles deviendront successivement barons d’Arpajon suite à l’extinction de la postérité de René d’Arpajon leur oncle. C’est la descendance partielle de l’une des deux filles, Anne d’Arpajon, qui va constituer le sujet de cette étude.

 

Les deux mariages d’Anne d’Arpajon

Anne d’Arpajon, fille de Jacques d’Arpajon et de Charlotte de Castelpers, petite-fille d’Anne de Bourbon, elle-même petite-fille naturelle légitimée de Louis XI, se maria deux fois. Elle épousa par contrat du 19 janvier 1552  Gaillard de Marcilhac[4], écuyer, seigneur de La Bastide-Capdenac non loin de Villefranche-de-Rouergue. Devenue veuve en 1566, elle se remaria  par contrat du 13 décembre 1569[5] avec un cousin germain de son premier mari, Raymond de Lescure, seigneur de Lescure-Caylès (devenu aujourd’hui Lescure-Jaoul) et baron de Vabre (aujourd’hui Vabre-Tizac) en Rouergue. Elle semble n’avoir eu qu’un fils de son second lit, Alexandre de Lescure, qui succéda à son père dans la possession des seigneuries paternelles, pas de descendance connue.

Elle eut d’après le testament de Gailhard de Marcilhac, en date du 8 mars 1564, six enfants de son premier mari :

1- Bertrand de Marcilhac, fils ainé, dont la descendance va suivre p. 16.

2-      François, fils cadet, dont la descendance méconnue jusqu’à cette communication suivra.

3-      Charles, dont le sort n’est pas connu. Il pourrait éventuellement être la tige des Marcilhac conseillers à la Cour des Aides de Montauban connue au XVIIe siècle et qui portait elle aussi, comme les descendants de François son frère, le titre de seigneurs de La Mothe. Sûrement décédé avant 1587.

4-      Charlotte, sûrement décédée avant 1587.

5-      Anne.

6-      Antoinette.

Du second lit :

7- Alexandre de Lescure.          

             La destinée des trois filles est inconnue et en particulier leur alliance et postérité éventuelles. D'après une remontrance adressée le 5 janvier 1587[6] à Bertrand par sa mère, son frère François, sieur de Sénergues et ses soeurs Anne et Antoinette, à propos d'une maison sise à Villefranche donnée en partage aux demoiselles de Marcilhac, il n'est pas fait mention de Charles et de Charlotte.  

Sources : Archives départementales de l’Aveyron, série 3E, 4E, 6M, 63Q, Fonds privés, renseignements donnés par les familles que nous remercions.

Notes : Les noms en gras indiquent les descendants de Louis XI. Les noms en italique leurs conjoints.  Vu le nombre de descendants nous avons supprimé les enfants décédés en bas âge mais respecté l’ordre de naissance dans la fratrie ce qui donne des numéros absents dans les listes.

Famille de Marcilhac, seigneurs de La Bastide-Capdenac

La famille de Marcilhac était originaire du Limousin et portait primitivement le nom de Molceu. Une des branches de cette famille de Molceu s’établit en Rouergue où elle devint propriétaire (on ignore si c’est par achat ou par alliance) des seigneuries de Boisse dans la vallée du Lot et de La Bastide-Capdenac. Bertrand de Molceu, dit « de Marcilhac », épousa vers 1460 Marguerite de La Valette dont il eut quatre enfants connus :

1-      Gaucelin, seigneur de Boisse (époux vers 1490 d’Isabelle de Verdun).

2-      Bertrand, seigneur de la Bastide-Capdenac, époux en 1508 d’Anne de Lescure, père de Gaillard.

3-      Gaillard  (sûrement parrain de Gaillard, fils de Bertrand).

4-      Antoinette, qui épousa en 1477 Jean de Lapanouse, seigneur du Colombier. Gaillard de Marcilhac, qui épouse en 1552 Anne d’Arpajon, est le fils aîné de Bertrand et d’Anne de Lescure.

                     Branche méconnue des Marcillac, seigneurs del Foulhet

François de Marcilhac, seigneur de Sénergues et du Fouilhet, fils cadet de Gaillard de Marcilhac et d’Anne d’Arpajon, épousa vers 1595 et peut-être en 1597 (plutôt que le 23 mai 1577 comme l’affirme Barrau sur la foi de l’ouvrage généalogique du chevalier de Courcelles) Marguerite de La Valette-Parisot, fille de Jean de La Valette-Parisot et de Gabrielle de La Valette-Cornusson. Marguerite de La Valette-Parisot, veuve de François de Marcilhac, dicta son codicille le 6 octobre 1648 devant Me Gaffard, notaire de Villeneuve[7]. Elle y mentionne son testament de janvier 1643 retenu par Géraud Labory, notaire de Salles-Courbatiès. Elle n’y mentionne pas sa fille Anne et son fils cadet Alexandre mais cite ses trois autres enfants et son petit-fils et filleul Jean-Louis de Buysson.

On connaît, depuis quelques découvertes de documents les concernant, cinq enfants de ce couple dont la postérité était demeurée méconnue jusqu’à présent :

1- Jean de Marcilhac, seigneur de La Mothe, coseigneur de Salles-Courbatiers, qui résidait à Villecomtal au moment de son testament[8] le 29 octobre 1664, enregistré chez Anthoine Labro, notaire de Villecomtal. A noter que ce testament fut « vérifié et collationné par Pierre Dandrieu pour Me Labro à Villecomtal, le 6 août 1693 ». Le décès du testataire était donc probablement récent à cette date. Jean faisait héritière universelle sa sœur Gabrielle de Marcilhac.

1-      Alexandre de Marcilhac, sieur de Cangelly, qui teste en 1659 devant Me Labro, notaire de Villecomtal[9], dans la maison de Jean de Marcilhac, seigneur de La Mothe, son frère, demeurant à la Sadourne. Il cite ses sœurs Marguerite, Gabrielle, et fait héritier universel Jean de Marcilhac, son frère.

2-      Anne de Marcilhac, qui épousa le 17 février 1626[10] à Caylus (82) avec une dot de 1 500 livres Bernard d’Escaussat, secrétaire de la Chambre du Roi, en présence de nombreux membres de la famille de LA Valette, sa famille maternelle, possessionnés dans cette région. Elle était veuve sans enfants en 1635 (son mari ayant laissé une postérité d’une union précédente) et elle se remaria par contrat du 2 février 1637[11] avec une dot de 2 500 livres avec Guillaume Delpech, magistrat au Présidial du Quercy à Cahors, fils de feu Jérôme Delpech, conseiller du Roi, et de Claude de Tauran. Elle eut une fille de ce deuxième lit, Marie Delpech, qui épousa Jean du Vignal (ou du Vinial) conseiller du roi à Cahors, dont nous ignorons la postérité éventuelle.

3-      Marguerite de Marcilhac, épouse de Jean Veilhard, bourgeois de Villeneuve, fils d’Antoine Veilhard et de Guinotte de Gausinh. Elle fit son mari héritier universel dans son testament[12] du 27 janvier 1665 retenu par le notaire Maldès au village de Sept Fonds (Villeneuve), où elle décéda le 19 février 1665. Elle ne laissa pas de postérité. Jean Veilhard se remaria la même année à Louise de La Trémoulière, dont postérité.

4-      Gabrielle de Marcilhac, épouse d’Anthoine de Buysson, docteur et avocat de Rignac. D’où la descendance qui suit.

Les Marcilhac restant à rattacher

Quelques Marcilhac demeurent non rattachés à ce jour et pourraient bien faire partie de la descendance de Gailhard de Marcilhac et d’Anne d’Arpajon :

·         Henriette de Marcilhac, épouse en 1727 de Joseph de Nozier. Elle pourrait être chronologiquement et par son statut social fille de Pierre de Marcilhac et de Marianne Carel.

·         Catherine de Marcilhac, épouse vers 1685 de Michel-Louis de Belhomme, de Saint-Céré (46), dont la fille Jeanne-Catherine épousa en 1706 Armand Jean Antoine de Saunhac, de la branche de Villelongue. Cette alliance avec la famille de Saunhac est une présomption d’appartenance de Catherine à la famille de Marcilhac de La Bastide-Capdenac, déjà alliée aux Saunhac.

·         Marie de Marcilhac, épouse de Gabriel Couffinhal, riche paysan du Clot, paroisse de Quins, dont le fils Gabriel Coffinhal épousa en 1711 Madeleine Gombert, de la Porte, paroisse de Quins. Elle est citée en 1687[13] comme « demoiselle Marie de Marcillac ».

·         Jean-Clément de Marcilhac, chanoine de Saint-Christophe (12) attesté vers 1685.

·         La branche des Marcillac seigneurs de La Mothe, conseillers à la Cour des Aides de Montauban, connue depuis Antoine de Marcillac, époux vers 1640 d’Anne de Lacoste et anobli d’après les maintenues de noblesse par une charge de secrétaire du Roi. Il pourrait toutefois se rattacher de manière légitime ou naturelle aux Marcilhac de La Bastide-Capdenac. Ou alors la titulature de « seigneur de La Mothe » et le patronyme Marcillac constituent une double homonymie.

·         Noble Guy de Marcilhac et son épouse Elizabeth (ou Delphine) Mazet, sont les parents d’au moins trois filles nées à Marcillac (aujourd’hui Marcillac-Vallon) : Catherine née en 1620, Anthonia en 1623 et Maria en 1626.

    Branche aînée des Marcilhac, de La Bastide-Capdenac

I- Bertrand de Marcilhac, seigneur de La Bastide-Capdenac, fils de Gaillard de Marcilhac et d’Anne d’Arpajon,  mort en 1603, épousa en premières noces en 1586 (d’après Hippolyte de Barrau) et le 27 décembre 1581 (d’après les maintenues de noblesse) Suzanne de Cassagnes, fille d’Antoine de Cassagnes, seigneur du Cayla et d’Anne de Cazillac. Il en eut un fils et trois filles :

1-      Gaillard, qui suit.

2- Jeanne, qui épousa, par contrat du 25 août (ou février) 1605, Paul de Cahuzac, seigneur du Verdier en Albigeois, fils d’Olivier de Cahuzac et de Marguerite de Rozet dont il eut au moins :

a- Antoine de Cahuzac, seigneur du Verdier, époux en 1629 de Louise de Soréac de Villambis. D’où postérité Cahuzac du Verdier et Cantuer.

b- François de Cahuzac, seigneur de Fonclamouze. D’où postérité (dont une branche d’Adhémar de Lantagnac par le mariage vers 1710 de Jean-Charles d’Adhémar avec Marianne de Cahuzac de Fonclamouse).

c- Anne de Cahuzac, qui épousa par contrat du 19 octobre 1627 Bertrand de Cornély, coseigneur de Camboulit (46). Sa nombreuse postérité est rapportée dans l’ouvrage de Georges Thonnat sur les familles du Haut-Quercy.

3- Louise de Marcilhac (appelée aussi Olympe) épousa le 27 avril 1617 Jean du Rieu, seigneur de Carrandiès (82), demeurant à Saint-Beauzile (81). Lui décéda à Saint-Beauzile le 3 avril 1657 et son épouse le lendemain 4 avril[14]. Ils  eurent les enfants suivants :

a- Jean du Rieu, décédé le 15 octobre 1672, époux en 1646 de Françoise de Laduguie. D’où

- Jean du Rieu, décédé en 1730, époux en 1679 de Françoise de Tonnac, fille de Raimond de Tonnac et Madeleine de Tonnac puis vers 1690 de Louise del Salès, fille de Simon del Salès et d’Anne de Combettes. Il laissa postérité de ses deux lits.

- Jeanne, baptisée le 8 novembre 1648, épouse Coudon, bourgeois de Saint-Antonin.

- Louise, épouse vers 1670 de Pierre Védelhie, bourgeois de Saint-Beauzile.

- une autre fille, épouse d’Alphonse de Lar du Deymié, seigneur de Genibrède.

b- Isabelle du Rieu.

c- Une fille, épouse de Jean de Rossignol, seigneur du Ferrier.

4- Anne, qui suivra voir la descendance de Morlhon-Auteyrac II.3, p.

Devenu veuf, Bertrand se remaria en secondes noces avec Olympe de Loupiac de La Prade, fille de Philippe de Loupiac, seigneur de La Prade (près de Cordes, 81) et de Jeanne de Rabastens de Paulin, veuve de Jean de Clairac et descendante elle aussi du roi Louis XI par sa bisaïeule Marie d’Arpajon (sœur de Jacques d’Arpajon), épouse de Jacques de Rabastens, vicomte de Paulin.

Il eut de son second lit Jean de Marcilhac, seigneur de Fénayrols, établi dans la région de La Parouquial (81) qui n’eut pas d’alliance ni de postérité connue.

II.1- Gaillard de Marcilhac épousa par contrat du 2 octobre 1619 Catherine de Saunhac, fille de Jean de Saunhac, seigneur de Talespuès et d’Antoinette de Tubières. Il en eut au moins trois fils et quatre filles :

1-      Jean de Marcilhac, qui suit.

2-      N dit « Monsieur de Marcilhac », capitaine, cité dans le testament de sa sœur Françoise.

3-      N dit « Monsieur de La Bastide », cité comme décédé dans ce même testament.

4-      Antoinette de Marcilhac, qui épouse à Tizac le 8 février 1654 (bans) Amans Guibbert, notaire de Vabre, demeurant à Banhaca (commune de Vabre-Tizac). Ce mariage s’explique sans doute par les liens amicaux entre les Guibbert, notaires de Vabre, et la famille des seigneurs de Lescure descendant comme les Marcilhac d’Anne d’Arpajon. Voir la descendance Guibbert, de Banhaca, p.

5- Marie de Marcilhac, qui épouse en 1655 Jean Cousin, sieur de Puymarcel, fils de Raymond Cousin et Jeanne de Raulin demeurant dans les environs de Penne d’Albigeois et Vaour (81). On connaît leur contrat de mariage en date du  24 décembre 1655.). Marie eut pour dot la somme de 3 000 livres, contrat retenu par Monmaton, notaire et insinué devant le parlement de Toulouse[15]. Jean Cousin était procureur du Roi au siège de Vaour (81). Il résidait à Saint-Julien, terre de Penne paroisse de Notre-Dame-de-Vaour. Leur nom devint Cousin de Puymarcel, parfois noté seulement « de Puymarcel ».

Le couple Jean Cousin et Marie de Marcilhac eurent au moins les enfants suivants :

a-  Jean de Cousin, sieur de Puymarcel, né le 7 septembre 1664[16], qui épousa à Penne (81) le 10 août 1706 Anne Clavel[17], fille de Jean Clavel et d’Anne Bouquier. D'où :

- Jean Cousin de Puymarcel (1716-1774), qui épousa le 21 novembre 1748 à Vaour (81) Marguerite de Laroque-Calmeilles, fille de Jean et d’Elisabeth de Corneillan, dont il eut :

. Jean Cousin de Puymarcel, né en 1752, qui épousa le 30 avril 1776 à Saint-Vergondin (Penne, 81) Marie-Jeanne Bosc.

. Marianne Cousin de Puymarcel, épouse Boyer en 1775.

La famille Cousin de Puymarcel est toujours subsistante.

b- Antoine de Cousin, cité comme parrain de sa sœur Françoise en 1672.

c- Pierre de Cousin, né le 28 mai et baptisé le 3 juin 1666.

d- Françoise de Cousin, née le 7 septembre  1664.

e- Anne de Cousin, née le 22 juillet  1668.

f- autre Françoise de Cousin, née le 28 mars 1672.

6- Marguerite de Marcilhac, citée dans le testament de sa sœur Françoise.

7- Françoise de Marcilhac, épouse d’Antoine Coste, avocat de Darce (paroisse de Saint-Loup), qui pourrait être identique à Françoise de Marcilhac, épouse Bonal, citée en 1684 demeurant paroisse de La Bastide-L’Evêque[18] et qui testa en 1707 [19].

III- Jean de Marcilhac, seigneur de la Bastide-Capdenac, terre qu’il échangea en 1675 avec Montalègre, épousa par contrat du 28 janvier 1657 Jeanne de Goudal de La Goudalie, fille de Pierre de Goudal et de Françoise de Martrin, dont il eut :

1-      Pierre, seigneur de Montalègre, qui épousa le 20 février 1686[20] à Saint-Amans-de-La-Tour (commune de Marnhagues-et-Latour) Marianne Carel, fille de Pierre Carel, notaire et de Marguerite Guiraud. Leur postérité comprend sans doute François de Marcilhac qui vendit en 1741 le château et la terre de Montalègre au marquis de Roussille[21].

2-      Joseph, vivant en 1687.

3-      Marguerite, qui épousa en 1708 Antoine Vayssade (1675-1738), de Colombiès, fils de Jean-Jacques Vayssade et de Marguerite de Lagarde.

5-      Gabrielle, épouse d’Anthoine de Buysson, docteur et avocat de Rignac, d’où la descendanci-dessous.

 

     Buysson (ou Buisson)

La famille bourgeoise (de) Buysson (ou Buisson) était établie à Rignac dès 1570. L’article de J-L Déga et Ph. Flamme déjà cité, évoque ses origines communes avec les Buisson de Bournazel et propose pour Gabrielle (de) Buisson épouse Caville, deux filiations possibles :

§  Anthoine de Buysson (vers 1610-1661), juge royal de Rignac, marié vers 1640-1645 avec noble Gabrielle de Marcilhac (vers 1614-1695), ou bien

§  Me François (de) Buysson, notaire au village d’Elbes (Le Bez), paroisse de Lanuéjouls, frère du précédent, marié avant 1647 à Ne. Bedène, fille de Jean Bedène, laboureur à Lanuéjouls (1647)[22] et peut-être de Marguerite Mouret.

Aucun élément nouveau ne permet à ce jour d’opter pour l’une de ces filiations ni d’en privilégier l’une par rapport à l’autre.

Les Marcilhac dans la lignée ascendante des Neuville

S’il s’avérait que Gabrielle de Buisson n’eût finalement pas d’ascendance dans la famille de Marcilhac, ses onze petits-enfants Neuville pourraient toutefois s’en prévaloir. En effet, Guillaume Neuville (vers 1661-1731), son gendre, par sa mère Marie de Bernard d’Ortholès, fille naturelle[23] de Jean de Bernard d’Ortholès, a pour quatrième aïeule Anthoinette de Marcilhac, cousine germaine de Gaillard de Marcilhac, époux d’Anne d’Arpajon.

Ainsi, Guillaume Neuville et ses cinq frères et sœurs aînés, appartiennent au moins à deux branches descendantes capétiennes issues de Louis VI le Gros, roi des Francs.

Il en est de même pour leurs descendances, alliées pour la plupart à ces familles notables de Rignac rencontrées ci-après ; Laporte (Pierre époux de Marie Neuville) puis Auzouy (François époux de Françoise Laporte), Carles (Jean Antoine époux de Françoise Neuville) puis Colomb, Garrigues de La Bouldoire, Donadieu, Marty[24] (Gabriel époux de Jeanne Neuville).

Cavilhe ou Caville

Le patronyme Cavilhe (ou Caville dans sa forme moderne) est assez répandu en Rouergue et notamment dans sa partie occidentale (Villefranche, Causse de Villeneuve, Pays de Rignac et Ségala). On y rattachera sa dérivation Caviale[25] en raison du « a » ajouté à des fins de prononciation dans le parler ancien rouergat. C et A non étymologique est dit épenthétique par les linguistes. On le retrouve dans Nauviale dont Neuville est la forme francisée. En se référant à l’occitan ; cavilh, cavilha expriment la dispute, la chicane ou la cheville (tige en bois ou métallique).

Le patronyme est probablement né d’un nom de métier ou d’un sobriquet plutôt que d’un toponyme ; le Mas de Caville, hameau situé entre Saint-Rémy et Villeneuve, devant plutôt être considéré comme le lieu d’habitat de plusieurs générations d’une même famille Caville.

Les Cavilhe, de Rignac

La recherche d’évènements intéressant la génération des parents de Jean (de) Caville (vers 1627-1716) montre que l’installation de cette famille à Rignac est probablement antérieure au XVIIe siècle. Les minutes des notaires Dubruel de Rignac[26] et d’autres relevés notariaux[27] révèlent l’existence à Rignac, sur une période quasi commune, de trois couples Cavilhe.

Une analyse chronologique des alliances et évènements survenus dans la vie de ces trois couples permet de proposer, une ascendance possible, parmi d’autres : Jean (de) Cavilhe (vers 1627-1716) a pour parents un des trois couples :

1- Pierre (de) Cavilhe (vers 1605-entre 1657 et 1686), de Rignac, seigneur de La Gardelle, qui épouse  avant 1627 Françoise Rudelle[28] (entre 1605 et 1610-ap. 1637), de Naucelle, fille de Guitard Rudelle, bourgeois de Naucelle et de Catherine de Don. Jean a au moins deux sœurs (utérines ?) : Françoise Caville     (vers 1633-1694), épouse d’Anthoine Calvet de Rignac et Anne de Caville (entre 1625 et 1630-av. 1682), épouse de Guillaume Ferran, bourgeois de Bournazel.

2- Le second couple est celui formé par ce même Pierre (de) Cavilhe, sans doute veuf, qui épouse après août 1637 Jeanne de Saunhac-Talespuès (vers 1610-entre 1657 et 1686). Jean a au moins deux sœurs (consanguines ?)[29] : Jeanne de Cavilhe (ap. 1637-1679), Delle, qui épouse en 1672 Pierre Portal, de Comberoque et Gabrielle (de) Caville (vers 1657-1694), Delle, qui épouse en 1686 à Rignac Me François Vacaresse, praticien de Clairvaux.

3- Le troisième couple, Jean Caville (de Rignac), époux d’Isabeau Delbruel (ou Dubruel), citée veuve en août 1648 qui représente la génération antérieure.

ou Retenons également un autre couple (non cité à Rignac) comme parents possibles de Pierre, Sgr de La Gardelle ; Pierre Cavilhe (de Rignac), époux vers 1595-1610 de Dauphine Delauro, fille d’Antoine et de Marie de Fontalbat, de Rodez. Cet autre Pierre peut éventuellement être frère de Jean, époux d’Isabeau Delbruel.

La seigneurie de La Gardelle :

Cette terre seigneuriale, fief non noble, se situe au hameau du même nom dépendant de l’ancienne paroisse de Lalo, village de la commune de Lanuéjouls. On trouve sur les bribes des registres paroissiaux de Lalo, quelques mariages en 1626, ou les épouses sont des sœurs Cavilhe (Anne et Antoinette), originaires du Cayrou, hameau proche de La Gardelle. Sont-elles parentes de Pierre Cavilhe ? La souche familiale est-elle en ces lieux ? Cela reste difficile à établir de manière formelle, en l’état actuel des sources disponibles.

En tous cas, Pierre de Cavilhe ne semble pas avoir transmis cette seigneurie et Jean (de) Cavilhe, seul fils hors Bernardin (prêtre), n’est jamais cité seigneur de La Gardelle. 

Branche Caville, de Rignac

I- Jean (de) Cavilhe (vers 1627-1716), bourgeois et marchand de Rignac, épouse avant 1671 Gabrielle (de) Buisson (vers 1650-1680). Cette famille, installée vers 1673 à La Bouldoire, un faubourg de Rignac, compte cinq enfants tous nés à Rignac puis à La Bouldoire :

1  - Françoise Ière (de) Caville (vers 1671-1731), qui épouse le 29 janvier 1693 à Rignac Guilhaume Neuville (vers 1661-1731), bourgeois et praticien de Rignac, qui suit, Rameau Caville-Neuville, de Rignac, II.1.

2  - Pierre Cavilhe (1672-1672), mort en bas âge.

3- Françoise II (de) Cavilhe-Caville (1673-1742), qui épouse le 19 juillet 1697 à Rignac François Garrigues (vers 1671-1742), bourgeois et praticien de Rignac, originaire de Sauveterre-de-Rouergue, fils de François, bourgeois de Sauveterre et de Delle Jeanne Gaffard. D’où quatre enfants qui forment le Rameau Garrigues, de La Bouldoire – Rignac II.3.

4- Jeanne Cavilhe (1677-1755), qui épouse à Rignac le 2 septembre 1700 Guilhaume Donadieu (1678-1754), praticien et marchand (1732) à Rignac, fils de Jean, boucher de Rignac et de Françoise Coyné. D’où douze enfants qui forment le Rameau Donadieu, de Rignac II.4.

5- Marie (Anne) (de) Cavilhe (1679-1682), morte âgée de moins de 3 ans.

Jean Cavilhe, à la mort de sa jeune épouse âgée d’une trentaine d’années (1680), malgré quatre jeunes enfants, ne semble pas s’être remarié. Il est praticien en 1700 et réside à La Bouldoire jusqu’à son décès (1716).

     Rameau Caville-Neuville, de Rignac 

II-1.  Guilhaume Neuville, qui épouse en 1693 Françoise Ière (de) Caville. Le couple habite les Faubourgs-Bas de Rignac, puis la famille s’installe vers 1707 au village de Mancelle, même paroisse. Onze enfants sont nés de cette union :

1-      Jean Neuville (1693-1764), prêtre, prieur de La Panouse.

2-      Marie Neuville (1695-1758), qui épouse le 8 février 1720[30] à Rignac Jean Laporte (1699-1758), praticien puis marchand à Rignac (1738), originaire du village voisin de son épouse ; Riguetorte. Il est fils de Guillaume Laporte (av. 1670-1713), praticien de ce village et de Françoise Maleville (1683-1709). Sans être qualifié de bourgeois, ce couple et sa descendance se partagent entre les activités de paysans aisés et celles de conseils juridique ou administratif. Ils sont tous deux inhumés dans l’église de Rignac. Le couple s’installe à Riguetorte où il a neuf enfants. Il est l’auteur du Sous-Rameau Laporte, de Rignac, III.3

3-      François Neuville (1697-1744), sans alliance à Rignac jusqu’à 1792.

4-      Pierre Neuville (1700-1762), relation hors mariage (probablement av. 1730) avec Jeanne Noël, fille de Bernard, d’où Pierre Noël (1737-1738).

5-      Guillaume Neuville (1702-1780), bourgeois de Rignac, qui épouse le 6 novembre 1736 à Trémouilles, Delle Marie Thérèse Sadoul (1716-1796), de Trémouilles, fille de Joseph Durand Sadoul, avocat et de Thérèse Escorbiac. Le couple, domicilié au village de Mancelle (Rignac), a six enfants qui constituent le Sous-Rameau Neuville, de Mancelle.

6-      Françoise Neuville (1705-1780), Delle, qui épouse à Rignac le 11 avril 1731 [31] le sieur Jean Antoine Carles ( -1751), marchand, hôte aux Faubourgs-Hauts de Rignac. Françoise Neuville poursuit probablement l’activité d’aubergiste après le décès de son mari.

Les époux Carles–Neuville ont leurs deux premiers enfants à Rignac, les deux autres aux Faubourgs-Hauts :

a- Anne Carles (1732-1746), sans postérité.

b- Pierre Jean Carles (1740-1764), sans alliance connue à Rignac ou n’y sont pas cités, au moins jusqu’à 1792.

c- Françoise Carles (1743- ), sans alliance connue à Rignac ou n’y sont pas cités, au moins jusqu’à 1792.

d- Marie (Thérèse) Carles (1746-ap. 1818), Delle, qui épouse à Rignac le 24 février 1767 Jean-Baptiste Colom (vers 1736-1815), probablement originaire de Montbazens, maître en chirurgie, officier de santé (1790), d’où treize enfants, tous nés à Rignac :

- Marie Françoise Félicité Colomb (1768-ap. 1820), qui épouse le 7 septembre 1795 à Rignac Joseph Mercadier (1766-ap. 1820), propriétaire-cultivateur du hameau de Regardet, Mirabel, paroisse de Rignac. Trois enfants au moins y naissent.

- Marianne Colom(b) (1770- ), sans alliance à Rignac jusqu’à 1792.

- Rose (Marie) Colomb (1771-1833), Delle, probablement sans alliance.

- Dorothée Colomb (1773- ), Delle, qui épouse le 20 janvier 1802 à Rignac (Jean) Baptiste Boyer (1765- ) de Rignac, d’où quatre enfants au moins.

- (Pierre) Jean-Baptiste Colomb (1775-1841), maire de Rignac, docteur en médecine, qui épouse Dame Eléonore Marie Paule de Rodat (1788-1833), sœur puînée de Sainte Émilie de Rodat[32]. D’où postérité à Rignac par leurs cinq enfants (alliance avec famille Auzouy notamment).

- Etienne Colom (1777- ).

- Marc Antoine Justin Colom (1779-1807), chirurgien, mort à 27 ans probablement sans postérité.

- Henriette Colomb (1781-1827), qui épouse le 29 juin 1801 à Rignac un cultivateur du village Del Gach, Jean Grégoire Malrieu (1774-1821). D’où cinq enfants au moins, tous nés au Gach de Rignac.

- Julienne Françoise Colom (1783-  ), qui épouse le 26 novembre 1818 à Rignac Jean Louis Laubies, homme de Loi, né en 1761 à Villeneuve d’Aveyron, fils d’Antoine et de Gabrielle Dubruel[33].

- Sophie Colomb (1785-1785), décédée âgée de 4 jours.

- N. Colomb (1786-1786), enfant mort dès sa naissance.

- Pierre Albert Colom(b) (1788- ).

- Jean Hyppolite Colomb (1790-1793), décédé à l’âge de 3 ans.

7-      Marianne Ière Neuville (1705- ), sœur jumelle de Françoise, probablement morte jeune.

8-      Marianne IIème Neuville (1707- ), ni citée, ni alliée à Rignac jusqu’à 1792.

9-      Antoine Ier Neuville (1709-1709), mort âgé de moins de 3 mois.

10-  Antoine IIème Neuville (1711-1717), sans postérité.

11-  Etienne Neuville (1713-1717), sans postérité.

Rameau Caville-Garrigues, de La Bouldoire (Rignac)

II-3.  François Garrigues qui épouse en 1697 Françoise II (de) Cavilhe (Caville). Le couple « habitans en son domaine de La Bouldoire » (1744) a quatre enfants, tous nés dans ce village de la paroisse de Rignac :

1-      Jean Garrigues (1698-1762), marchand et bourgeois de Rignac, qui épouse le 29 septembre 1739 en premières noces[34] Françoise Auzouy (1718-1743), troisième enfant de François Auzouy, praticien et bourgeois de Rignac et de Delle Françoise Laporte[35]. D’où une fille :

a- Françoise Garrigues (1742-1816), Delle, qui contracte mariage[36] le 23 novembre 1768 à Rignac avec Jean Antoine Delclaux (1740-1819), de Calvance, paroisse de Noailhac, fils d’Antoine Delclaux, bourgeois de Noailhac et de Delle Marguerite Campredon. Jean Antoine est bourgeois de Rignac et propriétaire cultivateur à La Bouldoire où naissent les huit enfants du couple :

 - Marc Antoine Delclaux (1771-1842), qui épouse avant 1815 et hors Rignac, Marianne Bessière. D’où au moins un enfant né à Rignac : François Frédéric Delclaux (1818-entre 1845 et 1851), expert-géomètre.

- Marguerite Françoise Guillemette Delclaux (1774- ).

- François Marie Delclaux (1777-1853), propriétaire, marié en 1806 à Marianne Rabois (1780-1832), du Bayle près Rignac, fille de François et d’Anne Pezet. Marié pour la seconde fois en 1844 à Rignac, avec Marie Pourcel (1814- ), de La Boissonnade à Prévinquières.

- Joseph Alexandre Delclaux (1778-1820), propriétaire cultivateur, marié en 1814 avec Delle Julie (Marie) Bosc (1791- ), de Maison-Neuve à Rignac, fille de Jean-Baptiste Bosc et de Marianne Foulquier,  propriétaires. Ils ont au moins deux enfants nés à Rignac, Jean Joseph Delclaux (1815-1815) et Marie Rosalie Delclaux (1816- ).

- Marianne Delclaux (1780- ).

- Jean-Baptiste Benoît Gaspard Delclaux (1782-ap. 1851), cultivateur, marié en 1822 avec Marie (Anne) Bruel (1790-ap. 1851), de La Borie à Belcastel, veuve de Joseph Mazars. D’où, au moins un enfant né à La Borie (Belcastel), Jean-Baptiste Delclaux (1823- ).

- Marie Antoinette Delclaux (1784-1852), Delle, qui épouse en 1815 à Rignac, François Espinasse (1788-ap. 1852), cultivateur de La Genrie à Rignac ; dont au moins trois enfants :

. (François) Auguste Espinasse (1817- ).

. Marie Julie Espinasse (1820- ).

. Rosalie Espinasse (1821- ).

- Pierre Jean Dominique Delclaux (1786- ).

Marguerite, Marianne et Pierre Delclaux demeurent sans alliance connue à Rignac où n’y sont pas cités (décès, parrainages), au moins jusqu’à 1792.

Jean Garrigues veuf, se remarie à Rignac le 18 mai 1744 avec Marguerite Bosc[37] (vers 1719-1755), fille de Me (Jean) Jacques Bosc, notaire royal de Rignac et d’Anne Caussade, d’où deux filles également nées à La Bouldoire :

b- Marianne Garrigues (1747-ap. 1771), Delle, probablement sans postérité.

c- Marguerite Garrigues (1753-1811), Delle, sans alliance.

2-      Jean François Garrigues (1703-1770).

3-      Marianne Garrigues (1706-1766).

4-      Guillaume Garrigues (1708-1767).

Les Garrigues sont inhumés dans l’église de Rignac. La descendance de ce rameau Garrigues est assurée par le seul couple Françoise Garrigues-Jean Antoine Delclaux, le reste de la fratrie aînée n’ayant apparemment pas de postérité à Rignac.

Rameau Donadieu, de Rignac

II-4.  Guilhaume Donadieu, qui épouse en 1700 Jeanne Cavilhe.

1- Jean Ier Donadieu (1701-1746), travailleur, qui épouse le 5 avril 1732 à Rignac Anne Buffet (1696-1775) de Rignac, fille de Pierre, praticien et d’Anne Pons. D’où un fils :

a- Guilhaume Donadieu (1735- ), non cité ou allié à Rignac jusqu’à 1792.

2-      Guillaume Donadieu (1703-1708), mort à l’âge de 5 ans.

3-      François Ier Donadieu (1704- ), non cité ou allié à Rignac jusqu’à 1792.

4-      Marie Donadieu (vers 1706-1725), sans postérité.

5-      Alexis Donadieu (1707-1707), décédé à l’âge de 7 mois.

6-      Anne (Jeanne-Anne) Donadieu (1708-1772), citée marraine d’un neveu (en 1749) et sans alliance à Rignac jusqu’à 1772.

7-      Pierre Ier Donadieu (1710-1787), praticien, qui épouse le 1er septembre 1744 à Marcillac, Jeanne Thomas (1718-ap. 1782), fille d’Antoine, praticien de Marcillac et de Marie Vacquier, d’où cinq enfants nés à Rignac :

a-  Guilhaume Donadieu (1745- ), non cité ou allié à Rignac jusqu’à 1792.

b-      Marianne Donadieu (1747-1748), morte à l’âge de 5 mois.

c-  Jean Pierre Donadieu (1749- ), non cité ou allié à Rignac jusqu’à 1792.

d-      Françoise Donadieu (1753-1812), qui épouse le 11 juillet 1775[38] à Rignac, Michel Mazars (vers 1749-1818), laboureur originaire de Cébals à Bruéjouls, paroisse de Clairvaux. Le couple habitant Rignac, a neuf enfants :

- François Mazars (1776-1776), décédé le lendemain de sa naissance.

- Jeanne Mazars (1777-1840), qui épouse à Rignac en 1807 Joseph Garibal (1770-1817), propriétaire cultivateur du village de Lespiérate (Rignac). D’où quatre enfants natifs de ce village :

. Jean Garibal (vers 1807-1811).

. Pierre Garibal (1808- ).

. Marie Rose Garibal (1810- ).

. Marie Garibal (1813- ).

- Jean-Baptiste Mazars (1778-ap. 1808) ; acte de notoriété en 1808[39].

- Rose Mazars (1780-1816), qui épouse à Rignac en 1811 François Mazenq (1763-ap. 1819), cultivateur de La Valette (Rignac). D’où un enfant au moins, Rose Mazenq (1815- ).

- Françoise Mazars (1782-1782), décédée à 2 mois.

- Marianne Mazars (1788-1809), sans alliance.

- Procule Mazars (1791-1869), qui épouse à Rignac en 1831 Charles Dentilhac (1797-1876), originaire de Villefranche-de-Rouergue, cantonnier de Rignac (1831), puis cultivateur. D’où au moins un fils né à Rignac :

. Charles Dentilhac (1834- ).

- Jean Mazars (1794- ).

- Marie Jeanne Mazars (1800- ), qui épouse en 1821 à Rignac un tailleur d’habits, Pierre Jean Rataboul (1785- ), habitant Rignac et originaire du Mas-de-Castelnau à Sauveterre-de-Rouergue. Le couple, peut-être installé à Sauveterre, n’a pas de postérité à Rignac.

e- Pierre Donadieu (1761-1828), militaire, célibataire.

8-      Jean II Donadieu (1711-après 1747), clerc.

9-      Pierre II Donadieu (1713-1714), mort à l’âge de 8 mois.

10-  Jeanne Donadieu (1718-1719), morte à l’âge de 18 mois.

11-  Gabrielle Donadieu (1719- ).

12-  François II Donadieu (1722- ).  Ces deux derniers enfants n’apparaissent plus aux registres de Rignac (décès, alliance ou citation), jusqu’à 1792.

      Sous-Rameau Laporte, de Rignac (cf. Rameau Neuville, de Rignac - II-1-2.)

III-2. Jean Laporte, qui épouse en 1720 Marie Neuville. Deux fils et trois filles de leurs neuf enfants ont fondé une famille généralement nombreuse et toujours installée aux environs de Rignac. Si l’aîné, Jean-Baptiste, conserve la propriété d’origine des Laporte au village de Riguetorte, les cadettes s’installent chez leur époux (Faubourgs-Hauts, Raynals et Le Luc). Le plus jeune, Antoine, habite les Faubourgs de Rignac.

1-      Jean François Laporte (1721-1742), étudiant en Théologie, diplômé en théologie (Maître), mort vraisemblablement sans alliance ni postérité.

2-      Françoise Laporte (1722-1787), qui épouse en 1ères noces à Rignac le 20 février 1743 Jean Cougoule (1716-1762), fils de François Cougoule (vers 1679-1750), maçon (en 1716) et de Françoise Alary (vers 1681-1761), hostes aux Faubourgs-Hauts de Rignac. Le couple n’a pas d’enfants à Rignac jusqu’en 1762 où survient le décès de Jean Cougoule.

Elle épouse en 2ndes noces, à 43 ans, le 14 février 1765[40] à Rignac, Guillaume Auréjac (vers 1721-1808), originaire du village des Hemps à Goutrens mais qui habite Rignac. Son fils, Guillaume Auréjac (cité en 1808 comme déclarant le décès de son père) pourrait être d’un autre lit. C’est probablement Françoise Laporte qui meurt, qualifiée de boulangère, le 4 mars 1787 à Rignac.

3-      Jean-Baptiste Laporte (1724-1808), écolier en 1734, cité en 1768, bourgeois de Rignac, propriétaire, qui épouse avant mai 1758, peut-être à la paroisse de Mayran, Delle Marie (Jeanne) Palis (vers 1738-1809), d’où douze enfants nés à Riguetorte [41]:

a-       Marie Françoise Laporte (1758- ).

b-      Marie Jeanne Ière Laporte (1759-1839), célibataire.

c-       Jean Laporte (1761-1837), propriétaire cultivateur à Riguetorte, célibataire

d-            (Jean) Antoine Laporte (1762-1834), propriétaire cultivateur à Riguetorte, qui épouse le 23 juin 1813 à Rignac Marianne Bés (1792- ), de Rignac, fille de Pierre et de Thérèze Aussibal. D’où, une postérité à Rignac d’au moins deux filles :

- Marie Laporte (1813- ).

- Catherine Laporte (1820-1832).

e-  Marie (Rose) Laporte (1765-1849), qui épouse le 31 mars 1802 à Rignac un cultivateur de Rignac, Jean Francès (1767-av. 1849), fils de Jean Francès et d’Antoinette Falières. D’où au moins un enfant à Rignac :

- Jean-Baptiste Francès (1803-ap. 1849).

f-  Jean François Ier Laporte (1767-1767), mort le jour de sa naissance.

g-      Marianne Laporte (1768-1844), célibataire.

h-      Jean François II Laporte (1771- ).

i-  Marie Faustine Laporte (1773- ).

j-  Jean-Baptiste Laporte (1775-ap. 1837), cultivateur à Guarriguetorte.

k-      Marie Thérèse Laporte (1778-1788), sans postérité.

l-  Marie Jeanne II Laporte (1780- ).

4-      Marguerite Laporte (1726-1793), qui épouse à Rignac le 4 février 1750 un travailleur du village de Raynals, Antoine Arribat (1718-1800), fils de Jean Arribat (vers 1684-1759) et de Marie Garribal (1685-ap. 1757). D’où dix enfants, tous nés à Raynals :

a-       Jean Arribat (1750- ).

b-      Marie Arribat (1752-av. 1837), qui épouse (Jean)-Baptiste Cristoffoul (1762-1837) le 10 janvier 1800 à Rignac, un cultivateur de La Bassoulie, d’Anglars Saint-Félix ; décès de l’époux au Bousquet à Rignac mais sans postérité à Rignac.

c-       Jean-Baptiste Arribat (1754- ), cultivateur, qui épouse le 12 août 1797 à Rignac, Marianne Couffin (vers 1767-  ), fille de Jean Couffin et de Jeanne Marre, de Bonhoure (Maleville), d’où six enfants, tous nés à Raynals :

- Jean-Antoine Arribat (1798-  ).

- Marguerite Roze Arribat (1801- ).

- Jean-Baptiste Arribat (1803- ).

- Marianne Arribat (1805- ).

- Marie Arribat (1806- ).

- Marie Jeanne Arribat (1809- ).

d-      Marianne Arribat (1755-1799).

e-       Marguerite Arribat (1757- ).

f-       Antoine Arribat (1759- ).

g-      Jean Pierre Arribat (1761- ).

h-      Jean Joseph Arribat (1763- ).

i-        Anne Arribat (1766-1809), qui épouse Antoine Horilhac (1762-ap. 1810) à Rignac le 28 juin 1799, veuf de Catherine Serieye. Habitant de La Rébadie (Rignac), il est fils de Pierre et de Marianne Bessière, de Prévinquières. D’où au moins un enfant :

- Jean Horilhac (1803- ).

Antoine Horilhac se remarie en troisièmes noces, le 21 juin 1810 à Rignac, avec Marie Savignac (1763- ) de Labro, Prévinquières.

j-              Pierre Jean Arribat (1768-1768), décédé à l’âge de 3 semaines.

5-      Antoinette Laporte (1729-1731), décédé à l’âge de 2 ans environ.

6-      Marie Laporte (1732-1822), qui épouse le 25 février 1754[42] à Rignac Joseph Reynié (1727-1806), bourgeois de Rignac, résidant au Luc-Haut, paysan, laboureur et propriétaire, fils aîné de Joseph Raynié ( -1752), paysan originaire de Bonnevialle à Belcastel et d’Isabeau / Élizabeth Rey (1701-1769), du Luc-Haut. Le couple est établi au Luc ou naissent leurs onze enfants :

a-       Jean Reynié (1755-ap. 1828), laboureur, qui épouse le 31 janvier 1785[43] à Rignac Catherine Bonneviale ( -ap. 1828), fille de Jacques Bonneviale, laboureur, et de Catherine Touery du village de Lintez (Belcastel)[44]. Installé dès 1785 dans ce village, le couple a au moins dix enfants :

- Marie Raynier - Raynié (1785- ), qui épouse le 25 février 1821 à Rignac Jean-Baptiste Thomas (1782-  ), charpentier d’Anglars Saint-Félix. Doù, au moins une fille, Marie Thomas, née en 1822 à Rignac.

- Françoise Raynié - Reynier (1787- ), qui épouse le 9 février 1809 à Rignac Pierre Bayol (1779- ), propriétaire cultivateur de La Garissonnie à Rignac. Le couple est sans postérité à Rignac.

- Catherine Raynies (1788- ).

- Marianne Reynier (1790- ).

- Marie Rose Reyniés (1796- ), qui épouse le 26 janvier 1828 à Rignac Antoine Calvet, charpentier, de La Joulinie à Rignac. D’où postérité à Rignac.

- Julie Reyniés (vers 1798-1818), décédée chez ses parents, sans doute sans alliance.

- Marie Jeanne Raynier (1801- ).

 -Victoire Raynier (1803- ), qui épouse le 24 avril 1835 à Rignac Jean MARRE (1802- ), cultivateur de Rignac.

- Anne Reynié (1807- ).

- Thérèse Reynié (1808- ).

b-      Marie Reynié (1757-1835), qui épouse le 9 octobre 1782 à Rignac (Jean) Antoine Alric (vers 1754-1808), laboureur du Mas à Auzits, d’où quatre enfants nés au Mas :

- Jean Antoine Alric (1783- ), cultivateur.

- Marie Alric (1785-1850), qui épouse le 14 juillet 1813 à Auzits (Jean) François Paulhe - Pauilles (1788-1859), cultivateur, originaire de Longuefont à Auzits. D’où une postérité au Mas d’Auzits de sept enfants dont :

. Marie Jeanne Paulhe (1817-1887), mariée en 1848 avec Jean Etienne Rey (1808-1872). D’où :|Henriette dite Marie Rey (1852-1911).

Une descendance qui essaime aux « Amériques »

A l’instar de nombreuses familles aveyronnaises devenues pauvres, une partie de celle-ci n’échappe pas à l’émigration. On constate dans la très prolifique descendance du couple Marie Alric-François Paulhe[45] du Mas d’Auzits, l’émigration aux «Amériques » de six de leurs onze arrières petits-enfants Alazard, famille de La Panchaugalie, aux Places de Rulhe, commune d’Auzits.

Dans la fratrie, deux soeurs émigrent à San Francisco aux Etats-Unis alors que quatre frères rejoignent au début du siècle dernier, les fondateurs aveyronnais de la petite ville de Pigüé en Argentine. Une nombreuse descendance y vit aujourd’hui.

- Jean Alric (1786-  ).

- Françoise Alric (1788- ).

c-       Joseph Reynié (1759-1759), qui meurt à l’âge de 6 mois.

d-      Jean-Baptiste Ier Reynié (1760-1762), sans postérité.

e-       Jean-Pierre Reynié (1763-ap. 1821), propriétaire au Bez à Belcastel (1806), puis habitant du Luc-Haut, il semble sans alliance ni postérité à Rignac.

f-       Françoise Reynié (1765-1813), qui épouse (hors Rignac) Jean Viguier, du Luc près de Rignac.

Vers 1802, elle épouse en secondes noces (hors Rignac–Belcastel ?), un cultivateur du village de Lintez, Gabriel BouscayroL (vers 1764-ap. 1821), d’où :

- Baptiste Bouscayrol (1802- ).

g-      Jean-Baptiste II Reynié (1767-ap. 1821), propriétaire au Luc-Haut (1806), qui épouse en 1ères noces (1803) à Rignac Marie Dénayrac (vers 1775-1803), du village du Bez à Belcastel, qui décède 8 jours après la naissance de :

- Baptiste Raynier (1803-1804).

Jean-Baptiste Reynié épouse en 2ndes noces (1821) à Rignac Françoise Taissèdre (1793-ap. 1822), du village de Lintez à Belcastel, d’où :

- Rosalie Rayniés (1822- ).

h-      Joseph George Reynié (1769-1769), qui meurt à l’âge d’un mois.

i-  Jean Joseph Raynié (1770-1770), qui meurt également à l’âge d’un mois.

j-  Joseph Raynié (1772-1772), qui meurt à l’âge de 5 mois et demi.

k-      Jean Antoine Reynié (1776- ), propriétaire, qui épouse le 12 février 1806 à Rignac Marianne Delmas (1777- ), de La Cassaigne (Rignac). Six enfants naissent à La Cassaigne de cette union :

- Antoine Raynier (1807- ).

- Jean Pierre Raynier (1809- ).

 - Marianne Reynier (1812- ).

- Marie Rose Raynier (1814- ).

- Rose Reyniès (1816- ).

- Jean-Baptiste Reyniès (1821- ).

7-      Jean Joseph Laporte (1734-1734), décédé à l’âge de 10 jours.

8-      Marc Antoine Laporte (1735-1738), sans postérité.

9-      Antoine Laporte (1738-1819), propriétaire cultivateur, qui épouse le 17 octobre 1765 à Rignac Marianne Fonteilhes (1748-1809), issue d’une famille de marchands de Bournazel dont son père, Pierre Fonteilhes, qui épouse le 7 janvier 1743 à Rignac Jeanne Maldez, fille de Jean, praticien de Rignac. Le couple habite aux Faubourgs de Rignac et a deux enfants :

a-  Françoise Laporte (1767-1767), décédée à l’âge de 4 mois.

b-      (Jean) Antoine Laporte (1768-1826), propriétaire cultivateur, qui épouse le 12 février 1806 à Rignac, Antoinette Rabois[46] (vers 1783-ap. 1841), fille de François Rabois, propriétaire paysan au hameau du Bayle[47] près de Rignac et d’Anne Pezet. D’où, une postérité à Rignac d’au moins sept enfants :

- Antoine Laporte (1806- ), propriétaire, qui épouse à Rignac le 27 avril 1841 sa cousine Marie Éléonore Henriette Malrieu (1820- ), fille de Jean Grégoire et d’Henriette Colomb [48].

- Marie ou Marianne Laporte (1809-1809).

- Jean-Baptiste Laporte (1810-ap. 1855), qui épouse à Rignac le 14 février 1840, sa cousine Rosalie Viguier (1813-ap. 1855), fille d’Etienne et d’Anne Delmas[49]. D’où deux enfants nés au village de Brazils :

.  Marie Julie Rosalie Laporte (1840- ), qui épouse à Rignac le 22 février 1865 Marc François Calvet (1835- ), meunier au moulin du Bousquet.

. Jean-Baptiste Etienne Laporte (1843-1855).

- François Laporte (1813- ).

- Virginie Laporte (1815- ).

- Louis Laporte (1817- ).

- Victor Laporte (1820- ).

                                             Sous-Rameau Neuville, de Mancelle (cf. Rameau Neuville, de Rignac - II-1-5.)

III-5.   Guillaume Neuville, qui épouse Marie Thérèse Sadoul. D’où :

1-      Guilhaume Joseph Neuville (1737-1811), avocat en Parlement, qui contracte mariage le 17 août 1772[50] devant Me Calvet, notaire à Rignac avec Demoiselle Thérèse Brassat (vers 1750-1807), de Rodez, fille de Jean Joseph Brassat, marchand, consul de Rodez et de Marie Claude Raynal. Le couple, marié le 25 août 1772 à Rodez, habite le village de Mancelle près de Rignac où il a quatre enfants :

a.  Joseph Guillaume Neuville (1774-1835), propriétaire à Mancelle, célibataire qui demeure chez son frère puîné Jean Louis.

b.  Jean Louis Neuville (1776-1851), propriétaire cultivateur au village de Mancelle, qui épouse avant 1814 ; Delle Marianne Mazars (vers 1793-1835). Ils ont au moins quatre enfants, nés à Mancelle :

- Émilie Neuville (1814- ).

- Joseph Hilarion Neuville (1815-1859), propriétaire, qui épouse avant 1852 Rosalie Vialadieu, dont au moins un enfant à Rignac dès 1852 :

. Marie Louise Virginie Neuville (1852-1852).

- Jean Louis Neuville (1817- ).

- Marie Virginie Neuville (1820- ).

c. Marie Thérèse Françoise Neuville (1779-ap. 1831), Delle, qui épouse le 30 octobre 1807 à Rignac le sieur Joseph Raymond Rous (1783-ap. 1831), propriétaire à Brandonnedel, de l’ancienne paroisse de Brandonnet. Les époux qui habitent Brandonnedel ont une aînée dont la naissance à Brandonnedel est enregistrée à Rignac et au moins trois autres enfants, nés au même Brandonnedel, commune et mairie de Maleville :

- Thérèse Roux (1808-1883), qui épouse en 1825 à Brandonnet Joseph Vaisse (1799- ), de Brandonnet, fils d’Antoine et de feue Marie Beffré.

. Jean Joseph Vaisse (1825- ), premier enfant né à Brandonnet.

- Marie Joséphine Roux (1812- ), qui épouse en 1831 à Brandonnet Antoine Grandsainhes, de Galgan, fils de Pierre et de feue Antoinette Grialou, dont :

.  Pierre Joseph Théodule Grandsainhes (1831- ), premier enfant né à Brandonnedel, Maleville.

- Joseph Alphonse Roux (1815- ).

- Jean Victor Roux (1817-1817)[51], décédé à l’âge de 10 jours.

d.  Marianne Neuville (1783-1814), Delle, qui épouse le 1er février 1812 à Rignac, le sieur Jean Joseph Couderc (1777-ap. 1818), propriétaire, fils de feux Joseph et de Delle Marguerite Danduran, propriétaires au village de Belmont à Maleville. Il n’y a pas d’enfants nés de ce couple à Rignac ou à Belmont. L’épouse meurt dans sa famille à Rignac et son époux, absent au décès, se remarie 6 mois plus tard avec Marie Delbert, d’où postérité à Belmont.

2- Jean Neuville (1740- ).

3- Marie Thérèze Neuville (1740- ), Delle, sœur jumelle de Jean, qui épouse à Rignac le 7 octobre 1761 Etienne Ruffié ( -ap. 1778 à Escandolières), praticien, bourgeois de Glassac, fils de Jean et de Marguerite Boutaric, de Valady. Les époux Ruffié-Neuville, probablement installés à Glassac, n’ont pas de descendance née à Rignac, au moins jusqu’à 1792.

4- Françoise Neuville, (1743-1791), qui épouse à Rignac le 10 février 1768 Antoine Viguier (1741-1797), paysan laboureur du village de Brazils, paroisse de Rignac, fils d’Antoine, laboureur de Brazils et de Catherine Bec. Cinq enfants tous nés à Brazils, sont issus de ce couple :

a. (Guillaume) Antoine Viguié (1769- ), cultivateur à Brazils, qui épouse en 1803 à Rignac Thérèse Couderc de Soucils, Rignac. D’où, au moins, deux filles et un garçon, nés à Brazils :

- Thérèse I ère Viguier (1804- ).

- Thérèse II Viguier (1809- ).

- Antoine Viguier (1816- ).

b. Jean Viguié (1772- ), propriétaire cultivateur à Brazils, qui épouse en 1807 à Rignac Marianne Rivière, de La Pradelle, Rignac. D’où, au moins deux fils nés à Brazils :

- Jean Joseph Viguier (1810- ).

- Antoine Viguier (1813- ).

c. François Viguié (1775-1775), décédé à l’âge de 10 semaines.

d. Etienne Viguier (1778-1840), propriétaire cultivateur à Brazils, qui épouse en 1812 à Rignac Anne Delmas (1779-ap. 1840), de La Cassaigne, Rignac. D’où au moins deux filles nées à Brazils.

e. Jean-Baptiste Saturnin Viguier (1782- ), cultivateur à Brazils, qui épouse en 1812 à Rignac Marie Jeanne Malrieu, de Raynals, Rignac, veuve de Jacques Pons. D’où, au moins un fils né à Raynals :

- Jean Baptiste Viguier (1813- ).

5-      Antoine Neuville (1745-1747).

6-      Marguerite Neuville (1748-1824), Delle, probablement célibataire.

Jean et Marguerite Neuville (2 et 6) n’apparaissent plus aux registres de Rignac (décès, alliance ou citation), jusqu’à 1792.

Cette étude, volontairement limitée à Rignac et à la période post révolutionnaire, pourra être complétée à loisir, grâce à l’abondance des sources disponibles pour le XIXe siècle. Il reste cependant à accroître la connaissance des premières générations et tous les compléments utiles à sa progression seront bien sûr très appréciés.

                                                                                                 Philippe Flamme

 

Descendance de la branche aînée de Marcilhac Famille de Marcillac - de Morlhon

             

Une branche cadette de la famille Morlhon-Sanvensa[52], s’est établie vers le début du XVIe siècle au château d’Auteirac (ou Autayrac) à l’est de Lunac, par le mariage vers 1500 de Gauchette de Mayres d’Autayrac, avec François de Morlhon, son parent, qui devient ainsi seigneur d’Autayrac [53]. Leur fils Blaise de Morlhon, seigneur d’Autayrac, épouse Paule Rigaud ; leur petit-fils Jean, de son épouse Jacquette de Loupiac, aura Guillaume qui hérite de la seigneurie d’Autayrac. Seigneurie qui disparaît à La Révolution ainsi que le château qui, vendu à un cultivateur de Lunac, sera anéanti par un incendie à la fin du XIXe siècle.

Anne de Marcilhac, fille de Bertrand et de Suzanne de Cassagnes épouse donc un descendant de cette  famille, qui habite à quelques lieux de La Bastide-Capdenac :

I- Guillaume de Morlhon, seigneur d'Autayrac se marie en 1612) avec noble Anne de Marcilhac, fille de Bertrand, seigneur de La Bastide-Capdenac et de dame Suzanne de Cassanhes. Ils ont au moins deux fils :

1- Jacques de Morlhon, seigneur de La Barthe, qui perd son droit d’aînesse après son duel avec Pierre de Montlauzeur, qui suit.

2- Jean-François de Morlhon, seigneur de Villescours, époux en 1641 de Marie de Reilhan. La descendance de ce couple est particulièrement nombreuse. Voir la descendance p.

3- Isabeau, mariée avec Jean Miffre, bourgeois de de Pechreal (paroisse de Saint-Jean de Boussac en Quercy) d’apèrs un accord de 1680 retenu par Boutonnet notaire de Moyrazès sur une somme de 881 livres 5 sols pour régler les droits successifs d'Isabelle sur les biens d'Anne sa mère.

4- Gabrielle, mariée avec Jean Loupias, de Lunac. D’où :

a- Françoise Loupias, mariée avec Jean Mayran, de la Bourdarie (Lunac). D’où :

- Jean Mayran, marié vers 1700 avec Françoise Loupias.

- Guillaume Mayran à la Bourdarie, marié deux fois.

- Claude Mayran, mariée en 1708 avec Antoine Segons.

- Louise Mayran, mariée en 1707 avec Jean Pélissier

 Peut-être Gabrielle de Morlhon ou Morlhou (vers 1632-1702),[54] épouse vers 1652 de Jean Loupias dit « Poutete », de Lunac, qui eut des descendants dans la région de Lunac. Elle est désignée sans particule et entretient de bons rapports avec la famille de Morlhon dont certains membres seront parrains de ses petits-enfants.

                                                         Branche des Morlhon, de Fénayrols

II- Jacques de Morlhon, seigneur de La Barthe, né en 1614. Le 20 septembre 1637, il tua en duel Pierre de Monlauzeur, seigneur du lieu de Lunac, enseveli le même jour « meurtri en duel »[55]. Il dût faire amende honorable au Parlement de Toulouse qui le fit sortir de prison le 12 août 1641[56]. Il quitta Lunac délaissant à son frère cadet la seigneurie d’Autayrac. Il s’établit à Moyrazès par son mariage (c.m. le 12 octobre 1649) avec Marguerite Mazars ( -après 1690), fille de Jean, bourgeois de Moyrazès et d’Hélix d'Albouy. Jacques de Morlhon teste le 15 août 1682[57]. D'où :

1- Charles de Morlhon (1660-1748), seigneur de Fénayrols, qui suit.

Sa descendance très nombreuse comprend le cardinal François Marty et le généalogiste Hippolyte de Barrau.

Pour le Cardinal Marty, l’ascendance s’établit ainsi suite aux recherches de M. Jean-Claude Loncke : Jacques de Morlhon, père de Charles de Morlhon, père de Guillaume de Morlhon, père de Marguerite de Morlhon, mère de  Marianne Planecassagne (1729-1769), mère de Christine Joulie (1756-1845), mère de  Marie-Delphine Noël (1792-1866), mère de Delphine Bras (1816-1889), mère de  François Marty (1840-1904), père de Jean-François Marty (1874-1954), agriculteur, père de François Marty (1904-1994), cardinal. Voir la descendance p. 31

Pour Hippolyte de Barrau, le lien s’établit ainsi : Jacques de Morlhon, père de Charles de Morlhon, père de Jean de Morlhon, père de Paule-Henriette de Morlhon, mère de Marguerite Henriette Dablanc, mère d’Hippolyte de Barrau (1794-1863).  

2- Hélix de Morlhon, mariée en 1675 (c.m. le 12 janvier 1675, chez Me Boutonnet, notaire) avec noble François de Créato ( -1707), seigneur de Calzins( ou Calzinq), fils de Jean et de Cécile de Neuville. François teste le 15 février 1707[58] et décède le 20 mai 1707, il est enseveli le lendemain, le curé Me Mazars note au bas de l’acte que « M. de Calzinq n’a aucun droit de sépulture dans l’église, ce n’est qu’en donnant à l’ouvrier qu’elle lui a été concédée »[59]. D’où :

a- Jean-François de Créato. Descendance inconnue.

b- Cécile de Créato, mariée le 6 février 1690 avec François Dalbin, bourgeois de La Valière (Vors), fils de feu Jean et d’Isabeau de Bastide. Dans le contrat passé le 23 janvier, Cécile reçoit en dot la somme de 4 500 livres[60]. D’où Elisabeth Dalbin, mariée le 25 août 1721 avec Jean Mazars, de Moyrazès. Descendance inconnue.

c- Marguerite de Créato, demoiselle de Saint-Julien, mariée le 23 février 1694 avec Guillaume Bousquet, avocat en parlement, fils d’Antoine, bourgeois de Cassagnes-Comtaux et de demoiselle Jeanne Delaval. Descendance inconnue.

d- Charles de Créato (1686-  ), seigneur de La Bessayrie, de Féneyrols, du Bouyssou, coseigneur de Moyrazès, habitant le château de Moyrazès, marié avec noble Jeanne-Louise de Morlhon de Laurière, fille de François et de dame Hippolyte de Loubens de Verdalle, de Saint-Rome-de-Cernon. Le 28 septembre 1726, Charles reçoit de son beau-père la somme de 1 000 livres provenant de la dot de sa femme décédée depuis peu[61]. D’où :

- Hugues de Créato, sieur de Calzins, de La Bessière et de La Coste, marié avec Antoinette de Cardinet, sa cousine de Rodez, fille de feu Jacques (c.m. le 24 février 1753, présent Jean Cardinet, prieur de Vors, oncle de la mariée* 2C2 34) . D’où :

. Jean-Baptiste de Créato, célibataire en 1846.

- Gaspard-Hippolyte de Créato, seigneur de Féneyrols, habiatant le château du Bouyssou à Flavin, marié en premières noces le 5 août 1748 à Flavin avec Elisabeth de Méjanès ( -1782), fille de Pierre et de Marie de Créato, avec dispense de parenté et en secondes noces avec Marie-Marguerite Galtier de La Faramondie, fille de Guillaume et de dame Agathe de Flavin, habitant de Réquista (dans le contrat. du 4 août 1784, la fiancée hérite des biens de ses parents, sa mère se réservant la somme de 2 500 livres[62].

- Marie-Julienne de Créato, mariée avec Simeon de Flavin, seigneur de La Capelle (Flavin). D’où sept filles sans descendances connues :

. Marie-Anne de Flavin.

. Marie-Thérèse de Flavin, religieuse au couvent de Notre-Dame de Rodez.

. Marie-Rose de Flavin, religieuse au couvent des Annonciades à Rodez.

. Marie-Jeanne de Flavin.

. Marie-Justine de Flavin.

. Marie-Victoire de Flavin.

. Marie-Thérèse-Procule de Flavin ( -1851 à Rodez)[63].

e- Maie de Créato, demoiselle de Prinhac (vers 1687-1771), mariée le 18 janvier 1703 avec noble Pierre de Méjanès, seigneur du Bouyssou, habitant le château du Bouyssous (Flavin), fils de François, seigneur de Flavin et de demoiselle Jeanne de Raynal de Paulhac. D’où :

- Elisabeth de Méjanès (1704-1782), mariée le 5 août 1748 avec Gaspard-Hippolyte de Créato, seigneur de Féneyrols, son cousin (voir d).

- François de Méjanès (1705-  ).

- Marguerite de Méjanès (1709-  ).

- Jacques de Méjanès (1713-1786), curé de Flavin.

f- Thérèse de Créato, mariée le 21 avril 1712 avec Jacques Albouy, conseiller du roi au sénéchal et présidial de Rodez, fils de Jean, bourgeois de Panat et de demoiselle Marguerite de Lavernhe.

III- Charles de Morlhon 1660-1748), seigneur de Fénayrols, marié le 15 février 1689 à Notre-Dame de Rodez avec Marie-Antoinette de Peytavin, fille de feu Jean, avocat en parlement, habitant Rodez quand il vivait et de Marguerite de Pervinquières. Dans le contrat de mariage du 12 février 1689, le marié reçoit en dot la somme de 18 000 livres qui lui sera remise par son beau-frère et la mariée hérite de la moitié des biens de ses parents et d’une maison, rue Saint-Vincent à Rodez, de la part de son frère Jean de Peytavin, prêtre et prieur de Pervinquières[64]. D’où :

1-Jean de Morlhon (-avant 1774), seigneur de Fénayrols, habitant Rodez, marié (c.m. le 11 novembre 1739) avec Marie-Marguerite de Vabre (+ en 1772), fille de Jean, seigneur de Rieuvel (près de Castres) et de Marie-Germaine de Marliave.

Il teste une première fois le 10 mars 1745, et nomme ses quatre premiers enfants[65] et puis le 12 mai 1769 chez Me Leroux, citant ses quatre enfants survivants (Jean, Henriette, Antoinette et Marguerite) et faisant héritière Henriette, épouse Dablanc. L’ouverture du testament clos a lieu le 10 décembre 1770 en présence de ses trois filles[66]. D’où 

a- Jacques de Morlhon (vers 1740-entre 1769 et décembre 1770).

b- Jean-Claude de Morlhon (1742-1758) décédé âgé de 16 ans à Paris en février 1758 dans une maison d’éducation).

c- Marie-Toinette de Morlhon (avant 1745-av. 1769).

d- Jeanne-Toinette de Morlhon (avant 1745-av. 1769).

e- Jean-Guillaume de Morlhon (après 1745-av. 1769).

f- Jean de Morlhon (après 1745-1780), officier, sans postérité.

g- Paule-Henriette de Morlhon (après1745-1802), mariée en 1771 avec Pierre Dablanc, avocat à Rodez. D’où :

- Marguerite-Henriette Dablanc (-1862), mariée le 19 septembre 1790 avec Pierre-Firmin-Marie de Barrau, seigneur de Trémouilles et de Caplongue, fils de Jean-Antoine et de Françoise-Charlotte-Pauline de Soulage. D’où :

. Jean-Antoine de Barrau (1790-1848), étudiant à l’école militaire de Saint-Cyr en 1813, lieutenant d’artillerie, décédé à Sète le 15 mars 1813.

. Justin-Hippolyte de Barrau (1794- ), étudiant à l’école militaire de Saint-Cyr en 1813, rédacteur du journal politique La Gazette du Rouergue, membre du Conseil Généaral, président de la Société des Lettres et Arts de l’Aveyron.

. Marie-Victor de Barrau (1796-1825), lieutenant au bataillon du Sénégal.

. Justine de Barrau (1798- ).

. Rosalie de Barrau.

. Paulin-Eugène de Barrau (1801- ), licencié en droit, marié le 9 avril 1839 avec Coraly Manzon, veuve Séguret, fille de Louis-Anicet, avocat et de Marie-Thérèse de Catellan, rédacteur de L’Echo de l’Aveyron, conseiller génréal de Cassagnes-Bégonhès. Descendance.

. Edouard-Adolphe de Barrau (1803-  ), docteur en médecine, conseiller général de Cassagnes-Bégonhès en 1852, marié le 7 janvier 1845 avec Blanche Mignonac, fille de Victor, de Comps-la-Granville, et de Jeanne-Marguerite Vernhes d’Espinasse.

. Théophile de Barrau (1805- ).

. Henri de Barrau (1811-1851à Carcenac), officier de régiment d’infanterie.

h- Marie-Antoinette de Morlhon (après 1745-1818 à Carcenac), religieuse. 

i- Marie-Marguerite de Morlhon (1753-après 1821), mariée en 1774 avec Nicolas-Antoine Proquez, tapissier, valet de chambre de Mgr de Cicé, évêque de Rodez, fils de Nicolas, maréchal du duché de Montmorency en Champagne et de Jeanne Picard. Cette union défraya la chronique. Marguerite, étant mineure, son oncle Joseph, archiprêtre de Conques et tuteur s’opposa à cette union, en 1773, il lui offrit 6 000 livres si elle renonçait à son projet, en vain. Elle quitte le couvent pour vivre avec son fiancé qu’elle épouse le 25 août 1774 dans la chapelle des artisans de l’église Saint-Amans[67]. D’où :

- Nicolas-Antoine-René Proquez (baptisé le 16 mai 1774 à Rodez ; parrain le sieur René Dalbin, pâtissier), débiteur de tabac en 1816 à Villefranche-de-Rouergue, tapissier lorsqu’il se marie le 17 octobre 1821 à Villefranche où il habite depuis plusieurs années avec dame Marie-Antoinette Roubière, veuve de Charles-Gabriel Durand, âgée de 54 ans, fille de feus Jean-Jacques et dame Marie Fraisse. Pas de descendance connue.

2- Joseph de Morlhon ( -1781), archiprêtre de Conques, qui teste en 1781.

3- Jacques de Morlhon ( -1746), chanoine et archiprêtre de Conques.

4- Guillaume de Morlhon, qui suit.

5- Marguerite de Morlhon, mariée en 1716 avec le sieur Bernard Pleinecassagne, bourgeois de Lugan voir p. 20.

6- Marie-Anne de Morlhon (vers 1693-1748), mariée le 20 janvier 1726 (c.m. à Cransac avec le sieur Bertrand Girou, apothicaire, habitant de La Pélonie (Cransac). D’où :

a- Pierre Girou (1727-1770), marié avec Thérèse Delort. D’où Marie Eulalie Girou, née posthume le 9 avril 1771, son père étant décédé le 26 novembre 1770.

b- Marie Girou (1730- ).

c- Marie Girou (1732- ).

d- Charles Girou (1734-1760).

e- Catherine Girou (1737- ).

7- Marie de Morlhon, religieuse au monastère de Saint-Projet en Auvergne.

8- Antoinette de Morlhon ( -1792), mariée au sieur Jacques Brunet, notaire de Bournazel, remariée le 28 mars 1753 avec Pierre-Auguste Rouch,[68] né le 11 décembre 1721, sieur de la Bruyère, coseigneur d'Aubin, docteur en mèdecine, intendant des eaux de Cransac (enregistré au Parlement de Toulouse en 1755), premier échevin d'Aubin en 1768, marié à Rulhe avec.

D'où du premier lit :

a- Marguerite Brunet, mariée le 10 février 1766 à Aubin avec Antoine Espinasse, avocat, notaire royal de Galgan.

Du second lit :

b- François-Marie-Auguste Rouch, né le 25 août 1756.

c- Jacques-Louis [Rouch] de La Bruyère[69], né le 21 juin 1759, (+ 1816), docteur en médecine, maire d'Aubin, décédé le 11 juin 1815 et marié le 8 février 1786 à Caylus avec Marie-Jeanne Bories, fille de Jean, notaire de Caylus et de Marie-Anne de Marconnié. D'où :

- Grégoire Rouch de La Bruyère (1786-1866).

- Julie Rouch de La Bruyère (1789-1796).

- Catherine Henriette Rouch de La Bruyère (1793-1865), mariée le 19 juin 1816 avec Paul-Joseph Delshens, médecin (thèse en 1809 à Montpellier), né le 3 décembre 1786 à Planhols, fils adoptif et sans doute illégitime de Pierre-Paul Delshens, docteur en médecine et maire de Figeac pendant une bonne partie de la Révolution.

IV- Guillaume de Morlhon, marié à Espeillac le 21 janvier 1744 avec Antoinette de Pruines, fille de feu Jean et de Marie de Cambaroques, d’Espeillac (Montbazens). D’où 

1- Marie-Foy de Morlhon ( -av. 1833 à Pradinas), mariée le 28 juin 1773 avec Jean-Philippe de La Raffinie, seigneur de Vère et de La Planque (Pradinas), fils de Victor, seigneur de Pradinas et d’Angélique de Villeneuve de La Lande. Sans descendance le couple fera héritier Marie-Louis Rogery, d’Espeillac, neveu de Foy de Morlhon, fils de Jean-Louis Rogery et d’Eléonore de Morlhon.

2- Louis-Auguste de Morlhon ( -1772 à Espalion).

3- Françoise-Antoinette de Morlhon (1744-vers 1766), mariée le 23 janvier 1765 avec Géraud Manson, chirurgien à Rignac, fils de feu Jean-Baptiste et de feue Thérès Fierlé, de Maurs.  D’où :

  - Jacques-Anicet Manson, né le 11 avril 1766 à Rignac.

  - Bernard, décédé le 11 avril 1799 à Rignac.

  - Enjalran, avoué à Rodez. D'où Coralie Manzon, épouse Séguret, de Rodez, qui témoignera lors du procès de l'assassinat de Fualdès en 1816. Sans descendance.

4- Jacques de Morlhon (1746-1824).

5- Suzanne de Morlhon (1749-  ).

6- Eléonore de Morlhon (1751-), épouse de Jean-louis Rogery ( -1818), propriétaire à La Tour d’Espeillac (Roussennac). D’où :

a- Marie-Louis Rogery (1789-1863 à Pradinas), marié le 27 septembre 1833 à Roussennac avec Marie-Joséphine-Eugénie Galtier (+ 15.7.1887), fille de Jean-Joseph, docteur en médecine à Saint-Martin d’Espeillac et de Rose Bros. D’où :

- Marie-Stella Rogery, mariée en 1860 avec Camille Roques, originaire de Toulouse, secrétaire général de l’Aveyron et député de l’Aveyron en 1869 et 1879. D’où :

. Gaston Roques, député en 1913 et 1920, maire de Pradinas et conseiller général de Sauveterre pendant 35 ans, marié en 1890 avec Elisabeth Laroche-Joubert, d’Angoulême. D’où : Marcel Roques, marié avec Paule de Mauléon. D’où trois enfants. Descendance à Pradinas, Paris, Toulouse.

. Roger Roque, épouse Darquier.

. Herminie Roque, mariée avec le baron d’Encausse de Labatut. D’où trois enfants.

- Herminie Rogery, décédée à 20 ans, sans descendance.

- Alix Rogery, propriétaire de La Planque (Pradinas), sans descendance il fait héritier son neveu, Gaston Roques.

 7- Auguste de Morlhon (1753-  ), célibataire.                                                                                                 G Rigal-Saurel, Pierre Cabrol, F Cazals, Philippe Flamme, Gérard Roques, Mmes Gadet et Roumec.

II- Jean-Fançois de Morlhon ( -avant 1674), seigneur de Villescours, hérite d’Autayrac. La famille à partir de cette époque semble s’être appauvrie et ne s’allie qu’avec des familles notables du pays. C’est ainsi que Jean-François se marie (c.m. le 10 novembre 1641, chez Me Coffinhal, notaire de Lescure) avec Marie de Reillan (1699- ), fille de Pierre, bourgeois de La Valette (Lescure) et de Françoise Faliès. D'où :

1-    Louise de Morlhon (vers 1642-1719). Sans descendance.

2-    François de Morlhon, qui suit.

3-    Claude de Morlhon, parrain en 1678, décédé le 2 août 1711 et enseveli dans la chapelle Saint-Antoine de Lunac, réservé à la famille en 1680, la famille avait obtenu de l’évêque le droit de sépulture dans cette chapelle. Sans descendance.

3-      Anne de Morlhon, décédée le 5 décembre 1718. Sans descendance.

4-      Marie de Morlhon, marraine en 1682. Pas d’alliance connue.

5-      Marie-Anne de Morlhon, citée en 1688. Pas d’alliance connue.

6-      Françoise, dont la sépulture à lieu à Tizac le 1er octobre 1674 en présence de sa mère.

III- François de Morlhon (décédé entre 1730 et 1737)[70], seigneur d'Autayrac, marié le 15 juillet 1685 avec Marie-Anne de Perthuis (+ 22 août 1710), fille de François, bourgeois d'Onrozac (Saint-Martin-de-Limouse) et d’Isabeau de Roquefeuil. D'où :

1- Elisabeth de Morlhon ou Isabeau (1689-1718), décédée sans testament. Sans descendance.

2- Marie-Anne de Morlhon, décédée en octobre 1755, âgée de 60 ans. Sans descendance.

3- Joseph de Morlhon, qui suit.

4- Pierre de Morlhon (bap. le 20 janvier 1699), décédé le 8 décembre 1782 au château à Lunac, célibataire.

5- Antoine de Morlhon.

6-  Jean de Morlhon.

7- Marie de Morlhon, mariée le 4 novembre 1729 avec Jean Amans, praticien de Lunac, fils de Jacques et de Pétronille Enjalbert, de Lunac. Le 21 mars 1757, Marie, séparée de corps et de biens d’avec son mari, sans postérité, teste en faveur de sa nièce Jeanne, mariée avec Simon Loupias et lui fait donation de l’hérédité recueillie de sa sœur Isabeau[71]. Elle teste une seconde fois le 9 octobre 1761, à La Bertrandie, chez sa nièce Jeanne de Morlhon, épouse Loupias, à qui elle fait donation de tous ses biens 1761[72] et décède le 30 avril 1766.

8- François de Morlhon.

IV- Joseph de Morlhon (1696-1771), seigneur d'Autayrac, marié le 19 août 1728 à Toulonjac avec Louise de Vialars, fille de Joseph, bourgeois de Villefranche et de Jeanne de Sansonnet. D'où :

1- Marie de Morlhon (née le 31 mai 1729 à Toulonjac-1816 à Lunac), mariée le 21 décembre 1752 avec Alexis-Dominique Teulat, avocat, fils d'Alexis et de Marie Izarn, de Calmont-de-Plancatge, qui suit.

2- Jeanne de Morlhon (vers 1732-1802), mariée le 5 février 1755 à Tizac avec Simon Loupias, bourgeois de La Bertrandie (Arcanhac), fils d'Antoine et de Marie Barrès, parent au quatrième degré par les Perthuis.

             Famille Morlhon-Teulat, de Lunac

V- Alexis-Dominique Teulat est issu d’une famille comportant des notaires et des prêtres. Antoine Teulat, son oncle, est prieur-curé de la paroisse Saint-Amans des Mazières (commune de Lunac) de 1718 à 1751 et a pour successeur Jean-Antoine, son neveu, curé de 1751 à 1792. Alexis épouse le 27 décembre 1752 Marie de Morlhon (1729-1816), héritière d’Autayrac, domaine transmis pendant plusieurs générations dans la famille de Morlhon, qui passe ainsi dans la famille Teulat pendant trois générations. Dans le contrat de mariage passé le 14 décembre 1752, le futur marié est doté de 3 000 livres par ses parents, il reçoit 1 000 livres de son frère, curé des Mazières, sûrement à l’origine du mariage, cet argent devra être employé à la réparation du domaine « qui doit être refait à neuf, une partie du château ayant croûlé, l’autre menaçant ruine »[73]. D’où :

1-      Louis-Dominique-Alexis-Naamas Teulat (1755-  ), pas d’alliance connue.

2-      Joseph Teulat (1757-  ), pas d’alliance connue.

3-      Marie-Jeanne Teulat (1758-1850), mariée le 30 juin 1802 avec Joseph Bergougnou, propriéatire de Las Finials (Jouqueviel en Albigeois), fils d’Antoine et de Marie-Anne Ginestous[74].

4-      Marie-Thérèse Teulat (1761-1840), célibataire.

5-      Jean-Baptiste Teulat (1764-1824), qui suit.

6-      Jean-Pierre Teulat (1767-1845), expert géomètre en 1793, notaire de La Salvetat-Peyralès, marié le 9 juillet 1822 avec Marie-Rose-Dorothée de Lestang, fille de Jean-François-Amable de Segons de Lestang et d’Anne-Marie-Félicité Mazars, de la Brousse (Saint-Salvadou)[75]. Le 2 août 1821, Jean-Pierre est en procès avec son frère Jean-Baptiste et est condamné à mois de prison et 16 francs d’amendes »[76]. D’où :

a- Marie-Jeanne-Clothilde-Joséphine Teulat (1830- ), mariée le 29 mars 1873 avec Jean-Julien Lazuech, de Montbazens (1830, fils de Jacques et de Victoire Cornac.

7-      Mort-né en 1768.

8-      Mort-né en 1771.

VI- Jean-Baptiste-Louis Teulat (1764-1824), officier de santé, médecin, marié le 21 juillet 1795 avec Catherine Devals (1765-1836), de la Borie-Basse (Cabanès), fille de Jean et de Catherine Foulquier. En 1818, Jean-Baptiste porte plainte contre son frère Jean-Pierre, qui l’a battu lors d’une dispute provoquée à propos de passages abusifs avec des bêtes dans un de ses prés, car « les excès dont il a été victime présentent une telle gravité qu’il est obligé pour la sûreté de sa vie de dénoncer en justice l’audace de son frère »[77]. Décédé sans testament, ses quatre enfants se partagent en quatre lots le domaine et les biens après un inventaire éatbli par Me Déléris. D’où :

1-      Jean-Baptiste Teulat (1797-1862), garde champêtre particulier à La Galinerie (Lunac), habitant en 1832 à Wissenbourg dans le Bas-Rhin, marié en premières noces vers 1825 avec Madeleine Schmalz du canton de Wissembourg (Bas-Rhin) et en secondes noces le 18 février 1846 avec Marie-Antoinette, fille naturelle, née à Villefranche le 2 mai 1822.

D’où du premier lit un fils et quatre filles :

a – Joseph-Charles Teulat (1826- ), propriétaire cultivateur à La Galinerie, marié le 23 mai 1866 avec Marie-Rose Armand, de Lunac (1843-  ), fille de Joseph, cultivateur à Lunac, et de Marie Anne Lagnac. D’où :

- Marie-Anastasie Teulat (1867- ), mariée le 5 avril 1891 avec Louis-Céleste Ginestet, cultivateur de La Coste (Tizac), fils de Joseph et de Marie-Lucie Taché.

- Germaine-Marie Teulat (1869-1871).

- Henri-Charles Teulat (1871 - ).

b – Charlotte Teulat, célibataire, décédée le 6 juillet 1886 à 54 ans.

c – Julie-Lucie Teulat (1838- ), mère célibataire de Joseph-Auguste Teulat (1862- ) et d’Auguste-Calixte Teulat (1865-  ).

d – Rose-Madeleine Teulat, pas d’alliance connue.

e – Marie-Anatalie Teulat (1843-  ), mère célibataire de Clément Abel (1868-  ), mariée le 12 février 1877 avec son cousin germain Cyr-Auguste Bousquet, né le 30 juin 1840 à Labadenq-Grand (Bor-et-Bar), fils de François et de Marie-Jeanne-Charlotte Teulat. D’où Marie-Antoinette Bousquet (1878- ), mariée avec Joseph-Henri Marc, propriétaire à Lunac.

Du second lit trois filles et un fils décédés jeunes :

f – Marie-Rose-Emilie Teulat (1846-1852), décédée à 4 ans.

g – Jean-Joseph-Baptiste Teulat (1846-1846),  ne vécut que neuf jours.

h – Marie-Virginie Teulat (1849-1850), décédée à un an.

i – Joseph-Jean-Baptiste Teulat (1853-1876), célibataire décédé à l’âge de 23 ans à Saïgon comme soldat de 2ème classe au 4ème régiment d’infanterie de marine, pas de descendance connue.

j – Marie-Anaïs-Nathalie Teulat (1856-1858), décédée à 2 ans.

2- Marie Teulat (1801-1875), mariée le 10 avril 1823 avec Jean-François Pouget, marchand trafiquant à Lunac, fils de Jean, meunier de Vezac (Les Mazières), et de Marie-Rose Lagarrigue. D’où :

a- Casimir Pouget (1824-1895), menuisier à Lunac, marié le 4 février 1874 avec Marie-Charlotte Albouy, fille d’Antoine, cultivateur de la Coste de Tizac, et de Charlotte Carrié. D’où :

-    Casimir-Séverin Pouget (1876-1880), décédé à 4 ans.

-    Marie Pouget (1877-1877), mort-né.

-    Marie-Adolphine Pouget (1879-1953 à Cartmaux-81), mariée avec Justin Payre.

-    Banjamin-Jérémie Pouget (1882-1884), décédé à 2 ans.

-    Casimir-Zéphirin Pouget (1884-1971 à Firmi).

-    Marie-Adeline Pouget (1888-1951 à Blaye-les-Mines-81).

b-      Jean-François Pouget (1826-  ), pas d’alliance connue.

c- Charles-Victor Pouget (1827-1849), chasseur du 5ème régiment d’infanterie légère, décédé du choléra à Paris à l’Hôpital militaire du Roule.

d-      Jean-Pierre-Philippe Pouget (1829-  ), menuisier à Lunac, marié avec Marie Boyer. D’où Joseph-Marie Pouget (1865-  ). Pas de descendance connue.

e- Marie-Lucie Pouget (1830-  ), mariée le 14 février 1849 avec Charles Rouquette, cultivateur de la Terrisse (Pradinas), fils de feus Jean Amans et Rose Genies. D’où Charles décédé en 1850 à Lunac.

 f- Marty-Florent Pouget (1841-  ), pas d’alliance et de descendances connues.

3- Marie-Jeanne-Charlotte Teulat (1804-1879), mariée en premières noces le 24 novembre 1824 avec Jean-Baptiste Guibbert, cultivateur de Labadenq-Grande (Bor-et-Bar), fils d’Antoine et de Catherine Lagrèze[78]. Le 10 février 1835, suite au décès de Jean-Baptiste Guibbert, Charlotte fait procéder par Me Déléris, notaire de La Fouillade, à l’inventaire des biens de Labadenq-Grande afin de garantir les biens de ses quatre enfants. Et le 24 septembre 1838, elle épouse en secondes noces François Bousquet, de Bourgnounac.

D’où du premier lit :

f- Jean-Baptiste Guibbert (1825-1825), décédé à 12 jours.

g-      Jean-Baptiste Guibbert (1827-1913 à Saint-André), propriétaire cultivateur, marié le 17 novembre 1850 avec Charlotte Calmettes (1826-1889), fille de Jean-Bernard et de Marie-Anne Bès, de Cassagnes (Najac). D’où :

-    Marie-Justine Guibbert (1852-1903), mariée avec Marcellin Edouard, de Fournols (Lescure). Descendance à Albi, à Vieux (81) et dans l’Hérault.

-    Marie-Elisa Guibbert (1854-1899), mariée avec Jean-Pierre Doumayrou. Descendance à Montirat (81).

-    Jean-Baptiste Guibbert (1856-1922), marié avec Marie-Virginie Bouscayrol, du Suquet (La Bastide-L’Evêque). Descendance à La Parrouquial (81).

-    Marie-Honorine Guibbert (1857-1883), mariée avec Pierre Labaute. Descendance à Albi, Saint-Juéry, La Bastide-de-Lévis et Gaillac en Albigeois, à Bédarieux (34), Grenoble, Tananarive.

-    Marie-Charlotte (Caroline) Guibbert (1860-1898), mariée avec Auguste Villeneuve. Descendance à Saint-Juéry (81).

-    Joseph-Auguste Guibbert (1863-1908), marié avec Marie-Eugénie Bousquières. Descendance à Varen (82).

-    Noël-Joseph-Cyprien Guibbert (1865-1889), célibataire.

-    Julien-Baptiste Guibbert (1868-1895), marié avec Marie-Eugénie Mader, de la Bouye (Saint-André), fille de Pierre-Jean et de Marie-Rose Trézières. Descendance à Saint-Juéry (81).

-    Calixte-Sylvain Guibbert (1872-1941), marié avec Hortense-Marie Hérail. Descendance à Toulouse, Gaillac, Albi, Fontainebleau, Neuilly et Strasbourg.

h-      Appolonie-Charlotte Guibbert (1831-1915), religieuse dominicaine de Bor.

i-  Marie-Charlotte-Dorothée Guibbert (1835- ).

Du second lit :

e- Cyr-Auguste Bousquet (1840-  ), marié en 1877 avec Marie-Anatalie Teulat, sa cousine germaine, fille de Jean-Baptiste et de Madeleine Schmalz. Descendance indiquée ci-dessus II-1.e

4- Louis Teulat (1811-1832), qui teste le 14 février 1832 en faveur de sa mère et décède le 21 février chez Jean Viguier, cabaretier de Lunac. Après son décès, le domaine est partagé entre son frère habitant dans le Bas-Rhin et ses deux soeurs. Le château sera vendu à la fin du siècle, en partie détruit lors d’un incendie, les nouveaux propriétaires se serviront de ses pierres pour la construction d’une nouvelle maison en 1921.

Non relié Edouard Teulat ( -après 1873), clerc de notaire habitant Autayrac.

Famille de Morlhon – Loupias, de La Bertrandie (La Fouillade)            

                         Branche de Morlhon-Loupias

V.2- Jeanne de Morlhon (vers 1732-1802), mariée le 5 février 1755 à Tizac avec Simon Loupias, bourgeois de La Bertrandie (Arcanhac), fils d'Antoine et de Marie Barrès, parent au quatrième degré par les Perthuis.

La famille Loupias habite depuis le XVIe siècle le village de La Bertrandie, située actuellement dans la commune de La Fouillade, non loin du château d’Autayrac - demeure des de Morlhon - et du lieu-dit Loupias dont la famille est sûrement originaire[79]. Ainsi s’y succède de père en fils

Dordé Loupias, cité en 1540, venu peut-être comme gendre chez Coronna, cité en 1488 dans le rôle du Commun de paix[80].

Raymond Loupias (cité en 1540).

Antoine Loupias (décédé avant 1634), marié avec Anne Delpuech[81].

Raymond Loupias, marié avec Catherine Segons, de La Brousse (Saint-Salvadou), veuve et héritière en 1645 de son mari[82].

Antoine Loupias, agrimanseur, époux de Jeanne del Salès, veuve d’Antoine Gaubert (mariés en 1657), fille naturelle de Simon del Salès, seigneur de Bar, d’où le prénom Simon qui se perpétuera dans la famille jusqu’au XIXe siècle[83].

Simon Loupias, fils aîné qui épouse en premières noces le 22 février 1689 à Villefranche Jeanne Palis[84], fille de Jean, praticien de La Roque (Compolibat) et de Jeanne Perthuis et en secondes noces Françoise Sérignol, fille d’Antoine, notaire de Saint-Salvadou et de Jeanne Dubois.

Antoine Loupias, fils du premier lit, se marie le 12 février 1720 avec Marie Barrès, veuve Malfette, fille de Jean, bourgeois de Laudinie (La Fouillade) et de noble Marie d’Assier dont il aura au moins sept enfants[85]. Cette famille Loupias, qui possède un certain statut social, a donc l’habitude de contracter des alliances avec la noblesse ou la bourgeoisie. Il en sera ainsi pour le fils aîné du couple Loupias – Barrès Simon, qui suit.

I- Simon Loupias (1724-1802), fils d’Antoine et de Marie Barrès se marie le 5 février 1755 avec Jeanne de Morlhon (vers 1733-1799), fille de Joseph et de Louise de Vialars. Les mariés obtiennent une dispense car ils sont parents au quatrième degré de consanguinité (la bisaïeule de Simon, Jeanne Perthuis est la tante de Marie-Anne Perthuis, grand-mère de Jeanne de Morlhon). Dans le contrat de mariage passé le 15 janvier 1755 chez Me Loupias, notaire de Lunac le marié est pourvu de la moitié des biens de son père et de rentes (17 livres, 8 livres…), sa mère lui donne 300 livres. Jeanne de Morlhon recevra dans un an 100 livres de son oncle, Pierre de Morlhon. Son père l’émancipe, elle pourra ainsi se constituer tous et chacun des biens présents et avenir qui peuvent lui appartenir tant paternels que maternels[86].  Le 29 décembre 1755, Jeanne de Morlhon, « en bonne santé », fait son testament en faveur de son mari, lègue au posthume dont elle se trouve enceinte la légitime, donne une rente viagère à sa tante Marie de Morlhon (trois quartons de seigle, trois setiers de vin pur, trois quarts d’huile de noix et signe)[87].

Jeanne de Morlhon est très proche de sa famille, le 21 mars 1757. Sa tante Marie de Morlhon (décédée le 30 avril 1766), sans postérité, « séparée de corps et de biens d’avec son mari », teste en sa faveur et lui fait donation de l’hérédité qu’elle a recueillie de sa sœur Isabeau[88]. Dans son second testament du 9 octobre 1761, elle habite chez sa nièce à La Bertrandie et lui lègue tous ses biens[89]. Son père Joseph de Morlhon vient habiter également à La Bertrandie, le 10 avril 1764, alors qu’il réside en ce lieu, il se plaint au juge de paix de Lunac que son gendre, Alexis Teulat ne lui a payé entièrement sa pension alimentaire pour l’année 1763, il lui doit deux paires de souliers, deux chemises, douze livres de lard salé, deux setiers de seigle, un habit complet, une paire de bas et 21 livres en argent. Ledit Teulat sera condamné à lui payer d’ici trois jours son dû[90].

Le couple a huit enfants dont six seront à l’origine d’une nombreuse descendance dans la région :

1- Louis-Antoine Loupias (1756-1823), qui suit.

2-      Antoine-Louis Loupias (1758-  ), propriétaire cultivateur à La Coste-de-Couronne (Arcanhac),  marié le 29 janvier 1797 avec Marie-Rose Boyer (1778-1836), d’Arcanhac, qui suivra Famille Loupias, de La Coste-de-Couronne.

3-      Marie-Jeanne Loupias (1760-1830), mariée le 27 février 1786 avec Pierre Segons, laboureur du Puech (Saint-Salvadou). Famille Segons, traitée ultérieurement.

4-      Antoinette dite « Toinette » Loupias (1763-1834), mariée le 9 novembre 1789 avec Jean-Baptiste Tranier (1756-1836), de Trézières (Arcanhac). Famille Tranier, traitée ultérieurement.

5-      Simon Loupias (1766-1767) ), décédé à un an.

6-      Marie-Hélène Loupias (1769-1836), mariée le 18 octobre 1792 avec Jérôme Fricou (1748-1817), bourgeois de La Soulairie (Bor-et-Bar). Famille Fricou, qui suivra.

7-      Jean-Baptiste Loupias (1770-1772), décédé à 2 ans.

8-                        Marie-Rose Loupias (1774-1839), mariée le 10 messidor an IV (24 juillet 1797) avec Bernard Lacoste (1772-1845), cultivateur à Trézières (Arcanhac). Famille Lacoste, traitée ultérieurement.

II- Louis-Antoine Loupias (1756-1823), géomètre et propriétaire cultivateur à La Bertrandie, maire d’Arcanhac en 1792, demeurant dans la maison de sa première épouse où il décède le 24 septembre 1823.

Quelques mois plus tard, le 14 janvier1824, l’inventaire de tous ses biens est établi par Me Déléris, notaire de La Fouillade, à la réquisition de son fils aîné Louis et de Jeanne Massot, sa seconde épouse agissant dans l’intérêt de ses six enfants mineurs.

Outre le détail de tous les meubles, objets, outils, cheptel, denrées contenues dans les divers bâtiments du domaine, on trouve dans une armoire une vingtaine de livres ayant trait à son métier[91], des paquets de papiers concernant des affaires familiales (émancipation, accord avec ses frères et sœurs, procès avec son père, vente, contrat de mariage, etc).

La nouvelle maison rustique en trois volumes est vendue par sa veuve, Jeanne Massot à Me Carcenac, vicaire du lieu[92] pour l’acquit de vingt messes, moitié grandes et moitié basses. Louis-Antoine avait donc épousé :

·   en premières noces le 21 octobre 1795 Marie-Hélène Granier (1768-1800), fille de feu Jean et de Marie-Anne Cazals, de La Bertandie (Arcanhac). Dans le contrat de mariage passé le 14 vendémiaire an IV (1795)[93], la fiancée reçoit en dot l’hérédité de son père tandis que le futur la somme de 3 500 livres (1 500 livres de plus que ses frères comme étant l’aîné). D’où

1- Jean-Louis Loupias (1796-1866), célibataire, sans descendance.

2- Marie-Hélène Loupias (1798-1803), décédée à 5 ans.

·   en secondes noces le 4 mai 1808 Jeanne Massot (1781-1853), fille de Jean et de Marie Doumayrou, de Nartoux (Monestiès - 81), de 25 ans sa cadette, habitant Arcanhac depuis six ans. D’où :

3- Marie-Joseph Loupias (1808-après 1824). Descendance inconnue.

4- Simon-Norbert Loupias (1810-1878), qui suit.

5- Marie-Eulalie Loupias (1812-  ), mariée le 9 mai 1841 avec Jean-Baptiste Gaillard (1798-  ), fils de Louis et de Jeanne Blanquet, de Montirat (81). Peut-être descendance dans le Tarn.

6- Antoine Loupias (1813- ), cultivateur à Lunac, marié le 8 février 1847 avec Marie-Charlotte Combette, fille de Jean-Louis, cultivateur du Puech (Vabre) et de Marie-Jeanne Lagarrigue. La famille n’est plus recensée à Lunac en 1876. D’où :

a- Louis-Antoine Loupias (1852-  ). Descendance inconnue.

b- Marcellin Loupias (1855-  ). Descendance inconnue.

c- Jean-Célestin Loupias (1860-  ). Descendance inconnue.

7- Marie-Rose Loupias (1816-1851), mariée le 14 juin 1838 avec Jean-Antoine Loupias, cultivateur de La Coste-de-Couronne (La Fouillade), fils de Jean-François et Marie-Jeanne Granier. D’où nés à La Coste-de-Couronne :

a- Jean-Antoine Loupias (1845-1919), cultivateur à La Coste-de-Couronne (La Fouillade), marié le 24 juin 1871 avec Marie-Anne Carrié, fille de Louis et Marianne Loupias, du Mouly (Lescure). D’où :

- Jean-Pierre, dit « Louis » Loupias (1872-1953), marié le 6 août 1895 avec Marie-Germaine Julie, fille naturelle. D’où :

      . Ernest Loupias, décédé à Castanet.

      . André Loupias, marié avec Marie-Louise Durand. Descendance à Caussade.

      . Aubin Loupias, marié avec Hélène Thomas. Descendance à la Fouillade, Villefranche.

      . Michel Loupias, marié avec Yvonne Couronne.

- Marie Loupias (1874- ). Descendance inconnue.

- Jean-Casimir Loupias (1876- ), cultivateur en 1891 à La Coste-de-Couronne. Descendance inconnue.

- Marie-Mélanie Loupias (1873-1958), mariée avec Jean Lacassagne, du Montat (46).

- Jean-Marcellin Loupias (1881-  ). Descendance inconnue.

b- Marie-Rose Loupias (1848-  ). Descendance inconnue.

c- Marie-Julie-Mélanie Loupias (1850-  ). Descendance inconnue.

8- Marie-Charlotte Loupias (1819-1887), célibataire.

III- Simon-Norbert dit « Charles » Loupias (1810-1878), propriétaire à La Bertrandie, marié le 18 juin 1840 avec Marie-Véronie dite « Mélanie » Marre (1821-1880 à Belpech), fille de Jean-Pierre, cultivateur au Puech (Tizac) et de Marie-Jeanne Viguier. D’où :

1- Joseph-Philippe Loupias (1845-après 1906), propriétaire à La Bertrandie, marié le 2 novembre 1874 avec Rose-Victoire dite « Marie » Couronne (vers 1855-1895), fille de Jean-Pierre et Marie Miquel, du Mazet (Saint-André). D’où :

a- Pierre-Joseph dit « Philippe » Loupias (1876-1961 à Montauban), propriétaire à La Bertrandie, puis, après avoir vendu ses biens, installé en Tarn-et-Garonne. Marié avec Marie Chambert, d’Agens (Saint-Salvadou), dont il aura :

- Arthur-Aimé Loupias, marié avec Joséphine Bonhomme, pas de descendance.

- Maria Loupias, pas de descendance.

- Paula Loupias. Descendance en Tarn-et-Garonne.

- Gilbert Loupias. Descendance à Nègrepelisse.

- Rachel Loupias. Descendance en Tarn-et-Garonne.

b- Marie-Albine Loupias (1877-  ), sans descendance.

c- Paulin Loupias (1879-1961), décédé aux Pavillons-sous-Bois, marié avec Joséphine Keffler, du Haut-Rhin. D’où :

- Lucien Loupias, époux de Julienne Izarn. D’où deux fils. Descendance à Cordes, Paris, Béziers, Arles.

d- Constant-Pierre Loupias (1880-1953 à Villefranche), époux de Valérie Bousquié. D’où :

- Marthe Loupias, épouse Cazelle. Descendance à Villefranche.

e- Emile-Victor Loupias (1882-1952), époux Ricard. Pas de descendance.

f- Joseph-Irénée Loupias (1884-  ), décédé jeune sans descendance.

g- Grégoire-Théophile dit « Lucien » Loupias (1886-1969 à Villefranche), célibataire.

h- Joseph-Denis dit « Albert » Loupias (1890-  ), célibataire, pas de descendance.

i- Bertille-Pélagie dite « Albertine » Loupias (1890-1973), épouse de Théodore Chambert, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où :

- Gabriel Chambert. Descendance à Toulouse.

- Robert Chambert. Descendance à Saint-Salvadou, Auch, Toulouse, Paris.

- Gaston Chambert. Descendance à Cahors.

- Laurette Chambert. Descendance à Paris, Poitiers.

j- Marie-Gabrielle Loupias (1892-1968 aux Pavillons sous Bois), matiée avec Joachim Blanquet. Descendance à Montpellier et en Normandie.

k- Marie dite « Claudia » Loupias (1895-  ), décédée jeune à Saint-Salvadou.

2- Joseph-Marcellin Loupias (1851-  ). Descendance inconnue.

3- Marie dite « Marcelline » Loupias (1854-1895), mariée le 20 juin 1880 avec Jean-François Tranier, fils de François et de Marie Bouby, de Béteille (Saint-André). D’où :

a- Thérèse Tranier (1883-  ), épouse d’André Izarn, de La Capelle-Ségalar (81). D’où :

- André Izarn, époux d’Andréa Trézières. Descendance à La Capelle et Toulouse.

- Julienne Izarn, épouse Lucien Loupias (voir ci-dessus 2.c).

b- Marie Tranier (1881-  ), épouse d’Henri Blanc. D’où nés à Belpech :

- Ernestine Blanc, épouse d’Albert-Auguste Loupias, des Cazelles (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Villefranche, Toulouse.

- Camille Blanc, époux d’Ida Hébrard. Descendance à Saint-André, Caylus.

- Camilla Blanc, épouse de Gabriel-Joseph Couderc, de Lagarrigue (La Fouillade). Descendance à Paris.

- Ernest Blanc. Descendance à Aurillac, Montpellier, Lyon.

- Paul Blanc, sans descendance.

- Lucien Blanc. Descendance Falipou à Belpech.

c- Jean-Baptiste-Elie Tranier (1884-  ), cultivateur à Belpech (Saint-André), n’habite plus le village en 1921, marié en 1909 avec Marie-Lorancie Boissière, fille de Louis et Marie-Anathalie Boyer, de Féneyrols (la Fouillade), sans descendance.

d- Léon Tranier (1886-1816), époux Lafon, mort le 30 juin 1916 sur le front, sans descendance.

e- Irénée Tranier (1894-1915), mort à la guerre, sans descendance.

4- Marie-Charlotte Loupias (1856-après 1901), célibataire.

5- Marie-Césarine Loupias (1862-1923), mariée le 21 avril 1883 avec Célestin Delzescaut, fils de Cyprien et d’Anne Segons, de Laurière (Sanvensa). D’où nés à La Bertrandie :

a- Elie Delzescaut (1887-  ). Descendance inconnue.

b- Albanie dite « Albine » Delzescaut (1889-1970 à Sanvensa), qui épouse en 1922 Léon-Louis Rouziès, de Laurière (Sanvensa). Descendance à Villefranche.

c- Jérémie-Célestin Delzescaut (1891-1957 à Toulouse), cordonnier au Fraysse (Sanvensa), marié avec Albine Guibbert. Descendance à Toulouse.

                   Branche de La Coste-de-Couronne

II- Antoine Loupias (1758-1823), propriétaire cultivateur à La Coste-de-Couronne, marié le 29 janvier 1797 avec Marie-Rose Boyer (1778-1836), fille de feu Antoine et de Marie-Anne Segons, de La Coste-de-Couronne (Arcanhac). Dans le contrat de mariage passé le 5 frimaire an V, Marie-Rose recueille l’hérédité de son père et Antoine 2 000 livres[94]. D’où :

1-      Louis-Antoine Loupias (1804-1877), qui suit.

2-      Jean-Bernard Loupias (1807-1867), cultivateur au Cayrou d’Arcanhac, marié le 25 février 1838 avec Marie-Anne Rigal, fille de François et de Marie Rigal, du Cayrou. D’où :

a- Jean-Louis Loupias (1840-1916), cultivateur au Cayrou, marié le 4 février 1866 avec Marie-Euphrasine Moly, fille de Jean-Joseph et Marie Debar, de Loupias (Lunac). D’où :

-  Marie-Adeline Loupias (1867-1950), religieuse à Bor-et-Bar.

- Angéline-Marie-Euphrasie Loupias (1869- ), mariée le 21 février 1900 avec Casimir Ginestet, cultivateur à la Servilie (Lescure-Jaoul), fils de Joseph et Léontine Ginestet. D’où :

      . Emilien Ginestet, époux de Léoncie Guibbert. D’où trois filles. Descendance à Lescure, Villefranche, Carmaux (81), dans le Puy-de-Dôme.

- Jean-Joseph-Paulin Loupias (1872-1910), père blanc, missionnaire au Rwanda où il décéda en 1910, frappé mortellement par deux coups de lance donnés par un chef du voisinage.

- Marie-Célestine Loupias (1875-1957), mariée le 5 septembre 1904 avec Jean-Baptiste-Frédéric Tranier (1866-1919), cultivateur à Louradou (la Fouillade), fils de Jean-Joseph et Marie-Rose Saint-Amans. D’où nés à Louradou :

. Rose-Marie-Lucie Tranier (1906-1973), mariée le 23 novembre 1925 avec Emile-Charles Déléris, cultivateur à Lescure-Jaoul. Descendance à Lescure, Najac, Villefranche.

. Paul Tranier (1910-2003), cultivateur à Kaymard (La Fouillade), marié avec Georgette Genre (1924-1996). Descendance à la Fouillade, Brive, Tour-du-Pin (38) et Picardie.

- Théophile-Eusèbe-François Loupias (1876-1961), curé en Dordogne, décédé chez son neveu à Kaymard en 1961.

- Jean-Baptiste-Justin Loupias (1890-1973), cultivateur au Cayrou, marié avec Louise Rouquié, de Vabre. D’où :

    . Agnès Loupias, épouse Rouquette. Descendance à Lescure, Montirat (81).

         . Hubert Loupias. Descendance à Arcanhac.

     . Jean-Marie Loupias. Descendance en Bretagne, Touraine et Paris.

b-      Marie-Julie Loupias (1842-  ), mariée le 6 novembre 1867 avec Philippe Moly, frère de Marie-Euphrasine (voir ci-dessus 3.a). D’où nés à Loupias :

- Joseph-Philippe-Elie Moly (1868- ), marié avec Elida Bories, fille de Léon et Marie Guilhem, de Monteils. Sans descendance.

- Jean-Baptiste-Frédéric Moly (1870-1939 à Lunac), abbé et professeur à Bordeaux.

- Célestin-Joseph-Philippe Moly (1872-1949). Descendance à Toulouse, Paris…

- Marie-Thérésine-Clémentine Moly (1874-1898), religieuse à Monteils.

- Joseph-Léontin-Félicien-Jules Moly (1876-1944), cultivateur à Loupias, marié le 26 septembre 1905 avec Célina Lagarrigue, de Vezac (Saint-Salvadou). Descendance à Lunac, Saint-Salvadou, Najac, Villefranche, Vailhourles.

- Léopold-Justin-Jules Moly (1878-1916), mort pour la France, marié le 24 avril 1911 avec Rosa-Maria-Madeleine Olié, fille de Germain et Marie Blanc, de Vabre-Tizac. Sans descendance.

- Marie-Marthe-Zénobie Moly (1880-1958), religieuse à Monteils.

- Honoré-Fortuné-Salvy Moly (1882- ). Sans descendance.

III- Louis-Antoine Loupias (1804-1877), propriétaire à la Coste-de-Couronne (Arcanhac), marié le 17 février 1830 avec Marie-Rosalie Trézières (1801-1845), fille de Pierre et Marie Saurel, du Cavagnal (Arcanhac). D’où :

1-      Marie-Rose Loupias (1830-1874), mariée le 22 février 1873 avec Joseph Taché (1834-1890), de Najac, fils de Rose Taché, veuf de Marie Cayre. D’où née à La Coste-de-Couronne :

a- Marie-Rose Taché (1874-1919), mariée le 13 juillet 1890 avec Abel Fricou (1858-1916), (descendant de Louis XI), cultivateur de La Bertrandie, fils d’Alexandre-Martin et de Rosalie Galy (voir famille Fricou III.8).

2-      Marie-Louise Loupias (1833-1868), célibataire.

3-      Antoine Loupias (1835-1846), décédé à 11 ans.

4-      Jean-Pierre Loupias (1837-1906), sabotier à La Fouillade, marié le 26 octobre 1868 avec Frégine-Euphrasie Authesserre (1835-  ), fille de Jean-Pierre et Marie-Jeanne Rossignol, de Lagarrigue (La Fouillade). D’où :

a- Philippe dit « Denis » Loupias (1871-1956). Descendance inconnue.

b-      Marie Loupias (1875-1943), mariée le 27 juin 1900 avec Henri Fort (1875-1940), sabotier à La Fouillade, fils de Philippe et Marie-Anne Bories, de Lunac. D’où :

- Gaston Fort (1901-1945), sabotier à la Fouillade, marié en 1929 avec Gabrielle Prat. Descendance à Villefranche, Toulouse…

- Gabriel Fort (1908-1968), sabotier à la Fouillade, marié en 1934 avec Maria Alaux. Descendance à Angoulême.

- Paul-Henri Fort (1917- ), marié à Armentières avec Bernadette Monoux. Descendance à Paris.

5-      Julie-Eugénie Loupias (1839-1883), mariée le 10 septembre 1879 avec Jean-Pierre-Charles Thomas, du Fournet (Bor-et-Bar), fils de Michel et de Marie-Anne Itié. D’où :

a-       Charles-Jean-Pierre Thomas (1883-1952), marié le 17 septembre 1919 avec Marie-Emilie-Valérie Segonds (1896-  ), fille de Paulin et d’Emilie Cavalié, de Vabre-Tizac. D’où :

- Odile Thomas, épouse Enjalbert. Descendance à Lunac, La Fouillade, Toulouse.

6-      Louis-Casimir Loupias (1841-1916), cultivateur à La Coste-de-Couronne, marié le 8 février 1880 avec Rosalie Segons (1841-1915), fille de Jean et Rose Molinier, de Saulières (Bor-et-Bar). D’où :

a-       Casimir Loupias (1881-1947), cultivateur à La Coste-de-Couronne, marié le 29 mai 1906 avec Marie-Elise dite « Victorine » Pezet (1882-  ), fille de Jean-André et Marie-Elisa Alaux, de Trébessac (La Fouillade). D’où :

- Marie-Louise-Euphrasie Loupias (1907-1973 à Sainte-Radegonde), religieuse.

- Marie-Berthe-Hélène Loupias (1910-1984 à Toulouse), mariée en 1931 avec Irénée-François Bès, fils d’Antoine et de Nathalie Falipou, de Villefranche. Descendance à Toulouse.

- Marie-Noëlie Loupias (1912-1964), mariée en 1934 avec Albert-Gabriel Alègre, des Vacans (la Fouillade), fils de Pierre et Nathalie Cabrit. Descendance à Najac, Réquista, Toulouse, Pamiers, Auch.

- Sylvain-Siméon dit « Rouzéto » Loupias (1915-1984 à Villefranche), marié avec Philiberte Fabre, fille de Philippe et Elisa Pezet, de Trébessac (La Fouillade). D’où : Anne-Marie Loupias, épouse Miquel. Descendance à Trébessac, Villefranche.

- Imelda-Victoria Loupias (1922-1997), mariée avec Marius Fricou, fils d’Alexandre et Anaïs Carrié, du Cayrou (Arcanhac). Descendance (voir Famille Fricou III.10.g).

7-            Louis-Philippe Loupias (1843-après 1926), cultivateur à La Coste-de-Couronne, marié le 10 juin 1867 avec Marie-Anne Loupias (1844-1904), fille de Jean-Joseph, de La Peyrière (La Fouillade) et de Rosalie Taché. D’où :

a-       Casimir Loupias (1870-  ). Descendance inconnue.

b-      Marie-Eugénie Loupias (1872- ), mariée en juin 1905 avec François-Edouard Daran, de Toulouse. Descendance inconnue.

c-       Auguste-Jérémie Loupias (1875-1958), époux Fabre. Descendance dans le Tarn.

d-      Julien-Elie Loupias (1879-1959), cultivateur à La Coste-de-Couronne, marié le 9 mai 1906 avec Darie Fabre (1885-1959), de La Fouillade. D’où :

1.                                                                   André Loupias (1915-2005), marié avec Emilienne Prat, fille de Justin et d’Hélène Blanquet, de Cassemauron (la Fouillade). Descendance dans le Tarn, Lot et Paris.

e- Germaine-Rosalie Loupias (1883-1958). Descendance peut-être à Blagnac ?

f- Marie-Rosalie-Albine Loupias (1887-1968 à Saint-Rémy - Haute-Saône). Descendance inconnue.

8- Louis-Antoine Loupias (1848-  ). Descendance inconnue.                         

                      Branche Fricou

I- Marie-Hélène Loupias (1769-1836), mariée le 18 octobre 1792 avec le sieur Jérôme Fricou[95] (1748-1817), bourgeois, marchand, chargé de relever la dîme du Chapitre de Rodez, fils d’Alexandre, marchand, habitant du moulin de La Soulairie (Bor-et-Bar) et de Catherine Debar[96]. C’est elle qui hérite du domaine de La Bertandie.            Dans le contrat de mariage, passé le 30 mai 1792 chez Me Loupias, notaire de Lunac, «… demoiselle Loupias, fille du sieur Loupias, ménager de son bien et de demoiselle de Morlhon reçoit la moitié de leurs biens à condition de payer l’entière légitimité à ses frères et sœurs, Louis-Antoine, Antoine et Marie-Rose soit la somme de 2 000 livres et à Antoinette, épouse Tranire, 400 livres ; elle devra donner en plus à leur fils aîné 1 500 livres, payées par le sieur Fricou (1 200 livres en espèces, 300 livres en assignats), les biens sont estimés à 8 500 livres. Le sieur Jérôme Fricou se constitue ses biens d’une valeur de 4 500 livres… ». Marie-Hélène est la seule fille à savoir signer[97].

 Le fils Fricou, instruit et possédant des biens est un bon parti pour succéder à la tête du domaine qu’il donne à exploiter : le 20 septembre 1813, un bail à mi-fruit est passé avec Jean Déléris, Jérôme Fricou se réserve trois vignes situées à Coujac, Loubezac et Les Martres[98], le cheval, la mule ou le mulet, douze dindons et une paire de chapons seront entretenus par ledit Déléris[99]. D’où :

II- Jérôme-Casimir-Alexandre Fricou (vers 1794-1860), propriétaire de la Bertrandie (Arcanhac), marié le 13 août 1819 avec demoiselle Marie-Anne Marty (1790-1869), fille de Jean et Marguerite Saurel, de Louradou (Arcanhac). Dans le contrat passé le 9 juin 1819, la fiancée reçoit en dot le tiers de la moitié des biens disponibles selon la loi, biens qui lui reviendront après le décès de son unique frère Jean-Antoine Marty, prêtre. D’où :

1-      Charles-Alexandre-Jean-Baptiste-Martin Fricou, qui suit.

2-      Pierre-Casimir Fricou, marié avec Julie Fricou, qui suivra Branche du Prat-Grand III.2.

II- Charles-Alexandre Fricou (1824-1896), propriétaire foncier à la Bertrandie, maire-adjoint de la commune. C’est un bâtisseur, il fait surélever l’imposante maison de La Bertrandie, bâtir les ponts des moulins de Martre et du Paraire, etc. A la tête de biens immobiliers d’une valeur de 67 000 francs, il connaîtra quelques difficultés de trésorerie. Après son décès, son fils aîné hérite du domaine principal, tandis que ses autres trois fils se partagent les autres biens. Alexandre a eu au moins quatorze enfants, dont la moitié lui survivront. Il se marie :

             Fauteuil en granit trônant dans la cour de La Bertandie Ph. G. R.-Saurel

·    En premières noces le 23 novembre 1847 avec Victoire-Marie-Rosalie Galy (1832-1868), fille de Gabriel, régisseur de La Penchènerie, ancien domaine des Chartreux de Villefranche et de Marie-Rose Delpech.

Marie-Rose Galy à Villefranche) est dotée de 9 000 francs dont 3 000 francs comptant, les 6 000 francs restants seront versés en deux termes égaux en 1850 et 1853. En 1867, Marie-Rose Galy demande une séparation de biens et de corps d’avec son mari et se retire à Villefranche où elle décède d’une maladie cardiaque le 16 mai 1868, laissant la somme de 14 000 francs à ses enfants.

Du couple Fricou - Galy naîtront :

1-      Marie-Casimir-Félix-Charles[100] Fricou (1851-1922), qui suit.

2-      Marie-Clotilde-Joséphine Fricou (1853- ), mariée le 21 octobre 1877 avec Joseph-Auguste-Arthémon Bouscayrol, fils de Joseph et Marie Devals, de Vabre. Le couple quitte la région, il demeure à Pantin en 1901. D’où :

a-      Joseph-Auguste-Zéphirin Bouscayrol (1878 à Morlhon- ).

b-      Marie-Louise-Amélie Bouscayrol (1885 à Vabre- ), mariée en 1910 à Joinville-Le-Pont avec Léon Lebas et en 1920 avec Justin Mas. Descendance peut-être à Paris.

3-   Jean-Antoine-Martin Fricou (1854-1912), propriétaire à La Bertrandie puis à La Coste-de-Couronne (La Fouillade), marié le 11 avril 1893 avec Marie-Germaine Falipou, fille de François et de Marie-Anne Cayla, de La Griffoulière (Morlhon). D’où :

a-      Félix-Pierre-Albert-Ernest Fricou (1897-1970), cultivateur à La Bertrandie, marié avec Marie Gasquet, décédée à Tournefeuille (31). D’où :

- René Fricou, époux Thémines, de La Coste-de-Tizac (Vabre-Tizac). Descendance à La Coste et Rodez.

- Reine Fricou. Descendance à Toulouse, Paris.

- Marius Fricou, célibataire, décédé à 36 ans, sans descendance.

b-      Michel-Frédéric-Alfred Fricou (1898-1980 à La Bastide-L’Evêque), marié avec Berthe Laubiès, de La Bastide-L’Evêque. D’où :

  - Michel Fricou. Descendance à La Bastide-L’Evêque et Sanvensa.

2.                          Marie-Louise Fricou. Descendance à Toulouse.

3.                          Eliette Fricou, épouse Barria. Descendance à Lescure-Jaoul.

c-      Marie-Lucie-Octavie-Hortense Fricou (1899-1967 à La Rouquette), mariée avec Frédéric Miquel, cultivateur de La Rouquette. Descendance La Fouillade, Albi, Toulouse.

4.                          Léa Miquel, épouse Segons. Descendance à La Fouillade, Toulouse.

5.                          Roger Miquel, époux Pernou. Descendance à Albi, Toulouse.

d-      Judith-Clotilde-Maria Fricou (1907-1994), épouse Delcausse, cultivateur aux Treilles (Bor-et-Bar). D’où :

- Agnès Delcausse, épouse Boutonnet. Descendance à Bor-et-Bar, La Fouillade, Lyon, Paris.

- Alix Delcausse, épouse Alaux. Descendance à La Fouillade, Bordeaux.

4-      Jérôme-Etienne Fricou (1855-  ). Il étudie au petit séminaire de Graves et de Saint-Pierre. En 1901, il habite à Rio-de-Janeiro (Brésil).

5-      Joseph-Marie-Raphaël-Zéphirin dit « Abel » Fricou (1858-1916), meunier au Paraire, puis cultivateur à la Bertrandie, marié le 16 avril 1890 avec Marie-Rose Taché (descendante de Louis XI, voir Loupias, de La Coste-de-Couronne III.1.a), fille de feu Joseph et de Marie-Rose Loupias, de La Coste de Couronne. D’où :

a-    Marie-Madeleine Fricou (1892-1977), marié 2 septembre 1919 avec Joseph-Théophile Phalipou, cultivateur de Cassemauron (La Fouillade), fils de Joseph et Marie Pauzié, de Vabre-Tizac. D’où :

- Lydie Falipou, épouse Pradines. Descendance à Toulouse, Paris et en Normandie.

- Irénée Falipou, époux Berthier. Descendance à Toulouse.

b- Joseph-Marie-Abel-Jean-Alexandre Fricou (1894-1977), cultivateur à Naussac, marié en 1922 avec Marie-Anastasie Bras. D’où :

- Lucienne Fricou, sans descendance.

- Juliette Fricou, sans descendance.

c- Rosalie-Marie-Louise Fricou (1895-1972), mariée à Najac en 1924 avec Antonin-Louis Raygade. D’où :

- André Raygade, descendance peut-être en Tarn-et-Garonne.

- Raymonde Raygade.

- Cécile Raygade.

d- Marie-Esther-Arthémine Fricou (1902-1992 à Toulouse), sans descendance.

e- Séverin-Paul-Henri-Marius Fricou (1913-  ). Descendance inconnue.

6-      Marie-Judith Fricou (1860-après 1906), mariée avec Louis Brouzes, cultivateur au Cayrou (La Fouillade). D’où :

a-      Maria Brouzes (1898-1957), marié avec Justin Tranier, du Puech (Vabre-Tizac). D’où :

6.      Emma Tranier, épouse Maruéjouls, du Puech (Vabre). Descendance à Bordeaux.

7.      Angèle Tranier, épouse Bousquié, de Morlhon. Descendance à Morlhon, Villefranche, Rodez, Caussade, Lacaune, Toulon, Paris.

8.      Agnès Tranier, couturière, épouse Fabien, de Lescure. Descendance à Lescure, Bor-et-Bar, Saint-Affrique, Cordes.

En secondes noces le 12 août 1868 avec Marie Delpech (1826-1903), veuve de Joseph-Casimir Tranier ( -1858), du Paraire (Lunac), fille de Jean-Joseph et de Thérèse Sirven, de Trébessac (La Fouillade). En 1881, elle demande une séparation de biens pour préserver l’héritage des enfants de son premier mari. D’où :

7-      Gabriel Fricou, cultivateur en 1891 à La Bertrandie. Descendance inconnue.

8-      Zénobie Fricou, citée en 1881 à La Bertrandie, épouse en 1882 Julien Rigal (descendant de Louis XI, voir prochain Bulletin), habitant Uzerche (Corrèze), fils de François et de Julie Segons, de Lunac. Zénobie décède en 1898 à La Bertrandie.

9-       Sem-Josué-Marie-Joseph-Antonin Fricou (1869-  ), marié le 13 avril 1896 avec Marie-Rosalie Delpérié, de Pébrac (La Fouillade), fille de Louis et Julie Coursière. Descendance inconnue.

10-   Alexandre-Marie-Joseph Fricou (1871- ), cultivateur à La Bertrandie, puis au Cayrou d’Arcanhac, marié le 27 novembre 1896 avec Anaïs Carrié, fille de Charles et Marie Vaur, de Carbouls (Lescure-Jaoul). D’où :

a-      Marie-Anaïs dite « Marthe » Fricou (1897-1983 à Villefranche), religieuse.

b-      Henri-Mathurin-Maurice Fricou (1904-1981 à Ploufargan), marié avec Marguerite Eveillard. Descendance en Bretagne.

c-      Alexandre-Antonin-Fernand Fricou (1906-1984 à Lunac), cultivateur au Cayrou, marié avec Léa Tranier, du Paraire (Lunac). D’où :

9.Paul Fricou, sans descendance.

10.                                                              Odette Fricou, épouse Maruéjouls. Descendance à Rieupeyroux, Montpellier.

11.                                                              Jean Fricou, sans descendance.

d-      Joseph-Germain-Gaston Fricou (1907-1979), célibataire au Cayrou.

e-      Michel-Paul-Jean Fricou (1910-1985 à Montauban), marié avec Paulette Malbes. Descendance à Caussade.

f-       Fernande-Marguerite-Marie Fricou (1913-1999 à Villefranche), religieuse.

g-      Marius-Marc-Gabriel Fricou (1916-1998 à Lunac), cultivateur à La Coste-de-Couronne, marié avec Imelda Loupias (1922-1997), descendante de Louis XI (voir famille Loupias III.6.a). Descendance à La Fouillade et Paris.

IV- Félix-Casimir-Charles Fricou (1851-1922), propriétaire à La Bertrandie, en 1886, il a deux servantes à son service, marié le 16 avril 1899 avec Clémentine Rustan (1882-1963)[101], de Causseviel (Parisot - 82), fille de Pierre et d'Elisa Iches, des Millets (Floirac). D’où :

1-      Marie-Mélanie-Rachel-Clémentine Fricou (1901-1994), mariée avec Achille Alaux, des Fargues (La Fouillade). D’où :

a-      Raymond Alaux, époux Rigal. Descendance à La Fouillade, Rodez, Montpellier, Toulouse, Paris, Montauban, Albi, Le Puy.

b-      Fernande Alaux, épouse Lafon. Descendance à Montauban.

2-      Laurens-Raymond Fricou (1903-  ), marié avec Jeanne Ginestet, de Tizac. D’où :

a-      Jean Fricou, époux Tranier. Descendance à Lunac, Villefranche, Rodez, Martiel, Paris.

b-      Robert Fricou. Descendance à Villefranche.

c-      Paulette Fricou, épouse Genre. Descendance à Villefranche, Toulouse, Montpellier, Tours, Paris, Londres.

d-      Georges Fricou. Descendance à Villefranche, Paris.

e-      Félix Fricou, sans descendance.

f-       Laurent Fricou, sans descendance.

3-      Agnès-Elisa-Marie Fricou (1913-1998), mariée avec Marius Joulie, du Bez (Naussac). D’où :

a-      Hubert Joulié. Descendance à Naussac, en Charente.

b-      Jacques Joulié, sans descendance.

Branche du Prat-Grand

III.2- Pierre, dit « Casimir » Fricou (1826-1899), propriétaire cultivateur, cultivateur à Louradou puis au Prat-Grand près d’Arcanhac où il fait construire une belle demeure, marié en 1859 avec Julie Fricou, fille de Jean-Baptiste et Marie-Christine Alet, de Laurélie (Bor-et-Bar), parents du 3ème au 4ème degré (le grand-père de Pierre étant l’oncle de l’aïeul de Julie). D’où :

1-      Pierre-Casimir dit « Achille Fricou « (1861- ). Descendance inconnue.

2- Jean-Baptiste-Elie Fricou (1864-1910), cultivateur à Prat-Grand, marié le 1er février 1891 avec Marie-Anne Albar, fille d’Antoine-Casimir et de Julie Segons, de Laucédat (La Fouillade). D’où :

c-      Noëlie Fricou (1892-1975), mariée avec Célestin Izard, cultivateur de La Tapie (La Fouillade). D’où :

- Gaston Izard, époux Marty. Descendance à La Fouillade, Bor-et-Bar, La Bastide-L’Evêque, Albi, La Bastide-Lévis (81), Pau, dans l’Aude, au Québec.

- Noël Izard, époux Dardenne, du Mas de Cabrit. Descendance à Paris, Côte d’Azur.

- Roger Izard, marié aux Cabanes (près de Cordes - 81). Descendance à Cabanes, La Bastide-de-Lévis, Auch.

- Jean Izard. Descendance à Toulouse, Annecy, Frontignan, Thionville.

- Marie Izard, épouse Bedel, de Bor-et-Bar. Descendance à Bor-et-Bar, La Fouillade, Rodez, Parisot (82), Toulouse, au Canada.

3- Marie-Urbanie dite « Albine » Fricou (1868- ), mariée le 23 avril 1897 avec Célestin Moly, marchand de tissus à Lunac, fils de Jean-Joseph et Marie Debar, de Loupias. D’où deux fils :

d-      Baptiste Moly, marchand de tissus à Lunac. D’où onze enfants. Descendance à   Lunac, Limoges, Toulouse, Marseille, Aix-en-Provence, Paris, en Bretagne, Hollande.

e-      Paul Moly, professeur en Tunisie, marié sans postérité.

4-      Zoé-Sixte-Diogène-Joseph-Félix-Chopper Fricou (1874-1931), cultivateur à Prat-Grand, décédé à Finhan (82), marié le 1er mai 1897 avec Marie-Angeline Tranier, fille d’Alexandre et de Léontine Saurel, d’Arcanhac.

Famille Segons, du Puech (Saint-Salvadou)

   Les familles Segons sont très nombreuses à Saint-Salvadou, issues sans doute du village de Segons où sont cités Guillaume Segons, faure et son frère Jean en 1416. Au XIXe siècle, l’orthographe de ce patronyme s’est parfois modifiée en Segond ou Segonds.

Une de ces familles Segons, du village de La Brousse[102], s’étant anoblie par mariage avec des filles issues de la noblesse, a pris le titre de seigneur de La Brousse au XVIe siècle.

La famille Segons, présentée ici, habite le village du Puech, sur une hauteur non loin du bourg de Saint-Salvadou depuis au moins le XVe siècle. Elle possède un beau domaine transmis de père en fils jusqu’à nos jours et s’allie avec des familles de paysans de la région. Certains de ses membres sont praticiens et régisseurs de domaines seigneuriaux, dont celui de Montramech à Tizac, appartenant aux seigneurs de Loupiac.

La généalogie des Segons, du Puech peut s’établir ainsi :

Antoine, né vers 1500.

Guillaume, marié vers 1560 avec Jeanne Fabre, et vers 1568 avec Catherine Boyer.

Michel, marié en 1610 avec Marguerite Marre, de Montramech.

Jean, marié en 1645 avec Marquise Gaudou, de Tizac.

Jean, marié en 1683 avec Anne Puech, de Marsaguettes (Marmon).

Pierre, marié en 1715 avec Marie Lacassagne, de Plaussergues (Saint-Salvadou).

Antoine, marié en 1746 avec Magdeleine Lagarrigue, du Muret (Saint-Salvadou).

Pierre, qui suit.

I- Marie-Jeanne Loupias (1760-1830), fille de Simon Loupias et de noble Marie de Morlhon, se marie le 27 février 1786 avec Pierre Segons, laboureur du Puech (Saint-Salvadou), fils d’Antoine et de Magdeleine Lagarrigue. Dans le contrat de mariage du 17 septembre 1786, la future reçoit en dot la somme de 2 000 livres (1 200 livres de la part de sa mère et 800 livres de celle de son père)[103].  Le couple a trois enfants qui auront une très nombreuse postérité :

1-      Marie-Anne Segons (1787-1822), mariée le 5 juin 1810 avec Jean-Baptiste Segons 1776-1855), cultivateur au Lun (La Fouillade), fils de Jean et de Marie-Anne Rigal. D’où nés au Lun :

a-      Jean-Pierre Segons (1811-  ). Descendance inconnue.

b-      Jean-Baptiste Segons (1813-1873), célibataire décédé à 60 ans.

c-      Marie-Anne Segons (1815-1884 au Lun), mariée avec Joseph Audouy (1802-1871), fils de Jean et Jeanne Authesserre, de Bestès. Descendance inconnue.

d-      Jean-Casimir Segons (1817-1897), propriétaire cultivateur au Lun, marié le 29 juin 1840 avec Rosalie Andurand (1816-1888), fille de François et Marie-Anne Lacassagne, de la Guionie (Rieupeyroux). D’où :

- Casimir-Célestin Segons (1841-  ). Descendance inconnue.

- Marie-Philippine Segons (1843-  ). Descendance inconnue.

- Jean-Pierre-Urbain Segons (1845-1846), décédé à 1 an.

- Jean-Pierre-, Marcellin Segons (1847-1849), décédé à 2 ans.

- Jean-Antoine-Léon Segons (1849-1892 à Longcros), propriétaire cultivateur au Lun, marié le 28 avril 1872 avec Marie-Philippine Rigal, fille de Jean et Charlotte Ricard, de Lagarrigue (La Fouillade ). D’où nés au Lun :

. Marie-Rose Segonds (1873-1904), mariée le 6 juin 1893 avec Jean-François-Albert-Calixte Rossignol (1863-1946), fils de Jean-Baptiste et Marie-Anne Vabre, de Cournus (La Fouillade). D’où :

Maria-Yvonne Rossignol (1896 à Cournus-1967 à Lyon), mariée en 1920 avec Marc-Eloi-Julien Alaux (1893 à Alger- ), commissaire des Postes à Mascara (Algérie), fils de Frédéric et Marie Lestrade. Descendance inconnue.

. Marie-Valentine-Charlotte Segonds (1875- ), mariée le 23 septembre 1900 avec Charles-Casimir Rouziès, fils de Jean-Joseph et Rosalie Rouziès, de Bleyssol (Vabre-Tizac). Descendance à Laubiès et Combecave (Vabre), Rodez, Gand (64), Châteauroux, Grenoble, Versailles.

. Casimir- Joaquim-Léon Segonds (1876-1876).

. Pierre-Casimir-Léon Segonds (1877-1877).

. Alexis-Casimir Segonds (1878-1902), décédé à 24 ans.

- Marie-Rose Segons (1852- ), mariée le 21 février 1870 avec Jean-Baptiste Roziès, cultivateur au Rech (La Salvetat-Peyralès), fils d’Antoine et de Charlotte Rivière. D’où :

    . Jean-Baptiste Roziès (1878-1958 à Morlhon), marié le 8 avril 1902 avec Marie-Zénobie Serres, fille de Pierre Arthémon et Caroline Caville, de Vabre-Tizac.

    . Paulin-Marie-Baptiste Roziès (1882-1957), époux Galinié, retraité SNCF décédé à Capdenac-Gare.

- Virginie-Caroline Segons (1854-1871), décédée à 17 ans.

- Jean-Pierre-Fabien dit « Casimir » Segons (1857-1882), décédé à 25 ans.

- Marie-Eugénie-Marcelline Segons (1862-  ). Descendance inconnue.

e-      Joseph Segons (1820-1820).

f-       Jean-Antoine Segons (1821-  ). Descendance inconnue.

2-      Jean-Pierre Segons (1788-1831), qui suit.

3-      Jean-Antoine Segons (1792-1795), décédé à 3 ans.

4-      Rose Segons (1795-1795).

5-      Marie-Madeleine Segons (1795-1853), qui suivra Branche Viguier, de Cousteaux II.5.

II- Jean-Pierre Segons (1788-1831), propriétaire cultivateur au Puech, marié le 25 février 1811 avec Rose Lortal (1792-1831), fille de Jean et Rose Lagarrigue, du Cammas (La Bastide-L’Evêque). D’où :

1-      Jean-Pierre Segons (1811-1890), qui suit.

2-      Jean-Antoine Segons (1814-  ).

3-      Jean-Baptiste Segons (1815-1885), cultivateur à Paladuc (La Fouillade), marié le 26 janvier 1840 avec Marie-Rose Andrieu (1815-1883), de Douzoulet (La Capelle-Bleys), fille de Jean et Marie Ferrié, de Paladuc, descendante de Louis XI (par Anne d’Arpajon, épouse de Jacques de Rabastens). D’où :

a-      Marie-Rose Segons (1840- ), mariée à Najac le 10 avril 1866 avec Charles Lafon, fils d’Antoine et de Rose Conte, de Najac. D’où nés rue Basse à Najac :

- Marie-Rose-Victorine Lafon (1869- ), mariée le 29 novembre 1893 avec Philippe Couffinhal (1839- ), fils de Jean-Joseph et de Rose Molinier, de Laguépie. Descendance inconnue.

- Germain Lafon (1873-1919), décédé à Toulouse, marié le 19 avril 1899 avec Marie-Eugénie Boyer (1878- ), fille d’Antoine et de Rose Loupias, de Préziès (Lunac). Descendance inconnue.

- Marie-Lucie Lafon (1878- ), mariée à Graulhet (81) le 27 janvier 1900 avec Henri-Louis Fabre. Descendance inconnue.

 - Elie Lafon (1882-1882).  

b-      Victor Segons (vers 1851-après 1883). Descendance inconnue.

c-      Marie-Thaïs Segons (1859- ), mariée le 15 janvier 1890 avec Jean-Baptiste Alet (1819-1895), cultivateur à Pébrac (La Fouillade ), veuf, fils de Guillaume et Marie Rouziès, de Bordes (Vabre-Tizac) et en secondes noces le 22 mai 1898 avec Donat-Barthélémy-Charles Genre, veuf, fils de Joseph et Jeanne Mazières, de La Tapie (La Fouillade). Sans descendance ses deux enfants (dont un illégitime) étant morts en bas âge.

4-      Julie Segons (1816-1888), mariée le 29 novembre 1837 avec François-Amans Rigal (1800-1887), veuf, fils de François et Catherine Lacassagne, de Pradines (Saint-André), cultivateur à La Braguèse (Lunac). D’où nés à Pébrac :

a-      Jean-Pierre-Charles Rigal (1838-1889), décédé accidentellement, célibataire.

b-      Marie-Rose-Anne-Julie Rigal (1840-  ). Descendance inconnue.

c-      Louis-Antoine Rigal (1840-1840).

d-      Martin-Victor Rigal (1842-  ), marié le 3 février 1873 avec Marie-Catherine Lagarrigue, fille de feu Jean-Antoine et Marie Paul, de La Croix-Rouge (Vabre-Tizac). D’où :

     . Martin-Victor Rigal (1873- ), marié à la Bastide-L’Evêque en 1898 avec Césarine Millet.

     . Marie-Marcelline Rigal (1874- ), mariée à Figeac en 1900 avec Marcellin Poux  (1874-1957 à Lacapelle-Viescamp - 15), fermier à La Coste (La Fouillade), fils de Jean-Pierre-Arthémon et Rosalie Izard, de la Servilie (Lescure), veuf de sa sœur Marie-Eugénie. D’où trois enfants nés à La Croix Rouge (Vabre).

    . Marie-Eugénie Rigal (1877-1898), mariée avec Marcellin Poux (voir ci-dessus).

    . Marie-Thérèse Rigal (1890-1962), mariée à Villefranche en 1908 avec Antoine-Julien-François Cabrié.

e-      Charlotte-Sophie Rigal (1843-1844), décédée à 1 an.

f-       Caroline-Sophie Rigal (1845-1846), décédée à 1 an.

g-      Marie-Julie Rigal (1847-  ). Descendance inconnue.

h-      Marie-Léontine Rigal (1848-1900), célibataire.

i-       Jean-Baptiste-Marcellin Rigal (1851-1863), décédé à 12 ans.

j-       Casimir-Célestin Rigal (1852-1855), décédé à 3 ans.

k-      Jean-Baptiste Rigal (1854- ), gendarme à Mézes (34), marié à Najac le 23 février 1881 avec Victorine-Adélaïde-Daria Blanc (1859- ), fille d’Adrien-Victor, buraliste à Najac, et de Thérèse Rigal. Descendance inconnue.

l-       Victor-Julien Rigal (1857-  ), facteur dans le Cantal puis en Corrèze en 1898[104], marié le 8 janvier 1882 avec Marie-Zénobie-Esther (voir famille Fricou Bulletin n° 72). D’où :

         - Marie Rigal (1885-  ). Descendance inconnue.

         - Julien Rigal (1888-  ). Descendance inconnue.

5-      Sophie Segons (1818-  ), mariée le 15 février 1843 avec Antoine Loupias, fils d’Antoine et de Marie-Anne Déléris, du Fau (Saint-Salvadou). D’où :

a- Marie-Rose-Sophie Loupias, mariée le 31 juillet 1870 avec Joseph Alet, de Rieupeyroux. Descendance à Marseille.

6-      Rosalie-Rose Segons (1822-1896), mariée :

·   En premières noces le lundi 19 juin 1843 avec Jean-Joseph Delpech (1814-1844), fils de Jean-Baptiste et Rose Jonquières, d’Oubax (Lunac). Sans descendance.

·    En secondes noces le 11 février 1846 avec Jean-Antoine Segonds (1811-  ), fils de Jean-Antoine et Marie-Jeanne Cadène, de Bestés (La Fouillade).  D’où :

a- Rosalie Segonds (1846-1846).

b-      Antoine-Casimir Segonds (1847-1918), cultivateur à Bestés, marié à Najac le 28 janvier 1872 avec Marie-Rosalie Cadène (1849-1914), fille de François et Marie-Jeanne Loupias, de la Malvelie (Najac). D’où :

- Marie-Germaine Segonds (1873-1895), mariée à Monteils le 11 octobre 1891 avec Jean-Antoine Eugène Segons (1868- ), mécanicien à Monteils, fils de Jean-Antoine et Marie-Rose Lauriac, de Puech-Fourbal (Monteils). D’où :

    . Flavie-Angèle-Germaine Segonds (1894-1970 à Capdenac-Gare), mariée en 1919 avec Hippolyte Deltheil, de Monteils, cafetier à Capdenac-Gare. Descendance à Ols, Villefranche.

- Julien-Casimir Segonds (1874-1903), cultivateur à Bestès, célibataire.

- Denis-Elie Segonds (1875-1969 à Severac -44), marié en 1900 avec Marie-Julie Mayran (1879-  ), fille de Joseph et d’Eulalie Ginestet, de Sourbins (La Fouillade). Descendance en Bretagne.

- Antoine-Justin-Henri Segons (1878-1878).

- Marie-Emilie Segonds (1879-1907), mariée le 19 août 1896 avec Jean-Antoine-Eugène Segonds, veuf de sa sœur aînée. Descendance à Villefranche.

- Noël Segonds (1880-1953), cultivateur à Bestès, marié le 16 février 1908 avec Virginie-Germaine Alet (1885-1975), fille de Jean-Baptiste et Marie-Charlotte Caussanel, de La Fouillade. D’où :

    . Antonin Segonds, cultivateur à Bestès, marié avec Rolande Couronne fille d’Emile et de Noëlle Marty, de Pébrac (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Villefranche, Gaillac, Albi, Montauban, Toulouse, Lisle-Jourdain (32).

    . Denise Segonds, mariée avec Emile Roche. Descendance à Capdenac, Bordeaux, Pons (34).

    . Yvonne-Ernestine Segonds, mariée avec Marius Mader, fils de Firmin et Philippine Segonds, de la Roucarie (La Fouillade). Descendance à Toulouse, Toulon.

    . Odette-Fernande Segonds, mariée avec René Martin, de Lagarde-Viaur (81), résidant à La Fouillade. Sans descendance.

    . Georgette Segonds, mariée avec Léon Martin, frère du précédent. Descendance à Saint-Christophe et Mouziès (81).

- Paulin-Emile Segonds (1886-1976 à Biars), chef de gare dans le Lot, marié avec Marcelle-Désirée Decoudun (1894-1957). Descendance à Rodez, Toulouse, Limoges, en Alsace.

c-                                      Pierre-Célestin Segonds (1848-1849), décédé à 1 an.

d-                                      Virginie Segonds (1850-1920 à Bestés), mariée le 13 février 1870 avec Jean-Baptiste Audouy (1848-1921), de Bestès (La Fouillade), fils de Jean-Baptiste et Marie-Anne Molinier. D’où nés à Bestès :

- Jean-Baptiste Audouy (1870-1870).

- Marie-Léonie Audouy (1872- ), mariée en 1892 avec Théodore Salingardes, cultivateur à Monteils, fils de Pierre et Marie Graffan, de Monteils. D’où :

         . Maria-Louise Salingardes (1893-1981 à Brive), mariée en 1919 avec Sylvain-Joseph Audouy, fils de Sylvain-Joseph et Marie Miquel, des Tempourets (Monteils).

- Marie Audouy (1874-1949), mariée en 1902 avec Denis Vidal (1873- ), fils d’Antoine et de Célestine Cayrou, de Bestés. Descendance à La Fouillade, Lunac, Carmaux, Toulouse, Saint-Céré (46).

- Rose-Virginie Audouy (1876- ), mariée en 1899 avec Céleste Reynès, mineur au Garric (81) en 1899, fils de Charles et Rose Lagriffoul, de Montirat (81).

- Germain-Baptiste-Casimir Audouy (1878-1919), décédé à l’hôpital de Rodez des suites de blessure de guerre, cultivateur à la Vergnole (Sanvensa), marié le 23 septembre 1898 à Sanvensa avec Marie-Rosalie Gayral, fille de Félix et Rosalie Farsac, de La Vergnole. Descendance à Angoulême, Toulouse.

- Henri-Justin-Casimir Audouy (1880-1914), cultivateur à Bestès, marié en 1906 avec Léonie Bayol (1879-1970), fille de Casimir et Germaine Couffin, de Pouzols (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Najac, Villefranche, Toulouse.

- Germaine-Emilie Audouy (1883-1883).

- Louis-Joseph Audouy (1884- ).

- Alphonse-Auguste Audouy (1889- ).

- Marie-Louise Audouy (1895-1895).

e-      Joseph-Antoine Segonds (1851-1853), décédée à 2 ans.

f-       Antoine-Célestin Segonds (1852-  ), cultivateur à Bestés, marié le 28 novembre 1877 avec Marie-Julie Segons, fille de Jean-François et Marie-Jeanne-Julie Vabre, de Monteils.  D’où : François-Célestin-Augustin Segonds (1879-1879).

g-      Marcellin Segonds (1855-1857), décédé à 2 ans.

h-      Julien-Casimir Segonds (1857-1857).

i-       Marie-Flavie-Nathalie Segonds (1858-  ), mariée le 9 janvier 1876 avec François Ducor, sabotier à Najac, fils naturel de Marie Ducor. Descendance inconnue.

j-       Marie-Nathalie Segonds (1859-1860).

k-      Léon-Marcellin Segonds (1861-1871), décédé à 10 ans.

l-       Marie-Eugénie Segonds (1862-1864).

m-   François-Frédéric Segonds (1863-  ). Descendance inconnue.

n-      Antoine-Marcellin Segons (1865-1866), décédé à 1 an.

o-      Marie-Eugénie Segonds (1867-1905 à Villevayre), mariée le 1er février 1888 avec François Bénaben (1858-1909 à Rodez), fils de François et Marguerite Marty, de Boussaguet (Villevayre). D’où :

- Lucien-Alfred Bénaben, marié le 19 juin 1917 avec Marie-Aurélie Fabre (1893-1978 à Cestayrols - 81), fille de Jean-Baptiste et Marie-Rose Saurel, du Cayrou (Arcanhac). Descendance inconnue.

7-      Marie-Charlotte Segons (1823-  ). Descendance inconnue

8-      Jeanne Segons (1825-  ), mariée le 11 novembre 1845 avec Joseph Thémines (1820-1897), de La Coste (Tizac), fils de Pierre et de Victoire Campagnac. D’où nés à La Coste :

a-      Marie-Julie Thémines (1847-1856), décédée à 9 ans.

b-      Rose Thémines (1851-1932 à Tizac), mariée le 11 novembre 1873 avec Jean-Antoine Dutaur, de La Borde (Bor-et-Bar), fils de Jean-Antoine et Marie Albar. D’où :

- Julien Dutaur, cité en 1896. Descendance inconnue.

c-      Louis-Martin Thémines (1856-après 1888), cultivateur à la Coste, marié le 11 janvier 1888 avec Célestine Fort, fille de Philippe et Marie-Anne Bories, de Lunac. D’où :

 - Denis-Joseph Thémines (1889-1890), décédé à 1 an.

- Joachim-Baptiste Thémines (1891-1918), tué dans la Marne le 19 septembre 1918.

- Florian-Sébastien Thémines (1893-1926), cultivateur à La Villandie (Saint-Salvadou), marié en 1918 avec Madeleine Alcouffe. D’où :

. Gemma Thémines, institutrice en Aveyron puis dans la région parisienne, épouse de Paul Bousquet. Descendance à Saint-Brieuc, dont de nos jours un député.

. René Thémines, époux Truel. Descendance à Albi (81).

- Elie-Casimir Thémines (1894- ), cultivateur à La Coste de Tizac marié en 1919 avec Elisabeth Fort. D’où :

      . Rachel Thémines, épouse Abel Fricou (voir Famille Fricou Bulletin n° 72).

      . Paul Thémines, époux de Paulette Bros Descendance à Angoulême, Sully-sur-Loire (45), en Suisse.

- Alphonse-Henri Thémines (1896-1950), employé aux chemins de fer, marié en 1921 avec Albanie Fabre. Descendance à Narbonne.

- Gustave-Martin Thémines (1898- ), garçon de café à Paris, marié en 1925 avec Virginie Montalbetti. D’où :

      . Michel Thémines, sans descendance.

      . Geneviève Thémines. Descendance dans la Drôme.

- Michel-Henri Thémines (1899-1919), blessé au champ d’honneur, mort le 8 juillet 1919 à l’Hôpital de Sens (Yonne).

- Maria Thémines, épouse d’André Rustan, Descendance à La Fouillade, Villefranche, Baraqueville, Albi, Auch.

d-      Joseph-Marcellin Thémines (1860-1880), décédé à 20 ans.

e-      Marie-Eugénie Thémines (1867-1943), mariée avec François Fort, d’Oubax (Lunac). Descendance à Oubax.

9-      Louis Segons (1827-  ), sabotier, cultivateur au Pradals (Saint-Salvadou), marié avec Marie-Anne Couffin, fille d’Antoine et de Marie-Jeanne Nattes, du Cassan (Saint-Salvadou). D’où :

a- Marie-Sophie Segons (1849-  ), mariée le 27 avril 1875 avec Alexandre-Jean-Léon Bouyssac, fils de Pierre et Constance Coulet, du Jaoul (Vabre-Tizac). Descendance inconnue.

10-  Rosalie Segons (1830-1830).

11-  Marie-Thérèse Segons (1831-1831).       

III-  Jean-Pierre Segons (1811-1890), cultivateur au Mas du Puech (Saint-Salvadou), marié le 28 aoùt 1833 avec Marie-Rose Bousquié (1812-1893), fille de Joseph et Marie Déléris, de Labro (Saint-Salvadou). D’où :

1-      Marie-Rose Segons (1834- ), mariée le 29 janvier 1862 avec Jean-Baptiste Albar (1828- ), cultivateur à La Borde (Bor-et-Bar), fils de Jean-Baptiste et Marie-Anne Lachaise. D’où :

a-      Marie Albar (vers 1863-recensée en 1876).

b-      Baptiste Albar (vers 1865-recensé en 1921), époux Vedel, sans descendance.

c-      Joséphine Albar (vers 1869- recensée en 1886).

d-      Adeline Albar (vers 1873- recensée en 1876).

2-      Marie-Julie Segons (1835- ). Descendance inconnue.

3-      Marie-Sophie Segons (1837-1916), célibataire, une de « ses tatas » célébrées par l’abbé Bessou[105].

4-      Jean-Pierre Segons (1839-1917), cultivateur au Puech (Saint-Salvadou), marié le 21 juin 1869 avec Marie-Rose-Sophie Trézières (1844-1905), fille de Louis et Rose-Marie Viguié, du Cavagnal (La Fouillade). D’où :

a- Jean-Pierre-Paulin-Germain Segons (1871-  ), cultivateur au Puech (Saint-Salvadou), marié en 1902 avec Marie Vaysse (1881-  ), fille d’Augustin et de Marie Bessou, de Villefranche. D’où :

- Michel-Germain-Zéphirin Segons (1903-1993), cultivateur au Puech (Saint-Salvadou), marié en 1927 avec Marie-Alice-Lucie Avit. Descendance au Puech, Saint-Salvadou, Tizac, La Fouillade, Comps-La-Granville, Montpellier, Paris.

 - Marie-Louise-Léonie Segons (1904-1947), épouse Espinasse, de La Peyrière (La Capelle-Bleys. Descendance à La Capelle-Bleys, Nîmes, Paris.

b- Louis-Frédéric-Marie Segons (1873- ), prêtre, décédé à Juan-Les-Pins (06).

c- Marie-Noémie Segons (1875-1895), décédée à 20 ans.

d- Marie-Eugénie-Léonie Segons  (1878- ), religieuse.

e- Auguste-Alfred-Élie Segons (1880-1903), décédé à 23 ans.

f- Marie-Germaine-Madeleine Segons (1882-1956), mariée en 1904 avec Firmin Lacombe, des Alauzets (Morlhon). D’où :

 - Robert Lacombe.

-  Roger Lacombe. Descendance aux Alauzets.

- Louise Lacombe, épouse Rouziès, de Sanvensa. Descendance à Sanvensa.

g- Emile-Henri-Joseph-Marie Segons (1884-1884).

h- Marie-Louis-Henri-Urbain Segons (1886- ), cultivateur à Lestrade (Saint-Salvadou), marié en 1910 avec Sylvie Vaysse, sœur à Marie (voir 4-a). D’où :

- Maria Segons, épouse Miquel, restaurateut à Najac. Descendance à Najac, Villefranche, Balma (31), Toulouse, Avignon, Villefranche-sur-Mer (06), Versailles.

5-      Caroline-Marie Segons (1840-1921), mariée le 18 juillet 1866 avec François Sicard (1836-1906), cultivateur à la Brousse (Saint-Salvadou), fils de François et Caroline Acquié. D’où :

a- Emilie Sicard. Descendance inconnue.

b- Marie-Eugénie Sicard (1867- ), mariée le 26 novembre 1891 avec Louis-Léon-Athanase Combettes (1867- ), cordonnier à Morlhon, fils de Louis et Félicité Dintilhac, de Peyrelade (Saint-Salvadou). D’où nés à Morlhon :

- Louis-Joachim Combettes (1892-1952 à Marignane), marié le 14 janvier 1920 avec Marie-Gertrude Andurand (1895-  ), fille de François et d’Euphrasie Albouy, de Baudanès (Vabre-Tizac). Descendance inconnue.

- Mathilde Combettes (1894- ). Descendance inconnue.

c- Marie-Rose Sicard (1870-  ).

               d- Marie-Julie Sicard (1872- ), mariée avec Gaspard Berthier. D’où :

      - Marie-Julie Berthier, épouse Vinel. Descendance à Villefranche, Paris.

6- Louis Segons (1842-1859).

7- Donatien Segons (1844-  ).

7- Théophile-Marcellin Segons (1846- ), qui suivra Rameau du Cavagnal.

8-      Marie-Eugénie-Virginie Segons (1848- ). Descendance ?

9-      Josephine-Foy Segons (1849-1868), décédé à 19 ans.

10-  Marie-Euphémie Segons (1851- ). Descendance ?

11-  Cyprien-Jean-Pierre Segons (1852-1852).

12-   Marie-Virginie-Mélanie Segons (1853-1856), décédé à 3 ans.

13-  Auguste Segons (1855-1933), cultivateur au Puech (Saint-Salvadou), marié le 9 février 1885 avec Marie-Eusébie Ricard (1861-1929), fille de Louis et Marie-Anne Delpech, du Puech (Saint-Salvadou). D’où :

a- Elie Segons (1886-1903 à Morlhon), décédé à 17 ans.

b- Marie-Louis Segons (1888-1915 dans La Marne), mort pour la France à l’âge de 27 ans.

c- Marie Segons (1890-1953), mariée en 1913 avec Valentin-Louis-Pierre Loupias (1887-1932), fils de Léontin et Mélanie Lachaise, de Labro (Saint-Salvadou). D’où :

- Maria Loupias, mariée avec Auguste Gravier. Descendance à Bordeaux.

- Gabriel Loupias, époux Puech. Descendance à Montauban, Castres, Paris.

- Gabrielle Loupias, mariée. Descendance à Villefranche, Compolibat, Belcastel.

- Paulette Loupias, sans descendance.

d- Gabriel Segons (1897-1918), mort pour la France à l’âge de 21 ans.

14- Léopold-Jean-Pierre Segons (1858-1861), décédé à 3 ans.

Rameau du Cavagnal

II.7- Théophile-Marcellin Segons (1846- ), cultivateur au Cavagnal (La Fouillade), marié le 13 septembre 1870 avec Marie Déga (1854-1889), fille de Jean-Pierre et Marie-Anne Loupias, du Cavagnal. D’où :

1- Pierre-Joseph Segons (1873-1924), cultivateur au Cavagnal, marié le 24 janvier 1899 avec Marie-Pélagie Saurel (1877-1961), fille de Joseph-Léon et Virginie Saurel, d’Arcanhac. D’où :

a- Eloi-Pierre Segons (1900-1901).

b- Marie-Virginie-Libéria Segons (1901- ), mariée en 1922 avec Frédéric-Julien Izard (1896-1971), établi au Cavagnal, fils de Jean-Antoine et Virginie Cadillac, de la Coste-de-Couronne (Arcanhac). D’où :

- René Izard. Descendance à la Fouillade, Paris. 

- Marinette Izar, épouse Blaise. Descendance à Graulhet, Cunhac (81).

- Odette Izard, épouse de Roger Pomiès, de Rébirou. Descendance à la Fouillade, Albi, Aubin, Toulouse

- Laurette Izard, épouse d’Alfred Tranier, cordonnier de La Fouillade. Descendance à la Fouillade, Lavaur, Saint-Sulpice, Montans (81), Dijon, Allemagne.

- Aimé Izard, époux Duchemin, de La Fouillade. Descendance à la Fouillade, Villefranche, Parisot, Bor-et-Bar, Toulouse, Tarbes.

.- Gilbert Izard, décédé à Alban (81), époux Bousquet. Descendance à Couffouleux (81).

- Liliane Izard, épouse Bousquet. Descendance à Arthès (81).

c- Léon Segons (1902-1902).

d- Maria-Germaine-Odette-Françoise Segons (1906-2006), mariée avec Justin Soave (descendant de Louis XI par sa mère, voir prochain Bulletin), fils d’Angel et de Marguerite Tranier, de Lunac. D’où :

- Antonia Soave, épouse Courtial. Descendance à Villefranche, Vabre-Tizac.

- Georges Soave. Descendance à Villeneuve-sur-Lot.

- Yvonne Soave, veuve Alcouffe, de Najac, sans descendance.

- Paul Soave, célibataire à Najac, sans descendance.

- Yves Soave. Descendance à Paris.

- Paulette Soave, épouse Cayrou. Descendance à Lunac, Vabre-Tizac, Toulouse, Berlin.

e- Anna-Juliette Segons (1910-1993), mariée en 1933 avec Paul-Edmond-Marcellin Souyri, d’Orlhonac (La Rouquette), fils d’Antoine et Albertine Rossignol. D’où :

- Claude Souyri, d’Orlhonac, époux d’Odile Foursac. Descendance à Villefranche, Montbazens, Toulouse.

- Christian Souyri, d’Orlhonac, époux de Léontine Bicho. Descendance à La Fouillade.

 f- Marius Segons (1914-2004), facteur, marié 2 fois. D’où une fille du premier lit. Descendance à Villefranche.

g- Elida Segons (1921- ), mariée avec Nicolas Déga. D’où à Decazeville :

- Nicole Déga, sans descendance.

- Jacques Déga, sans descendance.

2- Marie-Rosalie dite « Eugénie » Segons (1875- ), mariée le 6 août 1895 avec Cyprien-Victor Segonds (1867-  ), fils de Cyprien et Victoire Fort, de Sanvensa. D’où :

a- Ernestine-Marie-Eugénie-Olga Segonds (1896-1954), mariée avec Joseph-Siméon Loupias (1882-1925), fils de François et Marie-Rose Gayrard, de Cassemauron (La Fouillade), remariée en 1929 avec Elie Delbès. Descendance du premier lit à Villefranche, en Dordogne.

b- Ernest Segons (vers 1909-  ), époux Germaine Barthe, cultivateur au Cavagnal. D’où :

   - Yves Segonds. Descendance à La Fouillade, dans la Haute-Garonne, l’Aude, la Suisse.

3- Marie-Eulalie-Germaine Segons (1878- ), mariée en 1906 avec Amédée Saurel (1880-1964), veuf, fils de Joseph-Léon et Virginie Saurel, d’Arcanhac. D’où :

a- François-Paul Saurel (1909-1970 à Toulouse), époux Massiès. D’où une fille sans descendance.

b- Pierre-Joseph Saurel (1915-1998), époux Fabre, sans descendance.

4- Joseph-Justin Segons (1887-1888), décédé à 1 an.

                            Branche Viguier de Cousteaux

II.5- Marie-Madeleine Segons (1795-1853), mariée le 22 novembre 1812 avec Jean-Pierre Viguié (1777-1854), fils de Simon et d’Antoinette Segons, cultivateur de Cousteaux (Saint-Salvadou). D’où :

1- Joseph Viguié, qui suit.

2- Simon Viguié (1816-  ). Descendance inconnue.

3- Jean-Louis Viguié (1818-1878), cultivateur à Labro (Saint-Salvadou), marié le 24 janvier 1842 avec Charlotte Bouscayrol (1816-1883), fille de François et Marie Segons, de Saint-Salvadou. D’où :

a- Jean-Pierre-Arthémon Viguié (1842- ), cultivateur à Marmont, marié avec Charlotte Lacassagne (+1882), remarié en 1884 avec Eugénie Sagnes (1851- ), fille de Jean et Marie Viguié, des Aliberts (La Bastide-L’Evêque).

Du premier lit :

a.       Donatien Viguier, marié, sans descendance.

b.       Célestin Viguier, marié avec Marie Fabre. Descendance dans le Gard.

Du second lit :

     - Eugénie Viguier, épouse Imbert Marti. Descendance à Limoges

     - Marie-Germaine, épouse Tournemire. Descendance à Villefranche.

     - Marie-Berthe Viguier, épouse Alet. Descendance à Marmont, Villefranche, Bozouls.

4- Jean-Baptiste Viguié (1820-1879), marié le 19 juin 1855 avec Marianne Alcouffe (1829- ), fille de Jean-Antoine et Thérèse Segons, de Monteillet (Sanvensa). Descendance inconnue.

5- Marie Viguié (1822-après 1901), marié le 29 août 1848 avec Joseph Rudelle, cultivateur de Saulières (Bor-et-Bar), fils de Joseph et Marie-Jeanne Sudre. D’où nés à Saulières :

a- Marie Rudelle(1852- ), mariée le 28 avril 1869 avec Louis Loupias (1842- ), cultivateur à Saulières (Bor-et-Bar), fils de Jean-Louis et Rose Marty. D’où :

- Célestine Loupias (1872- ), mariée avec Auguste Descomps (  -1898), cultivateur à Najac, fils d’André et Apollonie Lagarrigue. D’où :

    . Maurice Descomps, marié à Léa Dutemps.

- Casimir Loupias (1874-  ), habitant Paris en 1900.

- Marie-Philippine Loupias, mariée le 29 décembre 1897 avec Augustin-Albert Blazy, établi à Aubin, fils d’Augustin et de Christine Béteille, de La Bastide-L’Evêque. Descendance à Marseille.

6- Guillaume Viguier (1824-1857), célibataire.

7- Casimir Viguié (1828-  ), marié en 1857 avec Marianne Viguier, fille de François et Jeanne Lortal, des Compans (Morlhon), veuve Ricard. Descendance inconnue.

8- Joseph-Auguste Viguié (1829-1895), cultivateur à Najac, marié le 5 juillet 1854 avec Marie-Justine Mazières (1834-1899), fille de Jean-Pierre et d’Antoinette Granier, de Najac. D’où :

a- Pierre-Augustin Viguié (1855-1855).

b- Jean-Pierre Viguié (1856- ). Descendance inconnue.

c- Eugénie Viguié (vers 1865-1884), décédée à 19 ans.

d- Sylvestre-Célestin Viguié (1876-1877), décédé à 1 an.

9- Pierre Viguié (1832-  ), marié avec Marie-Julie Lacassagne (1828- ), fille de Joseph et Marie-Anne Segons, de Lacalm (Saint-Salvadou). D’où :

 a- Marie-Anne Viguier. Descendance à Villefranche.

10- Louis-Jean-Pierre Viguié (1834-1901), époux Lacassagne, de Morlhon. Descendance inconnue.

11- Marie-Bellonie Viguier (1836-1901).

III- Joseph Viguié (1815-1868), cultivateur à Cousteaux, marié le 4 juin 1850 avec Marie-Martine Pradines (1830-1900), fille de Jean-Antoine et Marie-Anne Pascal, de Farmond (Lunac). D’où :

1- Jean-Baptiste Viguié (1851-  ), cultivateur à Cousteaux, marié le 24 novembre 1872 avec Rose-Euphrasie Olié (1851-1925), fille de Jean-Martin et Rose Debar, de Tizac. D’où :

a- Jérome-Joseph-Calixte-Urbain Viguié (1879-1952), cultivateur à Cousteaux, marié le 25 novembre 1903 avec Marie-Anne-Irma Ricard (1880-1957), fille de François dit « Baptiste » et Marie-Rose Lagriffoul, de Saint-Salvadou.

Descendance à Cousteaux, Villefranche, Vabre, La Bastide-L’Evêque, Martiel, Compolibat, Rodez, Olemps, Decazeville, Toulouse, Paris, dans le Tarn, le Bordelais.

2- Marie-Louis Viguié (1852-  ), clerc de Saint-Viateur.

3- Casimir Viguié (1855-  ), clerc de Saint-Viateur.

4- Victor-Donatien Viguié (1857-  ), clerc de Saint-Viateur.

5- Marie dite « Joséphine » Viguié (1858-1933), mariée le 26 février 1878 avec Jean-Pierre-Léon Sicard (1846-1906), fils de Pierre et Marie-Anne Segons, de la Brousse (Saint-Salvadou). D’où :

a- Marie-Joséphine-Hélène Sicard (1880-1941), mariée en 1905 avec Justin Alaux (1879-1967), fils de Joseph et Justine Déléris, de Cros (La Fouillade). D’où Raymonde Alaux, épouse Cazals. Descendance à La Fouillade, La Salvetat-Peyralès, Toulouse, Paris, en Grèce.

b- Irma-Marie-Ernestine Sicard (1883- ), mariée en 1905 avec Henri Dintillac, fils de Théophile et Marie-Aspasie Imbert, cultivateur à Cousteaux. D’où :

- Andrée Dintilhac (1909- ), mariée en 1934 avec Fernand Viguié (1899-1985), son cousin (voir ci-dessous 10-b). Sans descendance.

c- Henri-Calixte Sicard (1887-1961), cultivateur à Cousteaux, puis à Fournaguet (Saint-Salvadou), marié en 1914 avec Berthe Marty (1894- ), fille de Jean-Pierre et Marie-Eugénie-Germaine Segons, de Lacalm (Saint-Salvadou). Descendance à La Fouillade, Villefranche, Rodez, Caylus, Toulouse.

d- Berthe-Zoé Sicard (1892- ), mariée en 1912 avec Denis Coustaux, fils de Germain et Rosalie Izard, de la Mercadière (Saint-Salvadou). D’où : Solange Coustaux (1913-1956), épouse Ferrand. Descendance à Nogaro (32), Toulouse, Perpignan.   

6- Sauveur-Marcellin Viguié (1861-1928), cultivateur à Coustaux, marié le 25 septembre 1889 avec Marie-Henriette Rouziès ( 1866-1911), de La Barthe (Morlhon), fille d’Antoine et de Marie Pouzoulet. D’où :

a- Marie-Marcelline Viguié (1891-1911), décédée à 20 ans.

b- Alice Ernestine Albanie Viguié (1892- ). Descendance inconnue.

c- Marcellin-Basile-Clément Viguié (1894-1960), marié en 1920 avec Anne-Marie-Lucie Phalippou (1896- ), fille de Julien et Marie Pauzié, de Vabre.

 d- Léopold-Georges-Ferdinand Viguié (1897- ), marié en 1923 avec Marie-Philomène-Joséphine Darres.

7- Calixte-Frédéric Viguié (1863-  ), cultivateur à Tanus (Lunac), marié le 12 janvier 1898 avec Marie-Joséphine Albanhac (1877- ), fille de Pierre-Jean et Césarine Authesserre, de Tanus (Lunac). D’où :

a- Gabriel Viguié, marié à Testas. Descendance à Villefranche.

b- Urbain-Marcellin-Calixte Viguié (1901- ), cultivateur à Tanus, marié en 1929 avec Elia-Marie-Denise Blanquet. Descendance à Lunac, La Fouillade, Lescure, Toulouse, Saint-Sulpice (81).

c- Maria-Zélie-Émilie Viguié (1904- ), mariée en 1925 avec Ernest-Casimir Marty (1903-1973), fils de Casimir-Martin et Marie-Eugénie-Léonie Nouviale, de la Rousse (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Saint-André-de-Najac, Villefranche, Sainte-Geneviève-sur-Argence, Capdenac, Figeac, Montauban, Bordeaux, dans le Lot, l’Aisne et la Belgique.

d- Gabrielle Viguié, épouse Marty. Descendance à Marnaves (81), Cordes.

e- Louis Viguié, époux Segonds, de Pont-Jalbert (La Fouillade). Descendance à Villefranche, Maleville.      

8- Marie-Emilie Viguié (1864-1947 à Morlhon), mariée le 24 novembre 1886 avec Jean-Antoine Lacassagne (1860- ), meunier à Peyrottes, fils de Jean et Rose Bourel. D’où :

a- Alfred Lacassagne, marié avec Thérèse Pomiès. D’où :

       - Alice Lacassagne, épouse Lortal. Le couple vend le moulin à Alice Pradines, épouse Cabrit. Descendance à Montauban, Toulouse.

b- Marie-Noémie Lacassagne, marié avec Justin Pradines, de Vezac. D’où :

- Alice Pradines, épouse Cabrit. Descendance à Sanvensa, Villefranche, Baraqueville, Montech (82), Les Landes, Paris.

- Olga Pradines, épouse Bourdoncle, du Moulin de La Brousse. Descendance à La Brousse.

- Gabrielle Pradines, épouse Segond, du Paraire (Lescure-Jaoul). Descendance à La Salvetat-Peyralès, Vabre-Tizac, Capdenac.

- Ernest Pradines, cultivateur à Vezac, époux Lasserre. Descendance à Villefranche, Capdenac, Rodez, Paris.

c- Casimir Lacassagne, cultivateur à l’Hiversenc (Lunac), époux de Gabrielle Bories. D’où :

       - Jean Lacassagne, cultivateur à Pébrac (La Fouillade) puis à Montans (81), marié avec Paulette Couronne, de Pébrac (La Fouillade). Descendance à Montans (81).

d- Olga Lacassagne, mariée avec Jules Cabrit, de Bannes (Morlhon), remariée avec Gabriel Cabrit. D’où :

- Roger Cabrit, époux Pomiès. Descendance à Villefranche, en Lozère.

- Noël Cabrit, époux Viguier, cultivateur à Viallèles (Sanvensa). Descendance à Sanvensa, Villefranche, Rodez.

e- Gabriel Lacassagne, cultivateur à L’Espanhié (Najac), marié avec Marie-Albertine Pomiès. D’où :

       - René Lacassagne, époux Lagarrigue, marié au Puech de Testas (Sanvensa). Descendance à Saint-Christophe (81), Rodez, Villefranche, en Suisse.

f- Hélène Lacassagne (1904-1991), épouse Ardourel, de Saint-Igne (82).

- Georges Lacassagne, époux Boutonnet. Descendance à Rodez, Saint-Igne, Montauban, Toulouse.

- Yvette Lacassagne, épouse Bonnet. Descendance à Morlhon, Corde, Toulouse.

g- Maria dite « Maritou » Lacassagne, épouse Falipou, cultivateurs en albigeois. D’où :

- Jacques Falipou. Descendance à Toulouse.

- Huguette Falipou, épouse Gaillac, Albi. Descendance à Albi, dans Le Tarn

9- Marie-Julie Viguié (1865-1931) mariée le 26 septembre 1889 avec Jean-Pierre Courchinoux, cultivateur de Lonnac (La Bastide-L’Evêque), fils de Jean-Pierre et Rosalie Jonquières, de Lonnac (la Bastide-l’Evêque). D’où :

a- Marie-Rosalie-Zénobie Courchinoux (1894- ).

b- Maximin-Ludovic Courchinoux (1897- )[106].

10- Louis-Germain Viguié (1866-1911), marié le 12 octobre 1892 avec Marie-Adeline Couronne, fille de Sauveur et Philomène Lagarrigue, de la Rivière-Basse (Saint-Salvadou). D’où :

a - Marie-Edith-Fernande Viguié (1897- ), mariée le 31 décembre 1921 avec Jean-Baptiste-Camille Dardés.

b - Ulysse-Epiphane-Fernand Viguié (1899-1985), marié en 1934 avec sa cousine Andrée Dintillac (voir 5-b), remarié en 1949 avec Louise Meunier. Sans descendance.

11- Casimir-Auguste Viguié (1867-  ), cultivateur à Lugan (Vabre-Tizac), marié le 4 septembre 1895 avec Marie-Emilie-Darie Rouquette (1876- ), fille d’Alphonse et Emilie Marre, de Lugan (Vabre-Tizac). D’où :

     a- Urbain-Ernest-Germain Viguié (1896- ), marié en 1919 avec Marie-Noélie Pomiès, fille de Joseph et Julie Raynal, du Bois de Bruel (Vabre-Tizac), puis en 1927 avec Flavie Alias.                                            

 Famille Tranier

Cette famille, originaire de Trézières[107], village situé au bord de La Serène dans la paroisse d’Arcanhac (commune de La Fouillade), descend de Louis XI, par un mariage avec Antoinette Loupias, fille de Jeanne de Morlhon[108]. La famille Tranier, rameau de celle du moulin de Martre, s’est installée dans ce village par mariage en 1742 avec Jeanne Laurens. Ses origines remontent à la famille Tranier, du moulin du Parayre (Lunac), étudiée dans le Bulletin n° 43. Ce patronyme, très répandu dans la vallée du Viaur, s’est écrit sous diverses formes : Traginier (voiturier), Trahinier, Traynier, Trainier, Tranié.

I- Jean-Baptiste Tranier (1756-1836), laboureur à Trézières, fils de Jean et de Jeanne Laurens, épouse le 9 novembre 1789[109] Antoinette Loupias (1763-1834), fille de Simon Loupias et Jeanne de Morlhon, de La Bertrandie. D’où :

1-      Jean-Baptiste Tranier (1790-1861), qui suit.

2-      Jean-Antoine Tranier (1792-1872), cultivateur à Bertouget, Puechganel, La Penchènerie (Lunac), marié le 3 février 1821 avec Marie-Rose-Françoise Trézières (1792-1848), de Pébrac (Arcanhac). D’où :

a- Marie-Rose Tranier (1820-1897), mariée le 6 octobre 1845 à Saint-Salvadou avec Jean Alcouffe (1819-1889), charpentier aux Mazières (Lunac), puis agriculteur à Saint-Salvadou et Colombiès. D’où :

- Marie-Rose Alcouffe (1846-  ), qui épouse le 24 juin 1845 à Colombiès Jean-Baptiste Veyriac (1849-  ) , du Pont-de-Mirabel (Rignac). D’où :

   . Marie-Lucie Veyriac (1885-  ), mariée en 1910 à Rignac avec Urbain Rey.

   . Marie-Sylvie Veyriac (1887-  ).

   . Emilie-Eugénie Veyriac (1890-1983), mariée à Rignac en 1909 avec Julien Cassan.

- Euphrasie Alcouffe (1848-1929), mariée le 20 avril 1872 Amans Mazenq (1837-1920), cultivateur à Colombiès. D’où :

   . Jean-Auguste Mazenq (1873-1947), employé de mairie à Vias (34), descendance inconnue.

   . Marie-Rosalie Mazenq (1875-  ), célibataire.

   . Louise Mazenq (1877-  ), mariée à Vias, descendance inconnue.

. Célestin Mazenq (1880-  ), mariée en 1907 avec Jeanne Haybrard, de Colombiès, commerçant à Béziers, descendance inconnue.

 . Albert Mazenq (1882-1953), mariée en 1921 avec Louise Acquier, employé de la mine à Cransac. Descendance à Rodez, Decazeville, Marcillac.

. Joseph Mazenq (1885-1973), cultivateur à Albi, mariée en 1911 avec Marie Chincholle, de    Colombiès, Descendance à Toulouse.        

    . Alfred Mazenq (1888-1966), boulanger à Colombiès, mariée en 1912 avec Marie Noèmie. Descendance à Colombiès, Rodez, Quins, Nuces, Toulouse.

 . Lucie Mazenq (1891-1976), mariée en 1920 avec Adrien Ricard. Descendance à Rieupeyroux, Carmaux.

 . Albertine dit Berthe Mazenq (1893-1987), mariée avec Gabriel Bedène, sans descendance.

- Jean-Pierre Alcouffe (1850-1905), aubergiste et cultivateur à Colombiès, marié le 20 janvier 1886 à Sauveterre avec Marie Geniez (1858-1916), de Jouels. D’où :

  . Victorine Alcouffe (1886-1976), mariée le 28 février 1908 à Colombiès avec François Enjalbert. Descendance à Colombiès, Paris.

  . Eloi Alcouffe (1889-  ).

  . Elie Alcouffe (1892-1953), marié en 1919 avec Louise Savy.

  . Albertine Alcouffe (1896-1930), mariée à Rignac avec Jules Saurel.

-  Céleste Alcouffe, marié avec Henriette Chauchard, limonadier à Béziers, descendance inconnue.

- Casimir Alcouffe, parti à Béziers, descendance inconnue.

- Baptiste Alcouffe, garçon de café à Béziers, époux de Jeanne Torcy, descendance inconnue.

b- Marie-Anne-Mélanie-Hélène Tranier (1826-1862). D’où :

- Casimir Tranier (1858 à Villefranche- ), marié avec Marie-Julie Déléris, de La Peyrière (La Fouillade). D’où :

. Léoncie Tranier (1885-1967 à Saint-Juéry - 81), épouse de Louis Lagarrigue, des Fargues (Vabre), sans descendance.

    . Justin Tranier (1887-1945), cultivateur à Béteille, époux de Noëlie Ducor. Descendance à Rodez, Toulouse, Bayonne, Hautes-Pyrénées, Espagne.

. Julien Tranier (1893-1962), facteur à Lombers (81), marié avec Léa Sudre, sans descendance.

                c- Etienne-Jean-Antoine-Charles Tranier (1827-  ), menuisier à Puechganel (Lunac), marié le 6          février 1861 avec Anne-Marie Loupias, fille de Joseph et de Marie Nattes, de Bertouget (Lunac). D’où :

   - Jean-Joseph Tranier (1861-avant 1901), menuisier à Puechganel, marié avec Emilie Marty, de Sanvensa. D’où :

   -. Marcellin Tranier (1893-  ), célibataire.

   - . Alamir-Célestin Tranier (1898-  ), célibataire.

 .   - Marius Tranier (1902-  ), célibataire.

   -. Elie Tranier (1910-  ), encore en vie dans sa centième année, est allé s’établir à Pradials (La Salvetat-Peyralès) vers les années 1950, marié avec Marthe Marty, de Sanvensa. Doù :Marie-Marthe, épouse Rodriguez. Descendance à Pradials, en Région parisienne.

 -Célestin Tranier (1864-  ), célibataire.

- Marcellin Tranier (1866-1869).

- Marie Tranier (1869-  ).

- Marie Tranier (1871-1955 à la Salvetat-Peyralès).

 - Justin Tranier (1873-1874).

- Emilie Tranier (1875-  ), mariée en 1901 à Toulouse avec Adrien-Joseph Mirouze.

d- Marie-Bélonie Tranier (1832-1862), célibataire décédée à 30 ans.

3-      Jean-François dit « Charles » Tranier, qui suivra Branche de Bosclar (II.3).

4- Jean dit « Louis » Tranier, qui suivra Branche de Nougayrol (II.4).

5- Victor Tranier (1797-1834), cultivateur à Louradou, marié le 3 août 1832 avec Rose Cance (1811-1846), fille de Pierre et de Marie-Jeanne Rataboulp, du Truel (Najac). D’où :

a- Marie-Rose Tranier (1833-  ), mariée le 27 janvier 1852 avec Jean-Pierre Couffignal, cultivateur de Monteils, fils de Jean-Pierre et de Marianne Sirven. D’où :

- Jean-Pierre Couffignal (1852-1853).

- Marie-Rose-Léonie Couffignal (1854-1881), mariée le 9 septembre 1878 avec Jean Marquet, d’Alons (47), fils de Jean et de Marie Lagüe, sans descendance.

- Jean-Pierre Couffignal (1859-1890), marié le 18 juillet 1888 avec Marie-Rose Onuphre, fille de Clément et de Marie Lagarrigue, de Saint-Salvadou. Descendance inconnue.

- Célestin-François Couffignal (1863- ). Descendance inconnue.

- Jean-Baptiste Couffignal (1865-1865).

- Joseph Couffignal (1869- ). Descendance inconnue.

- Pierre-Marcellin Couffignal (1871-1882).

- François-Cyprien Couffignal (1873- ). Descendance inconnue.

- Marie-Rose-Léonie Couffignal (1875- ), mariée le 8 juin 1904 avec Marcellin Bouyssière. Descendance inconnue.

b- Pierre-Victor Tranier (1834-1858), tailleur d’habits à Louradou (La Fouillade), marié le 4 août 1857 avec Marie-Rose, de Villefranche. D’où :

         - Jérôme-Etienne-Victor Tranier (1858-  ). Descendance inconnue.

6-      Charles-Pierre Tranier, qui suivra Branche de Rouquette II.6.

7- Marie-Anne Tranier (1800-1856), mariée le 7 février 1825 avec Jean-Joseph Tranier, cultivateur à      Louradou, fils de François et de Marie-Anne Brel. D’où :

a- Jean-Joseph Tranier (1825-1825).

b- Anne-Marie Tranier (1827-1856), décédée à 29 ans.

c- Jean-Joseph Tranier (1830-1904), cultivateur à Louradou, marié le 7 août 1859 avec Marie-Rose-Saint-Amans, fille de Jean-Baptiste et Marie Acier, de la Griffoulie (Vabre-Tizac). D’où :

- Marie-Rose Tranier (1860-1903), décédée à 43 ans.

- Joseph Tranier (1862- ). Descendance inconnue.

- Jean-Baptiste Frédéric Tranier (1866-1919), cultivateur à Louradou, marié le 5 septembre 1904 avec Marie Loupias, descendante de Louis XI par sa mère, fille de Jean-Louis et de Marie-Euphrasine Moly, du Cayrou (Arcanhac). D’où descendance (voir famille Famille Loupias, de La Coste-de-Couronne II.2, Bulletin n° 72).

- Marie-Germaine-Marcelline Tranier (1868-1870).

- Marie-Julie Tranier (1871- ). Descendance inconnue.

- Marie-Marcelline-Victorine Tranier (1874-1940), mariée le 18 novembre 1901 avec Germain Tranier, cultivateur à Crouzet (La Fouillade), fils de Jean-François et de Julie Amiel, de Louradou. D’où :

. Germain-Eloi Tranier (1902-1983), marié en 1929 avec Georgette Marty, fille de Marcellin et Pulchérie Tranier (voir ci-après) 7.e. Descendance à Paris.

. Ernest Tranier (1904-1940), mort pour la France, marié en 1933 avec Anna Carrié, fille de Germain et d’Elisa Bermond, de la Bertrandie (Arcanhac). Descendance à La Fouillade, Villefranche, Paris.

. Honoré Tranier (1908-2004), marié avec sa belle-sœur, Anna Carrié. Descendance à Thonon-Les-Bains (74).

- Joseph-Denis Tranier (1879-1932), religieux missionnaire en Inde.

d- Marie-Julie Tranier (1833- ), mariée le 27 octobre 1858 avec Pierre Lagarrigue, fils de François et de Marguerite Blanc, de la Guionie (Lescure). D’où :

- Marie-Julie Lagarrigue (1859-1912) mariée en 1879 avec Jean-Pierre Philippe Fabre (1856- ), fils de Philippe et Victoire Combes, du Méjanet (Lunac). D’où :

. Marie-Julie Fabre (1882-1964 à Albi), mariée en 1926 avec Constantin Bonsirven. Descendance à Toulouse

.  Darie Fabre (1885-1959), mariée en 1906 avec Julien Loupias (1879-1959), fils de Louis-Philippe et Marie-Anne Loupias, cultivateurs de la Coste de Couronne (voir Famille Loupias III.7.f Bulletin n° 72).

  e- Alexandre Tranier (1836-1920), cultivateur à Arcanhac, marié le 14 septembre 1867 avec Léontine Saurel, fille de Victor et de Marie-Jeanne Poux, d’Arcanhac. D’où :

- Marie Tranier (1880-  ), mariée en 1897 avec Félix Fricou, du Prat-Grand (voir Famille Fricou III.2.7 Bulletin n° 72)

- Louise Tranier (1883-  ), mariée en 1910 avec Calixte-Marcellin Izard (1883-1967 à Toulouse), fils de Jean-Baptiste et Marie-Rose Fabre, de la Tapie. Descendance.

- Pulchérie Tranier (1886), mariée en 1905 avec Marcellin Marty, d’Arcanhac. D’où :

. Georgette Marty, mariée avec Eloi Tranier, son petit-cousin (voir 7.c, ci-dessus).

.  Un garçon décédé à Marnaves (81), marié avec Gabrielle Viguié, fille de Calixte et Joséphine Albanhac, de Tanus (Lunac).

. Gabriel Marty. Descendance à Tarbes, Pau, Bordeaux, en Corrèze.

. Romain Marty, clerc de Saint-Viateur.

. André Marty, marié. Descendance à Toulouse.

. Roger Marty (1921-2001), cultivateur à Arcanhac, marié avec Jeanne Viguié, de Tanus (Lunac), descendante de Louis-XI (voir Famille Segons-Viguier III.7.a, Bulletin n° 73)

- Denis Tranier (1888-1914), mort pour la France.

- Clémentine Tranier (1891-1919), décédée à 28 ans.

8- Etienne Tranier (1802-  ), horloger à La Fouillade, marié le 18 février 1852 avec Louise Brassier (1799-1866), fille d’Antoine et de Jeanne Soulié, de Villefranche, veuve Mazières. Sans descendance.

II- Jean-Baptiste Tranier (1790-1861), cultivateur à Trézières, marié le 14 novembre 1831 avec Rose Lafon (1814-1887), fille de Joseph et de Françoise Viallèles, de La Lavagne (Sanvensa). D’où :

2-      Marie-Rosalie Tranier (1832-  ), mariée le 13 février 1855 avec Jean-Baptiste Rigal (1829-  ), cultivateur de Pébrac (La Fouillade), fils de François-Amans et Marie Fraysse. D’où nés à Pébrac :

a- Jean-Baptiste-Marcellin Rigal (1855-  ). Descendance à Cordes.

 b- Marie-Rosalie Rigal (1857- ), mariée le 12 août 1877 avec Casimir Couronne, fils de Jean-Joseph et de Julie Tranier, cultivateur à Pébrac (Arcanhac). D’où :

- Adeline Couronne (1877-1950), couturière à Lunac, mariée en 1903 avec Paulin Izard, fils de Jean-Antoine et Marie-Rose Blanc, de Lescure. D’où :

. Paula-Maria Izard dite Agnès (1910- ), couturière, mariée en premières noces avec Paul-Marius Nouviale et en secondes noces avec Alfred-Lucien Delcausse, fils de François et d’Eugénie Durand, de Labadenq (Bor-et-Bar). Descendance à La Fouillade.

- Marie-Zénobie Couronne (1879-1897), décédée à 18 ans.

- Marie-Rosalie Couronne (1881-1965), mariée en 1904 avec Jean-Casimir Pomiès, établi à Rébirou (La Fouillade), fils de Jean et de Virginie Ricard, de la Romanie (La Salvetat-Peyralès). D’où :

. Paul Pomiès. Descendance à La Fouillade, Najac.

. Roger Pomiès. Descendance à La Fouillade, Savignac, Firmi, Decazeville, Marcilhac, Albi, Toulouse, Lyon.

. René Pomiès. Descendance à La Fouillade, Toulouse.

- Césarine Couronne (1883- ), couturière, marié en premières noces en 1907 avec Joseph-Victor Cabrit (1881-1914), mort pour la France, fils de Victor et Julie Thomas, de Beaudessert (Lunac), et en secondes noces en 1919 avec Zéphyrin-Léon Andrieu, fils de Philippe et d’Elise Albanhac, de Beaudessert. Descendance à Paris.

- Valentine Couronne (1888- ), mariée en 1909 avec Richard Mazières, fils de Jean-Louis et Nathalie Pradines, de Saint-Salvadou, descendant de Louis XI (famille Gaudou-Fraysse). D’où :

    . Roger Mazières. Descendance à Rodez, Bournazel (81), Laguépie (82), Albi, Paris.

    . Bertin Mazières, sans descendance.

    . Michel Mazières. Descendance à Paris, Saint-Ouen.

    . Maurice Mazières. Descendance à La Fouillade, Mouziès-Panens (81).

    . Paula Mazières. Descendance à Carcassonne, Canet (11), Lyon.

    . Denise Mazières. Descendance à Orthès (40).       

- Elie Couronne (1890-1970), épicier à Lunac, marié. Descendance à Lunac, Villefranche, Toulouse.

- Louise Couronne (1894-1975), mariée en 1920 avec Casimir Rouquet, cultivateur à Cros (La Fouillade), fils de Justin et d’Eugénie Segons. D’où :

. Agnès Rouquet, épouse Delmur. Descendance à La Fouillade, Najac, Villefranche, Maleville, Rieupeyroux, Martiel, Rodez, Cordes, Albi, Toulouse.

. Léopold Rouquet. Descendance à Arles.

. Gilbert Rouquet. Descendance à Bordeaux.

. René Rouquet. Descendance à Morlhon, Montbazens, Figeac, Bordeaux.

. André Rouquet. Descendance à Paris, dans les Alpes, en Suisse.

. Maurice Rouquet. Descendance à La Fouillade.

. Berthe Rouquet, épouse Bousquié. Descendance à Lunac, dans le Lot.

- Olivier Couronne (1897-1980), marié en 1925 avec Maria-Zélia Lafon, de Lescure. Descendance à La Fouillade.

c- Jean-François Rigal (1859-avant 1893), cultivateur à Pébrac, marié le 18 septembre 1887 avec Césarine Loupias, fille de Jean-Baptiste et de Rosalie Cazals, de Louradou. D’où :

- Alexandre-Casimir Rigal (1885-avant 1925)[110], marié en 1910 avec Marie Valière, fille de Jean-Pierre et Julie Moles, de Fournies (La Bastide-L’Evêque). Descendance inconnue

  d- Marie-Léontine Rigal (1861-  ).

                e- Marie-Anastasie Rigal (1864-1865), décédée à 1 an.

f- Paulin-Victor Rigal (1866-1952), marié le 9 avril 1893 avec Marie-Rosalie-Zénobie  Loupias (1875-  ), sœur de Césarine (voir ci-dessus c). Descendance inconnue.

g- Jean-Baptiste Rigal (1871-  ), marié le 25 avril 1897 avec Marie-Anastasie Loupias (1877-  ), fille de Jean-François et de Marianne Jonquières, de Puech-Lombert  (Rieupeyroux). D’où :

      - Marcellin Rigal (1906-1972 à Brens - 81), marié en 1929 avec Pauline Baufort, de Brens. Descendance inconnue.

h-      Marie-Adeline Rigal (1873-1966), mariée le 5 septembre 1892 avec Julien-Amans Lagarrigue (1867-  ), fils de Jean-Pierre et de Jeanne-Lucie Lalangue, des Fargues (Vabre-Tizac). D’où :

- Marie-Agnès-Julienne Lagarrigue (1900-1997 à Figeac), mariée en 1922 avec Joaquim-Auguste Alcouffe.  Descendance inconnue.

3-      Victoire Tranier (1835-1867), mariée le 11 février 1858 avec Jean-Pierre Segons, dit « Gallary » (1834-1895), d’Oubax  (Lunac). D’où nés à Oubax :

a-       Rosalie-Charlotte Tranier (1856-1856).

b-      Julie-Euphrasie Segons (1859-  ), mariée le 13 janvier 1879 avec Joseph Ferrié (1860-  ), de Cassagnes (Najac). D’où :

- Denis-Joseph Ferrié (1880- ), sans descendance.

- Julie Ferrié (1884- ), sans descendance.

- Joséphine Ferrié (1892-1979 à Villefranche), mariée en 1930 avec Joseph-Jean-Louis Rigal, sans descendance.

c-       Marcellin-Henri (1861-1861).

d-      Lucie-Rosalie Segons (1863-1871), décédée à 8 ans.

e-       Eugénie-Virginie Segons (1867-  ).

4-            Jean-Baptiste Tranier (1837-1862), décédé à 25 ans.

5-            Pierre-Casimir Tranier (1850-  ), qui suit.

III- Casimir Tranier (1850-  ), cultivateur à Trézières (La Fouillade), marié le 4 juillet 1871 avec Léontine Cazals (1850-1908), fille de Jean-Baptiste et Marie-Rose Authesserre, de Trézières (La Fouillade), la famille vend sa ferme à Segonds vers 1905. D’où :

1- Casimir Tranier (1872-1955 à Najac), cultivateur à Puechiguier (Najac), marié avec Marie Pezet et en secondes noces en 1926 avec Hélène Pradines, de Saint-André. D’où du second lit :

a- René Tranier, marié avec Jeanine Cougoule. D’où Descendance à Puechigiuer, La Fouillade, Sanvensa, Magrin (12), Albi, Toulouse.

2- Marie-Emilie-Pélagie Tranier (1874-1875), décédée à 1 an.

3- Frédéric Tranier (1875-1915), marié, mort pour la France à 40 ans. D’où :

a- Marie-Louise-Yvonne Tranier, religieuse à La Barhe-Bleys (81).

4- Marie Tranier (1878-1963), mariée à Toulouse avec André Higounenc. Sans descendance.

5- Joachim Tranier (1881-1882) décédé à 1 an.

6- Lucie Tranier (1883-1905), décédée à 22 ans.

7- Fortuné-Célestin Tranier (1884-1886), décédée à 2 ans.

8- Emile Tranier (1885-  ), marié à Noailles (81) en 1919 avec Marie-Eugénie Blanc. Descendance à Mouziens-Panens (81).

9- Henri-Jérémie Tranier (1887-  ), décédé sans descendance.

10- Denis Tranier (1891-1959 décédé à Mouzieys-Panens - 81), marié en 1920 avec Célestine-Hélène Portes. Descendance à Albi, Toulouse.

Branche de Bosclar

II.3 Jean-François dit « Charles » Tranier (1794-1875), cultivateur à Bosclar (La Fouillade), marié le 13 février 1827 avec Marie-Jeanne Balat, fille de Jean-Antoine et de Marianne Couchet, de la Vergne (Vabre-Tizac). D’où :

1-      Marie-Charlotte Tranier (1828- ), mariée le 20 mai 1871 avec Victor Segons, de Kaymar (La Fouillade), veuf, fils de Jean et de Rose Conte.

2-      Marie-Julie Tranier (1830-1883), mariée le 5 août 1857 avec Jean-François Vialelles, cultivateur à Pébraguet, fils de Jean-Pierre et Marie-Anne Boissière, de Béteille (Saint-André-de-Najac). D’où :

a- Charles-Marcellin Vialelles (1859 à Béteille-1862 à Pébraguet).

b- François-Denis Vialelles (1871- ), marié avec Marie-Eugénie Couronne, fille de Jean et de Rosalie Segonds, du Pont-Nègre (La Fouillade). D’où :

- Marthe Vialelles (1897à Lunac-1944 au Pont Nègre). Descendance dans la Région parisienne.

3-      Pierre-Charles Tranier (1832-1833).

4-      Jean-Charles Tranier (1835- ). Descendance inconnue.

5-      Joseph Tranier (1837- ), cultivateur à l’Hom (Lunac), mariée le 25 juillet 1861 avec Anne-Marie Lacombe, fille de Jean-Joseph et Rose Trézières, de L’Hom (Lunac). D’où :

a- Marie-Julie Tranier (1867- ). Descendance inconnue.

b- Marie-Sophie Tranier (1869- ). Descendance inconnue.

c- Marie-Albanie Tranier (1873-1950 à Monestiès - 81). Descendance peut-être dans le Tarn.

6-            Sophie Tranier (1840-1901), mariée le 21 novembre 1871 avec Jean-Philippe Segonds, fils de Jean et Rose Conte, qui s’établit à Bosc-Clar. D’où nés au Croup :

a- Marie Segonds (1872- ), mariée le 23 juin 1899 avec Justin Segons, mineur à Cagnac-Les-Mines (81), puis cultivateur à Sourbins (Najac), fils de François et Charlotte Segons, des Vaquans. D’où :

- Ernest Segons (1901-  ), marié avec Jeanne Pélissier. Descendance à Sourbins, La Fouillade, Toulouse.

- Marius Segons (1902-  ). Descendance à Castanet (82).

- Ernestine Segons (1904-  ), épouse Bec, du Carrelier (Mirandol-Bourgnounac – 81). Descendance au Carrelier, Le Garric, Albi, Cordes.

- Gabriel Segons (1909-  ), marié. Descendance à Agens (47).

b- Germaine Segonds (1874-1956), mariée le 20 février 1895 avec Jean-Baptiste Guibbert, cultivateur à Canabral (Saint-André), veuf d’Albine Tranier, fils d’André et de Marie-Rose Delpérié. D’où :

- Philippe dit « Henri » Guibbert (1895-1964), célibataire, sans descendance.

- Marie-Rosalie Guibbert (1898-1976), mariée le 24 octobre 1924 avec Albert Cathala à Almayrac (81). Descendance à Réalmont (81).

- Thérèse Guibbert (1900- 1983), épouse Guiral.  Descendance au Garric (81).

- Louise Guibbert (1903-2003 âgée de 100 ans), épouse Hellens. Descendance à Paris.

- Michel dit « Denis » Guibbert (1905-1994), cordonnier à Carmaux. Descendance à Carmaux, Arthès (81).

- Ernest Guibbert (1911-1987), marié avec Ida Chambert, couvreur à Saint-André. D’où un fils sans descendance.

c- Philippe Segonds (1877-1915), soldat dans l’infanterie coloniale, mort pour la France à bord du Canada, marié le 27 juin 1906 avec Marie-Célestine Cibal, fille de Pierre et de Catherine Cancé, de Castanet (82). D’où :

- Marie-Aurélie Segonds (1911-1991), mariée en 1928 avec Célestin Malbosc, de Monteils. Descendance à Monteils.

- Théophile Segonds (1913-1996), marié. Descendance à Najac, Monteils.

e- Rosalie Segonds (1882-1961 à Villefranche), mariée en 1905 avec Justin Ducor, plâtrier à Najac, fils de Charles et Charlotte Segonds. Sans descendance.

f- Euphrasie Segonds (1888-1977 à Montauban), mariée en 1913 avec Antoine Bosc, forgeron à Villevayre, puis cultivateur à Parisot, fils de Jean-Louis et Virginie Garrigues, de Loze (82). Sans descendance.

7-      Marie-Rose Tranier (1843-1843).

8-      Marie-Rosalie Tranier (1848-1894), mariée le 30 janvier 1877 avec Joseph Segons, cultivateur aux Vaquans (La Fouillade), fils de François et Marie-Rose Alaux, de la Combe del Bès (La Fouillade). D’où :

a- Marie-Balbine Tranier (1873- ), fille naturelle. Descendance inconnue.

b- Joseph Segonds (1879-1967), cultivateur à Puech-Bouyssou (La Fouillade), marié en 1904 avec Léonie Vidal. D’où :

- Emile-Adrien Segonds (1907-1975), cultivateur à Moyrazès, marié avec Marguerite Ginestet. Descendance à Moyrazès.

- Maria Segonds (1910-1972 à Albi), mariée avec Albert Farjounel, fils de Marcellin et de Léoncie Bouscayrol, de Montirat (81). Descendance à Colomiers (31).

- Ernest Segonds (1913-1973 à La Fouillade), célibataire sans descendance.

- Alice Segonds (1919-1988 à Albi), mariée avec Gaston Déléris, de Puechbouyssou. Descendance à Lyon.

- Jeannette Segonds (1922-1991 à Villefranche), épouse de Raymond Barbance. Descendance à Montauban, Paris.

- Adrienne Segonds (1926-2007), épouse d’Aimé Delhom, de Villefranche-de-Rouergue. Descendance à Toulouse.

Branche de La Coste

II.4-    Jean-Louis Tranier (1795-1879), cultivateur à la Coste (La Fouillade), marié en premières noces le 1er février 1826 avec Marie-Rose Fabre, fille de Jean-Pierre et Marie-Rose Ferran, de la Coste, marié en secondes noces le 15 juin 1875 avec Marie Amiel, veuve, fille de Jacques et Marie-Rose Bros, de La Fouillade. D’où du premier lit :

1-      Marie-Rose-Victoire Tranier (1826-1882), mariée le 4 août 1844 avec Barthélémy-Charles Delcausse, aubergiste à La Fouillade, fils de Jean-Antoine et Thérèse Miquel, de la Coste (La Fouillade). D’où :

a- Charles-Philippe Delcausse (1845-1899), aubergiste à La Fouillade, marié le 30 mars 1871 avec Marie-Rose Pradines, fille de Jean-Baptiste et Catherine Boudou, de la Coste (La Fouillade). D’où :

- Charles-Philippe-Emile Delcausse (1872-1924), aubergiste à La Fouillade, marié le 5 juin 1905 avec Marie-Madeleine-Honorine Déléris, fille de Sauveur et d’Appolonie Lagriffoul, de Saint-Salvadou. D’où :

. Raoul-Paul-Sauveur Delcausse (1870-1966), marchand à La Fouillade, célibataire.

. Georgette Delcausse (1907-2004), mariée en 1931 avec Lucien Dubroca, fils de Paul et de Marie-Jeanne Morvan, de Paris. Descendance à Toulouse.

. Marie-Louise Delcausse (1910- ), mariée en 1931 avec Michel Nouviale, fils de Cyprien et d’Albanie Miquel, de Lunac. Descendance à Lunac, Toulouse.

. Henriette Delcausse (1912-1998 dans les Alpes-Maritimes), mariée avec Joseph Terrematte. Descendance.

- Marie-Julie-Léonie Delcausse (1879-1964), mariée le 18 mars 1899 avec François Malaterre, fils de Célestin et de Rose Gayrard, de La Fouillade (bulletin n° 84 VI.4. D’où :

. Jeanne Malaterre (1899-1977 à Villefranche), institutrice célibataire.

- Alice-Thérèse Delcausse (1882-1973), mariée en premières noces le 12 mai 1906 avec Georges Aigouy, fils de Jacques et de Léontine Puech, de Naucelle et en secondes noces le 8 septembre 1928 avec Jean-Jacques Furrer. Descendance.

- Paulin-Gustave Delcausse (1887-1962), célibataire.

b- Marie-Rose-Thérèse Delcausse (1847-1926), mariée le 2 juillet 1873 avec Antoine-Julien-Arthémon Fabre, veuf, fils de Jean-Baptiste et de Victoire Ardourel, de Cabanes (La Bastide l’Evêque). D’où :

- Julien-Charles Fabre (1874-1947), marié avec Sabine Bouby, fille de François et de Marie-Christine Contensou, de Salles-Courbaties. D’où :

. Julienne Fabre (1900-1980 à Nice), mariée en 1924 avec Jules Debons fils d’Alphonse et de Léonie Malaterre, de La Fouillade. D’où Marguerite Debons, mariée. Descendance dans la Région parisienne.

. Marie-Rose Fabre (1910-1973), mariée en 1933 avec Marcel Filhol, fils de Pierre et d’Irma Filhol, des Fargues (La Salvetat-Peyralès). Descendance à La Fouillade, Rodez, Toulouse, Paris.

- Louis Fabre (1878-  ). Descendance inconnue.

c- Marie-Rosalie dite « Eulalie » Delcausse (1848-1911), mariée le 18 octobre 1870 avec Jean-François Fraysse, boucher et aubergiste à La Fouillade, fils de Jean-François et d’Anne-Marie Cathala, de Cros (La Fouillade). D’où :

- Justin Fraysse (1871-1893), soldat décédé à 22 ans en Algérie de la fièvre typhoïde.

- Anna-Gabrielle Fraysse (1876-1962), mariée le 22 novembre 1897 avec Célestin Marty, fils de Jean-Antoine et Julie Carles, de Monteils. D’où :

    . Georges Marty (1900-1984), marié en premières noces en 1923 avec Marie Delmas et en secondes noces avec Marie Puech. Descendance.

- Marie-Eulalie Fraysse (1882-1963), mariée en premières noces le 10 juin 1902 avec Lucien-André Delcausse, fils de Cyprien et Victoire Boutonnet et en secondes noces avec Joseph Vialelles. D’où :

. Antoinette-Marie Delcausse (1903-1949 à Brive), mariée le 26 novembre 1922 avec Henri-Auguste Boyer. Descendance inconnue.

. François Delcausse (1906- ). Descendance inconnue.

. Henri Vialelles (1915-  ). Descendance inconnue.

d- Julie Delcausse (1851- ), mariée le 26 juin 1875 avec Cyprien Delcausse, fils de Jean-François et Marie Blanc, de Puechganel (Lunac). D’où :

- Calixte Delcausse (1874 - ), fils naturel. Descendance inconnue.

- Justin-Firmin Delcausse (1876- ). Descendance inconnue.

g- Justin-Charles Delcausse (1853- ). Descendance inconnue.

h- Marie-Léonie Delcausse (1856- ), mariée le 4 novembre 1878 avec Jean-Pierre Lacout, fils de Jean-Pierre et Rosalie Cardaillac, de Martiel. Descendance inconnue.

2- Louis Tranier (1828-1880 à Villeneuve-sur-Lot, 47). Descendance inconnue.

3- Pierre Tranier (1829-1889), marié en premières noces le 28 janvier 1866 avec Marie-Charlotte Segonds, fille de Jean-Pierre et Marie Segons, de La Lande (La Fouillade) ; en secondes noces le 23 janvier 1878 avec Rosalie-Flavie Jonquières, fille de François et Virginie Fabre, de Labro (Lunac).

D’où, du premier lit, nés à La Coste :

a- Marie-Philippine Tranier (1867-avant 1925), mariée le 3 septembre 1884 avec François Bousquié, instituteur, fils d’Antoine et de Julie Grésilères, des Fargues (Vabre-Tizac). Descendance peut-être dans le Tarn-et-Garonne.

b- Louis-Justin Tranier (1868-1890), décédé à 22 ans.

c- Germain Tranier (1874- 1959 à Montclar-de-Quercy – 82), aubergiste à La Fouillade marié le 3 avril 1899 avec Louise-Valentine Sautarel, fille de Louis et Julie Bories. D’où des descendants peut-être dans le Tarn-et-Garonne :

- Lucienne Tranier (1900-1966), mariée en 1921 avec René Lagarrigue, fils de Vincent et Sylvie Alcouffe, de la Coste (La Fouillade). Sans descendance.

- Jeanne-Marie Tranier (1905-1997 à Montauban). Descendance inconnue.

- Justin Tranier (1908-1988 à Montauban), marié en 1930 avec Pascale Penchenat.

- Edouard Tranier (1911-1995 à Montauban), marié.

- Léopold Tranier (1913- ), époux d’Ernestine Delmas, de Génébrières (82).

      Du second lit :

d- Alexandre-Casimir Tranier (1880-1970 à Decazeville). Descendance inconnue.

e- Julien Tranier (1882- ), marié en premières noces le 2 juin 1909 avec Marie-Emilie-Berthe Lagarde, fille de Dominique et d’Emilie Viguier, du Pouget (Morlhon), et en secondes noces le 26 février 1927 à Cransac avec Marie Marty. Descendance inconnue.

4- Louis-Jean Tranier (1831- ). Descendance inconnue.

5- Joseph Tranier (vers 1832-1847).

6- Marie-Victoire (1835-1835).

7- Marie-Rose Tranier (1837-1837).

8- Charles-Louis-Joseph Tranier (1837-1837), jumeau.

9- Charles Tranier (1839- ). Descendance inconnue.

10- Etienne Tranier (1839-1839), jumeau.   

Branche de Rouquette

II.6-   Charles-Pierre Tranier (1799-1883), cultivateur à Rouquette (La Fouillade), marié le 10 février 1833 avec Charlotte Lafon, fille de Jean-Baptiste et d’Anne Estivals, de Pébraguet (La Fouillade). D’où :

1- Jean-Baptiste-Charles-Pierre Tranier (1833-  ), charpentier à la Bringoye (La Fouillade), marié avec Rose-Anne Lacoste, fille de Pierre et Marie-Rose Mourlhou, des Aleils (La Fouillade). D’où :

a-  Marie-Rosalie Tranier (1861-  ), religieuse de la Sainte-Famille.

b- Pierre-Marcellin Tranier (1862- après 1906), cultivateur à La Bringoye, marié le 30 janvier 1894 avec Rosalie Couffin, fille de Jean-Joseph et de Marie-Rose Tranier, de Vezac (Saint-Salvadou). D’où :

- Zéphirin Tranier (1895-1980 à Chatenay-Malabry), marié en 1927 avec Noélie Roumanhac, fille de Pierre-Jean-Baptiste et de Marie-Julie Lagarrigue, de Saint-André-de-Najac. Sans descendance.

- Maria Tranier (1896-1978 à Montarnaud - 34), mariée en 1919 avec Marius Fiol, fils de Joseph et Fanny Vernhet, de Frontignan. Descendance à Montpellier, l’Ile de La Réunion.

- Angéline Tranier (1898-1980 à Toulouse), mariée en 1925 avec Gabriel-Lucien Sautarel, fils de Justin-Célestin et de Marie Cayrou, de La Fouillade. D’où un fils et deux filles sans descendance.

-          Paulin Tranier (1901-1970), cultivateur à La Bringoye , marié en 1928 avec Maria-Doria Cadillac, de Bibal (La Salvetat-Peyralès). D’où :

     . Yvette Tranier, épouse Bousquet. Descendance à Montpellier.

     . Marguerite Tranier, épouse Fricou (voir famille Fricou III. Bulletin n° 72)

 . Paul Tranier, époux Chapperon. Descendance à La Fouillade, Villefranche, Pradinas, Baraqueville.

     . Paulette Tranier, épouse Roumagnac. Descendance à La Fouillade, Rodez, Périgueux.

- Lucien Tranier (1905-1984), marié avec Agnès Saint-Amaux. Descendance à Najac.

-          Michel Tranier (1908-1978), marié avec Raymonde Boyer, de Toulzanes (La Fouillade). Descendance à Maleville, Saint-Hyppolite (12), Montpellier.

c- Marie-Julie Tranier (1863- ), mariée le 21 février 1892 avec Cyprien Bousquière, fils d’Auguste et de Marianne Lacoste, de Lagarde-Viaur (81). D’où :

- Germain Bousquière, d’où deux fils sans descendance.

d- Casimir Tranier (1865- ), célibataire.

e- Justin-Joseph Tranier (1871-1895), décédé à 24 ans.

f- Emilie Tranier (1874-1895), décédée à 21 ans.

g- Cyprien-Olivier Tranier (1876- ). Descendance inconnue.

h- Marie-Angéline dite « Orancie » Tranier (1879- ). Descendance inconnue.

2- Jean-Baptiste-Auguste Tranier (1835-1921), scieur de long à Rouquette, marié le 27 juin 1864 avec Marie-Rose-Victoire Rouziès, fille de Guillaume-Jean et Marie-Charlotte Cazals, de L’Albret (La Fouillade). D’où :

  a- Marie-Rosalie Tranier (1865- ). Descendance inconnue.

  b- Marie-Marcelline Tranier (1867- ), mariée le 26 septembre 1890 avec Joseph-Philippe Armand, fils de Joseph et de Marie-Rose Soulié, de Lunac. D’où :

- Marie-Emilie Armand, mariée le 28 juin 1913 avec Casimir Lacombe, fils d’Antoine et de Marie Béteille, de Maligorse (Morlhon). Descendance inconnue.

c- Auguste-Marcel dit « Casimir » Tranier (1870-1955), sabotier à Rouquette, marié avec Marie-Rose-Emilie Olié. D’où :

- Auguste-Roger Tranier (1895-1916), mort pour la France, tué devant Verdun. 

- Marthe Tranier (1896-1983), mariée en 1932 avec Achille Albouy. D’où :

. Rosette Albouy, épouse Dalet, du Pradel (Saint-André). Descendance à Toulouse.

- Jean-Baptiste Tranier (1899-1977 à Palaiseau), marié en 1927 avec Camilla Roumagnac, de Saint-André. D’où :

. Yvonne Tranier. Descendance à La Fouillade, Paris, Dijon.

- André Tranier (1902-1980), marié en 1927 avec Joséphine Foucras, fille naturelle. Descendance à Paris.

- Casimir Tranier (1904-1985 à Cahors), marié. Descendance inconnue.

e- Jean-Baptiste Tranier (1875). Descendance inconnue.

f- Marie-Gabrielle Tranier (1878- ), mariée le 30 novembre 1896 avec Angel Soave, cultivateur à la Braguèse (Arcanhac), fils de Benedetto et Caterina Cambrarino, de Sant-Elia-Fiume-Rapido (Italie). D’où :

- André Soave, marié avec Gabrielle Loupias, de La Braguèse (Lunac). D’où :

    . Georgette Soave, épouse Escafre, de Verfeil-sur-Seye (82). Descendance à Arnac, Sept-Fonds, Caussade, Moissac, Toulouse.

    . Adrien Soave. Descendance à Auch, Toulouse, Grenoble.

    . René Soave. Descendance à La Fouillade, Lunac, Villefranche, Capdenac, Rodez, Montpellier, Lannemezan (40).

    . Andrée Soave, épouse Robert. Descendance à Toulouse, Saint-Antonin (82), Paris.

- Alice Soave, mariée avec Germain Lacassagne. D’où :

    . Germaine Lacassagne, épouse Trézières, de l’Hom (Lunac). Descendance à Lunac, Martiel, Causse-et-Diège, Rodez, Laguépie, Bordeaux, Lyon.

- Gabriel Soave, marié au Ségur (81). D’où :

    . Francine Soave. Descendance au Ségur.

    . Fernande Soave, sans descendance.

- Justin Soave (1902- ), marié en 1926 avec Maria Segons, descendante de Louis XI par son père (voir Famille Segons, Bulletin n° 73).

- Marie Soave (1907-1987 à Saint-Genest de Contest - 81), mariée en 1930 avec Alexandre-Justin Souyri. D’où :

    . Fernand Souyri. Descendance à Réalmont (81).

- Angèle Soave (1913-2001 à Monestiès 81), mariée en 1931 avec Elie-François-Marcellin Alaux, fils de Marcellin et Léoncie Cayrou, de Laguépie. D’où :

    . Eliette Alaux. Descendance à Cagnac-Les-Mines (81).

    . Bernard Alaux. Descendance au Ségur (81).

    . Roger Alaux. Descendance à Bordeaux.

    . Alain Alaux. Descendance à Montluçon.

- Andréa-Gabrielle Soave (1918-1995 à Monestiès), mariée avec Sébastien Combres. D’où :

    . Gilbert Combres. Descendance à Réalmont.

    . André Combres, sans descendance.

3- Charlotte Tranier (1837-1917), célibataire.

4- Julie Tranier (1839-1841).

5- Philippe Tranier (1841-1848).

6- Lucie Tranier (1843-1844).

7- Jean-Baptiste Tranier (1845- ). Descendance inconnue.

8- Jean-Baptiste Tranier (1846-1920), cordonnier à La Fouillade, marié le 24 janvier avec Marie-Julie Molinier, fille de Jean-Joseph et de Marie-Rose Bayol, de Trébessac (La Fouillade). D’où :

a-       Célestin Tranier (1876- ), marié avec Maria Gil (1883-1964), fille de Lanfranc et Joséphine Delcausse, de Cassagnes (Najac). D’où :

. Anna Tranier (1904-1971 à Luchon), mariée avec Marius Espouy en 1928. Descendance à Luchon.

. Gabriel Tranier (1906- ), marié avec Renée Colas. Descendance à Villefranche, Rodez, Toulouse.

. Denise Tranier (1908-1992), mariée en 1932 avec Maximin Tressol (1881-1946). Descendance à Villeneuve, Clermont-Ferrand, Toulouse, Paris, Sénégal.

. Paul Tranier (1910-1944), marié en 1929 avec Denise Dintillac, de Puechiguier (Najac). Descendance à Bordeaux.

. Adrienne Tranier (1913-2004), célibataire.

. Hélène Tranier (1914-1991), mariée avec Maurice Albar. Descendance à Toulouse, Amiens, dans l’Est, aux USA.

. Jeanne Tranier (1917-1995), mariée avec Roger Géraud, son cousin germain de Lodève fils d’Aimé Géraud et Angéline Tranier. Descendance à Rodez, Saint-Geniez, Lodève, Saint-Saturnin (34), Clermont-L’Héraut, Montpellier.

. Alfred Tranier (1919-1972), marié avec Laurette Izard, descendante de Louis XI (voir Famille Segons II.7-1b).

. René Tranier (1921-1968), marié avec Alice Jugon. Descendance à Alès, Anduze (30).

. Charlotte Tranier (1927- ), mariée avec André Nayral. Descendance à Rodez, La Primaube, Biarritz, Paris, Rennes.

b-      Angéline Tranier (1879- ), mariée en 1907 avec Aimé Géraud. D’où Roger Géraud, marié avec Jeanne Tranier (voir ci-dessus).

c-       Louis Tranier (1881-1951), marié en 1912 avec Marthe Molinier (1887-1928), de la Fouillade. D’où :

. Lucienne Tranier (1913-2010), mariée avec Edmond Tranier, de La Fouillade. Descendance à Rodez, Albi, Toulouse.

. Juliette Tranier (1918-1988), célibataire.

. Madeleine Tranier (1920-2005), mariée avec Gabriel Taché. Descendance à La Fouillade, Toulouse, Paris, Caen, aux USA.

  e- Louise-Marthe dite « Berthe » Tranier (1892-1982), marié à Lodève. Descendance à Lodève.

9- Victor-Casimir Tranier (1851-1876), décédé à 25 ans.

                                 Famille Lacoste

La famille Lacoste, de Trézières, n’habite ce village que depuis 1735 par mariage avec Marie Trézières. Le patronyme Lacoste n’est pas très répandu : on note Jean Lacoste en 1582 à Fl auzins. Il peut être confondu avec Coste (Costa)[111], qui signifie côte, d’où les nombreux villages La Coste.

I- Bernard Lacoste (1772-1845), fils de Bernard Lacoste et Marianne Enjalbert, de Trézières (Arcanhac), épouse le 24 juillet 1797 Marie-Rose Loupias (1774-1839), fille de Simon et de Jeanne de Morlhon. Bernard Lacoste vient habiter à La Bertrandie sur une partie du domaine que sa femme a eu en héritage. La proximité des biens avec ceux de leur beau-frère, Jérôme Fricou, occasionne des conflits. Par jugement du 28 mai 1812, Bernard Lacoste et son épouse font assigner leur beau-frère afin de se concilier sur les différents qui les opposent à propos d’un patus, d’une écurie, d’un passage, etc. Quelques années plus tard, les deux couples procèdent à un échange : Bernard Lacoste et Marie-Rose Loupias laissent leurs bâtisses de La Bertrandie contre la construction d’une maison au terroir de La Garriguette[112]. De leur union sont nés :

1- Bernard Lacoste (1798-1798), décédé à 7 mois.

2- Antoine-Amans Lacoste (1799-1854), qui suit.

3- Jean-Martin Lacoste (vers 1802-1832), cultivateur à La Garriguette (La Fouillade), décédé à 30 ans.

4- Marie dite « Rose » Lacoste (1803-1895 à Combret). Descendance inconnue.

5- Hélène-Rose Lacoste (1806-1824), décédée à 18 ans.

6- Jean-Baptiste Lacoste (1808-1834), célibataire, charpentier à La Garriguette, décédé à 26 ans.

7- Marc Lacoste (vers 1809-1836), célibataire, décédé à 27 ans.

8- Marie-Rose Lacoste (1811-1811), décédée à 20 jours.

9- Victor Lacoste (1811-1811), décédé à 20 jours, jumeau.

10- Marie-Thérèse Lacoste (1813-1854), mariée le 10 mai 1838 avec Jean-François Dutaur (1812-1887), cultivateur à La Fouillade, fils de Jean-François Dutaur (1772-  ), cultivateur à Loupiac (La Fouillade), puis à Montirat (Tarn), et de Marie Bez (Bès). D’où nés à la Garriguette (Arcanhac) :

a- Marie-Julie-Sophie Dutaur (1840-1913 à Villefranche), mariée avec son cousin voir ci-dessous III.

b-      Marie-Rose Dutaur (1843- ).

c- Jean-François Dutaur (1845- ), marié avec Marie-Léontine Chambert. D’où, nés à la Peyrière (La Fouillade) :

-    Marie-Léontine Dutaur (1873-1956 à Villefranche). Descendance inconnue.

-    Adeline Dutaur (1878-1963 à Champs-sur-Marne - 77). Descendance inconnue.

-    Paulin Dutaur (1882- ). Descendance inconnue.

-    Joséphine Dutaur (1884-1964 à Auriac-sur-Vendinelle - 31). Descendance inconnue.

-               Sophie Dutaur (1885-1977 à Montpellier). Descendance inconnue.

II- Antoine-Amans Lacoste (1799-1854), garde champêtre, cultivateur à Vernhecave (Lunac), marié le 27 janvier 1833 avec Marie dite « Julie » Alcouffe (1814-1873), fille de Joseph-Simon et de Marie Jonquière, de Vernhecave (Lunac). D’où :

1-      Julie Lacoste (1835 à Rébirou-ap.1896 à La Peyrade - Lunac), sans descendance.

2-      Sophie Lacoste (1837-ap.1906), sans descendance.

3-      Joseph-Amans Lacoste (1840 à Laucédat-1841 à Vernhecave).

4-      Marie-Rosalie Lacoste (1843- ), mariée le 20 aout 1871 avec Jean-Victor Segons, cultivateur à Falgayrolles (Sanvensa). D’où :

a-                                     Victor-Jules Segons (1875- 1917), mort pour la France, marié en 1904 avec Germaine Cazelles (1883-1960), fille de Jacques et Marie-Rose, de Pébrac. D’où

- Victor-Jules-Ernest Segons (1907-1986), marié en 1935 au Ségur (81) avec Marthe Ichard. Descendance inconnue.

5-      Antoine-Alexandre Lacoste (1845-  ), qui suit.

6-      Marie-Rose-Euphrasie Lacoste (1847-1850) décédée à 3 ans.

7-      Marie-Charlotte Lacoste (1849-1850), décédée à 1 an.

8-      Célestin-Casimir Lacoste (1851- ), fermier et propriétaire à Bertouget (Lunac) et aux Combes (Sanvensa), marié avec Marie-Rose Fournier. D’où :

a-       Célestin-Justin Lacoste (1875-1957), marié avec Rosalie Déléris. D’où :

-                                                  Madeleine Lacoste, épouse Fabre, cultivateur à La Basserie (Laguépie). Descendance à Vabre-Tizac, Villefranche, Privezac, Laguépie, Albi.

-                                                  Théophile Lacoste, marié avec Maria Regourd. Descendance à La Fouillade, Vabre-Tizac, Boussac, Laguépie (82), Figeac, Aurillac, Narbonne.

-                                                  Roger Lacoste, marié avec Zélia Alaux. Descendance à Toulouse.

b-      Rose Lacoste (1876-  ) mariée en 1899 avec Zéphirin Nouviale, de Lescure. Descendance à Lescure.

c-       Angèle-Joséphine Lacoste (1879-1946).

d-      Célestin-Alexandre Lacoste (1884-  ). Descendance inconnue.

9-      Philomène Lacoste (1854-  ), sans descendance.

III- Antoine-Alexandre Lacoste (1845-  ), cultivateur à Vernhecave, marié le 24 avril 1870 avec Marie-Sophie Dutaur (1849-1913 à Vernhecave), fille de Jean-François et de Marie-Thérèse Lacoste, de La Fouillade (voir I-10). D’où :

1-      Marie-Léonie Lacoste (1871-1872), décédé à 1 an.

2-      Augustin Lacoste (1872-1929), qui suit.

3-      Célestin-Jules Lacoste (1875-1876), décédé à 1 an.

4-      Germain Lacoste (1876-1954), cordonnier à La Peyrade, marié en secondes noces avec Basilie Carles, de La Bastide-L’Evêque. D’où :

a-      Denise Lacoste, épouse Soulié. Descendance à Villefranche.

b-      Renée Lacoste, épouse Cougoule. Descendance à Rodez, Toulouse.

5-      Philomène Lacoste (1878-  ), mariée en 1904 avec Marcellin Astoul, né à Lunac, ouvrier à Decazeville. Descendance inconnue.

6-      Elie-Justin Lacoste (1881-1882), décédé à 1 an.

7-      Alexandre-Elie Lacoste (1883-1883).

8-      Hermine Lacoste (1884-1966 à Villefranche), mariée en 1905 avec Louis Thomas, de Laurélie (Bor-et-Bar). Descendance inconnue.

9-      Claudine Lacoste (1888-1968 à Laguépie - 82). Descendance inconnue.

10- Agnès Lacoste (1891-1975 à Saint-Thibéry – 34). Descendance inconnue.

IV- Alexandre-Augustin Lacoste (1872-1929), cordonnier à Vernhecave, marié le 25 juillet 1897 avec Marie Germaine Léone Pauzié (1873-1902), d’Ayres (La Capelle-Bleys). D’où :

1- Augustin-Alexandre Lacoste, qui suit.

D’un second mariage :

2-Jérémie Lacoste, cordonnier à Vernhecave, sans descendance.

V- Augustin Lacoste (1899-1978 à Najac), marié avec Gabrielle Alaux (1902-1988 à Villefranche), de La Montarnie (Lescure-Jaoul). D’où :

1- Moïse Lacoste, cultivateur aux Cayroux (Lescure-Jaoul), marié avec Marie-Louise Alias. Descendance à Lescure-Jaoul, Bagnères-de-Bigorre.

2- René Lacoste, marié avec Madeleine Vaysse. Descendance à Villefranche, Paris.

3- Jean-Raymond Lacoste, marié avec Ginette Strac, retraité à Najac, sans descendance.

4- Solange Lacoste, mariée avec Claude Fayret. Descendance à Villefranche.

 

 Famille de Morlhon - Planecassagne               Descendance en pays de Montbazens de 1716 à 1876 environ

Marguerite de Morlhon, seconde épouse de Bernard Planecassagne, appartient à la descendance de Morlhon d’Auteyrac mentionnée dans la première partie[113] de cette étude sur la descendance naturelle de Louis XI en Rouergue. Aïeule du cardinal Marty par sa fille Marianne Planecassagne, seul ce lien avait été sommairement développé. Ce qui suit veut être le complément de ce premier travail et cherchera à établir la descendance des autres enfants du couple Planecassagne - de Morlhon.

 La généalogie de cette branche cadette de la famille Morlhon-Sanvensa,[114] est largement détaillée dans l’article précédent du bulletin du C.G.R. [115]. D’où : la descendance naturelle du Roi Louis XI en Rouergue par la famille de Marcilhac (4ème partie) - Branche de Lunac. D’où : Guillaume de Morlhon et Anne de Marcilhac.

C’est la postérité de l’un des descendants de cette branche de Lunac qui est reprise dans cette 5ème partie d’étude généalogique descendante.

III- Charles de Morlhon d’Autayrac (1660-1748), seigneur de Fénayrols. D’où :

-1      Jean de Morlhon d’Autayrac ( -avant 1774).

-2 Joseph de Morlhon (  -1781), archiprêtre de Conques.

-3 Jacques de Morlhon (  -1746), chanoine, archiprêtre de Conques.

-4 Guillaume de Morlhon (1705-1785).

-5 Marguerite de Morlhon (d’Auteyrac) (vers 1695-avant 1763), Delle qui épouse vers 1716 Bernard Planacassaigne (1683-1759), bourgeois de Lugan. Leurs sept enfants constituent la Branche Planecassagne-de Morlhon, objet de cette étude généalogique.

-6 Marie Anne de Morlhon (vers 1693-1748).

-7 Marie de Morlhon, religieuse.

-8 Antoinette de Morlhon (vers 1716-1792).

Un peu d’étymologie

Le patronyme Planecassagne (ou Planacassaigne. D’où : parmi ses nombreuses autres formes) est assez répandu en Rouergue et dans le Sud-Ouest. Il a probablement pour origine un surnom, second élément ajouté au nom de baptême et dont l’utilisation est déjà fréquente dès le XIIIe siècle. Ce surnom, ancêtre du nom de famille actuel, appartient au groupe des noms d’origine, catégorie la plus ancienne de ce type de surnoms. Pour chaque entité familiale, il se substitue progressivement à toute autre construction patronymique et s’impose comme nom de famille unique.  Il s’agit très vraisemblablement d’un nom d’origine dit de voisinage topographique. Composé de deux éléments (Plane et Cassagne), chacun doté de variantes, il s’ensuit un nombre important de combinaisons[116] qui n’altèrent cependant pas la signification de ce patronyme ; lieu plat, plaine ou étendue plane plantée de chênes dont les membres d’une même famille étaient voisins.

Les Planecassagne, du Repayre de La Cahuaire à Lugan

En remontant l’ascendance de Bernard Planacassaigne[117], on constate que cette famille bourgeoise est présente au Repayre de La Cahuayre au moins depuis le XVIe siècle.

Les repaires[118] sont ces bâtisses fortifiées, souvent construites dès le Moyen Age par de riches familles bourgeoises ou marchandes sur de grands domaines qui leur sont loués. Ces repaires ou maisons fortes bourgeoises, sont rarement liés à des droits seigneuriaux. 

Contrairement à bien d’autres repaires, La Cahuayre ne semble pas être à l’origine d’un village ni même un lieu de refuge accolé au village du même nom. Ici, les générations d’une même famille s’y succèdent et s’y protègent des guerres et des périodes troubles. Il ne reste aujourd’hui qu’une bâtisse ruinée de ce « camp retranché » familial à Lugan.

Quelques degrés d’ascendance Planecassagne :

1-  Bernard Planacassaigne (1683-1759), fils de

2–  François Planacassagne (1654-1730), marié en 1676 à Saint-Félix avec

3–  Marguerite (de) Cassan (1663-1724, delle de Floyrac

4–  Bertrand Planecassaigne (1611-1671), marié avant 1676 (à Montbazens ?) avec

5–  Marie (d’) Expert de Montbazens

8–  François Planecassaigne, de La Cahueyre en Rouergue, marié 1608 avec

9–  Louise de Villaret, de Sévérac-le-Château

12- Pierre Planecassaigne, marié vers 1580 avec

13- Gaspare de Balaguier du Repaire [119]        

24 - et probablement Jean (de) Planecassagne, marié vers 1550 avec

25 - Jeanne Vayssières, du Mas de Salles à Lugan.

La descendance Planecassagne–de Morlhon est importante et peu disséminée géographiquement. Le recensement de la population de 1876 montre que les descendants du couple vivent majoritairement dans le canton de Montbazens (Vaureilles-Pachins, Galgan, Montbazens, Lugan, Anglars...).

Plan général de la descendance Planecassagne-de Morlhon sur trois degrés

I – Bernard Planecassagne et Marguerite de Morlhon. Souche familiale implantée à Lugan (12), au Repayre de La Cahuayre[120]. D’où :

1. François Planacassaigne. Descendance inconnue.

2. Charles Planacassagne. Descendance inconnue.

3. Guilhaume Planecassagne, marié avec Marie Constans. Branche Bricard, de Vaureilles.

4. Jean Planacassagne marié avec Françoise Marty. Branche Planecassagne de Galgan.

.a  Marianne Ière Plenacassagne mariée avec Jean Salès. Sous-Branche Salès, de Vaureilles.

.b Guillaume Planecassanhe marié avec Marianne Couffin. Sous-Branche Couffin.

.c  Jean Planecassagne. Sans postérité.

.d Marianne II [121] Planecassagne. Descendance inconnue.

.e  Pierre Planecassanhe. Descendance inconnue.

.f   Marie Planecassagne. Descendance inconnue.

.g Jean-François Plenacassagne. Descendance inconnue.

.h Françoise Planecassagne. Célibat probable - Descendance inconnue.

.i   Bernard Plenecassagne. Sans postérité.

.j   Magdelaine Planecassagne, célibat probable - descendance inconnue.

b. à j. étant des Sous-Branches Planecassagne, de Galgan

5. Marianne Planecassagne mariée avec Jean Joulie. Branche Joulie, de Lugan.

.a  Antoine Joulie marié avec Gabrielle Lapeyre. Sous-Branche Joulie-Lapeyre.

.b Bernard Joulie. Descendance inconnue.

.c  Jean Joulie. Descendance inconnue.

.d Christine Joulie mariée avec Bernard Noël. Sous-Branche Joulie-Noël.

- Christine I ère Noël. Sans postérité.

- Pierre Noël marié avec Marie Lagarde. Rameau Noël-Lagarde.

- Marianne Noël mariée Antoine Rouzières. Rameau Noël-Rouzières.

   Marianne Noël remariée avec Jean Antoine Raynès. Rameau Noël-Raynès.

- Jean Antoine Noël. Descendance inconnue.

- Christine II Noël mariée avec Jean François Foissac. Rameau Foissac, de Vaureilles.

- Bernard Noël. Célibat probable - Descendance inconnue.

- Joséphine Noël mariée avec Claude Bras. Rameau Bras-Marty, de Vaureilles [122].

- Marie Noël. Célibat probable - Descendance inconnue.

.e  Marie Rose Joulie. Descendance inconnue.

.f  Jean Chrisostome Joulie. Descendance inconnue.

.g Louis Joulie marié avec Marianne Garrigues. 1ère Sous-Branche Joulie-Garrigues.

.h Jean Louis Joulie. Descendance inconnue.

.i   Guilhaume Joulie marié avec Anne Garrigues. 2ème Sous-Branche Joulie-Garrigues.

6. Planecassagne Marguerite mariée avec Jean III Lafon. Branche Lafon, de Lugan.

.a  Antoinette Lafon mariée avec Louis Maldès. Sous-Branche Lafon-Maldès.

.b Pierre Jean Lafon. D’où : Descendance inconnue.

.c  Gabrielle Lafon mariée avec François Falguières. Sous-Branche Lafon-Falguières.

.d Marie Anne Ière Lafon. D’où : Sans postérité.

.e  Marie Lafon mariée avec Jean-Baptiste Bruel. Sous-Branche Lafon-Brue.l

.f  Marie Anne II Lafon mariée avec Jean Delbosc. Sous-Branche Lafon-Delbosc.

7. Planecassagne Antoinette mariée avec Pierre Alazard. Branche Alazard, de Lugan.

.a  Jacques Alazard marié avec Marie Garric. Sous-Branche Alazard-Garric.

.b Guilhaume Alazard. Descendance inconnue.

.c  Catherine Alazard mariée J avec ean Marty. Sous-Branche Alazard-Marty.

.d François Alazard. Descendance inconnue.

.e  Marie Anne Alazard mariée avec François Miral. Sous-Branche Alazard-Miral.

Branche Bricard, de Cureboursot Vaureilles

I.3. f. Guilhaume Planecassagne (1718/-1804) est marchand, fermier (1783) à Rayssac (Pachins), puis métayer du domaine del Bez à Lanuéjouls (1788). Ce troisième fils de Marguerite de Morlhon se marie tardivement à Pachins, le 23 juillet 1783 avec Marie Constans qui est du village de Camburat (Pachins), fille de Joseph Constans et d’Antoinette Bonnet, tisserands à Camburat. D’où une fille née à Camburat, un mois avant leur mariage :

1.  Marie Planecassagne (1783-1829/), native et habitante de Cureboursot à Vaureilles qui épouse le 17 juillet 1805 à Vaureilles Pierre Bricard (1769-1811), natif des Mansies (Anglars Saint-Félix), fils de Jean Bricard ou Bricary et de Catherine Martin, cultivateurs aux Mansies. Dont postérité à Cureboursot et Cransac :

a-  Jean dit Pierre Bricard (1806-1867), qui épouse avant août 1833 Marie dite « Nathalie » Tournamire (vers 1811-1869/). Dont descendance à Cureboursot puis à La Pradelle (Rignac) :

- Pierre Jean Julien Bricard (1833- ). Descendance inconnue à Vaureilles.

- Marie Félicité Bricard (1835- ). Descendance inconnue à Vaureilles.

- Augustin Bricard (1836-1837), décédé à l’âge de cinq mois.

- Léonie Bricard[123] (vers 1837-1855), morte à 19 ans. Sans alliance ni postérité.

- Rosalie Bricard (1840-1840), décédée à l’âge de quatre mois.

- Marie Albine Bricard (1841-1879), qui épouse le 21 février 1867 à Anglars Saint-Félix, Joseph Viguier (1837- ), né au village du Tronc (Anglars Saint-Félix), fils de Barthélémy Viguier et de Marie Anne Viguier, propriétaires-cultivateurs. Le couple, installé dans ce même village du Tronc d’Anglars, aura six enfants. D’où :

. Joseph Benjamin Viguier (1868-1884).

. Victor Julien Viguier (1869-1891).

. Auguste Léon Viguier (1871- ).

. Marie Nathalie Zénobie Viguier (1872- ).

. Auguste Urbain Viguier (1875-1878), décédé à l’âge de 3 ans.

. Marie Sylvie Viguier (1876- ).

- Rosalie dite « Joséphine » Bricard (vers 1842- )[124], qui épouse le 29 juin 1865 à Escandolières Etienne Sahut ou Sahuc (1830- ), du hameau de La Tétonie, commune de Glassac et mairie d’Auzits en 1830. Il est cultivateur, fils d’Etienne Sahuc et Rose Auréjac, propriétaires à La Tétonie (Escandolières). Trois fils du couple Sahut-Bricard y naissent. D’où :

. Adrien Sahut (1867- ).

. Etienne dit « Jean Sahut » (1870-1951).

. Germain dit « Léon Sahuc » (1878- ).

- Nathalie Bricard (1843-1844), morte à un an.

Les époux Bricard-Tournamire quittent Cureboursot fin 1844 pour être propriétaires (cultivateurs) à La Pradelle de Rignac.  

- Marie dite « Nathalie Bricard » (1845-1879), qui épouse à Rignac le 13 juin 1869 Paul dit « Auguste » Arthémon Revel (1839-1897/), propriétaire-cultivateur d’Anglars Saint-Félix, fils de Paul Revel et de Victoire Hérail, cultivateurs de La Bassoulie à Anglars-Saint-Félix. Le couple s’installe à La Bassoulie. D’où :

. Paul dit « Auguste » Revel (1870- ), cultivateur à La Bassoulie, qui épouse le 17 février 1897 à Compolibat Marie dite « Alphonsine » Bedel (1874- ), de Combret à Compolibat, fille de Louis Bedel et de Marie Mélanie Costes, cultivateurs à Combret.

. Marie Nathalie Revel (1873-1948), peut-être sans alliance.

. Julien Basilic Revel (1875- ), qui épouse le 3 mai 1902 à Anglars Saint-Félix Noémie Clotilde Marie Gabrielle de Peyrelade.

. Nathalie Rosa Revel (1878- ), qui épouse à Anglars Saint-Félix le 17 janvier 1900 Pierre Léon Francès.

b-  Félicité dite « Marie » Bricard (1809-1844), Delle, qui épouse le 20 novembre 1829 à Vaureilles Pierre Jean Julien Lafon (1800-1887), de Cransac, fils de Pierre Jean Lafon et de Marie Anne Foulquié, propriétaires-cultivateurs à La Rayasse (Cransac). Le couple est établi comme propriétaires-cultivateurs au village des Clots à Cransac où naissent leurs descendants. D’où :

- Pierre Jean Julien Ier Lafon (1832-1832), mort à l’âge de huit jours.

- Pierre Jean Julien 2ème Lafon (1833- ), propriétaire-cultivateur aux Clots (Cransac), qui épouse le 8 février 1857 à Aubin Marie dite Sophie Lescure (1839- ) fille de Louis Lescure et de Marie Tardieu, propriétaires-cultivateurs d’Aubin. D’où :

. Marie dite Sophie Eulalie Lafon (1858- ), qui épouse le 12 février 1879 à Cransac Pierre dit Germain Imbert (1857- ), propriétaire à La Graudie de Drulhe, fils de Jean Imbert et de Victoire Souyri aussi de La Graudie (Drulhe).

. Justine Henriette Lafon dite « Marie » (1860- ), qui épouse le 10 novembre 1879 à Cransac Guilhaume « Marcellin » Fonteilles (1852- ), comptable né à la Rayasse de Cransac, domicilié à Fréjus et résidant à Paris 9ème, fils de Pierre Jean Fonteilles et de Rose Guiraudie, propriétaires à La Rayasse. Le couple Lafon-Lescure, habitant toujours Les Clots à Cransac (1879), semble ne pas avoir eu d’autres enfants.[125]

- Marie Henriette Lafon (1840-1844), morte à l’âge de trois ans.

- Jean Louis Auguste Lafon (1844-1844), mort âgé de trois semaines.

En 1844, le dernier né meurt en bas âge, suivi deux mois et demi après de la mère et de la jeune sœur décédées le même jour. ierre Jean Julien Lafon (père) se remarie à Cransac le 30 septembre 1846 avec Marie Jeanne Montbressous (1802-/1887), servante née au hameau de Sols à Noailhac, fille de Pierre Montbressous et de Jeanne Delannes.

                        Sous-Branche Salès, de Vaureilles (cf. Plan général de descendance sur 3 degrés)

I.4. a. Marianne Planecassagne, mariée avant 1802 avec Jean Salès (1754-1828), maçon né au village du Tayral à Vaureilles, fils de Jean Salès, travailleur et de Laurence Labrunie. Il épouse avant 1802 Marianne Planecassagne (vers 1764-1805), fille aînée de Jean Planecassagne, marchand (1763) puis paysan au Mas de Marty à Galgan et de Françoise Marty. Leur postérité ne semble être que d’une fille, née au Tayral. D’où :

1. Françoise Salès (1802-1886), cultivatrice, qui épouse avant 1828 Jean Pierre Doumayrenc (1803-1885), né à Privezac, fils de Jean Pierre Doumayrenc et de Marianne Biccus, charron (1828 au Tayral) puis cultivateur au village de Sangayrac à Montbazens. Leurs deux premiers enfants naissent au Tayral, le troisième à Saint-Igest et les quatre autres à Sangayrac. D’où :

a-       Jean Pierre Ier Doumayrenc (1828-1828), mort à l’âge d’un mois.

b-       Marie Doumayrenc (1829- ), qui épouse à Vaureilles le 17 octobre 1866 Lucien Amiel (1839- ), cultivateur domicilié à Bordeaux, né à Tarascon-sur-Ariège, fils de Bernard Amiel et d’Anne Canal. Sans descendance connue à Vaureilles, postérité éventuelle à Bordeaux ou Tarascon sur Ariège.

c-       Jean Pierre II Doumayrenq (1835-1857), militaire décédé à Souk-el-Arba (Afrique). Probablement sans alliance.

d-       Marie Rosalie Doumayrenc (1837-1892/), qui se marie le 21 juillet 1858 à Vaureilles avec Antoine Marty (1828-1892/), veuf de Marie Rigal, décédée trois années plus tôt, fils de Jacques Marty et de Marie Boursignac, couvreur à La Carreyrie commune d’Anglars Saint-Félix où il est né et demeure. Le couple est installé à La Carreyrie. D’où :

- Cyprien Marty (1859- ) alliance et/ou descendance non connue.

- Nathalie Marty (1861- ) alliance et/ou descendance non connue à Anglars.

- Phanie dite « Marie » Marty (1864- ), qui épouse à Anglars Saint-Félix le 12 octobre 1892 Adrien Garrouste (1864- ), du Miraillou, village de la commune de Cassagnes-Comtaux (Goutrens), fils de Louis Garrouste et de Clémentine Bosc, cultivateurs au même Miraillou.

- Marie dite « Rosine » Marty (1866-1880), décédée à l’âge de quinze ans.

- Hippolyte Adrien Marty (1870- ), qui épouse Marie Justine Anne Cavalié le 4 février 1906 à Maleville.

 - Adolphe Cyprien Marty (1873-1952), qui épouse Marie Julie Pomié le 5 août 1906 à Vaureilles. Il décède à Anglars Saint-Félix.

e- Marie Justine Doumayrenc (1839-1904 à Hannonville dans la Meuse) ; ses déplacements hors Aveyron sont nombreux sans doute motivés par l’activité de son mari Philippe Joseph Schlegel (1835- ), garde-forestier en 1870, né à Sarre-Union (Bas-Rhin) qu’elle a épousé le 14 mars 1870 à Metz. Le couple aura au moins quatre enfants dont les deux premiers sont légitimés au mariage de leurs parents en 1870. D’où :

- Louis Schlegel (1864- ), né à Bourges (Cher).

- Joséphine Augustine Schlegel/Doumayrenc (1866-1925), née à Vincennes (Val de Marne), qui change de nom en 1870 suite à sa légitimation.

- Louise Schlegel (1871-1956), née à Metz

- Philippe Louis Schlegel (1881-1934), né à Senon (Meuse)

f- Rosine Doumayrenc (1841- ), mariée à Vaureilles le 15 septembre 1866 avec Jean dit Joseph » Bricard (1836- ), charpentier natif de La Raynaldie à Privezac, fils de Pierre Jean Bricard et de Marie Bessières, cultivateurs de La Raynaldie. Joseph Bricard s’installe comme menuisier au village de son épouse, Le Tayral à Vaureilles. Ils y ont cinq enfants. D’où :

- Marie Rosine Françoise Bricard (1867- ), qui se marie le 13 février 1890 à Vaureilles avec Augustin Gares (1857- ), cultivateur de Nègrefoyt (Rieupeyroux), fils de Michel Gares et de Marianne Laurens. Le couple s’installe comme cultivateurs au Tayral où naissent leurs enfants connus :

. Rosine Zélia Gares (1891- ), qui épouse Pierre Jean Sabatié le 26 août 1909 à Vaureilles.

. Marie Augustine Virginie Gares (1896- ), qui épouse le 17 avril 1922 à Vaureilles Albert Séraphin Foucras (1889- ), du village du Tayral à Vaureilles, fils de Léon Foucras et d’Émilie Foissac, cultivateurs au Tayral.

. Léonie Maria Julia Gares (1900-1983), qui épouse le 24 octobre 1924 à Vaureilles Célestin Barnabé (1891-1972), cultivateur de Montbazens, fils de Jean Antoine Barnabé (1848-1916), maçon et cultivateur à Montbazens et de Rosalie Garric (1851-1916/).

- Marie dite « Virginie » Ière Bricard (1869-1870) décédée à l’âge de 15 mois.

- Germain Bricard (1873-1875) mort à l’âge de deux ans.

- Marie Virginie II Bricard (1875-1953), décédée à Montauban.

- « Marie Léonie » / Jean-Baptiste Bricard (1877- ), change de sexe et de prénom[126] en 1894. Descendance non connue.

e-        Marie dite « Virginie » Doumayrenc (1843-1880). Elle épouse le 9 août 1865 à Vaureilles Guillaume dit  « Germain » Lavergne (1844-1885), poudleur[127] de Decazeville où il est né, fils de Baptiste Lavergne, aussi poudleur, et de Julie Muratel. Les enfants de Germain Lavergne et de Virginie Doumayrenc naissent à Decazeville (quartiers du Soulacre Bas ou de Californie). D’où :

- Jean-Baptiste Lavergne (1866- ).

- Henri Jean Pierre Lavergne (1868- ).

- Irma Rosalie Lavernhe (1869- ).

- Marie Léonie Lavergne (1871-1874 à l’âge de trente mois).

- Jules Lavergne (1874- ).

- Auguste Cyprien Lavergne (1878-1947 à Argenteuil, Val d’Oise).

Descendances inconnues à Decazeville et notamment pas de mariages pour ces cinq Lavergne jusqu’à 1899.

                                              Rameau Foissac, de Vaureilles (cf. Plan général de descendance sur 3 degrés)

I.5. d. v.     Catherine dite « Christine » Noël, mariée en 1809 avec Jean « François » Foissac (1783-1846), natif de La Barrabie à Vaureilles, fils de François et d’Elizabeth Bousquet, épouse en secondes noces le 6 février 1809 à Montbazens Christine Noël (1788- 1857/), 5ème enfant de Bernard Noël, laboureur à Montbazens et de Christine Joulie. Le couple est installé au village de La Barrabie (Vaureilles) comme cultivateurs et 10 enfants de cette union y sont nés :

1-Christine Foissac (1809-1874), qui épouse le 19 février 1835 à Vaureilles, Jean-dit « Baptiste » Lavernhe (1798-1873), cultivateur de Cureboursot à Vaureilles, fils de Joseph et de Rose Viguier. D’où :

a-            Jean-Baptiste Lavernhe (1840- ), fondeur à Firmi (1872), manœuvre lorsqu’il s’unit le 25 juin 1870 à Nathalie Escalié (1849-  ), de Firmi, fille du maçon Jean Antoine Escalié et de Marianne Pieux. Dont un fils né à Firmi :

- Baptiste Lavernhe (1872- ), marié avec Cécile Eugénie Auréjac le 24 juillet 1899 à Firmi.

b- François Ier Lavergnes (1841-1841), mort âgé de quelques jours.

c- Joseph dit « Bernard » Lavernhe (1843-1871/). Alliance et descendance inconnues à Vaureilles.

d- Marie Jeanne Ière dite « Marie Justine » Lavernhe (1845-1846), morte jeune.

e- Marie Jeanne II Lavernhe (1847- ), qui épouse le 2 juillet 1865 à Vaureilles Pierre Albagnac (1834- ), cultivateur de Rignac, fils de Joseph et Claudine Rescalou (?). Dont probablement un seul enfant, né à Rignac. D’où :

- Joseph Auguste Albagnac (1867- ), marié en 1915 à Paris 2ème avec Louise Camille Theulier.

f-  François II Lavernhe (1850-1851), décédé à l’âge de 6 mois.

g- Marie dite « Rosalie » Lavernhe (1852- ), qui épouse à Vaureilles le 7 février 1870 Joseph dit « François » Jean-Baptiste Vinel, cultivateur de Lanuéjouls (Privezac), garde-mobile « sous les drapeaux » en 1871 à la naissance du 1er enfant à Carreyrie[128] (Vaureilles) où leurs cinq enfants sont nés. D’où :

- Baptiste Bernard Vinel (1871- ).

- Caroline Palmyre Vinel (1873- ).

- Marie Eugénie Vinel (1875- ).

- Philippine Pélagie Vinel (1878-1961), décédée à Valence d’Agen.

- François Joseph Vinel (1881- ), peut-être deux mariages en Algérie, le second à Constantine avec Clémentine Rosalie Blanc.

Les Vinel n’apparaissent plus sur les tables décennales de Vaureilles jusqu’à 1902.

2. Marie Foissac (1810-1863/), qui épouse le 27 septembre 1839 à Montbazens Joseph Bernard Cavaignac (1797-1854), cultivateur à La Cougoulie (Montbazens), fils de Jean-Baptiste Cavaignac et de Delphine Crouzat, propriétaires. Le couple habite à La Cougoulie, village de Montbazens, où naissent 4 enfants :

a-        Marie Christine Cavaignac (1841- ). Alliance et descendance inconnues à Montbazens.

b-        Marie Jeanne Joséphine Cavaignac (1843- ), qui épouse à Montbazens le 8 juillet 1843 Louis « Victor » Colomb (1835- ), fils de Jean-Louis Colomb et de Marie Anne Destresses, aubergistes à Montbazens. Ils ont au moins 3 enfants nés à La Cougoulie de Montbazens :

- Delphine Valérie Colomb (1864-1864), morte en bas âge.

- Jean François Séraphin Colomb (1867-1867), mort en bas âge.

- Mélanie dite « Valérie » Colomb (1871- ), mariée à Montbazens le 19 avril 1893 avec Charles Alphonse Gaudon.

c-           Auguste Bernard Cavaignac (1845-1877), propriétaire à La Cougoulie, célibataire

d-           Pierre Jean Cavaignac (1847-1849), mort à l’âge de 16 mois.

3.July ou Juillie Foissac (1812-1836), décédée à 23 ans, célibataire.

4.Marie Victoire Foissac (1814-1814), morte à l’âge de 7 mois.

5.Bernard Foissac (1817-1890), propriétaire-cultivateur à La Barrabie, épouse le 26 juillet 1847 à Privezac Marie Julie Sabine Couffin (1825-1890/), fille de Pierre Couffin et Marie Angélique Gombert, cultivateurs de La Trivale à Privezac. Dont une descendance de neuf enfants à La Barrabie[129] :

a-       Marie dite « Christine » Foissac (1848-1899/), mariée le 6 septembre 1869 à Vaureilles avec Jean-« Baptiste » Foissac[130] (1846-1899/), cultivateur de Cavagnac à Vaureilles, fils de François Foissac et de Marie Anne Roux également de Cavagnac. D’où :

- Pierre Jean Foissac (1870-1890), cultivateur chez ses parents, mort à 20 ans.

- Bernard Foissac (1872-1899/), qui se marie le 3 juin 1897 à Vaureilles avec Marie Émilie Germaine Bousquet (1874-1899/), de Vaureilles, fille de Jean Antoine Bousquet et d’Émilie Noël, cultivateurs de Vaureilles. Dont au moins :

. Paul Albert Foissac (1899-1899), né au Caussanel à Rignac, décédé à trois mois à Cavagnac.

- Marie Natalie Foissac (1874- ), dont le mariage avec Jean Pierre Delmas (1874- ) est célébré le 10 février 1897 à Vaureilles. L’époux est originaire de Clairvaux d’Aveyron ou il est cultivateur et fils de Pierre Delmas et Marie Rey. Descendance possible à Clairvaux d’Aveyron.

- Marcelin Foissac (1876- ). Descendance inconnue.

- Marie Sylvanie Foissac (1879- ), qui se marie le 22 janvier 1899 à Vaureilles avec Julien Colinet (1869- ), cultivateur de La Tour à Prévinquières, fils de Louis Colinet et de Rosalie Delomb, du village de La Tour.

- Anastasie Aurélie Foissac (1881- ), mariée le 24 avril 1901 à Vaureilles avec Victor Thémines.

- Marie Rosa Foissac (1884-1965), qui se marie le 16 février 1904 à Vaureilles avec Jean Pierre Falières.

- Jean-Baptiste Foissac (1886-1887), décédé à l’âge de 9 mois.

- Maria Foissac (1888- ), mariée le 21 avril 1906 à Vaureilles avec Victor Henri Bibal.

b-        Marie dite « Eugénie » Foissac (1850- ), qui se marie le 17 juillet 1871 avec François « Etienne » Cabrol (1832- ), marchand-épicier de Marion près de Rulhe à Auzits, né à Lestrunie (Rulhe), fils de François Cabrol et de Marie Anne Metge. Dès 1876, Etienne et Eugénie deviennent cultivateurs à Marion (Auzits). D’où :

- Henri Etienne Bernard Cabrol (1872- ).

- Henri Baptiste Cabrol (1873- ).

- Etienne Léon Pierre Jean Cabrol (1876- ), qui épouse le 12 janvier 1901 à Auzits Marie Rose Garrigou.

-Abel Henri Cabrol (1885- ).

- Zéphirin Léon Cabrol (1888- ).

c-        Pierre dit « Bernard » Foissac (1852- ), marié à Bournazel le 19 octobre 1879 avec Adeline Noël (1853- ), de Caldecoste à Bournazel, fille de Baptiste Noël et d’Adeline Viguié. Dont au moins, à La Barrabie de Vaureilles :

- Léon Bernard Foissac (1880- ).

- Célestin Ferdinand Foissac (1881- ), mariage en région parisienne (1944).

- Marie Eugénie Foissac (1896- ), sans évènement d’état civil à Vaureilles jusqu’à 1902.

d- Bernard Foissac (1855- ), ni cité, ni marié à Vaureilles jusqu’à 1902.

e-       Adolphe Tobie (1858), sans évènement d’état civil à Vaureilles jusqu’à 1902.

f- Marie Anasthasie Foissac (1862- ), qui épouse le 28 janvier 1888 à Vaureilles Pierre Jean Paulin Lacassagne (1859- ), cultivateur natif de Saint-Félix (Anglars), fils de François Lacassagne et de Marie Gares et frère de Marie Julie Lacassagne épouse de Louis Albagnac (cf. plus bas  8. d.). Descendance chez l’épouse, à La Barrabie (Vaureilles) :

- François Pierre Paul Lacassagne (1894- ), marié le 18 août 1920 à Rignac avec Lucie Marie Mahieu.

- Marie Noëlie Lacassagne (1900- ), mariée le 18 août 1920 à Anglars Saint-Félix avec Albert Teulier.

g- Adolphe Germain Foissac (1865- ), marié le 23 octobre 1919 à Paris 17ème avec Marie Talandier.

h- Pierre Jean Thobie Foissac (1867- ), sans descendance connue à Vaureilles.

i- Henric Foissac (1873- ), également sans descendance connue à Vaureilles.

6. Jean Pierre Foissac[131] (1819-1840) militaire, décédé à Bône en Algérie. Sans alliance ni descendance connue.

7. Jean-Baptiste Foissac (1823-1828), mort à l’âge de 5 ans.

8. Marie Jeanne Foissac (1827-1892), qui épouse le 18 janvier 1853 à Vaureilles Antoine Albagnac (1830-1896/), cultivateur au Moulin de Gendre à Anglars-Saint-Félix, fils de Pierre Albagnac et de Marie Lacout. Le couple s’installe au Moulin de Gendre près de La Fage (Anglars) où naissent les deux premiers enfants, les autres au Bouissou et au Mas del Rieu toujours à Anglars Saint-Félix. D’où :

a-       Marie Jeanne Ière Albagnac (1854-1883), Delle, qui épouse le 3 février 1875 à Anglars Adrien Bros (1851- ), cultivateur natif de La Fage (Anglars), fils de Jean Antoine Bros et de Catherine Caubet. Marie Albagnac décède à 30 ans à La Cougoulie (Montbazens) où le couple s’est installé comme fermiers dès 1878. Dont, 5 enfants nés au Mas del Rieu puis à La Cougoulie :

- Guilhaume Adrien Urbain Bros (1875-1875), décédé à l’âge de 3 jours.

- Adrien Bros (1876- ). Eventuelles alliance(s) et descendance inconnue.

- Marie Eugénie Bros (1878- ), premier enfant né à La Cougoulie.

- Adolphe Eugène Bros (1880-1955).

- Marie Lyda Bros (1881-1955), dernier enfant né à La Cougoulie, qui épouse le 28 octobre 1900 à Auzits Lucien Cyprien Laurens.

Adrien Bros veuf de Marie Albagnac, se remarie le 1er février 1893 à Anglars avec Marie Rivière (1854- ), de La Pradelle à Rignac, fille de Baptiste Rivière et de Marianne Bousquet, cultivateurs de La Pradelle. Dont au moins :

- Adrien Henri Baptiste Bros (1893- ).

- Berthe Marie Delphine Bros (1898-1950).

b-       Marie Jeanne II Albagnac (1856- ), non citée à l’état civil d’Anglars jusqu’à 1900.

c-        Joseph Albagnac (vers 1858-1872), décédée au Mas del Rieu à l’âge de treize ans.

d-        Louis Albagnac (1861- ), qui épouse le 19 juin 1887 à Anglars Marie Julie Lacassagne (1865- ), née à Saint-Félix (Anglars) de François Lacassagne et Julie Gardes, cultivateurs de Saint-Félix. Pas de descendance à Anglars jusqu’à 1899 inclus.

e-        Julie Albagnac (1863-1871) décédée au Mas del Rieu à l’âge de huit ans.

f-         Prosper Albagnac (1868- ) né au Mas del Rieu à Anglars Saint-Félix. N’est plus cité à l’Etat-civil d’Anglars jusqu’en 1902.

Antoine Albagnac veuf depuis 1892, garde (champêtre ?) à Anglars Saint-Félix, se remarie le 22 janvier 1896 à Aubin avec Françoise Laflorencie (1832- ), de Nieudan (Cantal).

9. Joséphine Foissac (1827-1827), sœur jumelle de Marie Jeanne, morte à 5 jours.

10.                     Rose Julienne ou Julie dite « Rosalie » Foissac (1829-1889/), Delle, modiste, qui épouse le 24 février 1857 à Vaureilles Antoine « Victor » Thomas (1831-1889), natif de Cavagnac à Vaureilles, fils de Joseph Thomas, cordonnier et de Marie Cavalerie, militaire en permission puis exempté le 20 février 1857 avant son mariage comme soutien de famille. Le couple s’installe comme cultivateurs à Cavagnac où naissent leurs trois premiers enfants. 

a-       Baptiste Victor Thomas (1858-1889), cultivateur à La Barthe Grande commune d’Anglars Saint-Félix où résident ses parents, qui épouse le 19 avril 1885 à Vaureilles Mélanie Malaval (1861- ), de Cavagnac, fille de Pierre Malaval et de Victoire Bras. Le couple réside à La Barthe Grande où naît une fille unique, le père décédant jeune, 4 ans après son mariage. D’où :

- Marie Anastasie Thomas (1887-1975), qui épouse à Anglars Saint-Félix le 27 novembre 1905 Germain Louis Ginestet.

b-       Marie Rosalie Thomas (1859- ), qui épouse à Anglars Saint-Félix le 6 février 1881 Jules Vergnes (1858- ), maçon à Ségala (Anglars), fils de Pierre Vergnes et de Catherine Garric, cultivateurs du même village. Jules Vergnes et son épouse n’ont apparemment pas de descendance connue à Anglars Saint-Félix ainsi qu’à Vaureilles jusqu’à 1902.

c-       Marie Léonie Thomas (1863- ), qui épouse à Anglars le 30 décembre 1883 un ouvrier mineur de Cransac ; Auguste François Lestrade (1860- ), fils de Augustin Lestrade et de Rose Alary, propriétaires à La Treille Haute (Cransac). Le couple habite le quartier de La Treille Haute à Cransac où naissent trois enfants :

- Edouard Auguste Baptiste Lestrade (1884- ), qui épouse le 16 février 1931 Valérie Eugénie Séraphine Tarayre.

- Émilienne Augusta Lestrade (1889-1890), décédée à l’âge de onze mois.

- Augustine Anastasie Lestrade (1892- ).

A la naissance du quatrième enfant, Victor Thomas et son épouse, toujours cultivateurs, sont déjà résidents à La Barthe Grande (Anglars Saint-Félix).

d-       Marie Anasthasie Thomas (1868- ). Ni alliance ni descendance connue à Anglars jusqu’à 1902.

                            Rameau Bras-Marty de Vaureilles   

Descendance en pays de Montbazens de 1716 à 1876 environ. Cette 6ème partie, composée de l’unique mais important Sous-Rameau Bras-Marty, compléte et finalise cette descendance pour les paroisses et commune de Vaureilles-Pachins. Celle-ci comporte également les premiers degrés d’ascendance du cardinal-archévêque de Paris, Gabriel Auguste dit « François » Marty (1904-1994).

 [ I-5. d.-(7ème).][132] Claude Bras (1773-1853), cultivateur natif de La Pagésie à Montbazens, fils de Joseph Bras et Françoise Cérès aussi cultivateurs, épouse le 8 novembre 1815 à Montbazens « Joséphine » ou Marie Delphine Noël (1792-1866), 7ème enfant de Bernard Noël, laboureur à Montbazens et de Christine Joulie.

Le couple est installé comme métayers au Domaine de Pachins (Pachins-Vaureilles). Douze enfants de cette union y sont nés :

1- « Delphine » ou Joséphine Bras[133] (1816-1889), qui épouse le 6 février 1839 à Vaureilles Jean-François dit François Marty (1808-1888), cultivateur-propriétaire à La Bouriatte (Pachins) mais aussi charron (1845). « François » Marty est le fils de Jean Marty (1779-1839), cultivateur à La Bouriatte et de Marie « Jeanne » Planacassagne (1778-1836), de Lestrunie à Auzits. Delphine et François installés à La Bouriatte y ont au moins douze enfants :

a- « François » Claude Marty (1840-1888//1904), propriétaire-cultivateur à La Bouriatte, il épouse à Anglars Saint-Félix le 9 juillet 1873 Marie dite « Nathalie » Ginestet (1849-1897), née au Bruel (Anglars Saint-Félix) d’Antoine Ginestet, cultivateur au Bruel et de Rose ou Rozalie Viguié. François Marty et Nathalie Ginestet ont six enfants tous nés à La Bouriatte :

- Jean-François Marty (1874-1954), cultivateur, qui épouse le 18 juin 1902 à Maleville Zoé Aimée Marie Gineste (1877-1933), de Manhols à Maleville, fille de Charles Gineste et Marie Jeanne Pouzoulet, propriétaires à Manhols. Dont : Gabriel Auguste dit « François » Marty (1904-1994), cardinal, archevêque de Paris (1968-1981). Le parcours de ce Rouergat est exceptionnel. Successivement vicaire à Villefranche-de-Rouergue et à Rodez jusqu’à sa mobilisation en 1939, puis après 1940, curé de Bournazel, de Rieupeyroux et Notre-Dame de Millau, son ministère aveyronnais fut couronné par sa nomination de vicaire général de Rodez. En 1952, Paul VI l’appela à l’évêché de Saint-Flour. Sept ans plus tard, il était nommé coadjuteur de l’évêque de Reims auquel il succéda l’année suivante, au décès de ce prélat.est en 1968, succédant au cardinal Veuillot, au moment où la France et particulièrement la capitale étaient en pleine effervescence, que François Marty arrive à Paris. C’est le troisième archevêque de Paris originaire du Rouergue après Mgr Affre et Mgr Verdier.Ce fils de paysans (qui le disait lui-même et « fier de l’être »), ami des humbles et du petit peuple était capable d’accueillir comme il le fit notamment en 1970 à l’occasion de la mort du général de Gaulle, les chefs d’état des plus grands pays du monde. Promu cardinal en 1969, il était vice président du conseil permanent de l’épiscopat et prélat de la maison de France. Il se démit en 1981 et vint s’établir au couvent des dominicaines de Monteils, à quelques lieues de son village natal. Il mourut accidentellement en février 1994, sa célèbre 2 CV ayant été heurtée par un train au passage à niveau de Farrou à Villefranche-de-Rouergue alors qu’il rendait visite à sa sœur de la ferme familiale[134].

. Madeleine Marty (1907-1936/), qui épouse avant 1931 Germain Labascoule (1902- ), de Vaureilles. Deux enfants naissent de cette union. Descendance à Lanuéjouls.

. Marie Louise Marty (1911-1972), religieuse.

- Auguste François Marty (1877-1948 à Drulhe), qui épouse le 24 octobre 1900 à Drulhe Noémie Berthe Sophie Imbert, sans doute de Drulhe.

- Albert Adrien Marty (1879- ), qui épouse le 19 octobre 1912 à Maleville Marie Aspasie Irma Montbressous (1891-1982), fille d’Auguste Montbressous et Euphrasie Phalip, cultivateurs de La Valétie à Maleville.

- Célestin Adrien Marty (1882-1882), décédé à l’âge d’un mois.

- Sara Louise Marty (1885- ), qui épouse le 20 février 1908 à Vaureilles Baptiste Henri Gineste.

- Adolphe Julien Marty (1888-1888), décédé à moins de quatre mois.

a.        Joséphine Marty (vers 1841-1848), morte jeune.

b.        Marie Ière Marty (1844- ), qui épouse le 22 novembre 1863 à Vaureilles «François» Pierre Jean  Ferrand (1835-1877/), cultivateur de La Grave à Drulhe, fils de François Ferran et Marie Jeanne Latieule. La descendance est à La Grave à Drulhe :

- Marie Jeanne Ferrand (1868- ).

- Marie Joséphine Ferrand (1872- ).

- Marie Justine Ferrand (1876-1892), décédée à l’âge de seize ans.

Cette famille Ferrand n’apparaît plus sur les registres d’état civil de Drulhe et Vaureilles jusqu’en 1902.

c.        Rose Marty (1845-1895/), qui épouse le 14 février 1865 à Vaureilles François ou « Pierre » (Jean) Marre (1840-1899/), maçon puis cultivateur de Fans à Vaureilles, fils de François Marre et Marie Albenques. Leur descendance est à Fans (Pachins) :

- Marie Marre (1866- ), qui épouse le 1er août 1894 à Vaureilles un cultivateur du village de Fans à Vaureilles Hippolyte Gineste [135] (1862- ), fils de Baptiste Gineste et Joséphine Lacout aussi habitants de Fans. La descendance Gineste, d’au moins 5 enfants, est aux Fans :

. Jean-Baptiste Gineste (1895- ).

. Maria Rose Gineste (1898-1974), qui épouse le 28 août 1931 à Decazeville Jean Marie André Rolles. Elle décède à Livinhac-le-Haut.

. Pierre Louis Gineste (1899- ).

. Justin Albert Gineste (1901-1985), qui se marie à Lanuéjouls le 7 avril 1926 avec Marguerite Adèle Murat (1904- ), de Viviez. Il meurt à Privezac.

. Hippolyte Gabriel Gineste (1905-1983), décédé à Decazeville.

- Joséphine Marre (1868-1951), couturière, qui épouse à Vaureilles le 28 novembre 1890 Ignace Firmin Sinizergues (1859- ), ouvrier mineur domicilié à Cransac et né à Aussibal (Auzits) de Pierre Sinizergues et Élisabeth Delsouq, habitants à Figeac. Pas de naissances Sinizergues observées à Vaureilles et à Cransac jusqu’en 1902.

- François Auguste Marre ou Marrhe[136] (1870- ), qui épouse le 26 juin 1895 à Vaureilles Rose Julie Cayssials (1873- ), de Pachins, fille de Pierre Cayssials et Julie Couderc. Dont au moins, nés à Fans :

. Pierre Auguste Marre (1897- ), qui épouse le 21 février 1925 à Vailhourles (Aveyron) Marie Julie Germaine Charrié.

. Alfred Félix Marre (1899-1899), mort à quatre jours.

- Marre (1879- ), sans traces à l’état civil de Vaureilles jusqu’à 1902.

- Pierre Albert Marre (1881- ), idem sa sœur aînée, Mélanie.

- Augustin Louis Marre (1872-1948), qui épouse le 24 avril 1901 à Decazeville Marie Eugénie Séranie Toulouse. Il décède à Decazeville. Descendance probable à Decazeville.

- Albine Marre (1874- ), qui épouse le 12 novembre 1897 à Vaureilles un manœuvre de Rodelle Jean Adrien Triadou (1866- ), fils de Jean Adrien Triadou et Dorothée Fau.

- Alfonce Marre (1876- ), qui épouse Marie Angèle Oustry le 27 octobre 1909 à Auzits.

- Mélanie Marre (1883- ), qui épouse en 1ères noces le 11 février 1911 à Paris 8ème Marie Bertrand puis en secondes noces à Neuilly sur Seine le 29 août 1918 Marie Octavie Sinizergues.

d.        Marie II ou Marie Anne Marty[137] (1847- ap. 1888), qui épouse en 1ères noces le 27 juin 1869 à Vaureilles Louis Roux (1846-1871), cultivateur du Mas de Miquel à Pachins, fils d’Antoine Roux et de Marie ou Catherine Delcros. Un seul descendant né au Mas de Miquel pour le couple Roux-Marty :

-      François Roux (1871-1871), mort à l’âge de 7 mois.

Jeune veuve, Marie (Anne) Marty se remarie le 29 avril 1874 à Vaureilles avec « Jean » Pierre Vernhes ou Vergnes (1843-1882), cultivateur de Camburat à Vaureilles, fils de Jean Pierre Vernhes ou Vergnes et Catherine Mouly aussi de Camburat. La descendance à Camburat est :

- Natalie Vergnes (1875-1946), décédée à Vaureilles.

- Marie Adèle Vergnes (1882-1882), sans descendance.

A nouveau veuve, elle épouse en 3èmes noces le 22 novembre 1887 à Vaureilles Jean François Audurand (1859- ), né à La Sarrouquie (Drulhe), fermier à Camburat (1887), fils de François Audurand et Catherine Roques de Camburat. Le 1er enfant du couple naît à Camburat, chez le second époux de Marie :

- Marie Anna Audurand (1888- ), épouse en 1ères noces le 13 février 1911 à Vaureilles Louis Urbain Destruels ( -av. 1919). Veuve (de guerre ?), elle épouse en 2èmes noces à Vaureilles le 29 juin 1919 Jean Odilon Bras[138] (1885- ), de Pachins, fils de Jean Bras (1850- ), cordonnier de Pachins et de Rosalie Trébosc (1859- ).

Jean François Audurand et Marie Marty n’ont ensuite plus d’enfants, ni à Vaureilles ni à Drulhe, de 1888 à 1902.

e.       Jean Joseph Marty (1849- ), non cité à l’état civil de Vaureilles jusqu’à 1902.

f.        Augustin Marty (1850-1871), qui est décédé jeune à La Bouriatte, sans alliance.

g.       Marie dite « Joséphine » Marty (1851- ), qui épouse à Vaureilles le 19 juin 1871 un cultivateur de La Bro, hameau proche de Vaureilles, Simon Auguste (Philippe) dit « Simon » Cavaignac (1844- ap. 1888), fils d’Antoine Cavaignac et de Marguerite Cavaignac aussi de La Bro. Au moins huit enfants de Simon et Joséphine naissent en ce lieu :

- Urbain François Cavaignac (vers 1878-1884), sans postérité.

- Germaine Cavaignac (vers 1883-1884), morte en bas-âge.

- Louise Maria Cavaignac (1885-1885), morte à l’âge d’un mois.

- Germain Marius Cavaignac (1886- ), qui épouse en 1ère noces le 21 janvier 1923 à Anglars Saint-Félix Marie Ange Zoé Camilla Revel.

Second mariage le 17 février 1925 à Drulhe avec Marie Elise Costes.

- Urbain Cavaignac (1888-1963), décédé à Villefranche-de-Rouergue. Postérité non connue.

- Marie Marthe Cavaignac (1890- ), mariée en 1ères noces le 2 juillet 1913 à Vaureilles avec Henri Léon Lacombe puis en 2èmes noces à Vaureilles le 21 janvier 1930 avec Albert Auguste Joulie.

- Marie Albertine Cavaignac (1892- ), mariée le 2 mai 1914 à Vaureilles avec Ernest Louis Brieussel.

- Benjamin Cavaignac (1894- ).

h.       Victoire Marty (1853- ), non citée à l’état civil de Vaureilles jusqu’à 1902.

i. Jean Louis Marty (1856-1864), mort enfant.

j. Marie dite « Justine » Marty (1858- ), qui épouse à Vaureilles le 7 février 1877 Joseph Viguié (1846- ), cultivateur de Cureboursot (Vaureilles), fils de Joseph Viguié et de Catherine Gannac. Dont aux Calvetteries (1878) puis à Cureboursot : 

- Joseph François Viguié (1878- ), marié le 25 avril 1906 à Montbazens avec Marie Eugénie Espinasse.

- Léonie Virginie Sidonie Viguié (1879-  ), mariée le 19 octobre 1903 à Montbazens avec Pierre Louis Grès.

- Albert Pierre Viguié (1881- ).

- Tobie Viguié (1884-1944), marié à Anglars Saint-Félix le 7 septembre 1907 avec Marie Louise Lagane. Décédé à Vaureilles.

- Prosper François Viguié (1886- ), marié le 12 février 1920 à Vaureilles avec Albanie Noémie Boyer.

- Léon Julien Viguié (1888-1971), marié le 16 janvier 1913 à Trioulou [?] [Sainte-Croix] avec Françoise Anastasie [?], décédé à Decazeville.

- Marie Eugénie Viguié (1891- ), mariée le 20 avril 1911 à Vaureilles avec Alfred Louis Pourcel.

- Sara Louise Viguié (1893- ), mariée le 9 décembre 1922 à Bourges avec Marcellin Joulia.

k.       Marie dite « Virginie » Marty (1861- ), qui épouse le 17 août 1881 à Vaureilles un cultivateur né à Lanuéjouls et domicilié à Cureboursot Pierre Canonge (1853- ), fils de Pierre Canonge (1821- ap. 1881), et de Marie Anne Bousquet ( -1855), qui est d’Aubin. La descendance naît à Pachins (Vaureilles) :

- Léonie Virginie Canonge (1885-1973), décédée à Viry-Châtillon en Essonne.

- Auguste François Canonge (1888- ), qui se marie le 21 janvier 1919 à Paris 15ème avec Jeanne Élise Hélène Coudert.

- Alfred Marius Canonge (1895-1971), qui décède à Boulogne-Billancourt.

- Gaston Marius Canonge (1900-1975), marié le 23 juillet 1930 à Vaureilles avec Zélie Marie Lacout de Vaureilles.

2- Claude Bras (1817-1901), qui épouse Thérèse Thomas (1817-1892) le 19 février 1848 à Vaureilles, originaire de La Garissonnie à Rignac, marchande (1848), fille de Jean Thomas et Marie Sirven ou Sirvain de Rignac où elle est fille de service chez M. Gothier (1844). Elle réside à Pachins seulement depuis quelques jours avant la naissance de son aîné Jean Claude, né de père inconnu. Dont à Pachins :

a-             Jean Claude dit « Claude » Bras / Thomas (1844-1900), qui a été reconnu par ses parents en 1848 à l’âge de 4 ans, un mois après leur mariage. Il est maçon à Pachins lorsqu’il épouse le 31 mai 1871 à Vaureilles « Marie » Rose Lavals (1847- ), de La Montanie hameau de Pachins, fille de Pierre Laval et Julie Gannac. En 1872, le couple est déjà installé au Mas de Miquel (Pachins) où il a au moins six enfants :

- Jean Claude Bras (1872- ), sans alliance à Vaureilles jusqu’en 1902. Postérité affirmée oralement à rechercher.

- Henric Alfonce Bras (1875- ), qui épouse le 10 avril 1902 à Paris 5ème Émilia Rosine Volonzac.

- Germain Louis Bras (1877- ), qui épouse en 1ères noces le 4 juillet 1902 à Aubin Marie Eugénie Landès sans doute d’Aubin, puis en 2èmes noces le 23 août 1909 toujours à Aubin Marie Amandine Carnajac.

- Julie Eugénie Bras (1879- ), mariée le 10 juillet 1907 à Vaureilles avec Julien Calixte Pouget.

- Marius Bras (1883- ), marié le 9 août 1912 à Roujan dans l’Hérault avec Léonie Germaine Assié.

- Marie Louise Bras (1886- ).

Pas d’autres évènements d’état civil à Vaureilles pour ces Bras jusqu’en 1902.

b-             Claude Bras (1848-1875), décédé chez ses parents, sans doute célibataire.

c-             Marie Delphine Bras (1849- ), qui épouse le 17 janvier 1872 à Vaureilles Adrien Auguste Delaure (1834- ), mineur de Combes (Aubin), né à Rodez, veuf de Julie Bousquet et fils de Jean Delaure et Rose Baldet. Pas de descendance à Vaureilles, Aubin et Cransac jusqu’en 1902.

d-             Antoine Cyprien Bras (1851-1856), mort à l’âge de 5 ans.

e-             Marie Bras (1854- ).

f-              Henri Cyprien Bras (1859-1889), couvreur à Pachins, mort à 30 ans, célibataire.

3- Antoine Bras (1819- ), meunier au Moulin de Pachins, qui épouse le 18 février 1857 à Vaureilles « Céleste » ou Marie (Justine) Marty [139] (1839- ), domestique à Pachins, native de Coupely à Salles-Courbatiès, fille de Louis Marty et Marie Viguié-Blaise ou Blasy habitants de Coupely. Antoine, toujours meunier et témoin au mariage de son frère puîné Jean Louis (1866), habite le Moulin de La Caze à Naussac. Cinq enfants du couple y naissent sauf l’aînée à Marinesques (Naussac) :

a- Marie Clémentine Bras (1861-1861), décédée à trois semaines.

b-  Louis Antoine Bras (1862-  ), sans évènement à l’état civil de Naussac jusqu’à 1899.

c- Claude Bras (1864-1864), décédé à trois mois.

d-  Jean Bras (1866- ), sans évènement à l’état civil de Naussac jusqu’à 1899.

e- Julien Claude Bras (1868-1955), décédé à Narbonne.

f- Benjamine Bras (1879-1959), décédée à Nevers.

4-Pierre Bras (1821- ap. 1898), qui épouse le 4 août 1856 à Vaureilles Marie Anne Gineste (1833-1898), de Fans à Vaureilles, fille de Pierre Gineste et Marie Anne Bessou. Le couple réside d’abord en ville, peut-être en raison de l’activité de modiste de Marie Anne Gineste. Leur descendance unique à Montbazens[140] se poursuit à Saint-Martin, hameau près d’Espeillac, Mairie de Roussennac puis au village de Fans à Vaureilles :

a.        Louis Bras (1858- ), dont la descendance est inconnue.

b.        Cyprien Henri Bras (1863- ), tailleur d’habits à Lanuéjouls (Privezac), qui épouse le 26 avril 1887 à Privezac une couturière native de Lanuéjouls Marie Léonie Martin (1870- ), fille de Baptiste Martin et Marie Gibergues, cultivateurs à Lanuéjouls.

c.        Elie Bras (1874- ), né à Pachins où son père est domestique chez M. de Balsac. Il épouse Marie Segond avant 1900. Dont, probablement à Montbazens :

- Marius Pierre Bras (1900- ). 

Sans autre évènement à Roussennac, Montbazens et Vaureilles jusqu’à 1892 pour cette famille Bras (parents et fils).

5-Jean Martial Bras (1823-1900), célibataire.

6-Pierre Jean Bras (1825-1825), décédé à l’âge de 10 mois.

7-Marie Bras (1826-1875), qui épouse le 23 juin 1844 à Vaureilles  Jean-Baptiste dit « Jean Bras » (1821-1905), cultivateur de La Pachinie à Privezac, fils de Louis Bras et Jeanne Maldès. Leur descendance, au moins dix-sept enfants, est à La Pachinie de Privezac :

a-             Marie Bras (1845-1845), décédée à 23 jours.

b-             Jean Louis Bras (1846-1899/), qui épouse en 1ères noces le 27 novembre 1872 à Vaureilles Marie Murat (1846-1884), de Camburat, fille de Jean « François » Murat et de Marie Magdeleine Marty, cultivateurs à Camburat (Vaureilles). Jean Louis Bras est cultivateur à La Pachinie de Privezac où six enfants au moins y naissent :          

- Marie Joséphine dite « Marie » Bras (1873-1946). Elle se marie le 20 juin 1899 à Privezac avec Léon Joseph Chabbert (1863- ), cultivateur natif de La Paulautie à Drulhe, fils de Joseph Chabbert et Marie Marty, cultivateurs au hameau de Saint-Rame à Pachins.

- Jean-Baptiste Bras (1874-1954), qui épouse le 21 décembre 1905 à Galgan Pélagie Marie Célestine Couderc, sans doute de Galgan.

- Eugénie Germaine Bras (1876- ). Descendance non connue.

- Louis Firmin Bras (1878-1897), décédé à 19 ans, célibataire.

- Rosalie Hélène Bras (1880-1959), décédée à Rodez. Peut-être sans alliance.

Jean Louis Bras, veuf en 1884, épouse en 2èmes noces le 3 février 1886 à Vaureilles la sœur cadette de sa 1ère épouse, Roze Murat (1852- ), native également de Camburat. Du second lit, également à La Pachinie de Privezac :

- Marie Louise Angèle Bras (1887-1953), qui épouse le 16 juillet 1909 à Lanuéjouls Justin Adrien Mouysset.

c-             Marie Delphine Bras (1847- ), sans descendance connue.

d-             Rosalie Bras (1849-1849), décédée à l’âge de 15 jours.

e-             Jean Bras (1850- ), cordonnier installé à Pachins (Vaureilles). Il épouse le 11 février 1884 à Montbazens Rosalie Trébosc (1859- ), de Sauveterre-de-Rouergue, fille de Joseph Trébosc et Marie Foucras, cultivateurs près de Sauveterre. Les enfants du couple Bras-Trébosc naissent à Pachins :

- Jean Odilon Bras (1885- ), épouse le 29 juin 1919 à Vaureilles une veuve du hameau de Camburat à Vaureilles Marie Anna Audurand [141] (1888- ), fille de Jean François Audurand (1859- ) et de Marie II ou Marie Anne Marty (1847- ).

- Louis Valentin Bras (1887- )

- N Bras (1894-1894), enfant mort-né.

f-              Mélanie Bras (1851- ), sans descendance connue.

g-             Pierre Jean Bras (1853-1854), mort à l’âge de onze mois.

h-             Antoine, dit « Cyprien » Bras (1854-1907), cultivateur, qui épouse le 20 novembre 1883 à Privezac Mélanie « Léontine » Savignac (1862-1957), de La Tarenquie à Privezac, fille de Baptiste Savignac et Marie Anne Fagegaltier. Cinq enfants au moins naissent de cette union dont les aînés à La Bourtoumarie de Privezac, les trois autres à Vaureilles :

- Albert Germain Bras (1884-1914), mort pour la France ; porté disparu lors du conflit mondial de 1914-1918. Sans descendance.

- Marie Adeline Bras (1886-1983), qui épouse à Vaureilles le 2 octobre 1909 Urbain Frédéric Moisset, de Maleville. Dont au moins à Toulouse :

. Esther Moisset (1910-1999), qui épouse en octobre 1932 Jean Sarignac (1903-1967). Descendance à Toulouse.

- Adeline Bras (1888-1954), qui épouse à Vaureilles le 19 février 1922 Pierre Firmin Marius Pourcel (1881-1948), de Privezac. Descendance à Privezac.

- Eugénie Victorine Bras (1890-1971), célibataire, décédée à Privezac.

- Maria Julie ou Juliette Bras (1894-1977), qui épouse le 28 février 1914 à Toulouse Antonin Rey (1899-1960), plâtrier de Toulouse. Descendance à Toulouse.

i-              Sabine Bras (1856- ), dont le mariage eut lieu à Privezac le 8 octobre 1876 avec Jean Julien Tournemire (1846- ), cordonnier né à La Cassagne (Lanuéjouls), fils de Bernard Tournemire et Claudine Mestre, propriétaires-cultivateurs au village de La Cassagne. Dont à Lanuéjouls :

- Jean Julien Tournemire (1878-1961), qui se marie le 2 décembre 1911 à Paris 19ème avec Maria Noémie Albanie Foissac. Décès à Paris 11ème.

- Valentin Germain Tournemire (1879-1957), dont le mariage est célébré à Drulhe le 29 avril 1903 avec Argile Julienne Gladin (1876-1974), de La Graudie à Drulhe.

Couple cité plus bas : « Rameau Bras-Marty de Vaureilles » - cf. § 9. e.

- Anastasie Marie Justine Tournemire (1886-1972), qui épouse le 23 avril 1907 à Lanuéjouls-Privezac Casimir Paul Albouy, décédé à Rignac.

j-              Germain Ier Bras (1858-1858), décédé à l’âge de 15 jours.

k-             Germain II Bras (1860-1860), décédé à quelques jours.

l-              Auguste Bras (1861- ), sans descendance connue.

m-           Eugénie Bras (1864-1870), morte à 6 ans et demi.

n-             Marie Sylvie Bras (1865- ), sans descendance connue.

o-             Marie Sylvie « Sidonie » Bras (1866-1871), décédée à l’âge de 5 ans.

p-             Justin Bras (1868- ap. 1921), qui épouse le 28 septembre 1897 à Privezac Adeline Léontine dite Ernestine Grès (1871-1953), née à Aubignac (Anglars Saint-Félix), fille de Joseph Grès et d’Émilie Mouly, sans profession, domiciliée à Nîmes et résidant à son mariage chez sa mère à Galgan. Dont postérité à Vaureilles d’au moins trois enfants.

q-             Pierre Bras (1871-1871), décédé à l’âge de 3 jours.

8- Ciprien Bras (1828- ), dont la descendance est inconnue à Vaureilles.

9- Rose Bras (1829- ap. 1884)[142], qui se marie le 16 avril 1856 à Vaureilles avec un cultivateur de La Graudie à Drulhe, Pierre Jean Gladin (1821-1877), fils d’Antoine Gladin et de Marie Mouly de La Graudie. Les cinq enfants de Pierre Jean et Rose naissent à La Graudie :

a-             Louis Frédéric Gladin (1857-1895), tisserand, probablement célibataire. Descendance inconnue.

b-             Marie Rosalie ou Rosine Gladin (1858- ), mariée le 23 avril 1884 à Montbazens avec Pierre Jean Cavaignac (1850- ), meunier au Moulin de Pachins puis à celui de Vaureilles (1885), né à Vaureilles, fils de Marc Cavaignac et (Marie) Rose Bousquet habitants de Montfalgous à Montbazens. Dont au Moulin de Vaureilles :

- Urbain Baptiste Cavaignac (1885- ).

- Germain Cavaignac (1886- ).

c-             Germain Gladin (1862- ), marié avant décembre 1895 avec Rosalie Vernhes. Dont :

- Emma Germaine Gladin (1895- ).

d-             Adrien Gladin (1865- ), sans descendance connue.

e-             Argile Julienne Gladin (1876-1974), mariée le 29 avril 1903 à Drulhe avec Valentin Germain Tournemire (1879-1957), de Lanuéjouls.

Couple cité plus haut : « Rameau Bras-Marty de Vaureilles » - cf. § 7. i. -.

10-                    Marianne Bras (1832-1926), qui épouse le 2 février 1861 à Vaureilles Jean-Baptiste dit Baptiste Barnabé (1829-1907), fils de François Barnabé ( -1856) et Marie Calmettes (   -1878), cultivateurs au hameau du Cayrou à Pachins (Vaureilles). Dont au moins quatre enfants à Vaureilles :

a-           Marie Barnabé (1861-1929).

b-           Jean-Baptiste Barnabé (1864-1909), cultivateur à Vaureilles.

c-           Henric Tobie Barnabé (1865-1940).

d-           Louis Ferdinand Barnabé (1868- av. 1946).

11-                    Jean « Louis » Bras (1835-1870), fermier au Domaine de Pachins (1870), qui épouse le 20 janvier 1866 à Naussac Marie Joséphine dite « Marie » Gibergues (1840-1907), fille de Joseph Gibergues et Jeanne Rous, du Mas de Marcot à Naussac. Dont trois enfants nés à Pachins :

a-  « Marie » Jeanne Joséphine Bras (1867- ), épouse le 25 janvier 1888 à Vaureilles Jean Antoine Victor Gladin (1858- ), menuisier du village de Béteille à Drulhe, fils d’Antoine Gladin et de Rose Mirabel. Dont au moins, à Béteille :

- Adolphe Germain Maximin Gladin (1889-1969), marié le 12 janvier 1921 à Vaureilles avec Aurélie Léa Gladin, décédé à Drulhe.

- Armand Benjamin Alfred Gladin (1894- ).

- Marie Angèle Louise Gladin (1896-1977), décédée à Drulhe.

- Louise Maria Victoria Gladin (1899-1988), décédée à Drulhe.

b-             Joseph Louis Bras (1868-1939), marié avec Marie Vernhes. Dont :

- Zélia Bras, fille aînée, qui épouse N. Estève du Mas de Marcot à Naussac. Dont postérité : deux enfants.

- Camille Bras, fils aîné qui se marie avec N.. Laumond. Dont postérité : un enfant.

- Gaston Bras fils puîné, qui épouse Paulette Cavaignac. Dont postérité : cinq enfants.

c-             Jean Prosper Bras (1870-1941), forgeron maréchal-ferrant à Pachins, qui épouse à Vaureilles le 10 février 1898 Marie Germaine Barthélémy (1877-1952), du hameau de Camburat à Pachins, fille de François Barthélémy et Marie Gélis, cultivateurs de Camburat. Six enfants naissent à Pachins de cette union :

- « Edouard » Prosper Germain Bras (1898-1983), qui épouse le 21 septembre 1931 à Vaureilles Maria Camille dite « Camille » Lestang (1904-1992).

     . Postérité : un fils (1932- ), artisan serrurier.

- Elia Marie Alice Bras (1900-1901), décédée à 15 mois.

- Maria Germaine Jeanne Bras (1902- ), décédée à Lugan, célibataire.

- Fernand Louis Bras (1905-1988), dit « Rouergue Fleur d’oranger », compagnon forgeron maréchal-ferrant du Devoir. Il épouse le 20 janvier 1932 à Lugan Marie Louise Lacout (1910-1992), fille d’un fermier de Lugan (Gaspard et Mas de Salles) Auguste Lacout (1862-1932/) et de Marie Clotilde Brugel (1878- ). Les Lacout appartiennent également à la descendance naturelle du Roi Louis XI[143].

. Postérité de Fernand L. Bras et M-Louise Lacout : quatre enfants.

- Louisa Marguerite Bras (1908-1974), couturière, décédée à Lanuéjouls.

- Alice Marcelle Françoise Bras (1913-2007), qui épouse vers 1936 Marcel Cauvet (   -1981), forgeron à Lanuéjouls.

12-                     Jeanne ou Joséphine Bras [144] (1837-1838), décédée à l’âge de 9 mois.

          

La famille Guibbert

La famille Guibbert est originaire du manse de La Borie-de-Bor dans l'actuelle commune de Bor-et-Bar où on note en 1490, Stéfan. Parmi ses branches[145], une s’est établie à Las Binals, village voisin de La Borie où habitaient Jean, cité dans le compois de 1557 et son fils Pierre, décédé vers 1580. Son petit-fils, Guillaume, notaire ira habiter le village voisin de La Bonaudie par suite de son mariage avec Marguerite Ginestous. Leur dernier fils Jean, marié vers 1600 avec Catherine Fournier, veuve de Jean Nouviale, de Vabre, s’établira à Banhaca dans l'actuelle commune de Vabre-Tizac, où il exercera la fonction de notaire. Son fils Bernard, notaire à Banhaca, épouse Antoinette Déléris, veuve de Jean Malfette. C'est à partir de leur fils, Amans, que nous avons une descendance très nombreuse de Louis XI.

I- Amans Guibbert (vers 1629-6 juillet 1710), notaire et avocat à Banhaca, se marie en février 1654[146] à Lescure avec Antoinette de Marcilhac, fille de noble Gaillard de Marcilhac, seigneur de La Bastide-Capdenac et de Catherine de Saunhac. Au moins dix enfants vont naître de cette union, les registres étant incomplets à cette période, nous n’avons pu trouver que trois mariages :

1- Isabeau Guibbert (8 décembre 1654-  ), mariée en 1681 avec Jean Gaudou, des Tampes (Tizac), son parrain est François de Marcilhac et sa marraine est Isabeau de Lescure. Branche Guibbert-Gaudou, objet d’un autre bulletin.

2- Marie Guibbert (4 juin 1656-), mariée avec Jean-Joseph Taché, cocher de Villefranche. Descendance inconnue

3- Marquise Guibbert (28 janvier 1658- ).

4- Jean Guibbert (14 octobre 1659-  ), peut-être prêtre.

5- Jean Guibbert (2 novembre 1661-  ), qui suit.

6- François Guibbert (1664-1727). Né le 1er mai 1664, il se marie en 1713 à Laguépie (82) avec Antoinette Talhafer, fille de François et de Françoise Boudet, de la Maurinie, paroisse de Mauriac (81) en Albigeois où François s’établit jusqu’en 1718, exerçant la profession de praticien. Il habite ensuite à Gaillac où il décède le 21 août 1727. Deux enfants connus sans descendance.

a- Marie Guibbert (vers 1714-1743), mariée le 26 juin 1738 en l’église Saint-Pierre à Gaillac avec Maffre Durand, décédé le 25 janvier 1740 à Gaillac. D’où :

- Pierre Durand (1719-1742 à 3 ans).

b- François Guibbert, décédé le 15 avril 1728 à Gaillac[147].

7- Louis Guibbert (8 août 1665- ).

8- Françoise Guibbert (7 mai 1667-9 avril 1682 à 15 ans).

9- Antoinette Guibbert (21 février 1669-31 mai 1669 à 3 mois).

10- Pierre Guibbert (6 mai 1670-18 septembre 1719 à 49 ans).

II- Jean Guibbert (1661-1707), praticien, bourgeois de Banhaca, marié avec Antoinette de Malrieu (1662-1719), fille de François, procureur de Villefranche et de Marguerite Debals. Jean décède le 13 avril 1707, sans avoir eu le temps de faire un testament laissant cinq enfants mineurs. Son père Amans Guibbert pense pouvoir suppléer aux affaires de son fils et tester en faveur d’un de ses petits-enfants. Mais comme Jean a été émancipé, père de famille et a reçu à son mariage la moitié des biens de son père, la loi de 1703 oblige la famille à procéder à un inventaire. Aussi trois semaines après sa mort, Fronton Ramondy, procureur et conseiller du roi, en présence de Bernard de Sarrus, juge et de Barthélémi Guibbert, greffier, tous de Najac, apposent les scellés. Un inventaire, qui s’étale du 6 mai au 3 juin 1707, indique tous les objets contenus dans les différentes pièces de la maison et le nombre de bétail comprenant 50 brebis, 2 paires de bœufs, 4 taureaux, 4 vaches, 50 brebis et 20 agneaux[148]. Son père sera désigné comme tuteur des cinq enfants, deux étant morts en bas âge. D’où :

1- Antoine Guibbert, cité comme parrain en 1738.

2- Pierre Guibbert, qui suit.

3- Marie-Anne Guibbert, mariée le 11 janvier 1728 avec François Loupias, fils de François et Jeanne Loupias, du Griffoulas (Tizac). Branche Guibbert-Loupias, objet d’un autre bulletin.

4- Marie Guibbert (1700-1757), mariée le 4 février 1717 avec Guillaume Marre, fils de Pierre et d’Antoinette Ficat, du Puech (Tizac). Branche Guibbert-Marre, objet d’un autre bulletin.

5- Joseph Guibbert (28 août 1706-26 mars 1771), meunier à La Coste de Tizac, marié le 22 juin 1739 avec Jeanne Enjalbert, fille de Jean et d’Anne Loupias, de La Coste (Tizac). Peu avant son décès, Joseph teste en faveur de sa fille Louise, son fils aîné Pierre étant décédé sans laisser d’enfants vivants et son fils François habitant Villefranche[149]. Après le décès de Joseph, le 29 mars, Jean-Pierre Dintilhac, second époux de sa belle-fille fait procéder à l’inventaire de la maison de La Coste et du moulin, sa femme étant la seule à succéder aux biens délaissés par son fils du premier lit. Joseph aura quatre enfants :

a- Pierre Guibbert (6 juin 1740-18 octobre 1764), marié le 28 janvier 1761, avec Marie Pradines, fille de Guillaume et Marie Loupias, de La Coste (Tizac). Dans le contrat de mariage passé le 2 janvier[150], Pierre reçoit la moitié des biens, il décède trois ans plus tard, sa veuve épousera en 1767 Jean-Pierre Dintilhac, bourgeois de Morlhon, fils de Jean et de Marguerite Tranier. Pierre n’aura pas de descendance, ses deux enfants ne lui ayant pas survécu.

- Marie Guibbert (26 septembre 1761-décédée 15 jours après).

- Jean-Pierre Guibbert (10 février 1764-décédé à 8 mois).

b- Hélène Guibbert (1742-1767 âgée de 25 ans).

c- Louise Guibbert (19 mai 1745-1799), mariée le 27 février 1772 avec Charles Laubiès, fils de Charles et Marie Cougoule, d’Aujals (Sanvensa). Elle décède le 27 novembre 1799. D’où né à Aujals :

- Jean-François Laubiès (28 juillet 1773- ), marié le 14 juillet 1810 avec Marie Mayran, de Morlhon. Pas de descendance à Sanvensa.

d- François Guibbert (7 novembre 1747- ),  huissier aux contributions à Villefranche-de-Rouergue, marié en 1776 avec Marie-Anne Douziech, du moulin du Coustel (Sanvensa), remarié en l'an IX avec Agnès Cluzel dont il aura deux filles. 

III- Pierre Guibbert (vers 1697-1760), notaire habitant à Roumanhac (La Fouillade) de 1729 à 1741, puis à Banhaca où il décède le 15 janvier 1760. Il s’est marié le 27 février 1726 avec Hélène Coste (1709-1772), fille de feu Jean et Catherine Traynier, de Roumanhac (La Fouillade). Dans son contrat de mariage, Hélène est dotée de 2 000 livres, 12 brebis et 12 agneaux et de 400 livres de droit d’augment. Pierre teste le 25 mai 1755 en faveur de sa femme qui devra rendre l’hérédité à son fils aîné Joseph, « sans pour autant que cette clause puisse la priver de faire l’élection d’un de ses autres enfants mâles qu’elle voudra ». Il donne en dot à Hélène 800 livres, une robe avec sa jupe d’étamine du Mans, quatre brebis ; à ses fils 500 livres et de même au posthume au cas où sa femme serait enceinte. Il teste une seconde fois le 27 décembre 1759. « Atteint de maladie corporelle », il demande à être enterré dans la chapelle Notre-Dame de l’église de Tizac, fait des dons aux œuvres pieuses pour la somme de 50 livres et autant aux pauvres. Reconnaissant les bons et agréables services de sa femme et la bonne éducation donnée à ses enfants, il lui donne en pension viagère : quatre setiers de seigle, deux de châtaignes vertes, un de châtaignes sèches, une barrique de vin pur et une de demi vin, la valeur de 30 livres pour sa part de cochon, la jouissance d’une chambre, la possibilité de se servir d’un cheval quand elle voudra aller voir ses amis ou parents, etc.

Il fait héritier son fils aîné et renouvelle à ses autres enfants la dot précédente[151]. Le 12 février 1754, Hélène, alors qu’elle est alitée, fait son testament, lègue à sa fille 600 livres, six serviettes, deux brebis, ses bagues, à ses fils 250 livre et fait héritier un de ses enfants ou fille au choix de son mari[152]. De leurs douze enfants, sept ont survécu à leur père :

1- Jean Guibbert (1727 à Banhaca-avant 1755).

2- Joseph Guibbert (22 janvier 1729 à Roumanhac), qui suit.

3- Hélène Guibbert (12 septembre 1731, décédée jeune).

4- Simon Guibbert (1733-1774), marchand, décédé à 40 ans sans descendance connue.

5- Jean-Joseph Guibbert (1736-). Branche du Puech de Tizac IV.5, objet d’un autre bulletin.

6- Hélène Guibbert (12 octobre 1738 à Roumagnac- ), mariée le 22 février 1762 avec Antoine Lafon, fils d’Alexis et de Jeanne Enguiale, chirurgien de Najac, D’où :

a-            Marie-Rose Lafon (1763-avant 1808), mariée le 30 avril 1802 avec Jean Vayssière, de Caylus. Peut-être descendance en Tarn-et-Garonne.

7- Antoine Guibbert (5 mai 1741 à Banhaca-après 1813), marchand en 1776, menuisier en 1784 et huissier à Villefranche en 1813, marié le 7 juillet 1768 avec Marie-Rose Garrigues, veuve de François Barguès, fille de feu Jean-Baptiste, apothicaire de Rieupeyroux et de Marguerite Legendre, décédée le 27 décembre 1768, six mois après son mariage. Antoine se remarie le 30 janvier 1770 avec Catherine Beders, fille de Jean et d’Antoinette Milhac, de Villefranche. D'où du second lit :

a- Jean-Augustin Guibbert (1776-1784 âgé de 8 ans).

b- Jean-Pierre Guibbert (vers 1773-  ), praticien et écrivain, marié le 29 juin 1800 avec Marie Roux, née à Narbonne, fille de feu Pierre-Jean et d’Antoinette Jean. Descendance inconnue.

c- Marie-Anne Guibbert (1786-1813), célibataire, décédée à 27 ans à Villefranche.

8- Jeanne Guibbert (21 mars 1743-avant 1755).

9- Jean-Pierre Guibbert (31 décembre 1745-après 1759).

10- François Guibbert (1747-1747).

11- Marie-Rose Guibbert (21 avril 1748-avant 1755).

12- Martin Guibbert (8 janvier 1752-4 septembre 1764 âgé de 12 ans).

IV- Joseph Guibbert (1729-1794), notaire et géomètre à Banhaca de 1760 à 1794, décédé le 25 octobre 1794, marié en 1757 avec Rose Souyri (1740-1761), fille de Jean, bourgeois et juge de Castanet-Peyralès et de Catherine Alric. Rose reçoit en dot 2 700 livres, deux robes en étamine, une de burat, un garde robe…[153] et décède 4 ans après son mariage. Joseph se remarie le 28 juillet 1762 à Crespin avec Jeanne Rougié, veuve de Jean Moly[154], bourgeois de Naucelle. Joseph héritera de l’office de notaire après le décès de son père.

Il eut du premier lit deux fils :

1- Pierre Guibbert, qui suit.

2- Jean-Baptiste Guibbert (5 juin 1759- ). Branche Guibbert, de Linars (Vabre-Tizac) V.2 objet d’un objet d’un autre bulletin.

 

V- Pierre Guibbert (10 décembre 1757-29 décembre 1808), notaire à Banhaca de 1794 à 1808, marié le 25 janvier 1785 avec Françoise Boursinhac (1764-1814), fille de feu Louis-Florent, bourgeois et juge royal de Rieupeyroux et de Marie-Thérèse Flottes.

Les époux passent un contrat de mariage la veille de leur mariage chez Me Teulier en présence de plus de trente personnes qui ont toutes signées. Le marié reçoit la moitié des biens de son père ainsi que son office de notaire après son décès. L’épouse apporte la somme de 600 livres payée comptant de la part de sa mère et 4 000 livres des droits de son père dont 2 000 livres versées le jour même[155].

Le couple aura un fils qui décède peu après sa naissance et quatre filles qui se marieront dans la région et auront de nombreux descendants dans la région :

1- Pierre Joseph Antoine (1785-décédé à 12 jours).

2- Marie-Jeanne Guibbert, qui suit.

3- Françoise Marthe Guibbert (9 mai 1789-), épouse Marty, voir Rameau Guibbert-Marty VI.3.

4- Marie-Victoire Guibbert (vers 1791-1871), épouse Alcouffe, voir Rameau Guibbert-Alcouffe VI.4.

5- Marie Henriette Guibbert (14 mai 1793-2 juillet), épouse Savignac, voir Rameau Guibbert-Savignac VI.5

VI- Marie-Jeanne Guibbert (vers 1787-21 mars 1821 à 44 ans), mariée le 9 avril 1807 avec Jean-François Boyé (1773-1865), juge de Castelmary, fils de Jean-Antoine et Marie-Cécile Devézy. D’où cinq enfants nés à Banhaca :

1- Charles François Augustin Boyé (16 janvier 1809-  ), marié le 8 septembre 1840 avec Félicitée Couffin, fille de Pierre, cultivateur à La Trivale (Privezac) et de Marie-Angélique Gombert. D’où nés à La Trivale :

a- Pierre Auguste Boyé (2 septembre 1842- ).

b- Marie Caroline Boyé (23 mai1844- ), mariée le 14 février 1867 avec Jean Adrien Maurel, de La rapassie (Privezac). D’où :

     - Marie Caroline Maurel (1868-1957).

- Marie Félicité Nathalie Maurel (1872- ).

- Marie Léonie Séraphine Maurel (1879- ).

d- Marie Léonie Boyé (11 février 1848- ).

e- Pierre Louis Boyé (27 mai 1849- ), marié en 1910 à Villefranche avec marie Rosalie Gares

f- Pierre Julien Boyé (9 mai 1851- ), marié le 4 juillet 1877 à Privezac avec Marie Eugénie Dintilhac (1855- ), fille de Jean-Pierre et Françoise dite Charlotte Rouziès, de Villefranche.  D’où :

 - Marie Eugénie dite Maria Boyé (12 mai 1878-avant 1970), mariée à Cransac avec Germain Lescure, de Saint-Cyprien (1874- ). D’où :

. Germaine Berthe Lescure, née à Cransac, décédée à Réalmont (81), mariée avec Cyprien Marius Girou (1892- ), de Saint-Cyprien. D’où Marcel Girou, époux de Lucienne PicouDescendance à Toulouse, La Réunion.

g- Marie Rosalie Boyé (1857- ).

2- Marie Françoise dite Jeanne Boyé, qui suit.

3- Rose dite Rosalie Boyé (28 mai 1814-  ), mariée avec Jean-Pierre Trézières, qui suivra Rameau Boyé-Trézières VII.3.

4- Martin dit Victor Boyé (26 février 1816-après 1886), marié le 24 mai 1842 avec Marie Anne Pradines (décédée le 8 janvier 1876 à Féneyrols - La Fouillade), fille de Jean et Marie Anne Marty, de Pradines (Saint-André), veuve Cougoule, de Féneyrols. D’où nés à Féneyrols :

a- Euphrasie Boyé (5 mai 1843-décédée à 3 mois).

b- Sophie Boyé (1844-1864 à 20 ans).

c- Marie Anathalie Boyé (24 mai 1847-1884), mariée le 30 mai 1869 avec Louis Boissière, fils de Jean Baptiste et Rose Vernhes, de Lafon (Sanvensa). D’où nées à Féneyrols : 

     - Adelphine ou Delphine Marie Boissière (1870-après 1886).

     - Rosa Émilie Boissière (1873-1876 à 3 ans).

- Marie Pélagie Balbine Boissière (1876-), mariée avec Casimir Philippe Jonquières, cultivateur aux Cuves (La Fouillade), fils de Jean-Pierre et Marie Alaux, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où nés aux Cuves :

. Honoré Joseph Alfred Jonquières, cultivateur aux Cuves, époux d’Anna Alcouffe, de La Bruyère (La Fouillade). D’où : Roland Jonquières, marié avec Josette Imbert, sans descendance.

. Emma Augusta Laurencie Jonquières, épouse d’Honoré Alaux, de La Tapie (La Fouillade). D’où quatre enfants. Descendance à Rieupeyroux, Lescure-Jaoul, Graulhet (81), Bordeaux, Paris, en Corrèze.

-   Marie Léonie Boissière (1879-1879).

-  Marie Orancie Boissière (1883-), épouse de Jean Baptiste Élie Tranier, de Belpech (Saint-André-de-Najac), remariée à Saint-André avec Elie Navech. Sans descendance.

d- Marie Anne Boyé (1849-), mariée le 3 juillet 1880 à la Fouillade avec Jean-Antoine Cougoule (1836- ), fils de Jean-Antoine et Marianne Boissière, de Lafon (Sanvensa).

5- François Vincent Boyé (17 août 1819- ). Descendance inconnue.      

VII- Jeanne Boyé (31 mai 1811-  ), mariée le 30 septembre 1831 avec François « Auguste » Vabre (1803-1877), cultivateur à Banhaca, fils de François et Marie Jeanne Mader, du Bouscatel (Vabre). Héritière de Banhaca, elle va transmettre le domaine aux Vabre, succédant ainsi aux Guibbert et aux Boyer. Neuf enfants naîtront du couple et auront des descendants sauf un resté célibataire chez son frère :

1- François Louis Vabre (1832-  ), qui suit.

2- Jean François Louis Vabre (14 octobre 1834- ), marié le 8 juin 1868 avec Marie-Angélique Vabre, fille de François et Marie Marre, des Cayroux-Blancs (La Bastide-l’Evêque), sa cousine germaine. 

3- Rosalie Vabre (27 juillet 1837-après 1898), mariée le 23 juin 1858 avec Jean-Pierre Lagarrigue, fils de Jean-Pierre et Marie Falipou, cultivateur des Fargues (Vabre). D’où onze enfants dont trois morts en bas âge :

a- Augustin Lagarrigue (28 mars 1859-  ), cultivateur des Fargues, marié le 24 juin 1886 avec Léonie Tranier, fille de Pierre et Charlotte Ginestet, de La Bastide-l’Evêque. D’où :

- Albert Lagarrigue, cultivateur aux Fargues, époux de Léonie Segonds, de La Bastide-l’Evêque. D’où :

. Simone Lagarrigue, épouse Boutonnet, de Bleissol. Descendance à Vabre, Toulouse

. Suzette Lagarrigue, épouse Bruneau. Descendance à Paris.

. Aimé Lagarrigue, époux. Descendance à Villefranche.

- Elie Lagarrigue, célibataire décédé au château de Salesse où il était domestique.

- Maria Lagarrigue, mariée dans le Tarn, d’où un fils sans descendance.

b- Marie Anastasie Lagarrigue (17 avril 1860- ), mariée le 27 avril 1881 avec Baptiste Jérémie Déléris (1853- ), fils de Baptiste et Marie Rose Calvet, de La Fage (La Capelle-Bleys). 

c- Marie Rosalie Lagarrigue (30 décembre 1861-  ). 

d- Anne Flavie Lagarrigue (21 juillet 1864-1888 à 24 ans).

e-       Rosalie Lagarrigue (1866-1867).

f-             Louis Vincent Lagarrigue (1868-1868).

g-             Rosalie Lagarrigue (1870-1891 âgée de 21 ans), célibataire.

h-             Julien Marcellin Lagarrigue (1871- ), célibataire enseignant à Agen (47), sans descendance.

i-              Germain Lagarrigue (1873- ) marié avec Marie Eudoxie Mayran (1881- ), fille de Mathieu et Eugénie Savignac, du Bès (Vabre). D’où :

-  Fernande Lagarrigue, épouse Maraval. D’où :

. Nicole Maraval, épouse Couderc. Descendance à Villefranche et Toulouse.

. Danièle Maraval, épouse Fabié. Descendance à Toulouse.

- Ernest Lagarrigue. D’où deux filles. Descendance à Versailles.

- Marthe Lagarrigue, épouse Bros, des Landes (Vabre). D’où :

. Laure Bros, épouse Marre. Descendance à Villeneuve et Martiel.

. Jean Bros, . Descendance à Villefranche.

. Michèle Bros, épouse Albouy. Descendance à La Salvetat-Peyralès et Caussade (82), à Toulouse…

. Marcelle Bros, épouse Teulières. Descendance à Toulouse et Versailles.

. José Bros. Descendance à Cahors.

. Daniel Bros. Descendance à Vabre et Villefranche.

. François Bros, sans descendance.

     . Véronique Bros. Descendance à Maleville.

-  Odile Lagarrigue, épouse Fourcadier. D’où :

. Monique Fourcadier, épouse Darre. Descendance à Martiel.

j-              Marie Thérèse Lagarrigue (1876- ).

k-            Marie Marcelline Lagarrigue (1878-+ à Brive), mariée en 1896 avec Marcellin Déléris (1868-), frère de son beau-frère de La Fage, employé au chemin de fer à Brive.

4- François Marcellin Vabre (2 juillet 1839-après 1891), cultivateur des Cazes-Basses (Vabre), marié le 17 octobre 1864 avec Marianne Lacombe dit Prat (1842-après 1891), fille de Jean et Marie-Anne Boyer, des Cazes-Basses. D’où neuf enfants nés aux Cazes-Basses :

a- Eugénie Émilie Vabre (14 janvier 1866- ). ???

b- Marie Eugénie Vabre (26 juin 1867- ), mariée le 29 avril 1891 avec Martin Dumoulin, propriétaire cultivateur du Verdier (Vabre), fils de Pierre et Marie Vaur. D’où :

- Séverin Léopold Dumoulin. Descendance à Laguépie (82).

- Marie Zénobie Dumoulin.

c- Marie Casimir Vabre (1871- ).

d- Hortense Vabre (- ).

e- Louis Célestin Vabre (4 août 1875-10 mars 1916 à La Ville-aux-Bois-lès-Dizy - 2), mort pour la France, marié à Najac avec Rosalie Flavie Miquel.

f- Léontine Vabre (1877-1877 à un mois).

g- Marie Darie Vabre (1878-1900 à 22 ans).

h- Hubert Vabre (1880-1894 à 14 ans).

i- Marie Zénobie Vabre (1884- ).

j- Blandine Marie Octavie Vabre (1886-1886 à 15 jours).

5- Charles Léon Vabre (10 août 1841- ), cultivateur aux Cayrous-Blancs (La Bastide), marié le 28 juin 1868 avec Marie-Anne Rosalie Virginie Vabre (1849-après 1911), fille de François et Marie Marre, des Cayrous-Blancs (La Bastide-l’Evêque), sa cousine germaine. D’où nés aux Cayrous-Blancs :

a- Charles Louis Vabre (1869-1947), marié avec Germaine Douat, de Saint-Salvadou. La famille quitte le village après la guerre et s’installe en Lot-et-Garonne où Charles décède en 1947 au Passage. D’où nés aux Cayrous-Blancs et descendance peut-être dans le Lot-et-Garonne :

- Gabriel Vabre.

- Léopold Vabre.

- Louis Vabre.

b- Marcellin Augustin Vabre (1871-  ).

c- Vincent Vabre (1872-  ).

6- Victor Vabre (13 septembre 1843-entre 1906 et 1911), célibataire.

7- Euphrasie Vabre (17 avril 1847- ), mariée le 8 juin 1868 avec Jean-Antoine Déléris, fils de Joseph et de Jeanne Vaur, de La Fage (La Capelle-Bleys). D’où sept enfants nés à La Fage :

a- Marie Rosalie Déléris (1869- ).

b- Joseph Fortuné Déléris (1871- ). Descendance 

c- Marie Eugénie Déléris (1874- ).

d- Marie Euphrasie Déléris (1876- ), mariée en 1896 avec Cyprien Julien Conte, fils de Baptiste et de Marie Veyrac, de Castanet. Descendance inconnue.

e- Marie Lucie Déléris (1879- ), mariée en 1898 avec Justin Jean Antoine Douziech, fils de Jean Antoine et de Marie Bayol, de Pradinas. D’où :

- Justin Douziech (1901- ), descendance inconnue.

- Rémy Douziech (1905- ), descendance inconnue.

f- Emilie Déléris (1883- ), mariée en 1902 avec Cyprien Adrien Pourcel, employé de chemin de fer à Sète, fils de Julien et Marie Anne Barguès, de Rieupeyroux. Descendance inconnue.

g- Marie Hortense Déléris (1887- ), mariée en 1908 avec Pierre Antoine Astruc, de la région de Marvejols, employé aux chemins de fer à Sète. Descendance inconnue.

8- Marie Mélanie dite Emilie Vabre (13 mai 1850-après 1896), mariée le 27 août 1871 avec François Garrigues, fils de Pierre et de Rose Cavalié, de Pradials et en secondes noces le 26 avril 1899 avec Jean-Pierre Marty, d’Aupignac (Lunac). Du premier lit, nés à Pradials et ayant quitté Pradials après 1899 :

a- Louis François Garrigues (1872- ), marié en 1894 avec Marie Eugénie Valière, de Capelars (La Salvetat- Peyralès). D’où nés à Pradials :

- Louis Élie Garrigues (1894- ). Descendance inconnue

- Alfred Roger Garrigues (1899- ). Descendance inconnue

b- Anaïs Garrigues (1872- ).

c- Léonie Garrigues (1875- ), mariée en 1894 avec Célestin Elie Valière, de Capelars (La Salvetat-Peyralès). D’où :

- Marie Lucie Valière (1896-1955 à Rodez), mariée avec Pierre Lagarrigue.

d- Marie Garrigues (1877-1960 à Lyon), mariée en 1899 à Villefranche-de-Rouergue avec Emile Célestin Prat.

e- Honoré Garrigues.

9- Marie Eugénie Vabre (24 octobre 1856- ), mariée le 23 février 1881 avec Baptiste Garrigues, fils de Baptiste et de Rose Panissal, de Margat (La Salvetat-Peyralès). Pas de descendance à Margat.

VII- François Louis Vabre (1832- ), propriétaire cultivateur à Banhaca, employant quatre à cinq domestiques, marié le 6 février 1861 avec Marie Charlotte « Caroline » Lafon (1839-  ), fille de Jean-Antoine, métayer au Cayrou d’Arcanhac et de Marie Chassan. D’où cinq enfants, dont deux mort-nés :  

1- Marie Blandine Vabre (23 août 1863-  ), mariée le 21 juin 1886 avec Charles-Augustin Savignac (1858- ), fils de Joseph et de Philippine Cayla, des Disses (Maleville). D’où nés quatre enfants dont deux jumelles décédées en bas âge aux Disses :

c- Elie Savignac (1891-1964 ), époux de Stella Caussanel. D’où :

- Eliette Savignac mariée avec Gilbert Viarouge. D’où trois filles. Descendance à Maleville, Galgan, Les Albres, Sanvensa, Villefranche, Decazeville, Rodez, au Puy-en-Velay, dans le Sud de La France, à La Réunion.

d- Aline Savignac (1895-1973), mariée avec Camille Tamalet, de Sainte-Croix.

2- Louis Casimir Vabre (30 juillet 1865-  ), qui suit.

3- Vincent Vabre (5 juillet 1871, décédé 2 jours après).

VIII- Casimir Vabre (30 juillet 1865-  ), propriétaire exploitant à Banhaca, marié en 1893 avec Marie Marcelline Vaur (1875- ), fille de Victor et Rosalie Costes, des Landes (Vabre-Tizac). D’où :

1-    Géry Vabre, qui suit.

2-    Alix Vabre, épouse Marty. Descendance à Paris, région du Centre et du Sud-Est.

IX- Géry Vabre, propriétaire exploitant, marié avec Denise Trézières, de Vabre, dont il a deux enfants. En 1970, il vend une partie de la ferme de Banhaca et de la maison.

1- Odile Vabre, célibataire habitant Banhaca, sans descendance.

2- José Vabre, retraité à Villefranche. Descendance à Lourdes.

    Rameau Trézières, de Poujols (La Fouillade)

VII.3- Rose dite Rosalie Boyé (1814-1892), mariée le 28 septembre 1840 avec Jean-Pierre Trézières[156] (1795-1871), fils de Pierre et Marie Saurel, de Bertouget. D’où :

1-Marie-Rose dite Euphrasie Trézières (1841-après 1888), mariée le 14 octobre 1860 avec Jean-Baptiste Castel (-1878), de Celles-Basses (Monteils). D’où onze enfants, dont quatre morts jeunes :

a- Marie Euphrasie Castel (1862-1886), couturière à Villevaire, mariée le 9 octobre 1881 avec Denis-Philippe Blanc (1858- ), tonnelier de Villevaire. D’où :

- Herménégilde Euphrasie Blanc, mariée le 11 février 1899 avec Adolphe Bousquet, d’Aubin.

- François Frédéric Blanc (1883-  ), de Puechcapelo (Villevayre), parti en Algérie, marié avec Marie Allès, puis avec Carmelle Bonelli.

b- Pierre Castel (1863- ), marié le 27 juin 1890 avec Eugénie Vidal (1875 au mas de Pède (Ginals - 82). D’où :

- Laurence Castel.

- Gilbert Castel.

- Eva Marcelle Castel, épouse Roland Arches.

c- Léon Germain Castel (1864-) marié à Goutrens avec Marie Garrouste.

d- Eugène Casimir (mai 1866-1866).

e- Marie Eugénie Castel (1867- ) mariée le 5 août 1888 avec Denis Philippe Blanc, tonnelier de Villevayre.

f- Marie Rosalie Castel (1869- ).

g-  Julie Eugénie (1870-1880 à 10 ans).

h- Emile Florentin Castel (1872-à Rivières-sur-Tarn).

i- Denis Victorin (1874, mort à un mois).

j- Louis Félix (1876-1877 à un an).

k- Casimir Séverin Castel (1878-), marié avec Louise Marie Loyer.

2- Victor Trézières (1841-1872), cultivateur à Bertouget, marié le 5 novembre 1866 avec Julie Bauguil, de La Garrouffié (Jouqueviel - 81), à la Garrouffié après 1872. D’où :

a- Alphonse Florentin Trézières (1867-1951 à Narbonne).

b- Emile Casimir (1866-1877 à 11 ans).

c- Marie Rosalie (1871-1875 à 14 ans).

2-        Jean Eugène Trézières (1844-1930), qui suit.

VIII- Jean-Eugène Trézières (1844 à Banhaca-1930), agriculteur à Pouzols (La Fouillade), marié avec Elisabeth Cazals (1851-1894), fille de feus Gabriel et Rosalie Tranier, de Bertouget. D’où :

1- Eugène-Jules Trézières (1874-1948 au Sen - 40), gendarme, marié, à Herré (Landes), avec Adrienne-Laure Latrabe, née en 1878 à Canenx-et-Réault (Landes), fille de Pierre Antonin et Rosalie Dupouy. D’où : Juliette. Pas de descendance.

2- Elie-Arthémon Trézières (1875-1933), vicaire général des Clercs de Saint-Viateur à Jette en Belgique.

3- Elaphe-Mathurin-Gabriel (1877-1880 à 3 ans).

4- Jean dit Zéphirin Trézières (1879-1961 à Pau), chef des bâtiments de l’instruction publique en Tunisie, marié à Tunis avec Marie-Françoise Latrabe, sa belle-sœur. D’où nés à Tunis :

a- Yvonne Trézières, mariée à Tunis avec Henry Olivier. Descendance dans la Région parisienne.

b- Madeleine Trézières, mariée. Descendance dans la Région parisienne

c- Suzanne Trézières, décédée à 25 ans.

d- Jean Trézières, mort en montagne à 24 ans.

e- Simone Trézières, mariée. Descendance à Paris, Pau, Annemasse.

5- Gabriel-Mathurin Trézières (1882- ), célibataire, il fit carrière en Tunisie et au Maroc dans la Régie des Tabacs.

6- Gabrielle-Julienne Trézières (1883-1979), mariée avec Frédéric Cazals[157] (1877-1970), agriculteur à Pouzols, fils de Paul et Julie Saint-Amans, de Trézières (La Fouillade). D’où :

a- Eugène Cazals, sans descendance.

b- Paul Noël Cazals, époux de Raymonde Alaux, descendante de Louix XI Bulletin n° 73. Descendance à La Fouillade, La Salvetat-Peyralès, Toulouse, Paris, en Grèce.

c-  Elia Cazals, épouse de Fernand Jonquières, de La Bruyère (La Fouillade). Descendance à Lyon, Versailles, au Chili, aux USA, en Suisse, en Chine.

d- Marie Cazals, épouse de Norbert Maruéjouls, du Périé (Saint-Salvadou). Descendance à Saint-Salvadou, Rodez.

e-Théophile Casimir Cazals (1885-1963), agriculteur à Flaugnac (46), marié en 1919 avec Sidonie Douziech, de Rieupeyroux. Descendance dans le Lot, à Paris.

7- Théophile-Casimir Trézières (1885-1963 à Flaugnac), agriculteur en Tunisie puis à Flaugnac (Lot), marié à Vabre le 7 mai 1919 avec Sidonie Douziech (1888-1952), fille de feu Victor et d’Isabeau Puech, de Carbonnel (Rieupeyroux). D’où nés à Tunis :

a- Paule Jeanne Trézières, mariée. Descendance dans tout le Sud-Ouest.

b-      Gabrielle Trézières, célibataire.

c- Eugène Trézières, marié. Descendance dans le Lot.

d-      Eloi Trézières, marié. Descendance dans le Tarn et la Haute-Garonne.

e- Maurice Trézières, célibataire décédé à 59 ans.

8- Émile-Alfred Trézières (1889-1890 à un an).

                                                   Branche Guibbert-Marty  

VI.3- Françoise Marthe Guibbert (9 mai 1789- ), mariée le 10 juillet 1814 avec Antoine Marty (1774-1817), du Blazals (Lescure-Jaoul), veuf de Thérèse Blanc, fils d’Antoine et de Marie Mayran. Françoise se remarie le 8 février 1820 avec Bernard Dumoulin. D’où du premier lit deux enfants dont un décédé à sa naissance :

1- Antoine Marty (1815-avant 1883 à 34 ans), cultivateur à Blazals, qui suit.

Du second lit :

2-    Marie-Jeanne Dumoulin (1823-1857 à 34 ans), mariée en 1843 avec Joseph Mazenc, de Lescure, fils de Pierre et Madeleine Lacassagne. D’où nés à Lescure six enfants dont deux décédés très jeunes :

a- Marie Victoire Mazenc (1844-avant 1904), mariée en 1874 à Vabre-Tizac avec Joseph Poux (1846-1879 à 33 ans), fils de Joseph et Marie-Rose Lacassagne, remariée en 1881 avec Jean Pierre Fabre, de Bleyssol (Vabre). Sans descendance.

b- Rosalie Mazenc (1848-1871), célibataire. D’où :

- Rosalie Mazenc (1871-), mariée en 1898 à Villeneuve avec Jean Julien Castanier. Descendance inconnue.

c- Joseph Germain Mazenc (1848- ), marié en 1876 à Najac avec Marie Césarine Dutemps. D’où :

- Germain Jules Mazenc, marié en 1905 à Cransac avec Julie Albine Raynal, puis en 1914 à Paris 6e, avec Marie-Reine Thibault. Peut-être descendance dans la Région parisienne.

e- Joseph Philippe Mazenc (1854- ), marié à Lunac en 1881 avec Marie Caroline Ginestous (1858- ), fille de Joseph et Marie-Rose Segons, de Lacombe (Lunac ). D’où nés à Lunac :

- Joseph Philippe Mazenc (1881-1915 à 34 ans), négociant à Villefranche, mort pour la France, tué à Beauséjour. Il s’était marié en 1906 à Villefranche avec Hortense Villarouge, de laquelle il avait eu deux enfants. Descendance inconnue.

- Marie Anastasie Mazenc (1888- ). Descendance inconnue.

3-    Victoire Dumoulin (1826 à Lunac-1er février 1851 à 34 ans à Trébessac), mariée le 23 février 1848 avec Jean-Louis Victor Bayol, deTrébessac (La Fouillade), fils de Jean-Louis et Marie-Anne Cabady. D’où :

a- Marie Philippine Bayol (14 janvier 1851- ), orpheline à 15 jours. Descendance inconnue.

 VII- Antoine Marty (1815-avant 1883), cultivateur à Blazals (Lescure-Jaoul), marié le 31 octobre 1843 avec Marie-Rose Alaux (1819-1883), fille de Jean-Joseph et Marie Pomiès, de Cros (La Fouillade). D’où nés à Blazals :

1- Jérôme Marty (1845-avant 1899), qui suit.

2- Appolonie dite Marie Marty (1848-1873 âgée de 24 ans).

3- Marie-Rosalie Marty (1850-  ), mariée le 5 février 1873 avec Victor Mazars, fils de Joseph et Charlotte Delbès, de Lauriol (Vabre). D’où nés à Lauriol :  

a- Marie Rosalie Mazars  (1873-  ), mariée en 1898 à Laguépie avec Jules Icher, de Saint-Martin-Laguépie, filateur au Jaoul. D’où née au Moulin de Jaoul (Lescure-Jaoul) :

- Marie Icher (1898-à Toulouse), mariée avec Moïse Rivière. Descendance peut-être à Toulouse.

- Jules René Icher (1900-1972), filateur à Laguépie puis à Villefranche-de-Rouergue, député de cet arrondissement de 1956 à 1958, époux de Marie Bosc, de Morlhon. Descendance à Villefranche.

- Ernest Albéric Icher, filateur, maire de Laguépie en 1947, marié avec Yvonne Tranier, de Saint-André. Descendance.

b- Victor Julien Mazars (1875-  ), marié avec Marie Couchet, de La Salvetat-Peyralès.

4- Antoine Marty (1852- ), marié le 11 mars 1877 à Lescure avec Marie Rose Laurens, de Cureboursot (Bor-et-Bar). D’où nés à Lescure :

a- Marie Hortense Marty (1879-1960 à Toulouse), mariée avec Jean Verlhac. Descendance inconnue.

b- Marie Bellonie Orancie Marty (1881- ), mariée en 1906 avec Alexandre Casimir Laurens. . Descendance inconnue.

5- Marie Mélanie Marty (1859- ), mariée le 31 janvier 1877 avec Jean-Antoine Cadène, cultivateur à La Tapie (La Salvetat-Peyralès), fils de Jean-Antoine et Charlotte Blanc, de Bestès (La Fouillade). Descendance inconnue.

VIII- Jérôme Marty (1845-avant 1899), cultivateur à Blazals, marié le 30 juillet 1870 avec Marie Rouziès (1845-1871), du Rech (La Salvetat-Peyralès), morte le 16 avril 1871 en couches d’un fille qui décède le même jour. Jérôme se remarie le 29 mai 1872 avec Rosalie Pomiès (1847-1943 à 96 ans), fille de François et de Marie Pomiès, du Cayrou (La Salvetat-Peyralès). D’où du second lit huit enfants le premier décédé à la naissance et un à 12 ans :

2- Jérôme Joseph Antoine Marty (1874- ), marié avec Marie Mélanie Granier, de Béziers. D’où :

a- Roger Marty, habitant dans le Gard. Descendance à Toulon.

3- Rosalie Sophie Marty (1876 à Villematier - 31), mariée le 15 juin 1899 avec Pierre Barria, forgeron de Laurélie (Bor-et-Bar). D’où :

          a-  Félix Barria (1900-1976), marié avec Jeanne Miquel. D’où :

              - Henri Barria, sans descendance.

              - Michèle Barria, épouse Roeskay. Descendance dans l’Indre, le Rhône.

              - Danielle Barria, divorcée Serres. Descendance à Lunel (34), Foix, Angoulens (17).

          b-  Albert Barria, époux Ficat. D’où :

              - Georges Barria. Descendance à Villemur (31), Villematier (31).

     - Gisèle Barria, épouse Bragagnolo. Descendance à Magnanac (31).

c- Maria Barria, mariée avec Fernand Roumagnac. Descendance à Villematier, Villemur (31).

d- Michel Barria, marié avec Fernande Vedeille. Descendance à Aucamville, Toulouse, Région parisienne.

5- Céline Marty, religieuse dominicaine sous le nom de « sœur Juliette ». 

6- Léon Marty (1883-1955), facteur à Blazals, puis à Fournols (Lescure), grand blessé de la guerre 1914-1918, marié en 1906 avec Marie Bosc (1884-1967), de Flauzins. D’où nés à Blazals :

a- Marius Marty, cultivateur à Fournols, marié avec Maria Rouquette, centenaire née en 1912 à La Servilie (Lescure). D’où :

- Raymond Marty, marié avec Yolande Saurel. Descendance à Fournols, Olemps, Toulouse.

- Marinette Marty, épouse Delcausse. Descendance à Lescure.

- Ginette Marty, épouse Delzescaut. Descendance à Toulouse.

- Yolande Marty, épouse d’André Clapié. Descendance à Cergy-Pontoise (95).

b- Julia Marty, mariée avec Abel Couderc. D’où :

- Jeanne Couderc, épouse Cros. Descendance à Toulouse, au Luxembourg.

- Robert Couderc, habitant à Envals (63), sans descendance. 

- Raymonde Couderc, épouse Rouziès. Descendance à Sanvensa, Caussade, Toulouse.

- Jacques Couderc. Descendance à Capdenac-le-Haut, Toulouse, La Gardelle-sur-Lèze et Beaupuy (31).

c- Marthe Marty, épouse de Paul Lacombe, cultivateur à La Ficatie (La Capelle-Bleys). D’où :

- Marinette Lacombe, mariée avec Robert Déléris, cultivateur à La Ficatie. Descendance à La Ficatie, Villefranche, Lavaur (81).

- Jeannette Lacombe, mariée avec André Austruy. Descendance à Olemps, Rodez, Paris.

    - Marguerite Lacombe, épouse Rouquette. Descendance à La Primaube, Olemps, Rignac, Paris.

7- Paul Marty (1890-  ), sabotier à Villeneuve, marié en 1917 avec Marie Joséphine Julie Gayrard, divorcé en 1937. D’où :

a- Arthur Marty, employé de chemin de fer. Descendance à Capdenac, Rodez.

b- André Marty, accordéoniste, retraité à Monteils. Descendance à Villefranche.

8- Théophile Marty, mineur à Carmaux, célibataire.

                                                          

Branche Guibbert-Alcouffe

VI.4- Marie-Victoire Guibbert (vers 1791-1871), mariée le 14 juin 1815 avec Jean-Louis Alcouffe, fils de Jean et Catherine Alcouffe, cultivateurs au Puech (Vabre). D’où nés au Puech :

1- Marie-Jeanne Alcouffe (17 mai 1817-7 septembre 1818 à 17 mois).

2- Marie Victoire Alcouffe (4 juillet 1819- ), mariée le 31 octobre 1837 avec Jean-Baptiste Delbès, cultivateur à Lauriol (Vabre)), fils de Jean et Marie Alaux. D’où nés à Lauriol quatorze enfants dont sept décédés avant d’avoir un an :

a- Marie Victoire Delbès (4 août 1839- ).

c- Marie-Rosalie Delbès (6 juin 1843- ), mariée le 28 avril 1888 à Vabre-Tizac avec Jean Baptiste Segons, fils d’Antoine et Euphémie Boyé, cultivateur à Testas (Sanvensa). Descendance inconnue.

d- Eulalie  Henriette Delbès (vers 1845), mère célibataire d’Eulalie née et décédée en 1872.

e- Victor Delbès (31 juillet 1847-), cultivateur à Vezac en 1881, marié le 25 août 1875 avec Marie Rosalie Vabre (1851-), fille de Jean-Antoine et Rose Lacassagne, des Cayroux Blancs (La Bastide-l’Evêque). D’où nés à Lauriol :

     - Baptiste Marcellin Delbès (1877-8 août 1916 dans la Meuse), cultivateur à La Bastide-l’Evêque, mort pour la France, laissant deux enfants pupilles de la nation, nés du mariage avec Marie-Julie Boutonnet, fille de Casimir et Marie Julie Lagarrigue, de Bleyssol (Vabre).

f- Jean-Baptiste Delbès (4 juillet 1849-), fermier à Lunac en 1896, marié le 23 novembre 1881 à Saint-Salvadou avec Elisabeth dite Elisa Lafon, fille de Jean Antoine et de Thérèse Théodore, du Puech (Saint-Salvadou). D’où six enfants, deux morts en bas âge.

- Maria Delbès (1883 à Vabre-1960 à Lombers - 81), mariée à Lunac en 1906 avec Célestin Marc. D’où nés à La Borie de Lunac :

. Anna Marc, épouse Déléris. Descendance à Villefranche, Carmaux (81), Toulouse.

. Denise Marc, épouse Regourd. Descendance à Louradou (La Fouillade).

. René Marc. Descendance à Lombers (81), Toulouse, Nice.

- Albertine Delbès (1886 à Lunac-1973 à Saint-Salvadou), mariée à Lunac en 1911 avec Emile Louis Sicard (1885-1961), de Puechbayssac, charron à Saint-Salvadou. D’où :

Denise Sicard, épouse Paul Combette. Descendance à Saint-Salvadou, Drulhe, Druelle, Paris.

- Germain Delbès (1889 à Lunac-1918), célibataire, mort pour la France à 29 ans, blessé à deux reprises et tué au combat dans l’Aisne le 23 juillet 1918, croix de guerre.

- Frédéric Delbès (1896- ).

Lucette s d

Simone. Descendance à Paris, au Brésil.

- Camille Delbès (1900- ), marié en 1925 avec Berthe Flavie Delcausse (1906-1988), des Mazières, fille de Cyprien Frédéric et d’Adeline Alcouffe. D’où :

André Delbès. Descendance à Toulouse

Lucien Delbès. Descendance dans la région de Nice.

Solange Delbès. Descendance à Paris

Marinette Delbès. Descendance à Vichy.

n- Casimir Delbès (1862- ). Descendance inconnue.

3- Marie Rose Alcouffe (15 février 1822-18 juillet 1859 à 37 ans), mariée le 6 juin 1843 avec Jean-Pierre Fabre, fils de Joseph et Madeleine Gayrard, métayer à La Coste (Vabre). D’où quatre filles nées au Puech ::

a- Marie Rosalie Fabre (1849-1933 à 84 ans), mariée le 9 avril 1872 avec Jean Pierre Alcouffe (1844-1930 à 86 ans), fils de Jean-François et d’Antoinette Alet, du Puech de Vabre. D’où :

- Jean Marcellin Alcouffe (1873-1939), marié en 1899 avec Léonie Déléris, du Patus (Vabre), fille de Jean Pierre et Caroline Balat. D’où un fils. Descendance à Pezet (Saint-Salvadou).

- Marie Emilie Alcouffe (1875-1962 à 87 ans), mariée en 1894 avec Baptiste Louis Boyer (1862- ), fils de Baptiste et Marie Anne Monmaur, de la Salvetat. D’où un fils et trois filles. Descendance à Vabre, La Salvetat, Tayrac, Rodez, Albi, Toulouse, Montpellier, Agen, Argenteuil.

- Célestin François Alcouffe (1876- ), marié en 1902 avec Marie Hortense Constans., de Lugan (Vabre). Descendance à Vabre, Rieupeyroux, Villefranche.

- Cyprien Charles Alcouffe (1879-1945), charron à Vabre, marié en 1905 avec Aurélie Fraysse, Branche Guibbert-Savignac VI.6.a ci-dessous. D’où :

. André Alcouffe (1909-1983), marié avec Juliette Alcouffe (1919-1967). Descendance à Vabre, Toulouse, Martinique.

. Denise Alcouffe (1913-1976), mariée avec Roger Pomiès (1911-1997), de Rieuprésens. Descendance à La Capelle-Bleys, La Primaube, Millau.

. Henriette Alcouffe (1915-2004 à 89 ans), mariée avec Elie Bories (1913- ), de La Bastide-l’Evêque.  Descendance à Vabre, Saint-Salvadou.

- Victor Casimir Alcouffe (1881-1966 à 85 ans), marié en 1907 avec Emilie Philippine Lagriffoul, fille de Jean François et Eugénie Nathalie Albouy, de Vabre.  Descendance à La Bastide-L’Evêque, Sanvensa, Caussade, Toulouse, Chartres…

- Marie Léonie Alcouffe (1883-1954), mariée avec Joseph Laubiès, de Maloyre (La Bastide-L’Evêque). Descendance très nombreuse à La Bastide-L’Evêque, Vabre, Villefranche, Laguiole, Cahors, Lot-et-Garonne…

- Marie Rosalie Alcouffe (1886- ), mariée en 1906 avec Charles Victor Barria, de Flauzins   (Lescure), fils de Joseph et d’Emilie Lagarrigue. D’où deux fils et deux filles. Descendance à Flauzins, Sanvensa, Espinas (82), Saint-Ouen.

b- Marie Virginie Fabre (3 décembre 1851- ). 

4- Catherine Alcouffe (20 mars 1828-  ).

5- Louis Cyprien Alcouffe (1829-  ).

6-    Joseph Louis Alcouffe (1829-1867 à Lescure), cordonnier à Lescure, marié en 1857 avec Marie Rose Pauzié, de Montou (Lescure), fille de Jean Louis et Rose Blanc. D’où nés à Lescure :

a- Louis Alcouffe (1859- ).

b- Philippe Alcouffe (1862- ).

b- Casimir Léon Alcouffe (1865-1937), employé de chemin de fer, marié en 1896 avec Hortense Blanc, fille d’Augustin et de Léontine Rose Groc, de Lunac. D’où :

- Léon Alcouffe (1897-1972 à Montauban). D’où :

. Paulette Alcouffe, épouse Boyé. D’où deux filles avec Descendance.

. Jacques Alcouffe, marié avec Nicole Stourm. D’où trois fils et une fille avec Descendance.

7- Louis Alcouffe (22 octobre 1832-1883 à Rodez), marié en 1880 au Puy avec Eugénie Boyer, élevée à Chambéry par des saltimbanques.

 

            Branche Guibbert-Savignac

VI- Marie Henriette Guibbert (14 mai 1793-2 juillet 1883 à 90 ans), mariée le 27 janvier 1819 avec Pierre Savignac, fils de Jean et Marie Puechméja, de Maleville, veuf de Marie-Rose Boyer, cultivateur à Puechagut (Vabre). D’où nés à Puechagut :

1- Joseph Savignac (18 décembre 1819-  ), qui suit.

2- Jérôme Savignac (1822-1845), écrivain, décédé à 22 ans.

3- Henriette Savignac (18 novembre 1824- ), mariée le 13 septembre 1843 avec Jean Antoine Charles Segons, de Villefranche, fils de Jean Antoine et d’Elisabeth Ricard. D’où né à Puechagut :

a- Charles Philippe « Casimir » Segons  (7 décembre 1849-1872 à 23 ans), plâtrier à Vabre.

4- Jean Louis Savignac (12 février 1827- ), forgeron à Vabre, marié à Lescure le 6 février 1853 avec Marie Rose Francès (1830- ), fille de Jean Pierre et Marie Izard, de Lescure. Descendance inconnue.

5- Rosalie Savignac (10 août 1829-après 1878), mariée le 21 janvier 1849 à Rieupeyroux avec Jean Antoine Maruéjouls (1822-1855), fils de Jean Joseph et d’Anne Bourdoncle, de Nastiès (Rieupeyroux). D’où :

a- Jean Julien Maruéjouls (28 août 1853- ), cultivateur à Nastiès, marié avec Marie-Rose Falipou (1848- ), fille d’Auguste Joseph et de Marianne Delès, de Vabre-Tizac. D’où nés à Bordes :

- Marie Zénobie Maruéjouls (8 mars 1879- ), mariée en 1899 à Caplong (33) avec Elie Henri Larue. Peut-être descendance dans le Gers.

- Irma Eulalie Maruéjouls (1881-1949 à Adissan - 34). Peut-être descendance dans l’Hérault.

6- Jean Baptiste Savignac (26 mars 1832-30 décembre 1885), forgeron à Puechagut, marié le 1er décembre 1854 avec Marie Célestine Eugénie Bouyssac (1835 à Tarascon-1915), fileuse, fille de Pierre et Constance Coulet, filateurs au moulin du Jaoul. D’où six enfants dont deux décédés à quelques jours :

a- Célestine dite Alexandrine Savignac, fille naturelle née le 17 novembre 1854 et légitimée, mariée le 5 juin 1872 avec Jean Antoine Fraysse (1849-1904), propriétaire cultivateur, fils de Cyprien et Charlotte Faliès, de Bordes (Vabre-Tizac). D’où six enfants nés à Bordes :

- Marie Léonie Fraysse (1873- ). Descendance inconnue.

- Léonie Alexandrine Fraysse (1874- ). Descendance inconnue.

- Marie Irma Fraysse (1877-1923), mariée le 11 novembre 1894 avec Albert Louis Fraysse (1869-1947), fils d’Auguste et de Sophie Lacombe, cultivateur à Sayssoux (Vabre-Tizac). D’où nés à Vabre :

. Camille Auguste Fraysse (1895-1966), marié à Cabanès avec Berthe Boyer. D’où deux filles. Descendance à Vabre, Villefranche, Villeneuve.

. Marie Sophie Fraysse (1896-1988 à Albi âgée de 92 ans), mariée en 1919 avec Elie Léon Graffan. de Rieupeyroux. Descendance inconnue.

. Alix Thérèse Fraysse (1899-1982), mariée à Lescure avec René Bosc. Descendance à Lescure.

. Lucie Fraysse (1901-1995 à 94 ans), religieuse.

. Alfred Fraysse (1902-1986), marié avec Elise Cadène (1901-1995 à 94 ans). Descendance à Saint-Salvadou, Pradinas, Castres, Metz.

. Urbain Fraysse (1905-2002 à 97 ans), menuisier à Castelsagrat (82), époux Calmels, épicière. Descendance à Castelsagrat (82).

. André Fraysse (1908-1947), frère des Ecoles chrétiennes, décédé à Tananarive (Madagascar).

. Clément Fraysse (1912-1988 à Firmi), époux Miquel. Descendance à Decazeville, dans le Cantal.

. Roger Gaston Fraysse ((1914-1961), époux d’Olga Blanc décédée à 91 ans, du Moulin-Blanc (Vabre-Tizac). Descendance à Vabre, Rodez.

- Germain Sylvain Fraysse (1883-1914), forgeron à La Salvetat, mort pour la France à 30 ans, tué le 28 août à Gerbervilliers, un mois après la déclaration de la guerre, marié à Morlhon en 1905 avec Marie Sylvie Estivals. Sans descendance.

- Aurélie Fraysse (1888-1975 à 87 ans), mariée en 1905 avec Cyprien Charles Alcouffe (1879-1945), descendant de Louis XI, voir Branche Guibbert-Alcouffe VI.4.3-a.

- Gabriel Jules Joseph Fraysse (1897- ), marié en 1927 à Savignac avec Sidonie Roualdès. Sans descendance.

c- Eugénie Savignac (1859-1893 à 34 ans), mariée le 22 juillet 1874 avec Mathieu Marcellin    Mayran (1845-1883 à 37 ans), piqueur-voyer de Lunac. D’où nés à Puechagut :

- Casimir Alphonse Mayran (1876- ).

- Jérémie Frédéric Mayran (1878-1958 à Decazeville), cordonnier à Vabre, marié en 1903 avec Irma Marie Julie Castes, de La Bastide-L'Évêque, institutrice stagiaire à Saint-Salvadou.

- Marie Eudoxie Mayran (1881- ), mariée en 1903 avec Germain Lagarrigue, des Fargues, cultivateur au Bez en 1903. D’où :

. Ernest Paul Casimir Lagarrigue (1904- 1969 à la Souterraine - Creuse), marié en 1933 avec Béatrix Massabuau, de Saint-Christophe (12). Descendance inconnue.

Eugénie Savignac se remarie le 25 février 1884 avec Jean Casimir Vialadieu, de Bleyssol (Vabre), aubergiste, cordonnier, receveur buraliste à Vabre. D’où quatre enfants, trois décédés en bas âge.

- Marthe Marie Eudoxie Vialadieu (1891- ). Descendance inconnue.

d-      Rosalie Savignac (1862- ), mariée le 2 juillet 1884 avec Joseph Pierre Charles Tranier, maçon au Bois-de-Bruel (Vabre-Tizac). D’où :

- Frédéric Charles Tranier (1885-1914 à 29 ans), mort pour la France, disparu à Lunéville le 28 août. Employé de bureau, il s’était marié le 25 novembre 1913 à Paris 14e avec Marie Justine Amélie Griffouliere, de Flagnac (Aveyron), cuisinière. Sans descendance.

- Louis Achille Tranier (1887-1988 à 101 ans), cafetier à Paris, marié le 24 janvier 1920 à Paris 19e avec Ursuline Rosalie Calmels, revenu à Vabre à la retraite. D’où :

. Achille Tranier, âgé de 91 ans, retraité à Castelsarrasin (82). Descendance à à Castelsarrasin, Région parisienne.

. Augusta Tranier, épouse Lacombe, sans descendance.

e- Jean Pierre Frédéric Savignac (1864- ), forgeron à Puechagut, marié le 12 février 1886 avec Marie Jeanne Constans (1864-1894 à 30 ans), modiste, de La Rivière (Toulonjac). D’où :

- Frédéric Pierre Savignac (1886- ). Descendance inconnue.

7- François Philippe Savignac (15 mars 1834- ), tailleur à La Vergnolle (La Bastide-l’Evêque), marié avec Marie Gachon ( -1868), remarié le 22 juillet 1868 à Saint-Salvadou avec Marie Rose Alet (1838- ), fille d’Antoine et de Marie Anne Combettes, de Puechbayssac. Descendance inconnue.

VII- Joseph Savignac (18 décembre 1819- ), forgeron à Tizac, habitant Ayres (La Capelle-Bleys) en 1887, marié le 11 février 1846 avec Rosalie Loupias, fille de Louis, meunier de Lespéronie (Lescure) et de Rose Dalet. D’où douze enfants nés à Tizac, sept décédés très jeunes :

1- Alexandrine Savignac (9 février 1847-  ). Descendance inconnue.

5- Marie Savignac (1854-1911), mariée le 16 janvier 1884 à Saint-Salvadou avec Jean-François Roumanhac (1842-1927), fils de François et Catherine Valérine (Falipou ?), de la Boucarie (Saint-André). D’où cinq enfants dont un décédé très jeune à la Boucarie :

 a- Victorin Roumanhac (1884-1916), mort pour la France, blessé le 20 juin et décédé dans l’ambulance le 26 juin, croix de guerre avec palme, médaille militaire ; marié avec Marie Couffinhal, de La Parrouquial (81). D’où née à La Boucarie :

- Marie-Louise Roumanhac, mariée avec Lucien Blanc. Descendance à Belpech (Saint-André).

b- Germain Roumanhac (1885- ), marié en 1907 avec Marie Eulalie Couffignal (1886-1959), de la Sèverie. Descendance à Bor-et-Bar. D’où :

- Roger Roumanhac, époux Cavalié. Descendance à La Salvetat-Peyralès.                                   -                                 

  Gaston Georges Roumanhac, époux Grané. Descendance à Cessenon (34).

- Léa Roumanhac, épouse Gargaro. Descendance à Lagarde-Viaur (81). 

- Fernande Roumanhac, épouse Martiel. Descendance à Limoges.   

- Robert Roumanhac, marié avec Raymonde Genre, voir Branche Guibbert-Marre dans un prochain Bulletin.

- René Roumanhac, époux Boutonnet. Descendance à Villefranche.

 c- Marie Louise Roumanhac (1890- ), mariée avec Emile Alexandre Galan. D’où :

- Raymond Galan. Descendance à Paris, Région parisienne.

- Eliette Galan, âgée de 98 ans, épouse Dalet. Descendance à Saint-André, Toulouse, Villeneuve-Loubet (06).

 d- Maria Roumanhac (1893-1911 à 18 ans).

7- Nathalie Savignac (1858- ), célibataire retirée chez son beau-frère à La Boucarie.

9- Louis Savignac (23 mai 1861- ), forgeron à Marmont, marié le 11 septembre 1889 à Vabre-Tizac avec Marie Rose dite Fébronie Mazières, fille de François et Rose Lacombe, de Saint-Salvadou. D’où née à Marmont :

a- Maria Savignac (1891-après 1936).

b- Eugénie Savignac (1896- ), mariée avec Louis Segonds.

c- Eloi Savignac (1899- ), forgeron à Marmont, marié avec Albina Rigal. D’où :

- Jean Savignac. Descendance inconnue. Descendance inconnue.

- René Savignac. Descendance inconnue.

d- Irma Savignac (1902- ). Descendance inconnue.

10- Marie Julie Savignac (1863- ), mariée à Villevayre le 16 novembre 1887 avec Prosper Maury, menuisier à Puechcapélo (Villevayre). D’où :

a- Hélène Maury (1892- ), mariée en 1911 avec Julien Théophile Déjean (1887-1918), menuisier à Villevayre, fils de François et Mathilde Martiel, mort pour la France un mois avant l’armistice, âgé de 31 ans, « excellent soldat tué à son poste » laissant un enfant. Hélène se remarie en 1920 avec Paulin Coustilières.

b-  Elie Maury (1893-1972 à Najac), cultivateur à Puechcapélo, marié en 1921 avec Marie Emilie Albanie Massot. D’où :

Roger Maury. Descendance à Villevayre, Auriac (19), Villefranche, Albi, Vendémian (34), Périgueux.

- René Maury. Sans descendance.

                                                  Branche Guibbert, de Linars

V.2- Jean-Baptiste Guibbert (1759-1848 à 89 ans), géomètre et notaire de l'an III jusqu’à son décès le 25 janvier 1848, marié le 8 juin 1799 avec Marie-Rose Carrié ( -1844), fille d'Amans et Antoinette Malfettes, de Linars (Vabre-Tizac). D'où onze enfants nés à Linars :

1- Marie-Rose Guibbert (13 juin 1800- ), sûrement décédée jeune.

2- Marie-Rose Guibbert (31 décembre 1801-1875), mariée le 7 février 1821 avec Antoine Falipou, propriétaire cultivateur à Pradines (Saint-André-de-Najac), fils de Jean-Antoine et Rose Albouy. D’où huit enfants nés à Pradines, deux décédés à un mois :

a-  Marie-Rose Falipou (18 janvier 1823- ), mariée le 14 juillet 1851 avec Jean-Baptiste Saurel, fils de Joseph et Marie Monserrat, de Flauzins, cultivateur à La Pendarie (Saint-André). Sans descendance.

b- Julie Falipou (9 janvier 1825- ). Descendance inconnue.

e- Marie-Rose Falipou (3 janvier 1831- ). Descendance inconnue.

f- Antoine Falipou (3 octobre 1833- ), cultivateur à Pradines, marié le 25 janvier 1858 avec Dorothée Alary, fille de Bernard et Julie Alary, du Mas Viel (Quins). D’où :

- Eugénie Falipou (1859- ), mariée le 17 juillet 1884 avec Augustin Bessuéjouls, fils de Pierre et Rose Calviac, de La Couliche (Quins). D’où :

. Augustin Bessuéjouls (1888- ). Descendance inconnue.

. Maria Bessuéjouls (1889- ), mariée avec Pierre Elie Devaux, sans descendance.

. Zoé Bessuéjouls (1890-1963 à Quins), mariée avec Henri Bastide. Descendance à Quins et Albi.

. Elisa Bessuéjouls (1892-1957), célibataire, sans descendance.

- Hortense Falipou (1864- ), mariée le 30 avril 1890 avec Jean Pierre Casimir Muratet, fils de Pierre et Rosalie Marty, de Cadoulette (Lescure). Descendance inconnue.

- Germain Falipou (1867- ), marié avec Angeline Dalet. D’où nés à Pradines :

. Marie Falipou (1892- ), mariée avec Ernest Dalet, employé aux chemins de fer. Descendance à Toulouse et dans le Lot.

. Angeli Falipou (1905- ), époux de Léa Hugounet. Descendance à Bor-et-Bar, Saint-André, La Fouillade, Najac, Rodez, Toulouse.

 - Louise Falipou (1869-1956), habitant Mirandol-Bournhounac (81) lors de son mariage le 28 octobre 1892 avec Justin Sesquières, fils de Jean-François et Marie Lafon, de Béteille. Descendance à Saint-Martin-Laguépie (81).

- Jules Falipou (1872-1945), célibataire.

- Denis Falipou (1874-1949 à Montauban), marié le 10 juin 1897 avec Marie Dalet, fils de Pierre et de Marie Tranier, de l’Herm (Saint-André). D’où trois enfants nés à L’Herm, puis habitant à Montauban, descendance inconnue :

. Venant Falipou (1898- ).

. Denise Falipou (1901-1994 à 93 ans en Savoie), mariée avec Jean Alcouffe.

. Alfred Falipou (1906-1969), marié à Montauban avec Marguerite Caussade.

. Roger Falipou (1908-1999 à 91 ans à Montauban), marié avec Alice Marty.

g- Marie Rose Césarine Falipou (10 décembre 1837- ).

h- Marcellin Falipou (16 mai 1842- ), marié le 16 janvier 1865 avec Appolonie Ardourel, de Belpech (Saint-André), née à Ginestous (Laguépie), fille de Jean-Baptiste et Rose Guiral. D’où nés à Belpech mais qui n’y habitent plus en 1881, leur descendance est inconnue :

- Marie Falipou (1865- ).

- Célestine Falipou (1867- ).

3- Jean-Baptiste Guibbert ( 20 avril 1804- ), qui suit.

4- Adélaïde Guibbert (1806-1827 à 19 ans).

5- Marie-Rose Guibbert (9 août 1808-avant 1897).

6- Appolonie Guibbert (2 novembre 1810-avant 1901), mariée en 1830 avec Jean-Pierre Marre, du Puech (Tizac), voir Branche Guibbert-Marre, objet d’un prochain Bulletin.

7- Caroline Guibbert (28 octobre 1812-après 1897), mariée le 13 mai 1834 avec François Valayé (1806- ), fils de François et Marie Capelle, de La Valette (La Salvetat-Peyralès). D’où nés à La Valette :

a- François Célestin Valayé (17 novembre 1836- ), marié le 19 février 1868 avec Rosalie Vabre, fille de Joseph et Marie Bru, du Bourguet (Castanet). D’où nés à La Valette :

- Marie Valayé (1869-1947), mariée avec Auguste Marre (1872- ), son cousin du Puech, descendant de Louis XI, voir Branche Guibbert-Marre, ci-dessus 6.

- Mélanie Valayé (1871- ).

- Jean Casimir Valayé (1874-1965 à 91 ans), marié en 1904 avec Marie Marty, de Saint-Salvadou, et en 1907 avec Marie Ricard, fille de Philippe et Rosalie Alcouffe, d’Arquiès (Lescure-Jaoul). Casimir vend la ferme de La Valette vers 1925 pour acheter à La Pendarie (La Salvetat-Peyralès) le domaine ayant appartenu à des familles de notaires. D’où nés à La Valette :

. Roger Valayé, époux de Cécilia Couffin. D’où quatre enfants nés à La Pendarie. Descendance à La Salvetat-Peyralès, La Primaube, Flavin, Le Monastère, Lavaur (81), Montauban, Toulouse, Cognac (16), Saules-sur-Rhône (26), Lyon.

. Anicet Valayé, époux Lucienne Reynès, de La Plane (La Salvetat-Peyralès). D’où sept enfants. Descendance à La Salvetat-Peyralès, Rodez, Gages, Arvieu, Millau, Toulouse, Bordeaux, Arles la Norvège.

- Joseph Célestin Valayé (1878-1946), marié avec Marie Eulalie .zals (Lescure-Jaoul), marié le 23 mai 1870 avec Marie Rouquette (1845-1906/), de La Tapie (La Salvetat-Peyralès). D’où nés à Blazals et habitant l’Hérault avec éventuellement descendance :

- Germain Valayé (1870- ).

- Philippe Valayé (1872-1962 à 90 ans), marié avec Marie Molle. D’où :

. Marie Valayé (1901- )

- Cyprien Valayé (1874- ), marié à Pézenas (34) avec Madeleine Pout.

- Zéphirin Valayé (1879- ), marié à Murasson (12) avec Marie Virginie Ruf.

c- Philippe-Marcellin Valayé (2 mars 1843-1885), forgeron à Marmon, marié le 4 juillet 1870 avec Marie Viguier, aubergiste, fille de Sauveur et Charlotte Cabrit, de Saint-Salvadou. D’où

- Germain Valayé, forgeron, marié en 1896 avec Germaine Falipou, de Vabre-Tizac.  Descendance inconnue

d- Cyprien Valayé (25 juin 1846- ). Descendance inconnue.

e- Cyprien Valayé (15 décembre 1850- ). Descendance inconnue.

f- Victor Valayé (4 juin 1854- ). Descendance inconnue.

 8- Jean-Pierre-Martin Guibbert (1815-1909 à 93 ans), praticien, clerc de notaire à Villefranche de 1830 à 1840. Après avoir passé le concours pour entrer dans l’octroi, il se rend à Paris pour connaître le résultat et décidera d’y rester. Embauché dans un magasin de tissus, il achète avec un associé le fonds de commerce « Les mystères de Paris ». Il se marie le 23 août 1849 avec Sophie Marguerie (1827-1902), fille d'Auguste, bijoutier à Paris, et d’Alexandrine Binet. Maire de Chaumontel où il réside, après la mort de son beau-père, il reprend la fabrication de perles cristallines. En 1897, il revient voir ses frères et sœurs de VabreD’où deux filles :

a- Marie Adélaïde Augustine Guibbert (1850-1887), mariée le 7 juillet 1869 avec le baron Antoine de Planezet, remariée en 1886 avec Félix de Ockynzyc. Sans descendance.

b- Anna Guibbert (1854-1942 âgée de 88 ans), mariée le 4 avril 1874 avec Gaston Prunières. D’où :

- Louis Prunière. Descendance à Paris.

- Henry Prunières. Descendance dans la Région parisienne, à Paris, Bordeaux.

9- Philippe Guibbert (22 février 1818-après 1901)), propriétaire cultivateur à Lescure, marié en 1853 avec Marie Cavalié (1831-après 1891), de Boscadoule (Lescure-Jaoul). D’où nés à Lescure :

a- Rosalie dite Marie Guibbert (19 octobre 1854- ), mariée le 1er mai 1877 avec François Rey, cultivateur à Bleys (La Capelle-Bleys), fils de François et Rosalie Alet. D’où nés à Bleys, descendance inconnue. :

- Albert Rey (1880-1914), marié avec Nathalie Vabre, de Rieupeyroux, mort pour la France, disparu le 27 septembre à Chauvoncourt, croix de guerre avec palme, médaille militaire. D’où deux enfants nés à Bleys dont un posthume :

. Albertine Rey (1909- ), épouse de Théophile Castes. D’où :

une fille épouse Alcouffe, du Puech de Tizac.

. Maximin Rey (1915- ).

- Elise Rey (1882- ).

- Marie Rey (1886- ).

- Léonie Rey (1887- ).

- Zéphirin Rey (1889- ).

- Albine Rey (1895- ).

b- Philippe Jean-Baptiste Guibbert (30 décembre 1857- ), marié avec Marie Cavalié (1864-1950), de La Salvetat. D’où nés à Lescure :

- Léon Guibbert (1886- ), marié avec Marie Ricard, de Lescure. D’où :

. Angèle Guibbert (1910- ), mariée avec Jean Chincholle, de Miquels (Rieupeyroux). Descendance à Miquels, Colombiès, Savignac.

. Léoncie Guibbert (1912- ), épouse Ginestet, de La Servilie (Lescure). Descendance à Lescure, Vabre, Villefranche, Carmaux (81), Clermont-Ferrand.

. Henri Guibbert (1917- ). Descendance à Toulouse, Lot-et-Garonne et région du Sud-Ouest.

- Séraphin Guibbert (1888- ). Sans descendance.

- Marie Guibbert (1891- ). Descendance inconnue.

c- Phanie Guibbert (1873-1952 à Lescure), épouse Saurel. Sans descendance.

10- Marie-Renée Guibbert (9 avril 1821-avant 1897), mariée le 27 janvier 1842 avec Jean-Pierre Auriol, de Najac. D’où :

a- Marie Victoire Auriol (22 mars 1843-1899), mariée avec François Durand, de Brive-La Gaillarde.

b- Charles Yves Auriol (20 mai 1847- ), marié le 10 mai 1875 avec Marie Ferrié, du Cayrou d’Arcanhac. D’où nés à Najac cinq enfants, un décédé à moins d’un an. Descendance peut-être à Paris :

- Jean François Alfred Auriol (1876- ), marié avec Alphonsine Gapin, de Paris

     - Marie Clotilde Héloïse Auriol (1878- ), mariée à Paris avec Eugène Brévier.

- Marie Thérèse Auriol (1881-1967 à Villeneuve -12), mariée à Paris avec Hippolyte Eber.

- Marie Gabrielle Cécile Auriol (1884-  ).

c- Jean-François Auriol (1849- ), marié avec Elisa Laurentie Martin.

11- Benjamin Guibbert (6 juin 1825-1912 aux Agassats), marié le 22 février 1854 avec Appolonie Bouyssi, des Agassats (Lunac), établi à Lacombe (Lunac). D’où nés à Lacombe :

a- Augustin Benjamin Guibbert (1855-1874 à 19 ans).

b- Elisa Guibbert (1857-1931), mariée le 25 septembre 1875 avec Jean-Léon Blanc (1843-1894), notaire de Lescure-Jaoul, remariée en 1897 avec Eugène Blanc. Sans descendance.

VI- Jean-Baptiste Guibbert (1804-1875), notaire à la résidence de Vabre de 1848 à 1874, habitant à Linars, marié avec Agathe Marmiesse. D'où nés à Linars cinq enfants, un décédé en bas âge :

1-    Marie Rose dite Janny Guibbert (27 juillet 1833- ), religieuse en Dordogne.

2-    Jean Baptiste Emile Guibbert (18 août 1835-avant 1875).

3-    Amédée Benjamin Guibbert (29 mars 1842- ), marié le 18 novembre 1867 avec Marie Rosalie Bonnet, des Pesquiès (Villefranche-de-Rouergue). D’où :

      a- Marie Guibbert (1874- ). Descendance inconnue.

4- Auguste Alexandre Guibbert, qui suit.

VII- Auguste-Alexandre Guibbert (1844-1904), notaire à la résidence de Vabre de 1874 à 1904, marié en 1875 avec Léontine Firminhac (1853-1896 à 43 ans), de Decazeville. D’où né à Linars :

VIII- Jean-Baptiste dit Gustave Guibbert (1876-1948 à Paris).

           

                   Branche Guibbert-Viguié, du Puech

IV.5- Jean-Joseph Guibbert (1736-  ), fils de Pierre et d’Hélène Coste, laboureur au Puech de Tizac, marié le 14 février 1774 avec Marie-Anne Viguié (1740-1807), fille d’Antoine et de Jeanne Vernhes, du Puech de Tizac. D’où six enfants, quatre décédés jeunes :

2-      Françoise Guibbert (1777-1807 à 30 ans), célibataire.

5- Jean-Joseph Guibbert, qui suit.

V- Jean-Joseph Guibbert, (13 février 1782 à Lunac-16 janvier 1868 au Puech), marié le 29 mai 1808 avec Rose Saint-Hilaire (1782-1870), fille d’Antoine et Antoinette Balthazar, des Tempes (Tizac). D’où nés au Puech :

1-     Jean-Joseph (1er octobre 1808-1814 à 5 ans).

2-     Marie Rose Guibbert (11 octobre 1815- après 1874), mariée le 20 février 1840 avec Etienne Flottes, fermier, né à La Bessarède (La Bastide-l’Evêque), fils d’Etienne et de Rose Mazenc. D’où six enfants dont la descendance n’est pas connue :

a- Marie-Rose Mélanie Flottes (17 décembre 1840 au Puech -), mariée le 30 mai 1866 avec Jean Pierre Ficat, fils d’Antoine et de Jeanne Cazes, de Lompla (La Rouquette).

b- Marie-Rosalie Flottes (7 janvier 1843 au Puech - ), mariée en premières noces le 29 mars 1875 à Villefranche avec Jean Antoine Testas, fils de Jean et Rose Bosc, de Puylagarde (82) ; en secondes noces le 18 janvier 1899 avec Jean-Louis Onrozat,  de Saint-Salvadou.

c- Jean Pierre Flottes (2 janvier 1845 au Griffoulas- ), marié le 4 février 1874 avec Marie Anne Astoul (1855- ), fille de François et Marie-Sophie Ricard, de Préziès (Lunac).

d- Marie Julie Flottes (18 août 1847 au Puech - ), qui accouche le 4 mars 1872 d’un enfant mort, mariée le 18 novembre 1872 avec Ignace Duranjou, fils de François et Claire Raffi,  de Villecomtal.

e- Jeanne Nathalie Flottes (7 juillet 1850 au Griffoulas- ).

f- Marie Jeanne Flottes (18 janvier 1854 à Nouvialette - Vabre-Tizac), mariée le 3 août 1873 avec Casimir Napoléon Couchet, fils de Joseph et Catherine Bouby, de La Bruyère (La Fouillade). D’où quatre enfants dont trois décédés à quelques jours :

- Marie Césarine Couchet (1874- ), mariée en 1919 à Villefranche avec Baptiste Pierre Delmas. Descendance inconnue.

3- Jean Pierre Guibbert (3 juin 1817 à La Baraque d’Armand- ), marié le 20 février 1848 avec Marie Colomb, fille de Jean Antoine et Marie Rose Fraysse, du Verdié (Tizac). Descendance inconnue.

4- Joseph Guibbert (27 mai 1820-après 1888), cultivateur à Lestrade en 1886, marié le 26 juin 1846 avec Marie Debar (1824-après 1887), fille de Pierre et d’Anne-Marguerite Roquette, de Lunac.  D’où :

  a- Marcellin Guibbert (1850 à La Baraque d’Armand-1932), plâtrier à Lunac, marié en 1886 avec Marie Laubiès (1865-après 1932), fille de Jean-Pierre et Julie Pomiès, de La Fouillade. D’où neuf enfants, deux décédé jeunes. :

- Zella Guibbert (1887 à Lunac-après 1932), mariée en 1907 avec Justin Rouquet, de Rébirou (La Fouillade), cultivateur à Bestès (La Fouillade). Sans descendance.

- Marthe Guibbert (1895 à La Baraque d’Armand-1955), aubergiste à La Fouillade, mariée en 1920 avec Pierre Sauvage (1895 à Meuchin (62) -1927), comptable, fils d’Augustin et de Louise Descamps. D’où :

. Suzanne Sauvage, épouse de René Tranier, de Trébessac (La Fouillade). D’où une fille et deux garçons. Descendance Tranier, Bessac dans le Tarn (Albi, Gaillac, Carmaux, région de Castres, de Lavaur).

                   . Marcelle Sauvage, décédé à 15 ans.

- Paul Guibbert (1901- ), plâtrier, marié avec Maria Regourd (1905-1977), fille de Marcellin et Noémie Lagarrigue, de Louradou (La Fouillade). D’où :

. Henri Guibbert, marié à Villefranche. Descendance à Villefranche, dans la Région parisienne.

. Paulette Guibbert. Descendance à Coulomiers (31).

c- Alphonse Guibbert (1855-après 1876).

d- Marie Eugénie Guibbert (1857-après 1936), limonadière à Lunac. Délaissée par son fiancé Adolphe Fabaron parti en Algérie, elle se rend dans ce pays pour l’épouser. D’où :

- Gabrielle Fabaron (1893 en Algérie-1993 âgée de 90 ans), aubergiste à Lunac, sans descendance.

e- Henri Guibbert (1860- ), couvreur zingueur à La Croix Escurèze (Lunac), marié le 3 novembre 1886 avec Marie Saurel, fille de François et Julie Vaur, de La Bourdarie (Lunac). D’où :

- Marie Sylvie Nancy dite Léoncie Guibbert (1888-1947).

- Maria Guibbert (1894- ), mariée avec Adrien Lacoste, plâtrier, zingueur à Lunac. Descendance à Toulouse.

f- Victor-Céleste Guibbert (1862-1950 à 88 ans), marié le 18 février 1887 avec Marie Sophie Malroux, fille de Michel et Mélanie Roques, de Najac. D’où nés Rue basse à Najac :

- Adolphe Guibbert (1888- ), marié avec Marie Marre, de La Bastide-l’Evêque. Descendance inconnue.

- Alphonsine Émilie Guibbert (1890- ). Descendance inconnue.

- Véronique Maria Guibbert (1895- ), mariée en 1912 avec Charles Saint-Amaux, du Barriou (Najac). Descendance à Rodez.

g- Philippe Justin Guibbert (1864- ), couvreur à Lunac, marié avec Célestine Couronne, de La Salvetat-Peyralès. D’où :

- Marthe Guibbert (1894- ). Descendance inconnue.

i- Sylvie Guibbert (1868-). Descendance inconnue.

 

Branche Guibbert-Marre, du Puech (Tizac)

III.4- Marie Guibbert (12 mai 1700-14 juillet 1757), fille de Jean et d’Antoinette Malrieu, se marie le 4 février 1717 avec Guillaume Marre (1686-1760), tisserand au Puech (Tizac), fils de Pierre et d’Antoinette Ficat. La famille Marre s’est installée dans ce village par le mariage de Pierre venu pour gendre dans la famille Ficat signalée en ce lieu depuis au moins six générations. Guillaume Marre teste le 7 juin 1755 en faveur de sa femme à laquelle il laisse le choix de désigner l’héritier, il donne 20 livres pour faire dire des messes, lègue 200 livres à ses trois fils ; et, à ses quatre filles, Anne, Catherine, Isabeau et Rose, 300 livres, deux brebis, deux agneaux, une robe et deux linceuls. Il précise qu’Anne valétudinaire, au cas où elle ne veuille être payée du légat, aura la jouissance de la maison dite l’oustal de Jeanne avec le jardin. Il donne 5 sols à ses trois petits-enfants, fils de son aînée épouse Loupias [158]. D’où :

1- Marie-Anne Marre (20 janvier 1720-7 décembre 1746 à 37 ans). Voir prochain Bulletin Rameau Guibbert-Marre-Loupias IV4.2

2- Marie Marre (10 novembre 1721-24 avril 1739 à 18 ans).

3- Anne Marre (vers 1723-après 1755), célibataire handicapée.

4- Joseph Marre (vers 1726[159]- ), qui suit.

5- Catherine Marre (23 décembre 1728-7 février 1785 au Puech), mariée le 7 février 1769 avec Pierre Rouziès, fils de Joseph et d’Antoinette Lagarrigue, de Bordes (Vabre), sans descendance.

6- Rose Marre (vers 1730), mariée le 8 juillet 1762 avec Jean Guy, tisserand de Lunac, fils de Bertrand et Marie Maruéjouls. D’où un fils décédé à Lunac, âgé de 8 ans.

7- Isabeau Marre (14 mai 1733-janvier 1799), célibataire.

8- Jean Marre (19 octobre 1734- 22 septembre 1793), célibataire.

9- François-Géraud Marre (25 octobre 1736-28 mai 1799), célibataire.

10- Marie Marre (7 septembre 1739-avant 1755).

IV- Joseph Marre (vers 1726-10 juillet 1776 à 50 ans), laboureur au Puech, marié le 17 janvier 1758 avec Marie Bessou (1739-1784), fille de Jean et Marie Blanc, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où six enfants nés au Puech :

1- Jean-Joseph Marre, qui suit.

2- Nicolas Marre (3 avril 1763-13 avril 1834), propriétaire à Lugan, métayer en 1801 aux Cazelles (La Bastide-l’Evêque) où il décède, marié le 27 février 1793 avec Marianne Falipou (1771-1856), fille de Pierre et Marianne Couderc, de Vabre-Tizac). Nicolas teste le 12 avril 1834[160] en faveur de son fils Victor à qui il donne 300 francs pour avoir travaillé à son service, laisse à sa femme la jouissance des biens situés à Lugan estimés 1 200 francs, ne peut signer l’acte à cause de la faiblesse de sa main. Des dix enfants, un décédé en bas âge) :

a-       Joseph Guillaume Marre (14 février 1794 à Vabre- ), métayer à La Rivière (La Bastide), marié en 1819 avec Marie Gautié (1790- ), fille de Jean et Marie-Anne Boyer, de la Rivière (La Bastide). D’où nés à La Rivière et descendance inconnue :

-    Charlotte Marre (1819- ).

-    Anne-Marie Marre (1822- ).

-    Jean-Pierre-Gaspard Marre (1826- ).

-    Jean-Joseph Marre (1829- ).

b- Marianne Marre (8 février 1796 à Lugan-7 octobre 1856 à Vabre), mariée le 25 juin 1815 avec Jean Antoine Lagarrigue (1787- ), marchand de Vabre, fils de Jean-Antoine et Catherine Cousi, de Vabre. D’où huit enfants nés à Vabre, deux décédés jeunes :

-       Catherine Marie-Anne Lagarrigue (1816- )

-       Charlotte Lagarrigue (1818-1898), célibataire.

-       Jean-Antoine Lagarrigue (1822- )

-       Marie-Rose Lagarrigue (1826- ).

-       Baptiste Lagarrigue (1828-1889), marchand, cafetier à Vabre, marié en 1864 à Saint-Salvadou avec Rosalie Couronne (1832-1889), fille d’Alexis et de Charlotte Boyer, de Saint-Salvadou. D’où nés à Vabre :

   . Firmin Lagarrigue (1865-après 1906), épicier à Vabre.

   . Paul Alexis Lagarrigue (1868- ).

   . Rosa Lagarrigue (1870-après 1896).

-       Victor Lagarrigue (1832- )

-       Louis Charles Lagarrigue (1838- ).

-       Marie Caroline Lagarrigue (1842-1843)

c- Charlotte Marre (6 novembre 1797 à Lugan- ), mariée avec Alexis Albar, fils d’Alexis et Thérèse Birbal, de Lagarde-Viaur (81). D’où nées deux filles à Lagarde-Viaur, une décédée à 4 ans :

-       Rosalie Albar (1831- ), mariée en 1849 à Montirat avec Jean-François-Auguste Miquel, fils de Louis et Marie-Rose Laubiès, de Lagarde-Viaur. Possible descendance dans le Tarn.

d- Jean Cyprien Marre (5 avril 1801 aux Cazelles- ), marié le 5 juin 1833 avec Marie Rose Pourcel, fille de Jean-François et Marie-Anne Alet, de Cougoussac (Vabre). D’où :

-       Marie-Rose Marre (1834-1871), mariée le 12 juillet 1863 avec Jean-Baptiste Segons (1822- ), de Meudou (Rieupeyroux), fils de Jean et Rose Conte. D’où nés à Meudou puis à Cougoussac. Descendance inconnue pour certains :

. Marie-Rose Segons (1864- ), mariée le 16 février 1887 avec Jules-Baptiste Barthélémy, de la Salvetat-Peyralès, fils de Jules Félix et Rose Loupias, de la Salvetat-Peyralès.

. Baptiste-Cyprien Segons (1867- ).

. Rosalie Nathalie Segons (1871-1949), mariée en 1896 avec Alexandre Dardenne (1861-1909), fils de Jean-Antoine-Baptiste et Rose Ginestet, du Mas-de-Cabrit (La Fouillade). D’où nés au Mas-de-Cabrit :

 Maria-Angèle Dardenne (1898-1962 à Villefranche). Sans descendance.

 Léonie-Pélagie Dardenne (1900- ), mariée en 1926 à Paris 17e avec Auguste-Joseph Duranton.

 Marthe-Aurélie Dardenne (1901-1992 à Arcanhac, âgée de 91 ans), mariée en 1928 à Paris 6e avec Louis Drulhes. Sans descendance.

 Ernest Dardenne (1903-1971 à Paris), marié en premières en 1926 avec Anna Debar, en deuxièmes noces en 1937 avec Yvonne Dubail, et en troisièmes noces en 1961 avec Hélène Lagriffoul.

Berthe Dardenne (1905-2000 âgée de 95 ans à Campagnan - 34), mariée en 1932 avec Louis Schwertlzer.

- Marie Mélanie Marre (1842- ).

- Jean-Pierre Cyprien Casimir Marre (1849- ).

e- Marie-Rose Marre (9 juin 1805-18 novembre 1878), mariée le 11 octobre 1835 avec Jean Pierre Cougoule, fils de Joseph, couvreur au Fort de Vabre et de Marie-Madeleine Cabrit. D’où nés à Lugan :

- Euphrasie Cougoule (1839-1917), mariée le 5 mai 1869 avec Baptiste Filhol, cultivateur, fils de Bernard et Félicité Fraysse, de Cabanes. D ’où  nés à Lugan :

. Frédéric Filhol (29 décembre 1870- ), marié en 1907 avec Emilie Alcouffe (22 mars 1881-après 1936), fille de Victor et Marie-Anne Cantarel, des Places (Vabre-Tizac). D’où nés à Cougoussac :

Rémi Filhol (1908-1987). Descendance à Bonières (Vabre), La Capelle-Bleys.

Rachel Filhol (1909-2004 à Clairvaux, âgée de 95 ans), religieuse, institutrice.

Rolande Filhol (1912-2002 dans sa 90 e année). Descendance à Albi. 

Marthe Filhol (1919-1977 à Carbonne - 31), épouse Icart.

. Léonie dite Adeline Filhol (1er mars 1872- ), mariée en 1901 avec Casimir Sirven (22 septembre 1870- ), fils de Jean et Henriette Marre, de La Penderie (La Capelle-Bleys). D’où :

. Euphrasie Filhol (1880-après 1936), célibataire.

. Emilie Filhol (1882-après 1926), célibataire habitant Toulouse.

. Ambroisine Filhol (1886-après 1936), célibataire.

- Jean-Pierre Cougoule (2 août 1841-après 1901), cultivateur à Lugan, marié le 10 février 1868 avec Marie Sirven (4 octobre 1821-après 1901), fille de Jean-François et Marie-Madeleine Marty, des Landes (Vabre). Sans descendance.

- Marie-Rose Cougoule (31 octobre 1845).

b- Jean Cyprien Marre (1801- ), marié le 5 juin 1833 avec Marie-Rose Pourcel (1809-1855), descendante de Louis XI, voir Famille Gaudou VI.2

g- Victor Marre (9 avril 1809- ), métayer aux Cazelles en 1836, marié le 27 août 1845 avec Jeanne Calvignac (1824- ), fille de Jean et Thérèse Guibbert, de Rieupeyroux. D’où nés à Rieupeyroux :

     Frédéric Marre (1847- ).

h- Marie Jeanne Marre (30 mars 1812- ), mariée le 17 octobre 1843 avec Antoine Rouziès (20 juillet 1794- ), fils de Jean-François et Madeleine Dintilhac, cultivateur à Morlhon. Descendance inconnue.

i- Cyprien dit Pierre Marre (25 février 1814-20 septembre 1853), cultivateur à Lugan, marié le 31 août 1850 avec Rosalie Fraysse (16 octobre 1832- ), fille de Charles et Rose Bès, de la Servilie  (Lescure). D’où nés à Lugan deux filles qui épouseront deux frères :

-       Victorine Marre (4 octobre 1851- ), mariée le 8 septembre 1869 avec Antoine Rouquette (12 avril 1837-après 1911), propriétaire cultivateur aux Courtésies (Saint-Salvadou), fils de Jean-Antoine et Julie Couffin. D’où nés aux Courtésies :

. Antoine Rouquette (1870-décédé à Centrès 1956), prêtre.

. Albertine Rouquette (1872-1948 à Villefranche), mariée le 9 juillet 1894 avec Eugène Filhol (27 décembre 1869- ), perruquier, fils de Jean-Pierre et Marie Roquejolfre, de Villefranche.

. Madeleine dite Bernadette Rouquette (1874-après 1911), épouse Mayran, du mas de La Borie (La Bastide-l’Evêque). Descendance à La Bastide.

. Sauveur Rouquette (1876-1945), propriétaire à Saint-Salvadou, marié en 1903 avec Albine Debard, de Morlhon et en secondes noces à La Bastide-l’Evêque avec Elisa Ginestet. Sans enfants, ils feront héritier une nièce d’Elisa Ginestet.

. Alphonse Rouquette (1878- ), marié en 1902 à Vabre-Tizac avec Constance Combettes (1878-avant 1913), fille d’Auguste et de Julie Lalangue, de Vabre et en secondes noces avec Andréa Garrigues. D’où Georges, Maurice, René Rouquette. Descendance à Vabre, Villefranche.

. Julie Rouquette (1882- ), célibataire au service de son frère Honoré.

. Honoré Rouquette (1884-1966 à Beauvais), étudiant en 1906, prêtre.

-       Marie-Pauline dite Emilie Marre (24 juillet 1853- ), mariée le 21 avril 1875 avec Célestin Alphonse Rouquette (5 août 1849- ) fils d’Antoine et Julie Couffin, de Saint Salvadou. D’où nés à Lugan :

 . Marie Emilie Darie Rouquette (1er mars 1876- ), mariée le 4 septembre 1895 avec Casimir-Auguste Viguié (31 décembre 1867- ), descendant de Louis XI. Voir Bulletin n° 73.

. Marie-Germaine Rouquette (16 septembre 1879- ), mariée le 8 mai 1901 avec François-Baptiste Marre (1876- ), fils de François et Nathalie Dintilhac, de Saint-Salvadou.

. Marie-Emilie-Albanie Rouquette (19 octobre 1881- ), mariée le 29 septembre 1906 avec Célestin-Joseph-Philippe Moly, descendant de Louis XI. Voir Bulletin n° 73.

j- Victoire Marre (6 juin 1816-20 mars 1899), célibataire.

4- Catherine dite Charlotte Marre (17 juin 1768-4 juillet 1815), marié le 18 juin 1793 avec Joseph Amans, fils de Jean et d’Antoinette Segons, de Roumégous (Montou- La Salvetat-Peyralès). D’où :

a- Marie Amans (vers 1796-1825 à 29 ans), mariée avec Joseph Couderc (2 avril 1796-24 septembre 1858), fils de François et Marianne Combettes, du Puech de Vabre. Sans descendance.

b- Charles Amans (27 décembre 1798-8 janvier 1882), meunier à Lescure, marié le 15 février 1846 avec Marie Blanquet (1820-après 1882) fille d’Antoine et de Marie Maruéjouls. D’où un enfant survivant sur trois.

- Marie Amans (24 mars 1851-après 1911), mariée le 7 septembre 1870 avec Victor Segons, meunier du Paraire (Lescure), fils de Michel et Marianne Amiel. D’où huit enfants, les trois derniers décédés à quelques mois.

            . Albanie Segons (1872-1963 à 91 ans), mariée le 8 juin 1898 avec Frédéric Debar.

. Victor Segons (1874-1963 à Lescure), meunier au Paraire, marié avec Léonie Couronne (1875-1951), fille d’Antoine et Adélaïde Falières, de Vabre. D’où nés au Paraire

René Segons, meunier. Descendance à Lescure, Vabre, La Salvetat, Villefranche.

     . Marie-Euphrasie Segons (1875- ) mariée en 1903 avec Henri Rivière

. Flavie-Rosalie Segons (1877-1966 à Agde, âgée de 89 ans).

. Anancie Segons (1879-1962 à Albi).

. Henri Segons (1886-entre 1911 et 1921), célibataire.

5- Marie Elisabeth Marre (7 mai 1771-11 mai 1814), mariée le 4 septembre 1791 avec Joseph Jean Cazals (1770 aux Mazières-1820 à La Fouillade), tisserand et cultivateur aux Mazières, fils de Vincent et Françoise Tranier. D’où nés aux Mazières :

a. Jean-Joseph Vincent Cazals (19 avril 1798-14 janvier 1872), marié le 15 février 1824 avec Marie Carrié (1797-1872) fille de François et Marianne Cayla, de Carbouls (Lescure) D’où :

 - Marie Charlotte Cazals (17 décembre 1825-3 mars 1901), mariée 21 novembre 1859 avec Jean-Baptiste Besset (2 août 1824- ), de Valdériès (81), fils d’Antoine et de Marianne Planti. D’où :

. Marie-Charlotte Besset (7 avril 1861- ) mariée le 11 avril 1880 avec Léon Bonestève (30 novembre 1857), fils d’Alexis et de Marie Savignac, du Pouget (Villevayre). D’où :

Justin Bonestève (19 juillet 1881-20 février 1919 à Villeneuve), mort pour La France.

Marie-Léoncie Bonestève (21 février 1884-2 mars 1975 à 91 ans).

Marie-Julienne Bonestève (15 février 1892- ).

. Marie-Rose-Emilie Besset (20 juin 1864- ), mariée le 24 février 1886 avec Julien Boutonnet, forgeron à Trébessac (5 octobre 1857- ), fils de Casimir et Charlotte Roques. D’où :

 Alfred-Camille Boutonnet (1887-1978 à Najac, âgé de 91 ans), marié avec Laurencie David (14 avril 1889- ), fille de Jean-Joseph et Virginie Sirmen, de la Loubière, Najac.

Marcellin dit Julien Boutonnet (1889-1954), forgeron à Trébessac, marié avec Denise Boyer (1901-1966), fille de Julien-Alfred et Nathalie Gasquet, de la Prade, Najac. Descendance à La Fouillade.

 Maria Boutonnet (1891-1940), mariée avec Jules Dardenne (1883-1954), fils de Jean-Baptiste et Léontine Chambert, du Mas de Cabrit. D’où Noël, André, Juliette, Paul et Marie-Thérèse Dardenne. Descendance, à La Fouillade, Villefranche, Toulouse, Régions parisienne et niçoise.

Paulin-Casimir Boutonnet (1896- 1988 âgé de 92 ans à Septfonds - 82), marié avec Valentine Gasquet (1901-1991 à 90 ans), fille d’Auguste-Baptiste et de Germaine Lortal, de Cros (La Fouillade). Descendance à Bor-et-Bar, La Fouillade, Septfonds, Nice.

 Marie-Angéline Boutonnet (1899-1989 à Rueil-Malmaison, âgée de 90 ans).

-   Jean-Joseph-Victor Cazals (1827-1906), agriculteur à Roustaniès (La Fouillade), marié le 2 mars 1859 avec Sophie Albouy (1843-1918), fille de Jean-Pierre et Charlotte Calmettes. D’où neuf enfants, quatre décédés jeunes :

.  Joseph-Elie Cazals (1862-1927 à Onet-le-Château), prêtre.

. Louis-Auguste Cazals (1864-1941 à Albi), prêtre.

. Marie-Zélie Cazals (1866-1946 à Villefranche).

. Jean-Rémy Cazals (1879-1972 à Albi)

. Juliette Cazals (1881-1964 à Villefranche), célibataire.  

. Stanislas Cazals (1883-1974 âgé de 91 ans à Limoges), instituteur libre, marié en 1910 à Limoges avec Marie-Jeanne Job (1886-1972 à Limoges), fille de Charles et Victorine Pichon. Descendance en Aquitaine et Ile-de-France.

. Alphonse-Ignace Cazals (1886-1941 à Onet-le-Château), prêtre.

- Jean-François Cazals (11 juin 1830-12 février 1855 en mer), soldat.

- Auguste Cazals (13 mars 1835- ), clerc de Saint-Viateur.

- Charles Cazals (17 juin 1840- ), instituteur à Saint-Rémy et Marmont, marié le 22 novembre 1873 à Saint-Rémy avec Julie Maury (1852- ), fille de Joseph et Marie Vaysse, de Martiel. D’où nés à Saint-Rémy sept enfants, deux décédés jeunes :

. Elie-Joseph-Raymond Cazals (1875-1952 à Villefranche), marié en 1906 à Villefranche avec Marie-Jeanne Bouscayrol.

. Aurélie-Catherine Cazals (1877- ).

. Léon-Alfred-Michel Cazals (1879-1955 à Saint-Rémy), marié en 1906 à Saint-Rémy avec Marie-Louise Guitard.

. Marie-Hélène Cazals (1882- ), mariée en 1908 à Saint-Rémy avec Romain-Adrien Savignac (1883- ).

. Théodore-Maximin Cazals (1886 à Marmont-1972 à Saint-Rémy).

b. Marie-Charlotte Cazals (28 novembre 1799-7 mars 1845), mariée le 2 septembre 1826 avec Guillaume-Jean Rouziès (22 mai 1796-30 avril 1843), fils de Guillaume et Marie Vialadieu, de Falgayrolles (Sanvensa). D’où nés à Falgayrolles (Sanvensa):

- Jean-Guillaume Rouziès (1828-1906), marié avec Marie-Charlotte Acquier (1836-1917), fille de Jean-Pierre et Henriette Bayol, de Puechbayssac (Saint-Salvadou). D’où :

. Auguste Rouziès (1876-1956 à La Fouillade). Descendance inconnue.

-  Jean-Joseph Rouziès (1830- ). Descendance inconnue.

- Marie-Charlotte Rouziès (1833-1902). Descendance inconnue.

- Jean-François Rouziès (1836-1872 à 36 ans).

- Marie-Rose-Victoire Rouziès (1840 à Albret-1880), mariée le 27 juin 1864 à La Fouillade avec Jean-Baptiste-Auguste Tranier (1835-1921), descendant de Louis-XI. Voir Branche Tranier, de Rouquette II.6.2. Bulletin n °74.

               c- Jean-François Cazals (1802-1812)

d. Jean-Victor Cazals (1805-1850), marié le 20 septembre 1831 avec Marie-Louise Cavalié (1791-1868), fille de Jean et Jeanne Cavalié, du Portail (Sanvensa).

 e. Marie-Madeleine Cazals (1809-1887), mariée le 2 juin 1841 avec François Clapié (1814-1900), fils de Pierre et Rose Lachèse, de Mazelourgues (Vabre-Tizac). D’où :

- Victor Clapié (1840-1919), marié en premières noces avant 1865 avec Mathilde Moulis (vers 1840-1876), en deuxièmes noces en 1881 avec Marie-Julie Guy (1860-1894), fille de Jean-Antoine et Anne-Marie Nouviale, de Sourbins (La Fouillade) et en troisièmes noces en 1895 avec Emilie Bergougnou (1853- ), fille de Louis et Marie-Jeanne Enguiale, de Villevayre. D’où nés à Rébirou (La Fouillade), 6 enfants survivant sur 13 qui quitteront Rébirou dans les années 1900. Du premier lit :

 . Victor-François Clapié (1869-1945 à Saint-Martin-Laguépie - 81) , marié le 20 février 1898 avec Joséphine-Marie-Rose Marty. D’où Henri-Louis Clapié (1899 à St-Martin-Laguépie, marié en 1925 avec Noémie Andrieu de la Coste (la Fouillade)

Du second lit six enfants survivants sur huit :

. Victor-Félix Clapié (1882-1946).

. Augustine (1883-1949)

. Paulin Clapié (1888- ).

. Justin Clapié (1890-1959 à Milhars - 81).

. Marie Clapié (1891-1955 à Toulouse), mariée à Albi avec Emile Rivenc.

. Agnès Clapié (1893-1975 à Milhars).

f. Marie-Rose Cazals (1811-1861), mariée le 23 juin 1843 avec Jean-Baptite Guy (1817-1847), fils de Pierre et Catherine Marty, de La Combe-del-Bès (La Fouillade). D’où nés dans la commune de La Fouillade :

- Jean-Baptiste Guy (1844 à La Coste-1916), marié le 7 septembre 1871 à La Fouillade avec Célestine Hélin (1840 à Rodez-1918). D’où cinq enfants dont la plupart ont quitté la région :

. Baptiste Guy (1867 aux Vacans- ), marié le 10 avril 1894 avec Philippine Rossignol (1869-1952 à Montaigu-de-Quercy - 82), fille de Martin et Charlotte Segons, de Lagarrigue (La Fouillade).

. Justin-Philippe Guy (1869 à Lespinasse- ), marié le 29 mai 1894 à Najac avec Germaine Cadilhac (1871- ), fille de Louis-Philippe et Justine Trébosc, de Rieupeyroux.

.  Auguste-Firmin Guy (1872 à Roustaniès-1921), marié avec Marie Guibert. D’où :

Léa Guy (1911-1987), célibataire au service de son frère.

Roger Michel André Guy (1919 à Roustaniès-1994 à Villefranche), curé de Tizac de 1953 à 1990.

. Marie-Valentine Guy (1881 à La Lande-1949 à Olemps), mariée en 1902 avec Léon Trézières (1879- ), fils de Pierre et Marie Clapié, de Pébrac (La Fouillade). D’où :

Maria-Judith-Alphonsine Trézières (1904 à Cournus-1990 à Doulens - 80), mariée à Aubin le 1er octobre 1927 avec Antonin-Henri Barriat.

. Marie-Philomène Guy (1884 à Roustaniès-1972 à Toulouse).

6- Marie Marre (3 juin 1773-22 mars 1787 à 14 ans).

V- Jean-Joseph Marre (16 août 1760-11 octobre 1838), propriétaire cultivateur au Puech, marié le 22 janvier 1788 avec Marie Anne Loupias (1756-1820), fille de Jean et Marie Delbès, du Griffoulas (Vabre). D’où cinq enfants, un décédé jeune:

1- Marianne Charles Marre (9 janvier 1789- 1834), mariée le 27 janvier 1818 avec François Ricard (1790- 1844), fils de Guillaume et Marianne Authesserre, de Laurière (Sanvensa). D’où cinq enfants, descendance inconnue :

a- Guillaume Ricard (18 mai 1819- ).

b- Marianne Ricard (3 janvier 1821- ), mariée le 30 juin 1845 avec Jean Antoine Breil (1801- ), fils de Jean-Pierre et Marie Delcausse, du Fraysse (Sanvensa).

c- Marianne Ricard (19 avril 1825- ).

d- Julie Ricard (14 novembre 1827- ), mariée le  27 janvier 1857 avec Augustin Lagarrigue (1828- ), fils de Jean-Pierre et Françoise Delcausse, de La Planque (Sanvensa). D’où :

         - Ferdinand Lagarrigue (5 mars 1859- ), marié en 1900 avec Marie Emilie Adèle Lasserre.

 e- François  Ricard  (27 mars 1830- ).

2- Joseph Adrien Marre (18 avril 1791-1er décembre 1859 à Pébrac), marié le 1er août 1831 avec Marie Victoire Garrigou (1799-1867), fille de Louis et Rose Jalfre, de Pébrac (La Fouillade), pas d’enfants  Pébrac.

3- Marie Marre (3 février 1793-2 septembre 1857), célibataire.

5- Jean Pierre Marre, qui suit.

VI- Jean-Pierre Marre (21 mai 1797- ), propriétaire cultivateur au Puech (Tizac), marié :

·         en premières noces  le 13 février 1819 avec Jeanne Viguier (1801-1827), fille de Jean et Jeanne Sirven, des Landes (Vabre). D’où nés trois enfants nés au Puech :

1- Marie Véronie dite Mélanie Marre (1821-1880 à Saint-André), mariée le 18 juin 1840 avec Simon Loupias, voir Bulletin n° 72 Branche de La Bertrandie III.

2- Marie Jeanne Marre (20 octobre 1823- ).

3- Jeanne (14 septembre 1824-22 mars 1857), mariée le 15 août 1846 avec Antoine Loupias, (1807-1883), métayer à Laucédat, fils d’Antoine et de Catherine Boyer, de Pratla (Lunac). D’où nés à Laucédat (La Fouillade) :

a -Catherine Loupias (1847-1871 à 24 ans), mariée le 27 novembre 1865 avec Pierre Nouviale (1842- ), fils de Pierre-Amans et Marie-Rose Trébosc, de Lunac. D’où trois enfants nés à Lunac, descendance inconnue :

- Achille Nouviale (1867-1888 à 21 ans).

- Denis Nouviale (1869- ).

- Auguste ou Justin Nouviale (1871- ), marié le 26 novembre 1897 avec Lucie Delbès, (1875- ), fille de François et Marie-Rose Baquié, de Pontjalbert (La Fouillade).

b- Alexandrine Loupias (25 juillet 1849-avant 1922 à Aigues-Mortes), mariée en premières noces le 17 février 1868 avec Joseph Tressol (1839-1875), fils de Jean-Joseph et Marie-Anne Barria, de La Fouillade. D’où quatre enfants survivants sur les sept enfants issus de chaque mariage :

- Adeline Tressol (1870- ), mariée le 29 juin 1890 avec Louis Gaffard, fils de Louis et Catherine Petit, de La Tour (Lunac). D’où nés à Souloumiac (La Fouillade) :

. Louise Gaffard (1891-1964 à Arcachon).

. Jean Baptiste Aurélien Gaffard (1896-1950 à Rieupeyroux).

- Marie Tressol (1872-1922 à Aigues-Mortes chez sa mère).

Remariée le 7 juin 1876 avec Louis dit Casimir Tressol, son beau-frère. D’où :

- Félicie Tressol (1878-1908), mariée en 1900 avec Louis Loupias, fils de Marc Antoine et Marie-Charlotte Cadène, du Suc (La Fouillade). D’où :

. Henriette Marie Loupias (1905 à Ginals- ), mariée avec Séverin Hilarion Marty, fils d’Augustin et de Frégine Bouyssi.

- Alexandre Tressol (1879-1957), gardien de la paix à Montpellier, marié avec Marie Debar, fille de Jean-Antoine et Marie-Julie Delmas, de Rieupeyroux. D’où né à La Fouillade :

. Georges Edouard Tressol (1907-1994 à Montbazens âgé de 87 ans), marié avec Maria Germaine Andrée Aurières,  fille de Miquel et Valérie Bos, de Saint-Martin-de-Maurs (15).

. Yvette Tressol, mariée avec Roger Dumont. Descendance

- Maximin Tressol (1881-1946 à Saint-Salvadou), marié avec Denise Tranier (1908-1992), fille de Célestin et Valérie Gil, de La Fouillade, descendante de Louis-XI, voir Bulletin n°.

- Alberte dite Victoria Tressol (1886- ), mariée avec Théophile Joseph Bernard, de Saugues (43).

c- Etienne Antoine Loupias (18 novembre 1851- ), marié le 6 octobre 1873 avec Rosa Noémie Cathala, fille de Jean-Pierre et d’Alexandrine Alaux, de Lagarde-Viaur (81). D’où dix enfants nés à Laucédat, deux décédés en bas âge.

- Marie Rosa Alexandrine Léonie Loupias (1874- ).

- Marie Angéline Flavie Loupias (1875- ).

- Doria Gabrielle Mathilde Loupias (1877- ), mariée en 1904 avec Jean Baptiste Pujol, né en Algérie, fils d’Auguste et de Philomène Laguerre. D’où :

   . Ernest Auguste Pujol (1905 à Toulouse-1990), marié avec Laure Rossignol (1911-2006), fille d’Alexandre et Elisa Marty, de Saint-Martin-Laguépie. D’où descendance hors Aveyron :

. Bernard Pujol (né à L’Isle-en-Dodon (31)-Sommart - 81), marié avec Marie-Odile Daney de Marcillac, de Strasbourg. Descendance.

. Christian Pujol, marié avec Mercédès Philippe. Descendance.

. Daniel Pujol (né en Allemagne- ), époux Rapillard.

 .  Laurence Pujol (1908 à Toulouse-2005 à 97 ans).

- Marie Glodine Loupias (1878- ).

- Théophile Léon Loupias (1880-1957 à Rieux-31), employé de chemin de fer.

- Honoré Loupias (1881- ), employé de chemin de fer, marié avec Adrienne. D’où Andrée Loupias.

- Madeleine Gabrielle Eugénie Loupias (1882- ).

- Ernest Loupias (1889 à Toulouse-1976 à Lescure), employé de chemin de fer, marié avec Irma Alcouffe (1893- ), de La Fouillade. D’où :

. Pauline Loupias, épouse Albouy.

d- Marie Loupias (1854- ), mariée le 19 janvier 1874 avec Pierre dit Amans Nouviale, son beau-frère, veuf de sa sœur Catherine, aubergiste à Lunac. D’où sept enfants nés à Lunac :

- Lorancie Nouviale (1875- ).

- Paulin Nouviale (1876- ).

- Edouard Nouviale (1879-1960), marié en 1906 à Paris avec Marie Hélène Lagarrigue (1881-1960), fille de Jean-Pierre et Marie-Polonie Alias, de Lunac.

- Léopold Nouviale (1881- ), marié avec Georgette Aurore Emma Thullier.

- Berthe Nouviale (1883- ), mariée à Sancerre (18) avec Alphonse Thirot.

- Ernest Nouviale (1884- ), boulanger à Lunac, marié avec Elisa Olié, de Lunac, puis avec Jeanne Segonds. D’où :

 . Aimé Nouviale.

. Robert Nouviale.

 . Renée Nouviale.

- Augusta Nouviale (1886-1966), mariée avec Justin Ernest Lacroux.                  

·      Jean-Pierre Marre se marie en secondes noces le 11 août 1830 avec Appolonie Guibbert (2 novembre 1810-10 janvier 1901 à 90 ans), descendante de Louis XI, voir Bulletin n° 82. D’où dix enfants, trois décédé jeunes :

4- Jean-Pierre Marre (1831-1895), qui suit.

5- Joseph Philippe Marre (1834-1871 à 37 ans), célibataire.

6- Marie-Rosalie dite Eulalie Marre (1836-1897), mariée le 19 octobre 1862 avec Cyprien Blanc, fils de Jean-Antoine et Marie Bras, propriétaire cultivateur à Linars (Vabre-Tizac). D’où nés à Linars trois enfants qui survivront sur neuf :

d- Marie Sylvie Blanc (1866-1932 à Linars), mariée en 1892 avec Justin Tranier (1866-1903), de Louradou (La Fouillade), fils de Jean-François et Julie Amiel. D’où nés à Linars :

     - Aimé Benjamin Tranier, (1901-1970) marié Maria Couchet, fille de Zéphirin et Marie Bruel, de la Salvetat-Peyralès. D’où :

. Hubert Tranier x Suzette Saint-Amans. D’où une fille et un fils. Descendance à Rodez, Ile-de-France.

g- Anastasie Blanc (1869-1939), mariée en 1891 avec Julien Genre, de La Tapie (La Fouillade), fils de Jean-Baptiste et Charlotte Marty. D’où nés à La Tapie six enfants :

- Sidonie Genre (1891-1974), épouse François Casimir Déléris (1885-1916), fils d’Antoine et Julie Authesserre, de Rouquette (La Fouillade) mort pour La France. D’où deux filles :

. Agnès Déléris, épouse David. Descendance en Suisse.

. Zélia Déléris, épouse Alcouffe. Descendance à La Fouillade, Rodez.

- Elie Genre (1892-1974), époux d’Albine Allègre, fille de Pierre et Nathalie Cabrit, sans descendance.

- Zoé Genre (1895-1969 à 74 ans), épouse Paulin-Urbain Déléris, fils de Justin et Marie Blanc, du Landas (Saint-André-de-Najac). D’où :

. Eloïse Déléris, épouse Bessière. Descendance à La Borie.

- Sylvain Genre (1898-1946), marié avec Aurélie Tranier (1899-1976), fille de Victor-Casimir et Marie Bessière, de Louradou. D’où nés à Louradou (La Fouillade) :

. Georgette Genre, épouse Tranier, de Kaymard (La Fouillade), voir Bulletin n° 73.

. Paul Genre, époux Déga. Descendance à Villefranche, Rodez, Albi, Toulouse.

- Michel Genre (1902-1975), époux Calvignac, de Saulières (Bor-et-Bar). D’où :

. Paul Genre, marié à Paris. Descendance à Villefranche, Ile-de-France.

. Raymonde Genre, épouse de Robert Roumagnac, voir Branche Guibbert-Savignac VII.5.b Bulletin n° 82.

- Emilien Genre (1906-1986), marié avec Julia Dumoulin. D’où trois enfants. Descendance à La Tapie, Villefranche, Paris.

h- Léonie Blanc (1873- ), mariée avec Philippe Murat, fils d’Antoine et de Rosalie Blanc, de La Roque (Lescure). D’où nés à La Roque :

- Gabrielle Murat, épouse Pezet, de Marmont. Descendance à Sanvensa, Morlhon, Toulouse, Allemagne.

- Léontin Murat, époux Emma Clapié, du Lun. Descendance à Vabre, La Fouillade, La Bastide-L’Evêque, Monteils, Olemps.

- Marie Murat, épouse Amiel.  Descendance à Sanvensa, Rodez.

7- Marcellin Marre (28 juin 1838-1910 au Puech), marié le 11 mai 1863 avec Rosalie Pauzié (1845-1936 à La Jouanade âgée de 91 ans), fille de Joseph et Cécile Gayrard, de La Montarnie (Lescure-Jaoul). D’où dix enfants dont trois morts en bas âge, nés à La Roque (Lescure) et les trois derniers à La Jouanade (Tizac) où Marcellin s’établit après l’arrangement de famille :

b- Eugénie Pauline Marre (1864- ), mariée en 1894 avec Cyprien Mazières, fils de François et Rose Lacombe, tisserand de Saint-Salvadou.

e- Marie Bellonie Marre (1870-1955 à Decazeville âgée de 85 ans), couturière, mariée en 1895 avec Eugène Rouziès, fils de Nicolas et Marie Rose Cazals, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où nés à Agens et n’habitant plus le village en 1921, peut-être descendance à Decazeville :

- Joachim Rouziès (1903- ).

- Laurent Rouziès (1907- ).

- Maria Rouziès (1908- ).

f- Adeline  Marre (1872-1965 à Monteils, âgée de 93 ans), mariée en 1908 avec Augustin Conte, de Morlhon.

g- Marie Marre (1875-1959 à Saint-Geniès-d’Olt), mariée à Paris avec Louis Causse.

h- Marie Julie Marre (1878- ).

i- Auguste Marre (1879-1918 à 39 ans), marié avec Léonie Vernhes, de La Bastide-l’Evêque. D’où quatre fils qui se sont établis ailleurs :

- Fernand Marre (né à Cransac en 1907- ).

- Gilbert Marre (né dans le Pas-de-Calais en 1909- ).

- Gaston Marre (né à La Jouanade- ).

- Gabriel Marre, cultivateur à La Jouanade, époux de Salomé Bergounhou.

j- Firmin Justin Marre (1882- ).

8- Marie-Appolonie Marre (18 janvier 1841- ), mariée le 15 juillet 1866 avec Jean-Baptiste Rouziès (1842- ), fils de Jean-Baptiste et Mathilde Lagriffoul, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où :

a- Jean-Germain Rouziès (1870- ), marié avec Emilie Delcausse (1868-1955 à Villefranche), fille de Jean-Baptiste et Charlotte Authessere, de Sanvensa.

9- Nathalie Marre (13 février 1843-1890 à Najac), mariée le 5 janvier 1865 avec Firmin Blanquet (1842-1917 à Grazalès), fils de Pierre et Marianne Groc, de La Coste (Tizac). D’où sept enfants dont deux décédés en bas âge :

a-  Emilie Séraphie Blanquet (1872 à Béteille- ), mariée le 23 janvier 1898 avec  Joseph Victor Couderc, métayer, fils de Joseph et Darie Sirven, de La Lande (Sanvensa). D’où :

- Gabriel Couderc, né à Lagarrigue (La Fouillade), marié à Saint-André avec Camilla Blanc. Descendance à Paris.

- Anaïs Couderc, née à Lagarrigue, mariée avec Adrien Calmettes, fils d’Augustin et Adeline Blanquet, de Labadenq (Bor-et-Bar). D’où : Yvette Calmettes, épouse Pernou. Descendance à La Fouillade, Toulonjac, dans le Tarn.

b-      Pierre Firmin Blanquet (1874-1915), mort pour La France, inhumé à la nécropole nationale (Marne), marié en 1904 avec sa cousine Marie Pélagie Fraysse (voir ci-dessous). D’où :

- André Blanquet, époux Vernhes. Descendance à Rodez, Paris.

- Augusta Blanquet, épouse Cayrou. Descendance à Tizac, Villefranche, Castanet (82), Périgueux.

c-    Alphonse Blanquet (1878- ), marié avec Philomène Enjalbert, de Tizac. Sans descendance.

d-      Célestine Blanquet (1882 à Grazalès-1970), mariée avec Jean-Baptiste-Victor Bezombes, de Bor, qui adoptera Berthe. D’où :

- Berthe Blanquet (1904  à Toulouse-2004, âgée de 100 ans), épouse Blanc, de Lescure. D’où deux filles. Descendance Bouby à Flauzins (Lescure), Cadène à Bar, Toulouse. 

e- Joachim Blanquet (1887 à Grazalès- ), marié avec Marie-Gabrielle Loupias, de La Bertrandie (La Fouillade), voir Bulletin n°72 III.1.j.

10- Alexandrine Marre (9 mars 1845-1904), mariée le 11 juin 1869 avec Isidore Fraysse (descendant de Louis XI par la famille Gaudou-Fraysse), fils de Jean-Pierre-Martin et Marie Lagarrigue, de Sayssous (Vabre). D’où cinq filles nés au Cassan (La Salvetat-Peyralès), deux mortes jeunes :

a.     Alexandrine Marie Fraysse (1870-1935), mariée en 1894 avec Firmin Alcouffe (1867-1953), fils de Louis et Marie-Rose Segonds, du Bouscatel (Vabre). D’où :

- Noémie Alcouffe (1895-1974), mariée en 1920 avec Charles Bories, de la Joulinie (Bor-et-Bar), employé de chemin de fer.

- Camille Alcouffe (1898-1972 au Puech de Tizac), marié avec Albanie Lasserre, de Morlhon. D’où un fils à Toulouse sans descendance.

- Isidore Camille Alcouffe (1898-1972), marié en 1928 à Morlhon avec Albanie Lasserre.

- Sylvain Alcouffe (1907 au Puech-décédé à Villefranche), marié avec Maria Fraysse.

b- Appolonie Fraysse (1871- ), mariée en 1893 avec Charles Bories, fils de Charles et Marie Carrié de La Joulinie (Bor-et-Bar).

c- Pélagie Fraysse (1883- ), mariée avec son cousin germain Pierre Firmin Blanquet, voir ci-dessus.

11- Marie Julie Marre (24 mars 1847- ), mariée le 7 janvier 1873 avec Jean Baptiste Nouviale (1846- ), cultivateur à Arquiès (Lescure-Jaoul), fils de François et d’Agnès Campagnac. D’où six enfants, les deux premiers morts à un mois :

c- Paulin Nouviale (1876-1956), marié avec Marie Euphrasie Ricard (1884- ), fille de Célestin et Julie Déléris, d’Agens (Saint-Salvadou).

d-                Germaine Nouviale (1879- ), mariée avec Joseph Adrien Couchet.

e-                Marc Célestin Nouviale (1881-1951 à Cahors), marié avec Marie Sidonie Ricard (1888-1993 à Cahors âgée de 104 ans), sa belle-sœur, d’Agens. D’où :

- Georgette Nouviale, mariée avec Paul Maruéjouls, du Périé (Saint-Salvadou). D’où trois enfants :

. Bernard Maruéjouls. Descendance dans la Région toulousaine.

. Daniel Maruéjouls. Descendance à Saint-Projet (82), Cahors, Pyrénées.

. Colette Maruéjouls. Descendance à Paris.

- Lucienne Nouviale. Descendance à Cahors, Paris.

f- Léonie Darie Nouviale (1887-1967 à Bor-et-Bar).

VII- Jean-Pierre Marre (1831-1895), cultivateur au Puech (Tizac), marié en 1865 avec Sophie Landès (1844-1916), fille de Pierre-Jean et Charlotte Granier, de Bellecombe (La Salvetat-Peyralès). D’où nés au Puech huit enfants, dont deux décédés jeunes :

1- Marie-Eugénie Marre (1865-1946), célibataire.

2- Alexandrine Marre (1867-1947 à Lescure-Jaoul), mariée le 12 juillet 1893 avec Jean Cadilhac, fils de Jean et Marie Ginestet, du Mas del Bosc (Lescure). D’où :

a- Ernest Cadilhac (1898- ).

b- Léon dit Marius Cadilhac (1901- ), marié . D’où  Yvonne, André, Paulette et Robert Cadilhac.

5- Auguste Marre (1872-  ), qui suit.

6- Marie Marre (1874-après 1901).

7- Julien Marre (1877-1941), célibataire.

8- Léon Marre (1880- ). 

9- Zénobie Marre (1884-1953), mariée en 1904 avec Germain Laurent Rataboul, cultivateur de La Guionie (La Salvetat-Peyralès). D’où deux fils. Descendance à Sainte-Radegonde, Paris.

VIII- Auguste Marre (1872-1918), du Puech (Tizac), marié avec Marie Valayé (1869-1947), fille de Célestin et Rosalie Vabre, sa cousine au 3e degré de La Valette (voir Branche de Linars V.2-7.a  Bulletin n° 82). D’où :

1-      Elodie Marre, épouse d’Henri Rouquette, de La Servilie (Lescure). D’où :

a- Huguette Rouquette, épouse Puechberty, cultivateur à Saint-Rémi (12). Descendance à Saint-Rémi.

b- Jean-Claude Rouquette. Descendance à Rignac.

                            Rameau Guibbert-Marre-Loupias, des Mazières

IV.2- Marie-Anne Marre (20 janvier 1720-15 juillet 1763), fille de Guillaume Marre et Marie Guibbert, du Puech de Tizac, se marie le 27 juillet 1741 avec Jean François Loupias (1708-1783), tisserand et laboureur à Puechganel (Lunac), fils de feus Jean et Antoinette Rataboul, de Falgayrolles (Sanvensa). Lors du contrat de mariage passé le 22 juin, Marie-Anne reçoit en dot la somme de 600 livres, une couverte, une caisse fermée à clef, deux brebis et deux agneaux, trois canes de toile, trois serviettes et une robe de mignonnette. Les biens du mari sont estimés à 400 livres[161]. D’où nés à Puechganel :

1- Joseph Loupias, qui suit.

2- Marie Loupias (17 mai 1744-20 avril 1768 à 24 ans), mariée le 30 juin 1767 avec François Lacassagne, fils de Pierre et Jeanne Rouquet[162], de Plaussergues. Dans le contrat de mariage, son père lui fait don de la moitié de ses biens, à condition de payer à sa sœur la somme de 750 livres (compris les 200 livres de sa mère) et à son frère celle de 550 livres. François est doté de 900 livres[163]. Marie meurt en couches dix mois après son mariage sans descendance.

3- Jeanne-Anne Loupias (6 novembre 1746- ), mariée avec Jean-Pierre Fabre (1749-1794), qui suivra Rameau V.3 Loupias-Fabre.

 

V- Joseph Loupias (7 janvier 1743-12 septembre 1820), qui s’établit au domaine des Agassats dans la paroisse des Mazières, se marie :

·      en premières noces en 1771 avec une riche veuve de 27 ans son aînée, Magdeleine Carrié (vers 1716-1778), de Bertouget où elle habite depuis 28 ans après son mariage avec Jean Espagnié, fille de feus François et Catherine Dintilhac, du Cassan (Saint-Salvadou).

Dans le contrat de mariage passé le 13 août, Magdeleine apporte la somme de 2 000 livres à son futur époux, tandis que Joseph reçoit en dot la somme de 300 livres (legs de sa mère et de sa sœur aînée) et celle de 1 000 livres de la part de son père, une partie sous forme de biens immobiliers (terre, près…) et d’une jument de valeur 100 livres[164].

·      en secondes noces le 11 janvier 1779 avec Marie-Anne Lafon (1760-1829), fille de Jean et Marie-Anne Albaret, de Fournaguet (Saint-Salvadou). Dans le contrat de mariage passé le 10 décembre 1778 chez Me Pachins, la fiancée reçoit en dot la somme de 1 800 livres, un buffet, un sac de chènevis[165]. Ce couple aura sept enfants nés aux Agassats (Lunac), dont deux avec descendance :

1- Marianne Rose Loupias (1779-1857), qui suit.

2- Jeanne Marie Loupias (4 février 1781-10 août 1837), mariée le 28 février 1803 avec Antoine Gardes (1778-1824), fils de Joseph et Marie Gardes, de Bertouget (Lunac), et en secondes noces le 18 février 1830 avec Pierre Segons (1800- ), fils de Joseph et Jeanne Alcouffe, de Puechganel (Lunac). Sans descendance.

3- Marie Rose Loupias (13 février 1783-1er mai 1809 à Saint-Salvadou morte en couches à son troisième enfant), mariée le 15 février 1805 avec Joseph Rouziès (1775-1837), fils de Joseph et Jeanne Miquel, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où nées à Agens :

a- Victoire Rouziès (1806-après 1820).

b- Anne Rouziès (1807-1868 à Lunac), mariée le 5 mars 1826 avec Joseph Tranier (1798-1864), fils d’Alexandre et Anne Coustaux, du Paraire (Lunac). D’où douze enfants nés au Boulas (Lunac), cinq décédés en bas âge :

- Marie Apollonie Tranier (1831-avant 1868), sans descendance.

- Joseph Tranier (1832-1851 à 19 ans).

- Marie Julie Tranier (1836-1904 à La Fouillade), mariée :

· en premières noces en 1853 avec Jean Antoine Jonquières (1829-1856), fils de Jean François et Marie Rose Coustaux, des Cazelles (La Fouillade). D’où nés aux Cazelles :

. Alexandrine Jonquières (1854-1940), mariée en 1874 avec Joseph Cathala (1845-1920), fils de Jean Joseph et Jeanne Neulat, des Cazelles (La Fouillade). D’où nés aux Cazelles :

Auguste Cathala (1875-1932 à Najac), marié avec Anaïs Dumoulin (1882- ), fille de Marcellin et Caroline Guy, de La Levade (Najac). D’où :

Maria Cathala, mariée avec Fernand Rigal, de La Fouillade, voir ci-dessous VI.4.a. Descendance à La Fouillade, Plaisance-du-Touch, Colomiers (31), Saint-Dié (88).

Augusta Cathala, épouse de Benjamin Bosc, de La Fage (Saint-André). Descendance à La Fage, Laguépie (82), Villefranche, La Rouquette, Sainte-Croix, Villeneuve, dans le Tarn-et-Garonne (Milhars, Laguépie, Castanet, Puylaroque, Puylagarde), Albi, Toulouse, La Rochelle, Marseille, Epinal, en Ile-de-France, Normandie.

Charles Cathala, cultivateur au Mas-del-Bosc (Najac). Descendance au Mas-del-Bosc, Villefranche.

Roger Cathala, des Cazelles, époux Valette. Descendance à Villefranche.

Joséphine Cathala (1884-1934), sans descendance.

Célestin Cathala (1885-1974), propriétaire cultivateur à Loupiac (La Fouillade), marié avec Anaïs Marié (1894-1959), fille de Théodore et d’Egildas Desplos, de Parisot (82). Descendance à La Fouillade, Saint-Rémy, Vabre-Tizac, Villefranche, Bonrepos (31), Bédarieux (34), Sérignan (34), Montepellier, Anneyron (26), Pontgrave (47).,

Marie Madeleine Caroline Cathala (1888- ), marié en 1910 avec Baptiste Vialelles (1886- ), fils de Baptiste et Rosalie Cyrille, de La Mercadières (Saint-Salvadou). Descendance à Saint-Salvadou, Villefranche, Bédarieux (34).

.  Joseph Florentin Jonquières (1856- ), marié en 1878 avec Virginie Cabrit (1855- ), fille de François et Marie Lacombe, de Lugan (Vabre-Tizac). Sans descendance.

· en secondes noces en 1858 avec Alexandre Boyer (1838- ), fils de Jean Antoine et Marianne Segons, des Costes (La Fouillade). D’où nés aux Cazelles :

. Léon Boyer (1860-1900), marié en 1894 à Sanvensa avec Germaine Gayral, fille de Jean-Pierre et Léontine Sirven, du Cluzel (Sanvensa). Sans descendance, trois enfants décédés en bas âge.

. Joseph Calixte Boyer (1864-1928), marié en 1889 avec Marie Rossignol (1871- ), fille de François et Rose Molinier, du Mas-de-Bety (Najac). D’où :

Marthe Boyer (1890-1974), marié avec Moïse Delmur (1894- ), fils de Toussaint et Caroline Saurel, des Combes (Najac). Descendance à Najac, Vaillourles, Villefranche.

.  Alfred Boyer (1866-1914).

. Elisa Boyer (1868- ), mariée en 1884 avec Marc Gaudou (1855- ), fils de Baptiste et Marianne Saint-Amans, de Flauzins (voir Famille Gaudou dans un prochain Bulletin).

. Julien Boyer (1870- ), marié en 1895 avec Nathalie Gasquet (1873- ), fille de Baptiste et Marie Segons, de La Prade (Najac). D’où nés à La Prade-Basse :

Marthe Boyer (1896- ), mariée avec Irénée Fabre, de Trébessac (La Fouillade). Descendance Guibbert à Trébessac, Villefranche, Lanuéjouls, Montans (81), Toulouse, Saint-Loubès (33), en Ile-de-France.

Denise Boyer (1901-1966), mariée en 1920 avec Marcellin Boutonnet (1889-1954), de Trébessac (La Fouillade), fils de Julien et d’Emilie Besset (descendante de Louis XI), voir Bulletin n°83. Descendance à Trébessac, Villeneuve, Sainte-Croix, Gaillac, Montbrun, Brive, Lyon, en Ile-de-France.

Moïse Boyer (1903-1970), marié avec Germaine Filhol. D’où trois filles. Descendance à Najac, La Fouillade, Villefranche, La Rouquette, Martiel, Toulonjac, Toulouse, Châteauneuf (28), en Bretagne, Ile-de-France.  

Albert Boyer (1907-1973), cultivateur à Cros (La Fouillade), marié avec Léa Alaux, fille de Jean et Marie Bouyssi, voir ci-dessous VI.3.d. Descendance à La Fouillade, Mémer, Saint-Igest.

Maurice Boyer (1912-1980), époux de Lucette Dintilhac, sans descendance.

- Anne-Marie Tranier (1837- ), sans descendance.

- Anne Tranier (1840- ), sans descendance.

- Julien Tranier (1844- ), marié en 1866 à Jouqueviel (Tarn) avec Emilie Bauguil, fille de Joseph et d’Anne-Marie Ginestet, de La Garroufié (Jouqueviel). D’où nés à La Vergnole (Lunac) :

 . Wilfrid Olivier Tranier (1877-1952 à Martiel), marié avec Marie Puech, de Rieupeyroux. D’où née à La Vergnole :

Emilienne Tranier (1908- ), épouse d’Ernest Trézières. Descendance à Martiel, Rodez.

 . Camille Stanley Tranier (1879- ).

 . Berthe Tranier (1882- ), mariée en 1903 à Lunac avec Léon Rouziès, de Jonquières (Saint-Salvadou). Sans descendance.

-  Marie Eugénie Tranier (1849- ), mariée le 19 février 1867 avec Célestin Raymond Baussac (1838- ), fils d’Antoine et de feue Marianne Albouy, de Najac. D’où :

     . Etienne Alfred Baussac (1868-1945 à Villefranche).

c-    Rose Rouziès (1er mai 1809- ), mariée en 1831 avec Pierre Dintillac (1798- ), fils de Pierre et Marie Rigal, du Bourguet (Villefranche). Descendance inconnue. 

4- Jean Loupias (19 juillet 1784-avant 1820), sans descendance.

5- Joseph Loupias (vers 1786-17 mars 1820 à 34 ans), célibataire.

6- Anne Loupias (1789-1867), mariée en 1811 avec Joseph Tranier, propriétaire à Falgayrolles, né au Paraire, frère de Joseph Tranier, époux d’Anne Rouziès, sa nièce. Sans descendance.

7- Jean Amans Loupias (1791-avant 1820), sans descendance.

VI- Marianne Rose Loupias (15 octobre 1779-28 décembre 1857), mariée le 29 mai 1799 à Najac avec Jean-Pierre Gayrard, fils de Jean et d’Elisabeth Delcausse, cultivateur à Aubugues (Sanvensa) et en secondes noces le 6 octobre 1819 à Najac avec Jean Baptiste Albouy (1782- ), fils de Jean Pierre et Marie Bosc, de La Lantairie (Najac).  Lors du  5 messidor an VII, le futur reçoit un tiers des biens de son père et la future 4 400 livres[166]. Le couple aura sept enfants nées à Aubugues, dont un décédé en bas âge :

1- Marianne Gayrard (1800- ).

2- Marie Gayrard (11 décembre 1801-4 octobre 1850 aux Agassats), mariée le 4 mars 1821 avec Jean Antoine Bouyssi (1790-1875 aux Agassats), fils d’Etienne et de Marie Bros, cultivateur de La Broussette (Sanvensa). D’où :

a- Marie Anne Bouyssi (1822 à Sauzet-1893 aux Tempes), mariée le 24 février 1846 avec Pierre Martin Lagarrigue (1822-1870), cultivateur aux Tempes, fils de Joseph et Marie Pradel. D’où nés aux Agassats (Lunac) :

- Marie Julie Lagarrigue (25 juillet 1849-12 novembre 1888 aux Tempes), mariée le 24 juin 1879 avec Philippe Blanquet (1846 à La Coste de Tizac- ), propriétaire cultivateur en1879 à Cassagnes (Najac), fils de Pierre et Marianne Groc, de La Coste de Tizac.

- Anne dite Pélagie Lagarrigue (1er août 1851- ), mariée le 11 janvier 1880 à Lunac avec Joseph Olié, cultivateur aux Mazières, fils d’Antoine et de Julie Tranier. D’où nés aux Mazières :

. Jules Joseph Olié (1875-1894 à 19 ans).

. Marie Octavie Olié (1880-1947), mariée le 6 février 1898 avec Alfred Bosc. D’où Marthe Bosc, épouse Icher, voir Bulletin n°82 VII.3.a.

. Marie Anna Olié (1881-1967 à  La Fouillade, âgée de 86 ans), mariée en 1902 à Villefranche avec Pierre Matamala., restaurateur à Villefranche. D’où une fille sans descendance.

. Maria Elisa Olié (1883-1923), mariée en 1909 avec Ernest Nouviale, restaurateur et hôtelier à Villefranche, voir Bulletin n°83 V.3.d.

. Marie Sidonie Rosa Olié (1885- ), mariée en 1911 à Villefranche avec Edmond Houry. D’où Simone Houry, institutrice, religieuse à Monteils.

. Maria Héléna Olié (1887-1906).

. Zélia Olié (1893-1978 à 85 ans), épouse Palis. Descendance à Marseille.

. Albert Olié (1896-1968 à Romorantin), époux de Berthe Rigal, de l’Hom (Saint-André). D’où Claudette Olié épouse Philippe. Descendance Philippe à Sanvensa, Saint-Epain (37).

- Marie Lagarrigue (1853- ).

- Philippe Lagarrigue (1856- ), marié en 1880 avec Darie Cavalié (1859-1957 à Saint-Salvadou, âgée de 98 ans), fille de Jean François et Rosalie Boyer, des Landes (Vabre-Tizac). D’où nés aux Landes  descendance inconnue :

. Irma Lagarrigue (1882- ), mariée en 1901 avec Alphonse Cantagrel. 

. Honoré Lagarrigue (1887-1976 à 89 ans), marié en 1910 à Saint-Salvadou avec Albanie Couffignal et remarié avec Hélène Thérèse Alaux.

. Zélia Lagarrigue (1898- ), mariée à Saint-Salvadou avec Justin Amiel.

b- Jean Bouyssi (25 mars 1825 à Lunac-24 novembre 1849), fusilier au 8e Régiment d’infanterie, décédé du choléra à 24 ans.

c- Appolonie Victoire Marie Bouyssi (18 septembre 1831 à  Lunac-20 décembre 1885 aux Agassats), mariée le 22 février 1854 avec Benjamin Guibbert, de Linars, voir Famille Guibbert, de Linars Bulletin n° 82 V.11.

d- Louis Bouyssi (25 septembre 1835 à Lunac- ), cultivateur à Léonard (La Rouquette) en 1895, marié le 17 octobre 1867 avec Marie Noailles, fille d’Antoine et Elisabeth Raygasse, de Léonard (La Rouquette). D’où né au Mazuc (Vabre) :

- Marie Bouyssi (1872- ), mariée en 1895 avec Joseph Alaux (1852-1933), cultivateur et tailleur de Cros (La Fouillade), veuf Déléris. D’où nés à Cros :

. Joseph Baptiste Alaux (1900-1975 à Montauban), marié avec Marthe Alice Couffignal. (1895-1966 à Montauban), fille de Jean Pierre et Julie Déléris, de Paladuc (La Fouillade).

. Louis Raymond Alaux (1905-1972 à Villefranche), marié avec Marie-Louise Raynal.

. Léa Alaux (1907-1944 à la Fouillade), mariée avec Albert Boyer, voir ci-dessus V.3.b

c- Virginie Bouyssi (11 février 1838 à Lunac- ), mariée :

· en premières noces le 14 février 1857 avec Jean Rouziès (1829-1869 à 40 ans), fils de Jean Pierre et Marie Pons, de Rieuprésens (Vabre). D’où nés à Rieuprésens trois enfants, deux survivront :

- Marie Mélanie Marcelline Rouziès (2 juin 1861- ), mariée le 21 avril 1881 avec François Rigal, fils de Joseph et Marie Balaguier, de La Fajole (Rieupeyroux). D’où nés à La Fajole mais n’y habitant plus en 1911 :

. Marie Virginie Rigal (1883- ).

. Victorine Rigal (1885-1959 à Vabre-Tizac).

. Marie Caroline Rigal (1887- ).

.  Adrien Rigal (1889- ).

- Augustin Alphonse Rouziès (4 décembre 1866- ), marié en 1899 à Villefranche avec Marie Rosalie Cadilhac (1870-1946 à Vic-en-Bigorre), fille de feus Joseph et Victoire Maruéjouls, de Sallevezines (Rieupeyroux).

· en secondes noces le 8 avril 1872 avec Jean Pierre Caussanel, fils de Joseph et Rose Savignac, des Cayroux-Blancs (Vabre). D’où cinq enfants nés à  Rieupresens (deux décédés en bas âge) :

- Jean Pierre Benjamin Caussanel (1874- ), marié à Cransac en 1899 avec Euphrasie Adeline Delmouly, de Cransac. D’où né à Cransac descendance inconnue :

. Adeline Nathalie Caussanel (1902- ), mariée avec Louis Baules, d’Aubin. D’où :

 René Louis Baules, marié avec Suzanne Hirondelle, d’Assier (46).

- Marie Rosalie Caussanel (1877-1950 à Toulouse).

- Casimir Joseph Caussanel (1881- ), marié en 1906 à Compolibat avec Marie-Laurentine Marty.

d- Marie Rosalie Bouyssi (30 décembre 1843-après 1908), mariée le 4 janvier 1863 à Lunac avec Joseph Bories, cultivateur à Prat-là, fils de Joseph et Marianne Gardelle. D’où onze enfants nés à Prat-là dont six décédés en bas âge :

- Joseph Bories (10 novembre 1863- ), cordonnier et cultivateur à Prat-là et L'Hiversenc, marié le 29 mai 1892 avec Germaine Genre, fille de Jean-Baptiste et Charlotte Marty, de La Tapie (La Fouillade). D’où huit enfants nés à L'Hiversenc dont cinq décédés en bas âge : 

 . Gabrielle Bories (1895-1958 à La Fouillade), mariée avec Casimir Joseph Lacassagne (1892- ), cultivateur au Moulin de Peyrottes (Morlhon), puis à l'Hiversenc, fils de Jean-Antoine et Marie-Emilie Viguié, descendante de Louis XI, voir III.3.c Bulletin n° 73.

. Maria Bories (1896-décédée à Nègrepelisse, 82), épouse de Marius Jean Sylvain Cadilhac (1891- ), fils de Pierre Joseph et Marie-Rose Lacassagne, de Vabre-Tizac.

. Denise Bories (1903-1966 à Villefranche).

- Marie-Victorine Bories (10 juillet 1867- ).

- Marceline Bories (18 décembre 1874- ). D’où deux enfants nés à Prat-là sans être mariée :

. Marie Bories (1893-1918 à Albi, âgée de 25 ans), mariée avec Pierre Marty, né à Villemur, puis à Carmaux avec Louis Gouyou, né à Blanquefort-sur-Briolance (47).

. Elie Bories (1896-1971 à Sens, 89), marié à Carmaux avec Héléna Jeanne Besset, puis à Paris 20e avec Marcelle Louise Berthet.

- Marie Octavie Bories (1879-1966 à Villemur-sur-Tarn), mariée en 1902 à Bar avec Justin Célestin Boyer, employé.

- Noémie Bories (1882- ), mariée en 1905 avec Glodin Gasquet, mort à la guerre, fils de Jean et Marie Gayrard, de Narthoux (81). D’où Augusta Gasquet. Descendance aux USA.

- Benjamin Bories (1884-1966 à Carmaux), cultivateur et mineur, marié en 1908 à Lunac avec Anna Louis, dont il divorce, remarié avec Eugénie Galinier. D’où :

. André Paul Benjamin Bories (1909 à Lunac- ).

3- Jean Joseph Gayrard (13 août 1804- ), propriétaire cultivateur à Aubugues (Sanvensa), marié le 29 janvier 1834 à Lunac avec Charlotte Tranier (1815-1855 à 40 ans), fille de Jean et Charlotte Alary, du Paraire (Lunac), remarié le 19 février 1867 avec Marguerite Rose Jean, fille d’Antoine et de Marguerite Bru, de Cros (La Fouillade). D’où, du premier lit nés à Aubugues :

a-       Jean Baptiste Gayrard (1835- ).

b-      Marie Rosalie Gayrard (1837- ), mariée le 3 juin 1860 avec Joseph François Costes (1833- ), fils de Jean et Marie Vernhet, de La Rouquette.

c-       Alexandre Gayrard (1840- ).

d-      Jean Joseph Gayrard (1846- ).

e-       Jean Justin Gayrard (1849- ), célibataire.

f-       Joseph Gayrard (1852 - ), marié le 29 janvier 1888 avec Marie Rigal (1864- ), fille de Cyprien et feue Marie Rose Caussanel, de La Lavagne (Sanvensa). D’où nés à Aubugues :

- Marie Gayrard (1889- ), mariée en 1910 avec Hippolyte Marty, sans descendance.

- Laurencie Gayrard (1890- ).

- Zélie Gayrard (1891-1961 à Paladuc), mariée avec Jules Roques (1890-1957), fils de Louis et Léontine Littre, de Paladuc (La Fouillade), voir 5.a.

- Joseph Gayrard (1893- ), cultivateur à Aubugues, marié avec Marie-Thérèse Chambert, de Sanvensa. D’où :

. Jeanne Gayrard, épouse Viguié, du Cassan (Sanvensa). Descendance à Sanvensa, Villefranche, Région parisienne.

. René Gayrard, époux Segonds. Descendance à Sanvensa, Villefranche. 

- Emile Gayrard (1897- ), célibataire.

- Madeleine Gayrard, épouse Tesquet, de Neuviale (Parisot, 82). Descendance à Villefranche, dans le Var.

4- Joseph Gayrard (8 septembre 1807- ), marié le 25 février 1835 avec Marie Rose Victoire Pradines (1808- ), fille de Jean Baptiste et Marie Jeanne Segonds, de La Fouillade. D’où née à La Fouillade :

a- Rose Gayrard (1836-1921 à 85 ans), mariée le 24 mai 1864 avec Célestin Malaterre (1831-1892). D’où nés à La Fouillade :

- Sidonie Malaterre (1865-1934), mariée le 28 août 1895 avec Isidore Alfred Alary (1865-1946 à La Fouillade), dessinateur à Cransac, fils d’Isidore et de Rosalie Delavergne, de Montbazens. D’où nés à Cransac :

. Jean Emile Alary (1896-1916 à Bar-le-Duc, âgé de 20 ans), mort pour la France.

- Marie Rosalie Malaterre (1867- ), mariée le 12 avril 1899 avec Cyprien Rigal (1873-1915 à Bully-Grenay, 62), fils de Jean et Victorine Laurent, de La Planque (Pradinas), mort pour la France. D’où nés à La Fouillade :

. Fernand André Rigal (1901-1951), époux d’Elisa Cathala, voir ci-dessus V.3.b.

- François Malaterre (1871-1917), employé des chemins de fer à Sceaux-Robinson, marié en 1899 avec Marie Delcausse (1879-1964 à 85 ans), fille de Charles Philippe et Rosalie Pradines, de La Fouillade, voir Bulletin n°74 Branche Tranier, de La Coste II.4.a. 

5- Anne Euphémie Gayrard (27 mai 1810- ), mariée le 3 septembre 1830 avec Jean Pierre Alaux (1798-1871),  fils de François et Marianne Roques, de Cros (La Fouillade). D’où nés à Cros :

a- Julie Alaux (24 août 1831-1903), mariée le 30 juin 1852 avec Jean Louis Roques (1817-1903), fils de Jean Pierre et Marie Jeanne Massol, de Paladuc (La Fouillade). D’où nés à Paladuc :

- Julie Roques (1853-1938 à 85 ans), mariée le 3 février 1874 avec Jean Ricard (1850-1936 à 86 ans), fils de Jean et Marianne Loupias, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où nés à Agens :

. Marie Honorine Ricard (1875- ), mariée le 13 février 1898 avec Joseph Louis Philippe Lagarrigue, fils de Jean Philippe et Julie Tranier, des Mazières (Lunac). D’où : Andréa, épouse Miquel et Maria, épouse Muratet. Descendance aux Mazières, à L’Alégrie (Najac).

. Marie Pélagie Ricard (1878-1958 à Saint-André), mariée en 1903 à Saint-André-de-Najac avec Benjamin Verdier, de Belpech (Saint-André), remariée en 1911 avec Louis Alexandre Verdier.  D’où cinq enfants. Descendance à Caussade (82).

. Joachim Ricard (1880-1963 à Saint-Salvadou), marié en 1908 à Sanvensa avec Elisa Emilie Delbourg. D’où :

Imelda Ricard, épouse Bessou, de Méjalanou (Saint-Salvadou). Descendance à Saint-Salvadou, Najac, Saint-Georges-de-Luzençon, Albi, Gaillac (81), Toulouse.

Antonia Ricard, épouse Déléris, de Rouquette (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Villefranche.

Raymonde Ricard, épouse Dumoulin, de Tizac. Descendance à Vabre, Albi, Balma, Toulouse.

- Marie Rosalie Roques (1854-1922 au Lac), mariée avec Jean Pierre Espinasse (1851-1924), fils de Jean Pierre et Marie Blanquet, de Saoulou (La Fouillade). D’où née à Saoulou :

. Marie Rosalie Espinasse (1881-1958), mariée en 1903 avec Louis Firmin Acquié (1873- ), fils de Baptiste et Julie Bros, de La Bessière (La Bastide). D’où née au Lac (La Fouillade) :

 Marie Acquié (1904-1974 au Lac), mariée en 1929 avec Urbain Joseph Marty, fils de Gabriel et d’Eugénie Genieys, de Sauveterre.

- Marie Roques (1856-1873 à 17 ans).

- Philipine Roques (1858-1891 à 33 ans).

- Louis Roques (1860-1930 à La Lande), cultivateur à Paladuc (La Fouillade), marié en 1889 avec Léontine Litre (1869-1940), fille de Blaise et Julie Segonds, de Paladuc. D’où :

. Jules Roques (1890-1957), cultivateur à Paladuc, marié en 1891 avec Marie Zélia Gayrard, fille de Joseph et Rose Rigal, de Sanvensa. D’où :

Raoul Roques, marié avec Elida Thémines, de Lescure-Jaoul. Descendance à Toulouse, Paris.

Olivia Roques, épouse de Fernand Trézières. Descendance à La Fouillade, Albi.

Olivier Roques, époux d’Yvonne Viallèles, sa cousine, voir ci-dessous. Sans descendance.

Noël Roques, célibataire, cultivateur à Paladuc.

Gilbert Roques, cantonnier, célibataire,

Gabriel Roques, employé SNCF à Paris, époux Marty. Descendance à Villefranche.

André Roques, époux de Solange Trézières.  Descendance à Villefranche, Paris.

. Marie-Julie Roques (1892-1987), marié en 1913 avec Emile Viallèles, cultivateur au Crouzet (La Fouillade). D’où nés au Crouzet :

Yolande Vialèlles (1914- ), mariée avec Louis Falguières, du Crouzet (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Brive, dans l’Oise.

Yvonne Vialelles, mariée avec Olivier Roques (voir ci-dessus).

. Alphonse Roques (1897- ), cultivateur à Saint-Marcel-de-Campes (81), marié avec Marie Amiel, des Aleils (La Fouillade). Sans descendance.

. Jeanne Marie Roques (1910-1984 à Albi), épouse de Jacques Fualdès, fils d’Albert et de Marie Rose Gil, d’Aiguillon (47). Descendance à Villefranche.

b- Charlotte Alaux (17 mai 1833- ), mariée le 26 février 1854 avec Jean Baptiste Victor Loupias, fils de Jean Baptiste et Marianne Jonquières, des Mazières (Lunac). D’où nés aux Mazières dix enfants (dont un décédé en bas âge), n’y habitant plus en 1876, descendance inconnue :

- Eulalie Loupias, mariée le 2 juillet 1875 avec Germain Alet, fils de Jean Baptiste et Marie Rose Cadène, de Lauriol (Vabre-Tizac). D’où :

. Eugénie Alet (1886- ).

- Marie Eugénie Loupias (1858- ), mariée le 22 février 1881 avec François Ferdinand Lagarde, (1860- ), fils de Joseph et Marie Déléris, de Bérals (Morlhon).

-. Marie Loupias (1861- ).

- Victor Casimir Loupias (1863- ).

- Jean Baptiste Loupias (1866- ).

- Louis Alphonse Loupias (1868- ).

- Angélique Loupias (1871- ).

- Séraphine Loupias (1872- ).

c- Baptiste Alaux (26 novembre 1834- ), marié le 22 septembre 1858 avec Marie Rose Victoire Loupias (1837- ), fille de François et Victoire Roques, de La Tapie (La Fouillade). D’où nés à Cros (La Fouillade), n’y habitant plus en 1881, descendance inconnue :

- Jean Baptiste Louis Loupias (1859).

- Anne dite Philippine Alaux (1860- ).

- Firmin Alaux (1862- ).

- Séraphine Alaux (1864- ).

- Calixte Alaux ( 1865- ).

- Sabin Alaux (1867- ), marié à Albi en 1928 avec Albertine Borredon.

- Marie Marcelline Alaux (1869- ).

- Benjamin Alaux (1870- ).

- Marcelline Alaux (1872- ).

- Sylvie Alaux (1877- ).

- Elie Alaux (1879- ).

d-  Marie Alaux (6 juin 1837-avant 1876), mariée le 7 juillet 1863 avec Joseph Puech (1835- ), fils de Bernard et Marie Hugonnet, de Bouxènes (Bor-et-Bar). D’où nés à La Borie de Bouxènes :

- Marie Philippine Puech (1864- ), mariée avec Auguste Briane. D’où :

. Roger Briane (1892- ), époux Valette. D’où Yvan et Norbert. Descendance à Bor-et-Bar, Rodez, Toulouse, Le Mans.

- Germaine Puech (1866-1958 à Asnières à 92 ans).

- Marcelline Puech (1869- ), mariée à Jouqueviel (81).

e- Marianne dite Rosalie Alaux (30 avril 1839- ), mariée le 12 novembre 1865 avec Antoine Cadène (1842- ), fils d’Antoine et de Marie Alcouffe, de Marmont (Morlhon). D’où nés à  Marmont mais n’y habitant plus en 1891 :

- Marie Cadène (1866-1951 à Saint-Salvadou).

- Séraphine dite Lucie Cadène (1867- ).

- Marie dite Flavie Cadène (1869- ).

- Firmin Cadène (1870- ).

- Justin Cadène (1872- ), marié à Carmaux en 1899 avec Marie Orancie Andrieu.

- Casimir Cadène (1876- ), marié à Pampelonne en 1901 avec Adeline Rosalie Blanc.

- Marie Ernestine Marcelline Cadène (1877- ).

- Marie Flavie Basilie Cadène (1879- ).

- Alfred Cadène (1883- ).

- Séraphine Cadène (1884- ).

f- Jean Pierre Alaux (26 novembre 1843- ).

6- Marie Victoire Gayrard (1814-1843 à La Fouillade à 29 ans), mariée en 1839 à La Fouillade avec André Vialelles (1801-1854), fils d’André et de Marianne Josèphe Tranier, de La Jalade (La Fouillade). D’où trois enfants nés aux Aleils dont un décédé à 8 ans  :

a- Marie Rose Philippine Vialelles (1841- ), sans descendance.

b- André Jean Louis Vialelles (1843-1902), meunier aux Aleils, marié en 1869 avec Philippine Caroline Aymes (1847-1889), fille de Jean François et Louise Charlotte Couronne, de La Coste-de-Couronne (La Fouillade). D’où huit enfants nés aux Aleils :

- Louis Vialelles (1872-1949), meunier, marié en 1901 avec Albertine Joséphine Mayran (1881-1953), fille de Jean Joseph Arthémon et Marie Jeanne Fraysse, de Pébrac (La Fouillade). Sans descendance.

- Célestine Vialelles (1874-1963 à Aubin à 89 ans), mariée en 1901 avec Dalmas Clapié (1875- ), fils naturel de Marie Clapié.

- Marcellin Vialelles (1875-1959 à Lunac à 84 ans).

- Casimir Vialelles (1879-1965 à Carmaux à 89 ans), marié en 1921 à La Salvetat-Peyralès avec Emilie Rouquette. Marié en secondes noces à Mirandol (81) avec Eugénie Gayrard.

- Julien Vialelles (1882- ).

- Gabriel Vialelles (1885-1918), mort pour la France, à l’hôpital militaire de Bourges le 6 novembre, à quelques jours de l’armistice, marié en 1910 à Lunac avec Maria Mercier (1890- ), fille de Casimir et Marie Couderc, de Lunac. D’où Descendance à Lunac :

Georges Vialelles (1914- ).

Odette Vialelles (1919- ).

- Louise Vialelles (1887-1935), mariée en 1909 avec Aimé Guibbert (1885-1949), fils de Jean Joseph et Marie Besse, du Moulin de Martre (La Fouillade). D’où nés au Moulin de Martre :

.   Gabriel Léon Guibert (1906 aux Aleils-1915 à 9 ans), noyé dans la Serène.

. André Guibert (1910 à Cagnac-les-Mines-1984 à Maisons-Laffitte), agriculteur, marié avec Yvonne Segonds, de Najac, institutrice. Descendance à Paris, Saintes (17).

. Andréa Guibert (1911-1932 à 21 ans), enterrée dans sa robe de future mariée.

.  Ida Guibert (1913-1996 à Draveil, 91), épouse de Georges Paul Loison. Descendance à Ris-Orangis (91) et Sainte-Maure-de-Touraine (37).

     Rameau Loupias-Fabre

VI.3- Jeanne Anne Loupias (6 novembre 1746- ), se marie en 1768 avec Jean-Pierre Fabre (1749-1794), tisserand, fils de feu Guillaume et d’Antoinette Thémines, de Puechganel (Les Mazières). Dans le contrat de mariage passé le 4 juin, quelques jours après le décès de sa sœur aînée, son père lui donne la moitié de ses biens et se réserve d’être nourri, vêtu, entretenu, 2 livres de rente, 30 livres pour lui faire dire des messes après son décès, des ruches à miel, 10 livres pour ses plaisirs personnels.

En cas de discorde, il aura droit à l’habitation de la maison ordinaire, un jardin, 25 quartons de seigle, 24 de châtaignes, graisse, lard, huile de noix, sel, bois et fruits, vin et prendra deux brebis. Les mariés donneront 100 livres à son fils Joseph Loupias[167]. le couple aura une fille qui suit :

 

VII- Marie Fabre (1774-1844 à Bleyssol), mariée le 18 juin 1799 avec Jean Rouziès (1758-1831), géomètre, fils de feu Joseph et Catherine Mouly, de Bleyssol (Vabre-Tizac). D’où nés à Rieuprésens :

1- Jean-Pierre Rouziès (1799-1876), propriétaire, marié avec Marianne Coucoureux, fille de Bernard et Rose Alet. D’où nés à Rieuprésens (Vabre) :

a- Germain Rouziès (1832-1898), marié avec Rosalie Vialadieu, fille de Jean Pierre et d’Anne Viguier, d’Ayres (La Capelle-Bleys). D’où nés à Rieuprésens :

- Jean Lucien Félix Elie Rouziès (1863- ).

- Marcellin Bernard Rouziès (1865- ).

- Marie Aimée Rouziès (1870- ), mariée en 1895 avec Joseph Caville (1865-1947), fils de Guillaume et Rosalie Marre, minotier au Moulin Blanc (Vabre). D’où nés au Moulin Blanc :

. Maria Caville, épouse d’Ernest Balthazac. Descendance dans le Loiret.

. Paul Caville (1901- ), marié à Brive avec Marie Bouyssou. Descendance.

. Frédéric Caville (1902-1981), marié à Castanet (12) avec Léa Ginestet. Descendance à Rieupeyroux, La Primaube.  

. Ernest Caville (1905-1982 à Villefranche), célibataire.

. Eloi Caville (1907-1971), célibataire.

- Lucie Rouziès (1875- ), mariée en 1900 avec Louis Jean Pomiès (1874-1951), son cousin germain, fils de Louis et Césarine Rouziès, de Bordes (Vabre), voir ci-dessous c. D’où nés à Rieuprésens :

. Hélène Pomiès (1905-2001 à Villefranche à 96 ans), mariée en 1926 avec Isidore Bonnet. Descendance à Villefranche.

. Louis Pomiès (1907- ), sans descendance.

. Roger Pomiès (1911-1997), marié avec Denise Alcouffe (1913-1976). Descendance à Vabre, La Capelle-Bleys, La Primaube, Olemps, Gages, en Corrèze, Région parisienne.

b- Bernard Marcellin Rouziès (1835- ), marié en 1867 avec Caroline Rose Izard (1844- ), fille de Jean Antoine et d’Anne Rose Enjalbert, des Tempes (Vabre). D’où nés à Vabre :

- Sylvie Rouziès (1868- ), mariée en 1894 avec Zéphirin Vialelles (1869- ), cultivateur à Finial-Haute (Vabre), né à Bras (Saint-Salvadou). Sans descendance.

c- Césarine Rouziès (1840- ), mariée le 19 juin 1861 avec Louis Pomiès (1833- ), fils de Louis et Catherine Vaur, de Bordes (Vabre). D’où nés à Bordes :

 - Césarine Pomiès (1862- ), mariée en 1878 avec Justin Tranier, fils de Justin et Hélène Izard, de Frayssinet (Bor-et-Bar), voir dans un prochain Bulletin.

- Aimée Pomiès (1864- ), mariée en 1883 avec Firmin Lagriffoul, couvreur de Vabre, fils de Jean et Marie-Jeanne Andurand. Descendance.

- Louis Jean Pomiès (1874-1951), marié avec sa cousine Marie Lucie Rouziès (voir ci-dessus 1.a.)

 d- Marie Mélanie Rouziès (1842- ) mariée en 1862 avec Jean François Mercadier (1811- ), fils de François et feue Marie Jeanne Mazars, de Mirandol-Bourgnounac.

2- Marie Catherine Rouziès (1801-1826 à 25 ans, une semaine après avoir accouché), mariée le 26 février 1822 avec François Lagarrigue (1799- ), propriétaire à Bonières, fils de François et d’Elisabeth Faliès, de Vabre. D’où nés trois enfants nés à Vabre :

a- François Lagarrigue (29 août 1823- ), marié le 1er février 1853 avec Théodora Vabre (1830- ), fille de Thomas et d’Elisabeth Ginestous, du Bouscatel (Vabre-Tizac). D’où nés à Bleyssol (Vabre) :

-  Firmin Lagarrigue (1854- ), marié le 26 octobre 1880 avec Mélanie Sérignol, fille de Jean-Pierre et Marie-Rose Viguié, de Labro (Saint-Salvadou). D’où nés à Bonières :

. Léon Lagarrigue (1885-1957 à Millau), marié à Rieupeyroux en 1913 avec Maria Marguerite Laurens.

. Agnès Lagarrigue (1887- ), mariée avec Julien Célestin Tranier (1885-1914), mort pour la France, disparu à Lunéville le 22 août, fils de Julien et Césarine Authesserre, des Cazelles (La Fouillade). D’où nés à La Fouillade :

Roger Tranier, époux d’Emilienne Saurel, de Lunac. Descendance à Najac, Villefranche, Toulouse, Auch.

Géry Tranier, époux de Lydie Bosc. Descendance à Bonières, Vabre, Castanet, Caussade (82).

. Marie Lagarrigue (1890-1976), célibataire, sans descendance.

. Ernest Lagarrigue (1894- ), célibataire, sans descendance.

- Marie-Julie Lagarrigue (1856 à Bleyssol-1890), mariée le 4 février 1874 avec Jean-Pierre dit Casimir Boutonnet (1848- ), fils de François et Rose Lacombe, de Bleyssol (Vabre-Tizac). D’où nés au Coustalou (Vabre), maison inhabitée en 1921 :

. Marie-Rose Boutonnet (1874-1891 à 17 ans).

- Emilie Boutonnet (1875- ), mariée en 1900 avec Charles-Auguste Alet (1873- ), fils de Joseph et Victorine Loupias, du Rial (La Salvetat-Peyralès).

. Edouard Boutonnet (1878-1914), mort pour la France le 21 décembre à Raffécourt (Meuse), marié en 1905 avec Alexandrine Marty (1879-1965 à Vabre), fille d’Etienne et Alexandrine Durand, du Cayrou (Lunac).

. Marie Boutonnet (1880-après 1926), mariée en 1905 avec Baptiste-Marcellin Delbès (1877-1916), mort pour la France le 8 août 1916 au combat de Bras (Meuse), fils de Victor et Rosalie Vabre, de Lauriol (Vabre-Tizac).

. Cyrille Boutonnet (1883- ), marié en 1909 à Fontenay-le-Comte (85) avec Victorine Souchet, remarié avec Marie Louise Réau.

b- Charlotte Marie dite Caroline Lagarrigue (1825-1866), mariée en 1843 avec Charles Lagarrigue (1823-1866), fils de Joseph et Rose Delmas, de Pradials (La Salvetat-Peyralès). D’où nés à Pradials six enfants, deux décédés en bas âge :

- Charles Lagarrigue (1845- ), marié en 1868 avec Rosalie Faliès (1847- ), fille de feus Antoine et Rose Rouziès, du Rech (La Salvetat). D’où sept enfants nés à Pradials :

. Charles Lagarrigue (1873- ), marié à Rodez en 1914 avec Jeanne Marie Lagarde.

. Frédéric Lagarrigue (1878- ), marié à La Fouillade avec Justine Magre, de Villefranche.

. Lucie Lagarrigue (1881-1950).

. Fébronie Lagarrigue (1885-1962), mariée en 1914 avec Léon Basile Reynès.

. Julie Lagarrigue (1888-1975 à La Capelle-Bleys), mariée en 1918 avec François Célestin Lacassagne.

- Henri Lagarrigue (1849- ).

- Joseph Lagarrigue (1852- ), marié le 16 janvier 1883 avec Marie Angélique Terrisse (1861- ), fille de Joseph et feue Marianne Morlhon, de Soulieys (La Salvetat-Peyralès). D’où :

. Joseph Firmin Lagarrigue (1884-1954 à Nîmes), marié en 1912 à Alès avec Madeleine Joséphine Aigon.

- Cyprien Lagarrigue (1855- ).

d- Jean Cyprien Lagarrigue (1826-), marié avec Marie-Jeanne Andurand, de La Guionie (La Salvetat-Peyralès). 

3- Augustin Rouziès (1806-1855 à Bleyssol), marié le 18 novembre 1829 à Saint-Salvadou avec Marie-Anne Vialadieu, fille de Jean-Baptiste et Marie-Anne Alet, de Bleyssol (Vabre-Tizac). D’où nés à Bleyssol :

a- Victoire Rouziès (1831-1870 à 29 ans), célibataire.

b- Marie Caroline Rouziès (1833- ).

c- Julien Rouziès (1835- ), marié le 17 janvier 1869 à Rieupeyroux avec Marie-Rose Rouziès (1844-1906), sa cousine germaine, voir ci-dessous 4.b. D’où nés à Vabre :

- Marie Léontine dite Germaine Rouziès (1871-1892 à 21 ans), célibataire.

- Charles Casimir Rouziès (1873- ), marié en 1900 à La Fouillade avec Valentine Segonds (1875- ), fille de Léon et Philippine Rigal, de Lagarrigue (La Fouillade). D’où nés à Bleyssol :

. Gabriel Rouziès (1901- ), marié avec Augusta Cavalié. D’où un fils, deux filles. Descendance à Rieuprésens, Saint-Salvadou.

. Paul Rouziès (1903- ). Descendance à Laubiès, Vabre, Rodez, Pau.

. Louise Rouziès (1905- ), épouse Pomiès. Descendance à Vabre, Villefranche, Lyon.

. Marguerite Rouziès (1906- ), épouse Alcouffe des Landes. Descendance à Saint-Salvadou.

. Denise Rouziès (1908- ), épouse Théron, de Pomazès (Rieupeyroux). Descendance à Rieupeyroux.

. Anna Rouziès (1910- ), célibataire.

- Marcellin Rouziès (1875-1946 à La Bastide), marié à La Bastide en 1901 avec Marie Sylvie Bros, de Lonnac. D’où un fils, sans descendance.

- Marie Léonie Rouziès (1879- ), mariée en 1906 à La Fouillade avec Alexandre Authesserre (1877-1960), agriculteur à Longcros (La Fouillade), fils d’Arthémon et Eugénie Guy, de Toulzanes (La Fouillade). D’où :

. Agnès Authesserre, mariée avec Gabriel Balssa, de Saint-Martin-Laguépie (81). Descendance à Saint-Martin Laguépie.

. Marthe Authesserre, mariée avec Irénée Couffin, de Saint-André. Descendance à Saint-André, Saint-Salvadou, La Fouillade, Saint-Rémy, Albi, Toulouse, Paris, l’Ile-Maurice, dans le Gers.

. Antonin Authesserre, marié avec Denise Tranier, de La Fouillade. Descendance à La Fouillade, Toulouse, dans l’Oise.

. Denise Authesserre, épouse de Louis Marty, de Saint-Martin-Laguépie (81). Descendance à Saint-Martin, Laparouquial (81), au Clapier (34), à Lyon, en Bretagne.

d- Jean François Rouziès (1838- ).

4- Cyprien Rouziès (1815- ), marié en 1838 à Rieupeyroux avec Marie Jeanne Andurand (1813- ), fille de François et Marianne Lacassagne, de La Guionie (La Salvetat-Peyralès). D’où :

a- Caroline Rouziès (1841- ), mariée en 1863 avec Jean-Antoine Alaux (1840-1882), fils de Jean Antoine et Marie Anne Blanc, de Ginestous (Bor-et-Bar). D’où dix enfants nés à Ginestous :

- Justin Alaux (1865- ), agriculteur à Ginestous, marié en 1899 à Bor-et-Bar avec Eulalie Raynal (1872- ), fille de Jean Antoine et d’Anne Marie Vialars, de Montirat (81). Sans descendance.

- Marie Alaux (1867-1950 à 83 ans), épouse Couffignal, de Rougayresq (Bor-et-Bar). Descendance à Bar, Toulouse.

- Léonie Alaux (1868- ), mariée en 1894 avec Frédéric Tranier (1866- ), fils de Jean Antoine et Marie Andrieu, du Tel (Jouqueviel - 81). Descendance inconnue.

- Germaine Alaux (1870-1946), mariée en 1893 avec Philippe Rouziès (1871- ), sans descendance.

- Casimir Alaux (5 sept 1872- ). Descendance inconnue.

- Philippe Alaux (19 août 1874- ), marié à Lille le 3 janvier 1907 avec Maria Carette. Sans descendance.

- Julien Alaux (23 juillet 1876- ). Descendance inconnue.

- Léon Alaux (1878- ), époux d’Hortense Hugounet, sans descendance.

- Emile Alaux (1881-1966), instituteur à Bor, marié avec Zélie Gayrard, de Frayssinet. D’où :

. Rose Alaux (1913-2012 dans sa centième année), épouse Couronne, boulanger à Bar. Descendance à Bar, Saint-André, La Capelle-Bleys, La Selve, Carmaux (81), Puygouzon (81).

. Yves Alaux.  Descendance à Mérignac, Saint-Loubez, Auray (Bretagne).

- Lucien Alaux (1883-1960), marié en 1910 avec Marie Scholastique Alaux (1885-1932), fille de Jean Baptiste et Rosalie Françoise Loupias, de la Tapie (La Fouillade). D’où :

. Lucette Alaux (1912- ), mariée avec Casimir Alaux (1903- ), fils de Joseph et Caroline Ricard, de La Montarnie (Lescure). Descendance à La Fouillade, Lescure-Jaoul, Toulouse, Bordeaux.

b- Marie Rose Rouziès (1844-1906 à La Fouillade), mariée en 1869 à Rieupeyroux avec Julien Rouziès (1835- ), fils d’Augustin et de Marie Anne Vialadieu, son cousin, descendant de Louis XI, voir ci-dessus 3.c.

                                Branche Guibbert-Loupias, du Griffoulas (Vabre-Tizac)

Les noms de Ramond et Bernat Loupias sont cités en 1488[168] au village du Griffoulas situé à la limite des paroisses de Tizac et des Mazières. Deux familles s’y sont succédées pendant plusieurs générations. La famille concernée ici s’est alliée avec des familles bourgeoises de la région et les seigneurs d’Agens, habitant au château de Loupiac dans la paroisse voisine d’Arcanhac. La généalogie de la famille concernée peut s’établir ainsi :

Jean Loupias cité en 1545 comme père de Guillaume. Guillaume, tailleur, époux de Gaillarde Loupias, de La Coste de Tizac.  François, tailleur, marié vers 1630 avec Jeanne d’Agens (fille naturelle d’un seigneur d’Agens de Loupiac).

Jean, époux en premières noces de Françoise Guibbert[169], de Saulières (Bor-et-Bar) et en secondes noces vers 1672 de Françoise Rigal, de la paroisse de Saint-Grégoire dans l’Albigeois.

François, né du second mariage, marié vers 1695 avec Jeanne Loupias, de Lunac. Ces familles Loupias sont sûrement originaires du village éponyme situé dans la paroisse de Lunac.

C’est à partir du couple ci-dessous que nous avons une nombreuse descendance de Louis XI dans le pays.

 

III- Marie Anne Guibbert (vers 1697-15 mai 1767), née à Banhaca (Tizac) de feus Jean Guibbert et Antoinette Malrieu, épouse le 11 janvier 1728 François Loupias (7 janvier 1698-3 novembre 1749), paysan du Griffoulas, fils de François et de feue Jeanne Loupias. Dans le contrat de mariage passé le 12 janvier chez Me Alibert, notaire de Villefranche, François reçoit en dot la moitié des biens de son père qui en garde l’usufruit et, selon l’usage, vivra au même « pot et feu » jusqu’à la fin de sa vie. La mariée se réserve ses droits sur la succession de ses défunts parents [170].  

François, alors qu’il est alité « atteint de maladie dangereuse », fait son testament le 3 novembre 1749, léguant 250 livres à ses fils et à ses filles 500 livres, deux brebis et deux agneaux, cinq canes de toile métisse, une robe avec son jupon de rase de marchand, une caisse fermée à clef… Il laisse à sa femme le soin de désigner l’héritier de ses biens et signe l’acte[171]. Le couple a eu six enfants, trois auront des descendants :

1-    François Loupias (vers 1730-17 décembre 1771 à 41 ans), laboureur, tisserand au Griffoulas, marié en premières noces le 31 mai 1752 avec Marie Masfettes (18 novembre 1729-29 novembre 1762 à 33 ans), fille de Jean, paysan de Jonquières (Saint-Salvadou) et d’Antoinette Mayran. Dans le contrat de mariage passé le 28 avril, Marie Anne Guibbert rend l’hérédité de son mari à son fils et lui donne de sa part la somme de 200 livres.

Marie Masfettes (ou Malphète ou Massettes) reçoit en dot la somme de 620 livres, deux brebis, deux agneaux, cinq canes de toile métisse, quatre serviettes, une caisse fermée à clef, une robe burat doublée avec son jupon. La somme de 620 livres est donnée une partie en nature (pièces de terre, deux génisses, une vache…), une autre en argent dû par Jean Debals et le restant (soit 70 livres) devra être payé dans 14 mois[172].

François se marie en secondes noces le 22 mars 1765 avec Marie Anne Rouquette (1735-1773 à 38 ans), fille de Guillaume et Marguerite Lagarrigue, de Saint-Salvadou, dont il aura une fille décédée à 5 ans. François ainsi que ses épouses et certains membres de sa famille décèderont relativement jeunes.

Il eut du premier lit :

a-    Jean Loupias (13 avril 1753-avant 1785), marié le 28 août 1777 avec Marie-Madeleine Lasserre (8 septembre 1748-8 décembre 1788 au Puech à 40 ans), fille d’Antoine et de Madeleine Soulié, de Bordes (Vabre). D’où né au Griffoulas :

- Jean Joseph Loupias (25 juillet 1778- ), décédé sûrement jeune.

b-    Marie-Anne Loupias (29 février 1756- ), décédée sûrement jeune.

c-    Marie-Anne Loupias (9 juin 1759- ), décédée sûrement jeune.

d-    Joseph Loupias (26 juillet 1761-27 avril 1830), cultivateur au Parairet (Vabre), marié :

. en premières noces le 20 août 1787 avec Jeanne Vayrac (1766-1797 à 31 ans), fille de Jean et Jeanne Granier, du Parairet. D’où né au Parairet :

- Jean Joseph Loupias (28 mai 1789- ), décédé sûrement jeune.

. en secondes noces le 31 mars 1801 avec Marie Barria (1761-1841 à 80 ans), fille de Jean et Jeanne Andurand, de La Roque (Lescure). D’où :

-  Jean Baptiste Loupias (10 septembre 1801 au Parairet-8 décembre 1842 à 41 ans), cultivateur au Parairet, marié en 1834 avec Marie-Hélène Alcouffe (1811-1868), fille de Pierre et Marianne Alias, du Parairet. Sans descendance.

 -  Marie Rose Loupias (22 septembre 1807 à Boscadoule-6 novembre 1846), marié le 17 juillet 1835 avec Louis Debar (1799-1875), cultivateur au Rialou (Lescure), fils de Pierre et Marianne Carrié, de La Guizardie (Lescure). D’où cinq enfants nés au Rialou dont deux décédés à quelques mois :

. Jean-Louis Debar (29 novembre 1837-29 août 1859 à 22 ans à l’hospice d’Avignon).

. Marie-Rose Debar (31 décembre 1839-après 1876).

. Rose Debar (25 août 1843- ), mariée le 19 février 1873 avec Antoine Campagnac (1849-après 1921), fils d’Antoine et de Victoire Thémines, de Flauzins. D’où nés au Rialou :

Marie Campagnac (1875-1965 à 90 ans à Lescure), épouse Grès.

Henri Campagnac (1878- ), cultivateur au Rialou, marié en 1908 à La Capelle-Bleys avec Marcelline Segons (1889- ), fille de Louis et d’Euphrasie Dintilhac, de Douzoulet (La Capelle-Bleys). D’où nés au Rialou six enfants n’y habitant plus en 1926.

          Charles Campagnac (1880- ), marié en 1907 à Decazeville avec Julie Debons.

Anastasie Campagnac (1882-1954 à Cransac), mariée en 1921 avec Antoine Couronne, fils de Jean et Charlotte Segons, cultivateur à Tanus (Lunac). D’où un fils naturel Abel Campagnac, né à Rodez, charron à Tanus. Descendance à Tanus, Lunac, Toulouse.

Rosalie Campagnac (1885- ).

2-    Antoinette Loupias (18 janvier 1729-17 décembre 1808), qui suivra voir Rameau Loupias-Izarn V.2.

3-    Jean Loupias (1731-avant 1749).

4-    Marie-Anne Loupias (1734-avant 1749).

5-    Antoine Loupias, qui suit.

6-    Marie Loupias (1740-avant 1749).

 

IV- Antoine Loupias (28 avril 1737-18 mai 1788 à 51 ans), tisserand à Laboual (Lunac) en 1768, propriétaire au Griffoulas en 1775, marié le 8 août 1775 avec Marie Combettes (21 juin 1746-12 novembre 1819), fille de Jean et Catherine Arnal, du Puech de Tizac. D’où nés au Griffoulas :

1- Jean-Antoine Loupias (21 juin 1776-24 septembre 1826 à 50 ans au Griffoulas), marié en 1812 à Cabanes (La Bastide-l’Evêque) avec Marguerite Phalip (1788- ), fille de François. Sans descendance.

2- Jeanne Marie Loupias (3 juin 1779- ).

3- Joseph Loupias (31 août 1780- ), marié en 1817 avec Jeanne Rouquet, fille de Joseph et Jeanne Vialelles, de Boudaillès (Saint-André-de-Najac). D’où né à Boudaillès :

a-    Marie Loupias (1827- ), mariée en 1850 avec Jean-Pierre Bacquié, fils de Jean Antoine et Marie Rose Loupias, de Pontjalbert (La Fouillade). D’où né à Boudaillès :

- Marie Flavie Bacquié (1858- ), mariée en 1882 à Sanvensa avec Charles Murat (1850- ), cantonnier, fils de Jean Joseph et Charlotte Vernhes, du Cousteil (Sanvensa). D’où nés au Cousteil (Sanvensa) n’y habitant plus en 1891 :

. Flavie Murat (1882-1944), mariée en 1906 avec François Lagarrigue, fils de Jean Antoine et Rose Darres, cantonnier aux Aleils (La Fouillade). D’où neuf enfants dont trois décédés en bas âge :

Yvonne Lagarrigue, épouse d’André Graffan, de Fonjuret (La Fouillade). Descendance à Béziers, Toulon, Nice, Salles-Verdon (83).

Léopold Lagarrigue, frère de Saint-Viateur, décédé dans un accident de voiture à Luc.

Odette Lagarrigue, épouse d’André Lombard. Descendance à La Fouillade, Villefranche, Ramonville (31).

Edouard Lagarrigue, marié avec Emilie Fresco. Descendance à Fronton (31), Juvisy-sur-Orge (91).

Hélène Lagarrigue, mariée avec Charles Quérin. Descendance à La Fouillade, Villefranche, Fronton (31), Toulouse.

Zélia Lagarrigue, mariée avec Théodore Vialelles. Descendance à Villefranche, Toulonjac, Gabriac, Onet-le-Château, Caussade (82).

- Paulin Murat (1885-1959), marié à Sanvensa le 23 mai 1909 avec Valentine Adèle Hortense Pauzié.

. Charles Alfred Murat (1888- ), marié en 1913 avec Albina Angéline Loupias (1883-1973 à 90 ans à Villefranche), fille de François et Marie Rose Gayrard, de Cassemauron (La Fouillade).

- Jean Baptiste Elie Bacquié (1860- ), maçon, marié en 1889 à Saint-André avec Emilie Lagriffoul fille de Jean Louis et Victoire Viguié, de La Boucarie (Saint-André). D’où :

. Aurélie Bacquié (1890-1980 à 90 ans), mariée avec Albert Vidal, du Ségur (81). D’où nés à La Boucarie Berthe Vidal, épouse Camille Boissière et Gilbert Vidal, marié avec Juliette Boissière. Descendance à La Fouillade, Saint-André, Sanvensa, Sainte-Croix, Montauban, Toulouse, Région parisienne.

- Julien Bacquié (1867- ), cultivateur à Pradines (Saint-André), marié en 1892 avec Julie Lagriffoul, sœur de la précédente. D’où née à Pradines :

 . Nathalie Julie Bacquier (1892-1975), mariée avec Louis Germain Pradines (1888-1964), fils de Louis Pradines et Marie Blanc, du Griffoul (Saint-André). D’où :

 Gaston Pradines (1920-1988), marié avec Lydie Phalipou (1920-2009 à 89 ans), fille de Joseph Théophile et Marie Madeleine Fricou, de Vabre, descendante de Louis XI voir Bulletin n°73.

 Fernand Pradines (1923-1945 à 22 ans).

   . Gabrielle Bacquier (1901- ), épouse Dalet, de Saint-André. Descendance à Toulouse.

4- Marie Rose Loupias (17 mars 1782-15 avril 1862 au Griffoulas), mariée en 1832 avec Antoine Cavalié (1797-1870), fils de Guillaume et Marie Anne Delbourg, de Vabre. D’où :

a- Marie Loupias, fille naturelle née au Griffoulas le 10 mai 1806. Descendance inconnue.

5 - Jean François Loupias, qui suit.

6- Jean Louis Loupias (26 avril 1784- ).

7-  Jean Michel Loupias (29 septrmbtre 1786- ), charpentier, marié le 6 juillet 1817 à Sanvensa avec Marie Falipou, remarié à Tizac le 14 janvier 1846 avec Marie Rose Pradines (1807-1887), fille de Joseph et Marie-Rose Boyer, des Tempes. D’où :

a- Jean Michel Loupias (1818 aux Combes- ).

V- Jean François Loupias (23 octobre 1783-10 avril 1850), cultivateur au Griffoulas puis au Puech de Tizac, marié le 24 juin 1809 avec Catherine Bessière (1786-1863 au moulin de Carrié, Lescure), fille de Pierre et d’Elisabeth Puech, de Margat (Pradials). D’où quatre filles :

1- Marie Rose Loupias (7 mars 1811-9 avril 1855), mariée le 5 juillet 1846 avec Jean-Baptiste Segons (1815-1894), cultivateur au Puech de Tizac, fils de Joseph et Jeanne Alcouffe, de Puechganel (Lunac). D’où six enfants nés au Puech (trois décédés en bas âge) :

a- Marie Rose Segons (1848-1872 à 24 ans).

b- Rosalie Segons (1850-après 1901), mariée en 1868 avec Jean-Pierre Loupias (1838-après 1901), fils de Jean Pierre et Marie Anne Falipou, de Lagriffoul (Sanvensa). D’où nés à Lagriffoul :

- Jean Pierre Loupias (1868-1952 au Puch de Lagriffoul), marié à Monteils le 11 juillet1894 avec Marie Philippine Vabre, sans descendance.

 - Casimir Loupias (1873-1948), marié en 1899 avec Marie Pradines (1880-1924), fille de Cyprien et d’Anne Court, des Costes-Basses (La  Fouillade), sans descendance.

- Auguste Loupias (1875-1893 à Reims), novice chez les frères des Ecoles chrétiennes.

- Joseph Loupias (1878-1945), marié en 1908 avec Marie Louise Fabre (1885-1973 à 88 ans), fille de Louis Casimir et Joséphine Ricard, de Puechganel (Lunac). D’où :

 . Marie-Louise Loupias, épouse de Paul Pons.

- Denis Firmin Loupias (1885-1959 à Villefranche), employé d’octroi, gendarme, puis employé à l’entrepôt des tabacs, marié le 25 juin 1909 à Villefranche avec Marie Emilie Eugénie Delfieux. D’où :

. Pierre Loupias. Descendance à Montpellier.

. Odette Loupias.

- Louis Loupias (1887-1965 à Luzech, 46), employé des chemins de fer, marié à Villefranche en 1920 avec Marie Rosalie Blanc. Descendance inconnue.

c- Jean-Baptiste Segons (1853-1931), marié le 28 juillet 1875 avec Eulalie Segonds (1852-1930), fille de François et Marie Lacoste, de Pechclar (La  Fouillade). D’où nés au Puech :

- François dit Augustin Segons (1874 à Pechclar-24 septembre 1915), mort pour la France âgé de 41 ans à Bois-d’Auzy dans La Marne, marié en 1903 à Sanvensa avec Maria-Aurélie Guibbert (1883-1965), fille d’Antoine et de Mélanie Carles, de Monteillet (Sanvensa). Sans descendance.

- François Segons (1876 au Puech- ), marié en 1905 à Fontvielle (13) avec Marie Jeanne Boyer. Sans descendance.

- Marie Segons (1878 au Puech-1935), mariée en 1911 avec Jean Pierre Savignac, de Calcomier (Vailhourles). D’où née à Calcomier :

. Lauréa Savignac (1912-1997 à 85 ans), mariée avec Philippe Savignac. D’où :

Janine Savignac, épouse de Roger Simian. Descendance à Calcomier.

- Rosalie Segons (1881 au Puech-1952), épouse d’Hyppolite Toulze, hongreur de Lunac, né à La Rouquette, sans descendance.

- Alexandrine Segons (1884 au Puech-1973 à Vabre), mariée en 1919 avec Adrien Maruéjouls, de Feniès (Rieupeyroux). D’où nés au Puech :

. Michel Maruéjouls, marié avec Paula Blanquet. D’où nés au Puech :

Daniel, Evelyne, Jacques, Marc, Michèle, Anne et Isabelle Maruéjouls. Descendance à Vabre, Lescure-Jaoul, Rieupeyroux, Villefranche.

. Irène Maruéjouls, épouse de René Tranier, de la Coste de Tizac. D’où nés à La Coste :

Christian, Bernard, Maryse et Francette Tranier. Descendance à La Coste, Vabre, Rieupeyroux, Villefranche, Toulouse.

- Joachim Segons (1888 au Puech-1957 à Lavit, 82), marié en 1913 avec Marie Louise Savignac. D’où nés à Lavit (82) :

. Edouard Segonds, marié avec Solange Segonds. D’où nés à Montgaillard (82) :

Marc et André Segonds. Descendance à Montgaillard, Céré (66), Bordeaux.

. Léopold Segonds, au Moulin-Grand (La Rouquette), époux de Paulette Lary. D’où :

Denis, Denise et Monique Segonds. Descendance à Toulouse, Béziers, Tonnay (17), Région parisienne.

- Hélène Segons (1892 au Puech-1976), mariée en 1919 avec Julien Maruéjouls. de Feniès, frère du précédent. D’où nés à La Capelle Bleys :

. Roger Maruéjouls, époux de Gisèle Gineste. D’où :

Claude et Josiane Maruéjouls. Descendance à La Capelle-Bleys, Villefranche.

. Juliette Maruéjouls, épouse de Marius Mazars. D’où :

Geneviève et Suzanne Mazars. Descendance à La Capelle-Bleys.

- Léopold Segons (1895 au Puech-1917 à 22 ans), célibataire, mort pour la France, disparu le 22 mai à Craonne (02).

2- Marie Anne Loupias (8 septembre 1813- ), mariée le 17 juillet 1836 à Lescure avec Louis Carrié (1807-1878), meunier au moulin de Carrié (Lescure), fils de feus Louis et Antoinette Pauziès. D’où sept enfants dont trois décédés en bas âge :

a- Louis Carrié (1838-1892), meunier au moulin de Carrié, marié :

· en premières noces le 17 novembre 1867 avec Marie Geneviève Blanc (1843-1871), fille de Jean Antoine et Marie Bras, de Linars (Vabre). D’où six enfants dont trois décédés jeunes :

- Louis dit Henri Carr (24 avril 1868-après 1925), marié le 2 novembre 1894 avec Darine Albagnac (1868-après 1925), fille de Louis et Rosalie Balthazar, des Agassacs (Lunac). D’où nés à Poujols (La Fouillade) :

 . Julien Carrié (1900- ), marié avec Denise Savignac, fille de Frédéric Jean Pierre et Marie Pons, de Cadours (La Bastide-l’Evêque). D’où :

Yvette Carrié. Descendance à Toulouse.

Solange Carrié. Descendance à Toulouse.

. André Carrié (1902-1968), marié avec Imelda Rachel Segonds (1904-1979 à Poujols), fille de Louis Félix et Basilie Vernhet, de Paladuc (La Fouillade). D’où né à Poujols :

René Carrié, époux de Thérèse Guibbert, sans descendance.

· en secondes noces le 19 juin 1872 avec Rosalie Ricard (1846-après 1901), fille de Jean et Marie Carles, de La Salvetat-Peyralès. D’où cinq enfants dont deux décédés jeunes nés au moulin de Carrié :

- Marie Carrié (1875- ), descendance inconnue.

- Augustin Carrié (1877-1953 dans le Gers), marié en 1900 à Lescure avec Rosalie Lagarrigue. D’où né à Lescure, n’y habitant plus en 1921 :

. Théophile Carrié (1902-), descendance inconnue.

- Léonie Emilie Carrié (vers 1885- ).

b- Julie Carrié (1839-1851 à 12 ans au moulin de Carrié).

c- Marie Rose Carrié (6 novembre  1841-après 1896), sans descendance.

d- Marianne Carrié (9 novembre 1844- ), mariée le 24 juin  1871 avec Jean Antoine Loupias, fils de Jean Antoine et Marie-Rose Loupias, de La Coste-de-Couronne (1845- ), descendant de Louis XI voir Famille Loupias II.7 Bulletin n° 72.

3- Rose Loupias (7 novembre 1815-après 1891), mariée le 6 juillet 1836 avec François Fraysse (1813-1877), fils de Jean et Madeleine Ginestet, de La Servilie (Lescure). D’où nés à La Servilie dix enfants dont quatre décédés jeunes :

a- François Fraysse, marié avec Clarisse Ficat, cultivateur aux Martinies (Rieupeyroux). D’où nés aux Martinies mais n’y habitent plus en 1901, descendance inconnue :

- Casimir Fraysse.

- Auguste Fraysse.

- Adeline Fraysse.

- Justine Fraysse.

b- Baptiste Fraysse (17 mars 1841-après 1896), marié le 31 mai 1874 avec Rose Viguier, fille de Louis et Marie Rouziès, de Lonnac (La  Bastide-l’Evêque). D’où nés à La Servilie, n’y habitant plus en 1896, descendance inconnue :

- Marie Rosalie Fraysse (1875- ).

- Appolonie Fraysse (1879- ).

c- Rosalie Fraysse (15 janvier 1843-après 1896), mariée le 14 juin 1870 avec Bernard Loupias (1842-après 1896), fils de Bernard et Marie Blanc, de Flauzins (Lescure). D’où sept enfants nés à Flauzins dont deux décédés en bas âge, n’y habitant plus en 1901, descendance inconnue.

- Jules Loupias (1872-1949 à Feryville en Tunisie).

- Camille Loupias (1877- ).

- Alphonse Loupias (1879- ).

- Casimir Loupias (1883- ), marié en 1907 à Aubin avec Julie Gaubert.

- Marie Loupias (1887- ).

d- Victoire Fraysse (28 janvier 1846- ), mariée le 4 juillet 1877 à Saint-André avec Pierre Pradines, cultivateur à Soulages (Saint-André), fils de Jean-Pierre et Catherine Labaute. D’où :

- Marcellin Pradines (1885-1981 à 96 ans), marié avec Rosalie Lalbiès, de Lunac. D’où né à Soulages :

. Georges Pradines, marié sans descendance.

e- Laurens Fraysse (13 décembre  1852-après 1906), marié le 20 février 1878 avec Marie Rose Gayrard (1844-1880 à 26 ans en couches), fille de François et Marianne Déléris, de Marsal (Lescure), remarié le 22 juin 1881 avec Rosalie Delbosc (1846-après 1906), fille de Michel et Marie Anne Fabre, de Lespéronie (Lescure). D’où nés à Marsal du second lit descendance inconnue :

- Marie Fraysse (1884-1961 à Najac), mariée en 1919 avec Jean Baptiste Frayssinet, fils de Jean Baptiste et Marie Gayrard, de Laurélie (Bor-et-Bar).

- Laurent Fraysse (1890-1914 à 24 ans), mort pour la France le 1er septembre à l’Hôpital de Lunéville, marié en mai 1908 à Morlhon avec Rosalie Pascal, remarié en juin 1914 avec Marie Déléris, fille de François Casimir et Marie Julie Alaux, de La Rivière (Lunac).

f- Marie Fraysse, habitant l’Herm en 1878.

4- Charlotte Loupias (16 janvier 1819- ), mariée le 29 juin 1852 avec François Pomiès (1825-1858 à 33 ans), fils de Pierre et Marie Anne Cayssials, de L’Hom (Lunac), remariée le 30 janvier 1867 avec François Mader (1827- ), fils d’Antoine et de Marie Guitard, du massage de La Souque (Mirandol-Bourgnounac). D’où née à l’Hom :

a- Marie Anne Pomiès (2 août  1854- ). Descendance peut-être dans le Tarn.

                                        Branche Guibbert-Loupias-Izarn, de l’Hom (Lescure-Lunac)

IV.2- Antoinette Loupias (18 janvier 1729-17 décembre 1808), se marie le 12 novembre 1752 avec Jean Izarn (1736-1788), fils de Bertrand et Marie Vacquier, de L’Hom, petite communauté rattachée après la Révolution à la commune de Lunac alors qu’elle dépendait de la paroisse de Lescure-Calhès. Cette famille Izarn, présente en ce lieu depuis au moins six générations, régissait en plus de leurs biens de grosses métairies.                                                     Lors du contrat de mariage passé le 10 octobre 1752 chez Me Loupias, notaire de Lunac, le futur marié reçoit la moitié des biens de son père qui s’en réserve l’usufruit pendant sa vie. Antoinette est dotée de la somme de 500 livres par son père et de celle de 300 livres par sa mère, la somme de 450 livres sera versée par Pierre Guibbert, notaire de Banhaca, comme reste de dot dû à la famille Loupias depuis plusieurs années[173]. Le couple aura six enfants et une très nombreuse descendance :

1- Jean Izarn (20 octobre 1753), qui suit.

2- Antoine Izarn (5 mai 1755-18 janvier 1806), cultivateur à La Servilie (Lescure), marié le 7 septembre 1786 avec Marie Ginestet (16 décembre 1766-27 décembre 1831), fille de feus Laurens et Catherine Vabre, de La Servilie. D’où dix enfants nés à La Servilie (l’aînée décèdera à quelques jours) :

b- Jean Antoine Izarn (9 avril 1788-1867), cultivateur  à La Servilie, marié le 20 février 1841 avec Anne Rose Enjalbert (1800-1862), fille de feus François et Anne Delbès, des Tempes (Vabre). D’où née à La Servilie :

-  Caroline Marie Rose Izarn (1844- ), mariée le 30 octobre 1867 avec Bernard Marcellin Rouziès (27 février 1835- ), fils de Jean Pierre et Marianne Coucoureux, de Rieuprésens (Vabre). D’où :

. Marie Sylvie Rouziès (1868- ), mariée le 19 août 1894 avec Julien Zéphirin Vialelles (1869- ), fils de Léon et Dorothée Saint-Amans, de Ginestel (Saint-Salvadou). Descendance inconnue.

c- Jean Pierre Izarn (29 octobre 1789- ).

d- François Izarn (4 août 1791-24 mars 1841), célibataire, mort noyé dans l’étang du Paraire à l’âge de 51 ans.

e- Jacques Izarn (27 juin 1793-10 novembre 1844), célibataire.

f- Guillaume Izarn (22 avril 1795-27 novembre 1862), marié le 15 février 1832 avec Rose Mazenc (18 février 1800-15 novembre 1856), fille de feu Blaise et Marie , de Lutayrès (Lescure). D’où nés à La Servilie cinq enfants, trois décédés à moins d’un an :

   - Marie Caroline dite Rose Izarn (1833-1864 à 31 ans), mariée le 26 mai 1854 avec Cyprien Firmin Lagarrigue (1832-après 1882), fils de François et Julie Viguié, de Vabre. D’où six enfants nés à La Servilie (un décédé jeune) :

. Marie Rose Lagarrigue (9 mai 1854- ), fille naturelle légitimée.

. Cyprien Lagarrigue (1855-après 1906), marié le 25 mai 1881 avec Marie Déléris (1859-après 1906), fille de Jean Baptiste et Marie Blanc, du Cassan (Sanvensa). D’où nés à La Servilie n’y habitant plus en 1920, descendance inconnue :

Léonie Lagarrigue (1886- ).

Sidonie Lagarrigue (1894- ).

Claire Lagarrigue (1903- ).

. Marie Lagarrigue (1857-après 1936), mariée le 10 novembre 1879 à Saint-Salvadou avec Guillaume Tamalet (1843-avant 1921), cultivateur de Puechbayssac (Saint-Salvadou). D’où :

Léonie Tamalet (1880-après 1936), mariée avec Napo Viguier. D’où Maria, Louise, Berthe, Ernest Viguier. Descendance à Puechbayssac, Saint-Salvadou, La Fouillade, La Bastide-l’Evêque, Villefranche, Caussade, Montauban, Carmaux (81), Région parisienne.

. Julie Lagarrigue (1859- ), mariée le 11 janvier 1882 avec Jean Baptiste Ferrand (1851- ), fils de feu Joseph et Marie Rose Pradines, de La Roque (Lescure). D’où nés à La Roque :

Benjamin Ferrand (1883-1968 à Villefranche), marié le 10 juin 1903 à Tunis avec Eugénie Belmon. Descendance à Villefranche.

Emile Ferrand (1885-1919 à Odessa en Russie), mort pour la France, soldat au 1er régiment de marche d'Afrique, marié en 1908 à Constantine avec Claire Trivero.

. Marcellin Lagarrigue (1863- ).

 Marianne Izard (1837-avant 1921), mariée le 26 juin 1860 avec Joseph Carrié (1838-avant 1911), fils de François et feue Marianne Françoise Pradines, cultivateur à La Guizardie (Lescure). D’où nés à La Guizardie :

. François Carrié (1862-1885), soldat décédé à 23 ans de la typhoïde à Gabès en Tunisie.

. Pierre Carrié (1865- ), n’habite plus le village en 1891, descendance inconnue.

j- Jean Izard (1799- ).                                           

k- Joseph Izard (1802-1850 à La Servilie âgé de 48 ans), marié le 25 juin 1844 avec Anne Moisset (1814-1850), fille de feus Jean et Anne Mercier, de la Mercadière (Saint-Salvadou). D’où nés à La Servilie :

- Joseph Izard (1845-1925), marié le 27 juin 1872 avec Rosalie Segons (1848-1937), fille de Jean et Charlotte Loupias, de la Roque (Lescure). D’où nés à La Servilie quatre enfants dont un décédé à 2 ans:

. Augustin Izard (1873- ), sans descendance.

. Joseph Izard (1874- ), marié avec Euphrasie Vivens, de La Rouquette. D’où né à Lunac :

Aimé Izard, marié avec Augusta Rossignol. Descendance au Périé (Saint-Salvadou), Lescure, Saint-Affrique, Rieupeyroux, Villefranche, Vaour (81), Gréalou (46), Terssac (81), Toulouse, Alès, Région lyonnaise.

Appolonie Izard, épouse Miquel, sans descendance.

. Marie Léonie Izard (1881-1960 à Monteils), religieuse dominicaine.

  - Rosalie Izard (1846- ), marié avec Jean Pierre Arthémon Poux, de La Servilie. D’où nés à La Servilie :

. Sylvie Poux (1872- ), mariée le 27 janvier 1904 avec Ferdinand Marty (1875-1915 à 40 ans), fils de Joseph et Marie Segons, du Bès (Vabre), mort pour la France le 10 juillet 1915 à Beauséjour (51). D’où deux enfants pupilles de la nation, descendance inconnue.

. Marcellin Poux (1874-1957 à Lacapelle-Viescamp, Cantal), marié en premières noces avec Marie Eugénie Rigal (1877-1898 à 21 ans), de la Croix-Rouge (Vabre-Tizac) et en secondes noces le 18 août 1900 à Figeac avec sa belle-soeur Marie Marcelline Rigal (1874- ). D’où nés du second lit à La Coste (La Fouillade) :

Gabrielle Poux (1907-1999 à Montauban à 92 ans).

. Julie  Poux (1877-1962 à Bray-sur-Seine, 77), mariée en 1910 avec Emmanuel Pillet.

l- Jean-Louis Izarn (1805-1863 à La Servilie), marié le 4 juin 1847 avec Amélie dite Bélina dite Marie Hélène, fille naturelle (16 février 1823 à  Villefranche-après 1882). D’où nés à La Servilie :

- Joseph Izard (18 février 1849-avant 1919), marié le 20 mai 1877 avec Philippine Conte (1853- ), fille de Jean et Marie Balthazac. D’où nés à La Servilie :

. Marie Izard (1878-1964 âgée de 86 ans à Fumel, 47). Descendance dans la Région parisienne.

. Casimir Izard (1889- ), cultivateur à La Servilie, marié en 1919 avec Marie Déléris (1890-1971), fille de François Casimir et Julie Alaux, de La Rivière (Lunac). D’où :

Henriette Izard, épouse Thomas. Descendance à Lescure, Villefranche, Baraqueville, Saïx (81).

Fernande Izard, épouse Maurel. Descendance à Villefranche, Rodez, Montauban (82).

- Marie Rose Izard (1852- ), mariée le 10 mai 1882 avec Casimir Philippe Taché (1850- ), fils de François et Rose , de Lavergne (Bor-et-Bar). Descendance inconnue.

-  Jean Pierre Izard (1854- ), marié le 10 mai 1882 avec Marie Virginie Blanc (17 janvier 1860- ), fille de Joseph et Marie Rose Mazenc, de La Montarnie (Lescure). Descendance inconnue.

3-    - Louis Casimir Izard (1862-1885), caporal, décédé à 23 ans de la fièvre typhoïde à l’hôpital militaire Marie-Anne Izard (20 mai 1758-27 août 1775 à 17 ans).

4-    Marie Izard (3 juin 1760- ), mariée le 27 juin 1785 avec Albin Sérignol, fils de feus Louis et Catherine Hugonnet, de Flauzins. D’où nés à Flauzins :

a-    Jean Albin Sérignol (3 décembre 1786-16 septembre 1817 à 31 ans), célibataire.

b-    Marie Sérignol (6 janvier 1792- ), mariée le 17 juin 1819 avec Jean Baptiste Boyer (1791- ), fils de feus François et Marie Ginestous, de Saulières (Bor-et-Bar). Descendance inconnue.

5-    Marie Rose Izarn (28 juillet 1762-7 mars 1793), mariée avec Jean-Pierre Cayrou, qui suivra Rameau Izarn-Cayrou V.

6-    Marie-Thérèse Izarn (8 juillet 1765-18 janvier 1834), mariée le 22 septembre 1795 avec Jean Pierre Segons (vers 1755-1810), fils de feus Jean et Jeanne Dalet, de Saulières (Bor-et-Bar). D’où cinq enfants nés à Saulières (dont un décédé à 3 ans) :

a- Marie Segons (12 février 1797- ). Descendance inconnue.

b- Jean Pierre Segons (18 novembre 1798- ), marié le 6 novembre 1826 avec Marie Molinier (1er juin 1805-12 janvier 1841 après couches), fille de François et Marie Pourcel, des Fargues (La Fouillade). D’où nés à Saulières :

- Jean Pierre Segons (17 novembre 1827- ). Descendance inconnue.

- Rose Segons (19 septembre 1829- ), mariée le 5 janvier 1859 avec Louis Izard (13 janvier 1831- ), fils de feus Antoine et Marie Ginestous, de La Coste-de-Couronne (La Fouillade).

- Bernard Segons (20 novembre 1836- ), cultivateur à Saulières, marié trois fois, sans descendance.

- Jean Pierre Segons (1er janvier 1841- ). Descendance inconnue.

 c-  Bernard Segons (1802-1875), marié le 10 juillet 1838 avec Marie Rose Cathala (12 février 1804- ), fille de Jean Antoine et feue Marianne Marty, de Cros (La Fouillade). D’où :

- Bernard Segons (21 septembre 1839 à Bor-et-Bar- ), marié le 23 février 1896 avec Marie Rose Segons (5 juillet 1859- ), fille de feus Jean Baptiste et Marie Tranier, du Pontal (Najac). D’où nés au Pontal :

 . Eugène Julien Segons (1892-1982 à 90 ans), enfant naturel reconnu en 1912, marié à Paris avec Berthe Burton.

- Marie Rose Segons (1842 à Cros-1873 morte en couches), mariée le 24 février 1867 avec Justin Rouquet (1842-1926), fils de Jean Baptiste et Marie-Rose Dumoulin, de Rébirou (La Fouillade). D’où nés à Cros :

. Marie Rouquet (1868- ). D’où un fils naturel décédé à 12 jours.

. Charles Rouquet (1870- ), décédé en Amérique sans descendance.

- Marie Rose Victorine Segons (1846-1929), mariée le 25 février 1873 avec Joseph Vialelles (1844-1881), fils de Jean Baptiste et Julie Rouquier, de La Jalade (La Fouillade). D’où nés à La Jalade :

.  Marie Julie Vialelles (1874- ), mariée le 6 février 1896 avec Célestin Fraysse (1er août 1867- ), fils de Victor et Rosalie Mazars, de Romette (La Salvetat). D’où nés à La Jalade :

Célestin Fraysse (1898-1984 à Gramond à 86 ans), prêtre.

Elie Fraysse (1903-1997 à 94 ans), mariée avec Augusta Segonds (8 mai 1908- ), fille de Jean Baptiste et Marie Anna Prat, de Vabre-Tizac. Descendance à La Jalade.

Marie Fraysse (1906-2000 à 94 ans), religieuse de la Sainte-Famille.

Jean-Baptiste Fraysse (1912-2005 à 95 ans), cultivateur à Sanvensa, marié avec Julia Combette, de Saint-Salvadou. Descendance à Villefranche, Martiel, Lanuéjouls, Montbazens, Toulouse, Carcassonne, Strasbourg, dans le Lot.

. Marie Gabrielle Vialelles (1876-1947), célibataire, sans descendance.

e- Catherine Segons (8 septembre 1809- ), descendance inconnue.

  V- Jean Izarn (20 octobre 1753-15 mars 1815), cultivateur à L’Hom, marié en premières noces le 10 juillet 1788 avec Catherine Saint-Amans (24 décembre 1763-3 janvier 1789 morte en couches), fille d’Antoine et de Catherine Gaillard, de Planèzes (Lescure), en secondes noces le 9 février 1790 avec Elisabeth Granier (24 juillet 1760-20 mai 1824), fille de Pierre et feue Elisabeth Pouget, de l’Hom. D’où du second lit six enfants (un décédé) :

1-Jean-Pierre Izard (1790-1865), qui suivra voir prochain Bulletin.

3- Marianne Izard (2 juillet 1794-14 juin 1816 à 22 ans).

4- Jean Baptiste Izard (1er janvier 1797-10 août 1866 à Lunac), marié le 2 novembre 1824 avec Marianne Saurel (1795-1883 à 88 ans), fille de Joseph et Marie Anne Falipou, de Lunac. D’où nés à L’Hom six enfants (un décédé à 5 ans).

a-    Marie Anne Izard (22 octobre 1825- ). Descendance inconnue.

c- Baptiste Izard (9 septembre 1832-avant 1921), cultivateur à L’Hom (Lunac), puis sabotier à La Penderie (Saint-André), marié le 8 janvier 1859 avec Marie Rose Escorbiac (1815-1874), fille de feu Pierre Jean et de Marianne Gayrard, de Lunac, remarié trois mois après son veuvage le 23 janvier 1875 avec Léontine Lacoste (1er mars 1843-avant 1921), fille de Joseph et Rose Angélique Mourlhou, du Vergnassou (La Fouillade). D’où nés à Lunac du second lit, descendance inconnue :

- Antonin Izard (1875- ), marié le 10 janvier 1900 à Bor-et-Bar avec Marie Célestine Loupias.

- Adeline Izard (1877-1881 à 4 ans), décédée suite à un éboulement à Lunac.

- Elie Izard (1880-1914 à Massiges, 51), mort pour la France le 28 décembre, marié le 4 mars 1905 à La Fouillade avec Marie Zénovie Justine Cougoule (1885-1952 à Villeneuve-Saint-Georges), fille de Jean Pierre et Pauline Cougoule, du Cayrou d’Arcanhac.

- Joseph Célestin Izard (1882- ), marié le 20 juin 1908 à Toulonjac avec Marie Emilie Vergnes.

- Camille Izard (1888-1988 dans sa centième année à Saint-Cloud, 92).

d- Louis Izard (1834-1914 à 80 ans), cultivateur à Flauzins, marié le 17 décembre 1859 avec Victoire Falière (1829-1888), fille de feus Baptiste et Marie Maurel, de Flauzins, remarié le 12 septembre 1888 avec Rose Julie Jonquières (1843- ), fille de feus François et Marianne Alaux, de Flauzins. D’où nés du premier lit six enfants dont trois décédés jeunes :

- Philippine Izard (1862- ), marié le 26 octobre 1881 avec Célestin Ficat (1859- ), fils de Joseph et Marie Loupias, de Fournols (Lescure). D’où :

. Henri Ficat (1899- ), cultivateur à Fournols. D’où Henriette Ficat, épouse Delpérié de Trébessac (La Fouillade). Descendance à Villefranche, Causse-et-Diège, Région parisienne.

- Jean Pierre Izard (1867- ), descendance inconnue.

- Marie Izard (1871-après 1911), mariée le 16 octobre 1895 à Lunac avec Célestin Lafon (1872-après 1911), métayer à Sauzet en 1911, fils de feus Jean Louis et Rose Astoul, du Sérieyssol (Lunac). D’où nés à Flauzins :

. Zélia Lafon (1897-1990 à 93 ans), marié avec Olivier Couronne, fils de Casimir, de Louradou (La Fouillade), descendant de Louis XI, voir Bulletin n°74 Famille Tranier II.2.

. Elie Lafon (1899- ), époux de Denise Laucédat, de Lestrade (Bor-et-Bar). D’où :

René Lafon (à Montauban), Claude Lafon (à Carmaux), Janine Lafon, Solange Lafon, épouse d’André Cayrou, voir ci-dessous 5.b.

. Valérie Lafon (1901-1955), épouse Médiric Gayrard, de Frayssinet (Bor-et-Bar). D’où sept enfants. Descendance à La Fouillade, Olemps, Région ruthénoise, Ayssènes, Carmaux (81), Albi, Toulouse, Montpellier, Bordeaux, Nice, Orléans, Orvet (44), Région parisienne, Cambridge (R-U).

. Sylvain Lafon (1907- ), de La Braguèse (La Fouillade). Descendance au Combal (Sanvensa), Les Mazières, Cordes, Albi.

. Emilienne Lafon, épouse Guilhem, de l’Hom (Lescure). Descendance à l’Hom.

. Antoinette Lafon, épouse Rouziès, sans descendance.

e- Jean Antoine Izard (6 janvier 1837-après 1903), sabotier et cultivateur à Lescure, puis à La Croix-Escurèze en 1903, marié le 28 février 1867 avec Marie Rosalie Blanc (1840- ), fille de Joseph Augustin et Charlotte Mouly, de Lescure. D’où sept enfants (dont trois décédés en bas âge) nés à Lescure :

- Henri Izard (1867- ) , descendance inconnue.

- Paulin Izard (1874-après 1936), sabotier à Lunac, marié le 17 juin 1903 avec Adeline Couronne ( -après 1936), couturière, descendante de Louis XI, voir Bulletin n°74 Famille Tranier II.2.a. D’où : Agnès Izard (1910- ), couturière en 1936 à Lunac.

- Louis Adrien Izard (1878-1957 aux Cabannes, 81), marié le 8 juillet 1905 aux Cabannes avec Germaine Frayssinhes.

- Célestin Augustin Izard (1882-  ) , descendance inconnue.

f-     Pierre Izard (4 septembre 1840- ), descendance inconnue.

5- Jean François Izard (1799-1865), cultivateur à l’Hom, marié le 13 mai 1847 avec Marie Rose Gayrard (1808-1884), fille de feus Jean et Jeanne Censère, de Lescure. D’où quatre enfants dont deux décédés jeunes :

a-    François Izard (24 juin 1848- ), marié le 27 juin 1876 avec Marie Victoire Bories (28 mai 1834- ), âgée de 42 ans, fille de feus Jean François et Henriette Alaux, de Lunac. Sans descendance.

b-    Julie Izard (2 février 1851-entre 1931 et 1936), marié le 27 septembre 1875 avec François Paul (5 février 1849-entre 1931 et 1936), enfant naturel né à Villefranche. D’où nés à Peyrelevade (Lunac) cinq enfants dont deux décédés jeunes :

-  Paulin Paul (1876- ), marié en 1903 à La Salvetat-Peyralès avec Eugénie Routaboul. D’où :

. Julia Paul (1911- ), mariée avec Charles Cayrou. D’où nés à Peyrelevade :

André Cayrou, marié avec Solange Lafon. Descendance à Bor-et-Bar, La Fouillade, Lunac, Vabre, Toulouse.

Paulette Cayrou. Descendance à Agen, Villeneuve-sur-Lot (47).

Yvette Cayrou. Descendance à Villefranche-de-Rouergue, Parisot (82).

Gilbert Cayrou. Descendance à Peyrelevade, Lunac, Vabre-Tizac, Toulouse, Berlin.

Raymond Cayrou. Descendance à La Bastide-l’Evêque, Moyrazès.

- Victorin Paul 1885- ), marié le 1er juin 1910 à Saint-Cyprien avec Euphrasie Germaine Lagarrigue, remarié en 1947 avec Marie Louise Lagarrigue. Descendance à Bioule (82), Caussade.

- Denis Paul (1890-1981 à 91 ans), marié à Villefranche avec Rosalie Elisabeth Lacassagne, remarié avec Marguerite Desmottes. Descendance dans la Région parisienne.

6- Marie Izard (7 février 1805- ), mariée le 4 février 1823 avec Jean Pierre Francès dit la Rouayrie (6 juin 1801- ), fils de Pierre Jean et Madeleine Nouviale, de Lescure. D’où nés à Lescure :

a-    Jean Pierre Francès (19 septembre 1824- ), marié le 14 août 1852 avec Marie Rosalie Gaudou (19 février 1810- ), de Flauzins, voir dans un prochain Bulletin Famille Gaudou.

b-    Marie Rose Francès (24 novembre 1830- ), mariée le 6 février 1853 avec Jean Louis Savignac (12 février 1827- ), de Vabre, descendant de Louis XI, voir Bulletin n° 82 VI.4.

c-    Jean François Francès (17 février 1833- ).

d-    Bernardine Charlotte Francès (19 mai 1835- ), mariée le 5 février 1862 avec Jean-Pierre, enfant naturel, remariée à l’âge de 71 ans en 1906 avec Jean Pierre Petit (29 juillet 1836- ), de Lestrade (Vabre-Tizac). D’où un fils naturel Jean Victor Francès (18 janvier 1857- ). 

VI.5- Jean-Pierre Izarn (1790-1865), propriétaire cultivateur à l’Hom, fils de Jean et Catherine Saint-Amans, de l’Hom (Lunac), se marie le 27 août 1815 avec Marie Hélène Ferrié (1788-1863), fille d’Antoine, propriétaire cultivateur à Frayssinet (Bor-et-Bar) et de Marie Ichard. De leur union naquirent sept enfants dont deux décédèrent en bas âge :

1-    Hélène Izarn (1816-1912 à 94 ans). Héritière de la ferme de sa mère, mariée à 17 ans, veuve à 24 ans, remariée quelques années plus tard avec un fils de meunier qui s’installera à Frayssinet, Marie-Hélène aura douze enfants dont six auront une nombreuse descendance. Après son décès, le 4 octobre 1912, aura lieu la succession entre ses enfants et ses petits-enfants (fils de feu Marcellin héritier)[174]. Elle s’était mariée :

·         en premières noces en 1833 avec Jean-Pierre Saurel (vers 1802-1840 à 38 ans), cultivateur à Frayssinet, fils de feu Joseph et de Marie-Anne Rouquière, de La Borie (Bor-et-Bar) ; dans le contrat passé le 20 juin 1833, Hélène apporte en dot des immeubles situées dans la commune de Bor-et-Bar d’une valeur de 1 160 francs, le futur la somme de 1 500 francs en argent et la valeur de 1 900 francs en immeubles[175]. Le couple a eu trois enfants :

  a- Hélène Saurel (1834-en 1912 habite Paris), mariée le 9 novembre 1851 avec Jean Joseph Trézières (1828-1900 à Oued-Fodda en Algérie), cultivateur aux Solles, puis à La Bouriette (Najac) en 1870 et à La Paze (Peyrusse-le-Roc) en 1874, fils de Jean-Antoine et d’Anne Marie Trébosc, des Solles (La Fouillade). Le marié reçoit en dot le tiers des biens du domaine des Solles et la mariée 600 francs sur les biens de son père et 1000 francs de sa mère [176]. Le couple aura 18 enfants (sept décèderont jeunes) nés aux Solles :

- Marcellin Trézières (1852-entre 1906 et 1912), marié le 6 octobre 1875 avec Charlotte Anastasie Guy (1854-après 1906), fille de Jean Pierre et d’Anne Rosalie Tranier, de Bestès (La Fouillade). D’où nés à La Pause (Najac) cinq enfants dont deux décédés en bas âge :

. Albertine dite Berthe Trézières (1876- ), qui aura six enfants :

* mariée à 16 ans en premières noces le 6 janvier 1892 avec Jean-Louis Delbourg (1865-1896 à Najac âgé de 31 ans), fils de François et Victoire Loupias, de Lacalm (Sanvensa), dont elle aura trois enfants nés à La Pause, un seul survivra :

Maurice Delbourg (1896-1974), marié à Paris 17e avec Joséphine Encellaz, sans descendance.

* veuve à 20 ans, mariée en secondes noces le 2 mai 1898 avec Ferdinand Marty (1879- ), fils de Joseph et d’Antoinette Raymon, de La Pause (Najac), dont elle aura trois enfants nés à  La Pause :

Marthe Marty (1898- ), mariée avec Louis Viguier, de Blaye-les-Mines (81). Descendance à Lavaur (81), dans les Pyrénées-Orientales, la Gironde.

Paul Marty (1915- ), marié avec Léa Marty. Descendance à Najac, Villefranche, Villeneuve-les-Béziers (34), Région parisienne.

Fernand Marty, sans descendance.

. Léontine dite Germaine Trézières (1878- ), mariée le 20 juin 1895 avec Jean Pierre Breil  (1868- ), fils de feu Jean Pierre et de Rosalie Bergougnou, de Ginals (82). D’où né à Cantagrel (Najac), mais n’y habitant plus deux ans plus tard :

Gaston Breil (1899- ), descendance inconnue.

. Anastasie dite Anaïs Trézières (1879- ), mariée en 1902 avec Ferdinand Rébellac (1876- ), fils de Pierre Charles et Marie Rose Malhé, rue de La Route (Najac). D’où :

Marcel Rébellac (1914- ). Descendance à Najac, Cahuzac-sur-Vère (81), Albi, Céré (65), dans la Région de Limoges et Paris.

 -  Jean Pierre Casimir Trézières (1854-1888 aux Solles à 34 ans), garde-frein aux Chemins de Fer du Midi à Narbonne, marié le 24 décembre 1882 avec Lucie Anastasie Guy (1861- ), fille de Victor et Charlotte Testas, de Saint-Blaise (Najac).

- Léontine Trézières (1857- ), mariée le 6 février 1882 avec Jean Vernhes (2 mai 1854- ), maçon à Vigné-Haut puis à Pellelie (Peyrusse-le-Roc), fils de François et feue Marguerite Delcros, de Vigné-Haut.  D’où cinq enfants :

. Louis Vernhes (1883- ), marié en 1911 avec Marie Marthe Tournier. Descendance à Lanuéjouls.

. Louise Vernhes (1884- ), épouse Cavaignac, de Galgan. Descendance à Galgan, dans la Région parisienne.

. Hélène Vernhes (1889-1971 à Béduer, 46), mariée avec Victor Laurent. Descendance dans le Lot.

. Clémence Vernhes (1891-1961 à Villefranche), mariée en 1911 avec Firmin Castes. Descendance à Villefranche, dans le Tarn.

. Théophile Vernhes (1893- ), marié avec Noëlie Delmoly. Descendance à La Pellelie, Montbazens, Villefranche.

- Marie-Séraphine Trézières (1859- ), mariée le 8 juillet 1888 avec Benjamin Gayral, fils de François et Rose Catherine Vinel, de La Piale (Castanet, 82). Descendance inconnue.

- Marie Trézières (1862- ), mariée le 26 octobre 1881 avec Jules Déléris (1856- ), meunier à La Frégère, fils de Géraud et Julie Boudou, du moulin de Martre (La Fouillade). D’où né à La Frégère n’y habitant plus en 1886 :

. Albert Camille Déléris (1884- ). Descendance inconnue.

- Jean Théophile Trézières (1868-1922 à Vitry-sur-Seine), peut-être prêtre.

- Marie Germaine Trézières (1871- ). Descendance inconnue.

- Angéline Trézières (1873-1954 à Orléansville en Algérie), mariée le 27 octobre 1896 avec Pierre Beaufils (30 septembre 1868- ), fils de Jean et Madeleine Vacant, de La Fermeté (58). D’où sept enfants nés à Orléansville, descendance inconnue.

 - Calixte Trézières (1875-1907 à Carnot en Algérie âgé de 32 ans), marié avec Marie Busquet (1882 à Portets, 33-1946 à Orléansville). D’où nés à Carnot :

 . Gaston Calixte Trézières (1902-1943 à Alger), marié le 5 décembre 1925 à Orléansville avec Marie Champredonde (1903 à Rélizane en Algérie-1967 à Meyzieu, 69). Descendance.

 . Georges Elie Joseph Trézières (1904-1992 âgé de 88 ans à Goussonville, 78), marié avec Fernande Agullo. Descendance.

. Calixte Jean Joseph Trézières (1907-1990 à Béziers), marié avec Léa Ruiz. D’où deux enfants nés à Orléanville. Descendance peut-être à Toulouse, Marseille.

- Denis Trézières (1878-1945 les Attafs en Algérie), maçon à Peyrusse en 1896, marié le 7 novembre 1903 avec Maria Olivier (1884-1910 à Carnot), fille de Joseph et Marie Antoinette Bourcheix, de Carnot. D’où nés à Carnot trois enfants (un décède jeune) :

. Victor Germain Trézières (1905-1978 à Toulouse), marié avec Clotilde Louise Saudes (1912-1971). D’où :

Colette Trézières (1934 à Ténès, Algérie-1976 à Toulouse). Descendance.

. Marcel Jean Joseph Trézières (1907-1999 à Marignane, âgé de 92 ans), marié avec Denise Diget (1916 à Affreville-1997 à Marignane). D’où cinq enfants nés à Hussein-Dey (Algérie).

Descendance à Marignane, Marseille, Malemort (84).

b- Léontine Saurel (1836-entre 1912 et 1921), mariée le 6 novembre 1861 avec Louis Lafon (1834-avant 1912), fils de feu Antoine et Marie Chassan, du Cayrou d’Arcanhac. Lors du contrat de mariage, elle reçoit en dot 875 francs de sa mère, 975 francs dus par Justin Tranier et apporte 250 francs de son chef[177]. D’où six enfants (deux décédés jeunes) nés à Méjanet (Lunac) :

- Léonie Lafon (1864-1945 à Sanvensa), mariée le 21 février 1892 avec Baptiste Cyprien Segons (1867-), fils de Jean Baptiste et feue Marie Rose Marre, de Cougoussac (Vabre-Tizac). Sans descendance.

- Jules Lafon (1865-entre 1936 et 1954), marié le 25 février 1892 avec Eulalie Couffinhal (1864-1956 à 92 ans), fille de Jean Baptiste et Marie Marre, de La Tour (Lunac). D’où nés à Méjanet :

. Maria Lafon (1893- ), mariée le 2 mai 1913 avec Alfred Barbance (1888- ), fils de Pierre Jean et Marie Regourd, de Campels (La Salvetat-Peyralès). D’où nés à Campels :

Anna Barbance, épouse Cabrit.  Descendance à Pradials (La Salvetat-Peyralès), Pradinas, Moyrazès, Naucelle, Luc-La Primaube, Rodez, Pachins, Bordeaux, Bayonne, Région parisienne, La Réunion.

Georgette Barbance, épouse Tressières. Descendance à Mirandol-Bourgnounac (81), Albi, Toulouse.

Olivia Barbance, épouse Reynès. Descendance à Mirandol-Bourgnounac, Albi, Toulouse.

Raymonde Barbance, épouse Izard. Descendance à Villeneuve.

. Albanie Lafon (1895-après 1911), mariée avec Joseph Cabrit, épicier de Lunac. D’où 

Gaston et Jean Cabrit. Descendance à Méjanet, Lunac, Toulouse.

. Elodie Lafon (1902- ), épouse Thomas, de Saint-Salvadou. Descendance à Lunac, Toulouse, Région parisienne.

- Séverin Lafon (1867- ), marié le 26 mai 1895 avec Rosalie Falipou, fille de Jean-Pierre et Marie Nattes, des Combes (Sanvensa). D’où nés aux Combes :

. André Lafon (1900- ), marié avec Aline Birbal (1900- ), de La Coste (La Fouillade). D’où deux fils. Descendance à La Coste, Sanvensa, Souyri, Toulouse, Bordeaux.

. Zoé Lafon (1903- ), épouse de Louis Saurel, de Puechganel (Lunac). D’où quatre enfants nés aux Combes. Descendance à La Fouillade, Villefranche, Toulouse, Bordeaux, Montpellier, dans la Région parisienne, à Casablanca (Maroc), en Israël.

-  Angeline Lafon (1870-1954 à 84 ans), marié le 21 février 1900 avec Jean Baptiste Cadillac, de Loupias (Lunac), fils de Jean-Baptiste et feue Marie Fabre, du Planol (Lunac). D’où née à Loupias :

. Léa Cadillac, mariée avec Sylvain Regourd, de Rieutord (La Fouillade). D’où :

Christine Regourd, épouse Puechberty. Descendance à Lunac, Martiel, dans la Région parisienne.

c-  Jean-Pierre Saurel (1838-avant 1912), marié le 16 novembre 1866 avec Marie Blanc (1835- ), fille de Joseph et Rose Marty, de Roussilles (Bor-et-Bar). Sans descendance.

d- Victor Saurel (1840-après 1912), menuisier à Cavalières (Bor-et-Bar), marié le 12 juin 1872 avec Anastasie Loupias (1849- ), fille de Louis et Julie Rivière, de Féneyrols (Bor-et-Bar). Il reçoit en dot la somme de 1 600 francs[178]. D’où cinq enfants nés à Cavalières (un décédé jeune) :

- Germaine Saurel (1873- ), mariée le 26 septembre 1893 avec Eugène Blanc, forgeron, fils de Jean Baptiste et Rosalie Barthe, du Ségur (81). D’où trois fils nés au Suech (Ségur) :

. Edmond Blanc (1894-1977 à 83 ans). D’où deux filles. Descendance à Mirandol-Bourgnounac.

. Edouard Blanc, époux Malaterre. D’où un fils et une fille. Descendance à Cagnac-les-Mines.

. Georges Blanc, sans descendance.

-       Louis dit Sabin Saurel (1874-1964 à 90 ans), marié en 1902 avec Marie Gasquet (1879-1958), de Montirat (81). D’où trois filles nées à Bor :

. Madeleine Saurel (1903-1997 à 94 ans), épouse Martin, de La Matarié (Montirat). Descendance à Nice, Région parisienne.

. Yvonne Saurel (1905-1985), épouse d’Alfred Ginestous, son cousin, descendant de Louis XI voir f. Sans descendance.

. Simone Saurel (1910-1971), épouse Majolet, de Mirandol-Bourgnounac (81). Descendance à Toulouse, dans les Pyrénées-Orientales.

- Flavie Saurel (1882-1968 âgée de 86 ans à Trévien, 81), mariée en 1905 avec Elie Gasquet, de La Matarié, frère de Marie. D’où :

. Elina Gasquet (1913-2008 âgée de 95 ans), épouse Gervais. D’où un fils, une fille. Descendance à Mirandol-Bourgnounac, Albi, Régions parisienne et lyonnaise.

. Odette Gasquet (1915-2003 à 88 ans), épouse Balssa, de Canezac (Montirat, 81). D’où deux fils. Descendance à Canezac, Trévien (81), Albi.

- Louise Saurel (1885-1970 à Sainte-Croix, âgée de 85 ans), mariée en 1913 avec Henri Germain Galibert (1883 à Laguépie-1915 à Montargis), mort pour la France, remariée à Sainte-Croix avec Jean Marie Careg. Descendance inconnue.

·                              en secondes noces le 1er mars 1848 avec Justin Tranier (1824-1891), fils de feu Jean Charles et Charlotte Guibbert, du Moulin de Martre (La Fouillade). Justin apporte en dot la somme de 4 000 francs dont 600 francs sont donnés le jour du contrat et le restant sera versé en douze termes égaux[179]. D’où nés à Frayssinet (Bor-et-Bar) sept enfants (deux décédés jeunes) :

e- Maria Tranier (1849-après 1912), mariée le 7 février 1872[180] avec François Pomiès, fils de François et de Marie Pomiès, du Cayroux (commune de La Salvetat-Peyralès puis en 1896 de Lescure), métayer en 1912 à La Dayrie (La Capelle-Ségalar, 81). D’où nés aux Cayroux puis habitant dans le Tarn, descendance inconnue :

. Marie Pomiès (1872- ).

. Séverin Pomiès (1878- ).

. Justin Pomiès (1886-  ).

. Aurélie Pomiès (1890-  ).

f- Marcellin Tranier (1851-avant 1912), cultivateur à Frayssinet[181] marié le 4 novembre 1878 avec Césarine Pomiès (12 août 1862- ), fille de Louis et Césarine Rouziès, de Bordes (Vabre). Le 7 octobre le futur reçoit en dot le quart des biens de ses parents soit en immeubles une cuisine, un salon et une petite chambre et la moitié d’une grange neuve ; la future est dotée de la somme de 15 000 francs dont celle de 2 000 francs, versée comptant et le reste sera payé en treize termes égaux[182]. Le couple aura dix enfants (deux décéderont jeunes) :

- Maria Tranier (1879- ), mariée le 15 septembre 1902 avec Henri Ginestous (1874-1943), cultivateur au Cayrou de La Bruyère (La Fouillade), fils de Philippe et Léontine Blanc, de La Borie (Lunac). D’où :

. Alfred Ginestous (1904-1983), marié avec Yvonne Saurel, de Bor-et-Bar, descendante de Louis XI (voir d).

. Emilien Ginestous (1911-1983 à Blagnac), célibataire, sans descendance.

. Odilon Ginestous (1914-1990 âgé de 86 ans à Blagnac), époux de Nicolette Enjalbert, de La Fouillade. Descendance à Blagnac.

- Lucie Tranier (1884-1970 à Villefranche âgée de 86 ans), mariée en 1907 avec Pierre Cyprien Segons (1873- ), fils de feu Jean Pierre et Mélanie Nattes, d’Oubax (Lunac). D’où nés à Oubax :

. Hervé Segons (1908-1993 à Toulouse âgé de 85 ans ), marié avec Yvonne Calvé. Descendance à Toulouse, dans la Région parisienne.

. Blanche Segons (1912-1934 en couches), mariée avec Urbain Fort (1899-1977), de Lunac. Descendance à Oubax, Saint-Christophe.

. Yolande Segons (1917-1985 à Gondrin, 33), adoptée par la nation en 1933, mariée avec Vercingétorix Wenceslas Bertin. Descendance inconnue.

- Denis Tranier (1886-1954 à Saint-Martin-Laguépie, 81), célibataire en 1912.

- Aurélie Tranier (1887- ), mariée le 5 juin 1911 avec Emilien Hautesserre, fils de Frédéric, de Testas (Sanvensa). D’où nés à Testas :

. René Hautesserre (1923- ), marié avec Paulette Segons, fille de Paulin et Georgette Fabre, du Périé (Sanvensa). Descendance au Périé, région d’Aix-en-Provence.

. Ida Hautesserre, épouse Alet, de La Capelle-Bleys. Descendance à Vabre, Villefranche-de-Rouergue.

- Emile Tranier (1891- ), cultivateur à Frayssinet, marié avec Berthe Bories, de Mur-de-Barrez. D’où nés à Frayssinet cinq enfants (dont une fille décédée jeune) :

. Clémence Tranier, épouse Bastide, de La Guionie (La Salvetat-Peyralès), sans descendance.

. Marinette Tranier, épouse Blanquet. Descendance à Villefranche, Rieupeyroux, Rodez, Toulouse.

. André Tranier, époux Segonds. Descendance à Rieupeyroux, Villefranche, Baraqueville, Réquista.                    

. Clément Tranier, marié avec Jacqueline Clapier, de La Peyrière (La Fouillade). Descendance à Villefranche, Saint-Cirq (82).

- Ernestine Tranier (1893-1974 à La Capelle-Bleys à 81 ans), épouse Alet, de La Capelle-Bleys. D’où un fils deux filles. Descendance à La Capelle-Bleys, La Salvetat-Peyralès, Martiel.

- Camilla Tranier (1896-1983 âgée de 87 ans à Le Perreux-sur-Marne, 94), épouse Poitelon. Descendance dans la Région parisienne.

- Augusta Tranier (1898- ), épouse Alet, de Savignac. D’où trois enfants. Descendance à Savignac, Villefranche.           

g- Julie Tranier (1852-après 1912), religieuse dominicaine à Souloumiac (La Fouillade).

i- Rosalie Tranier (1856- ), célibataire habitant Laguépie (82).

k- Justine Tranier (1859-après 1936), mariée le 10 août 1886 avec Léon Albert (1860-avant 1931), forgeron à Béteille, fils de Jean-François et feue Jeanne Miquel. Justine est dotée de 5 000 francs dont 2 000 francs de la part de sa mère[183]. D’où cinq enfants (un décédé jeune) nés à Béteille, n’y habitant plus en 1921 :

- Albertine Albert (1887- ), mariée en 1906 avec Jean Baptiste Cantauzel.

- Ludovic Albert (1890-1968 à Toulouse), marié à Toulouse avec Jeanne Cazaubon.

- Héléna Albert (1892-1972 à Sérignan, 34), mariée en 1916 avec Joseph Philippe.

- Maria Albert (1897-1983 âgée de 86 ans à Saint-Antonin, 82), mariée avec Germain Segons, de Belpech (Saint-André). D’où :

. Elisabeth Segonds (1922-2008 à Montauban), mariée avec Raymond Déléris, de Soulages (Saint-André), divorcée et remariée avec Tabarly. Descendance.

2-    Jean Izard (1818- ), qui suit.

3-    Louis Izard (1820-1848 à 28 ans), cultivateur à l’Hom, mariée le 28 octobre 1847 avec Rose Loupias (1828-1859 à 31 ans aux Vaccans), fille de Joseph et Marie Rose Guy, des Vaccans (La Fouillade). Sans descendance.

4-    Charlotte Izard (1825-1911 âgée de 86 ans), mariée le 19 février 1843 avec Joseph Molinier (1819- 1903 âgé de 84 ans), cultivateur aux Fargues, fils de François et Marie Pourcel, des Fargues (La Fouillade). Sa fille étant décédée, Charlotte fait héritière sa nièce Léontine Saurel.

a- Charlotte Rosalie Molinier (1844-1899), mariée le 12 février 1862 avec Jean Joseph Enjalran (1824-1899), fils de Jean Joseph et Marie Anne Vialelles, du Cayrou de La Fouillade. Sans descendance.

5-    Joseph Izard (1828-1919), marié le 19 juin 1856 avec Victorine Rouquet (1840-avant 1919), fille de Jean Charles et Marie Jeanne Calvignac, de Toulzanes (La Fouillade). D’où six enfants nés à Sauzet (Lescure) dont le premier décédé à 10 jours :

b- Casimir Izard (1861- ), marié le 11 juillet 1900 à Villefranche avec Albertine Debonas.

c- Euphrasie Izard (1863- ), descendance inconnue.

d- Philippine Izard (1867- ), descendance inconnue.

e-    Eulalie Izard (1870-1960 à Crespin à 90 ans), mariée le 7 octobre 1891 avec Jérôme Bories (1864-1897 à 31 ans), fils de Charles et Marie Carrié, de La Joulinie (Bor-et-Bar), remariée le 17 février 1898 avec Alexandre Icher (1866- ), fils d’Auguste et de Marie Rosalie Alaux, filateur au Pont-de_Cirou (Crespin). D’où les trois premiers nés au Port-de-La Besse (Mirandol, 81), les derniers au Pont-de-Cirou :

- Juliette Icher (1903- ), épouse Bedel. D’où :

. Robert Bedel. Descendance à Albi, Région parisienne

. Georges Bedel. Descendance à Bordeaux, Région parisienne

- Marius Icher. Descendance à Toulouse.

- Augusta Icher, épouse Cadrieu, de Monestiès. Descendance à Decazeville.

- Marceau Icher, filateur au Pont-de-Cirou, marié avec Jeanne Laroque. D’où :

. Pierre Icher, célibataire habitant Carmaux.

. Didier Icher. Descendance au Pont-de-Cirou, Toulouse.

- Roger Icher. Descendance à Lavaur, Toulouse.

f-     Marie Izard (1877-1972 à Lunac âgée de 95 ans), mariée le 6 décembre 1899 avec Joseph Rigal (1875- ), fils de Joseph et Rosalie Couchet, de La Salvetat-Peyralès. D’où nés à Sauzet (Lescure) :

- Albert Rigal (1903- ), marié avec Marie Saint-Amans. D’où nés à Carbouls :

. Huguette Rigal, épouse de Raoul Girard. Descendance à Puygouzons (81).

. Robert Rigal. Descendance dans le Tarn.

. Nicole Rigal, sans descendance.

-  Irma Rigal (1906- ), épouse Campagnac, descendant de Louis XI, voir Bulletin n°85. D’où quatre enfants. Descendance à Lunac.

-  Fernand Rigal (1910-1979 à Villefranche), plâtrier à Lunac, marié en 1931 avec Lucienne Cadilhac, de Lunac. D’où cinq enfants.

. Yolande Rigal, sans descendance.

. Jean Rigal. Descendance à Carmaux.

. Jeanine Rigal. Descendance à Carmaux.

. Christiane Rigal. Descendance à Carmaux.

Claudette Rigal, sans descendance.

VII- Jean Izard (6 mai 1818- ), cultivateur à l’Hom, marié le 23 juin 1839 avec Angélique Cluzel (1816-1871), habitant Carbouls (Lunac), fille de Jean Pierre et feue Thérèse Mercadier, de Saint-André[184]. Lors du contrat passé le 13 mai chez Me Dintilhac, la future est dotée de 3 016 francs. D’où onze enfants dont neuf filles, deux décédées à moins d’un an à l’Hom :

1- Angélique Izard (1840-1879 à 39 ans), mariée le 30 mai 1866 avec Philippe Saint-Amans (1842- ), fils de feu Louis et Marie Jeanjean, de La Montarnie (La Salvetat-Peyralès jusqu’en 1896, puis Lescure). D’où nés à Flauzins mais n’y habitant plus en 1886, descendance inconnue :

a-    Léon Philippe Saint-Amans (1872- ).                                                                                        

b-    Firmin Philippe Saint-Amans (1874- ).        

c-    Marie Hortense Saint-Amans (1876- ), mariée le 22 mai 1895 à Vabre avec Philippe Julien Cadène (1871-1956 à Najac), cultivateur à Lauriol (Vabre-Tizac), fils d’Antoine et de Rose Couronne. D’où né à Lauriol :

- Sylvain Albert Cadène (1896- ), marié le 2 juillet 1925 à Najac avec Maria Berthe Bousquières (1897-1988 âgée de 91 ans à Pau), fille de François et Marie Basse, de Milhars-des-Carts (Villevayre).

2-    Jean Izard (26 août 1841- ), marié le 23 février 1868 avec Marie Rose Bergounhou (1850- ), fille  de feu Antoine et Rosalie Gaudou, de l’Hom (voir dans un prochain Bulletin). Sans descendance.

3-    Thérèse Izard (1843-après 1913), mariée le 19 février 1867 avec François Breil (1838-1913 à l’Hom), fils de Jean et Cécile Cavalié, de Lacalm (Saint-Salvadou). D’où trois enfants nés à Lacalm :

c- Frédéric Breil (1873- ), cultivateur à Gragnette (Saint-Maurice, 46), puis négociant à Villefranche en 1913, marié le 21 janvier 1898 avec Marie Euphrasie Marty (1875- ), fille de Jean Pierre et Julie Breil, de Lacalm (Saint-Salvadou), sa cousine germaine. D’où un fils sans descendance.

4-    Rose Marie Izard (1845-1906 et 1911), mariée le 27 juin 1870 avec Louis Couffignal (18 novembre 1827-après 1881), fils de feus Louis et Marianne Segons, de Planèzes (Lescure). D’où né à Planèzes :

a- Julien Couffignal (1871-1959 âgé de 88 ans à La Fouillade), meunier au moulin de Carrié (Lescure), marié le 18 janvier 1905 avec Léa Granier (1881-1954 à La Fouillade), fille de Jean Baptiste Casimir, cordonnier à  Flauzins et de Rosalie Albouy. D’où nés au moulin de Carrié :

- Alice Couffignal (1907- ), mariée en 1946 avec Edouard Lacassagne, de La Fouillade. D’où deux enfants. Descendance à La Fouillade, Magrin, Calmont.

- Julienne Couffignal (1910- ).

- Madeleine Couffignal (1913- ), mariée en 1937 à Lunac avec Georges Vialelles, descendant de Louis XI, voir Bulletin n° 84 Guibbert- Marre-LoupiasVI-6.b.

5- Julie Izard (1848-après 1911), mariée le 20 juin 1869 avec Victor Jonquières (1831-1908), cultivateur à Flauzins, fils de feus Guillaume et Marie Jeanne Delmas. D’où huit enfants nés à Flauzins dont quatre décédés jeunes :

b- Jules Jonquières (1871-1952 à Lescure), marié avec Germaine Ricard. D’où né à Flauzins :

- Clément Jonquières (1906- ), marié avec Madeleine Charles. D’où :

. Jean Clément, marié avec Arlette Antoine. Descendance dans la Région parisienne.

c- Casimir Jonquières (1873- ), couvreur, marié le 23 juin 1905 avec Sophie Andrieu (1876- ), fille de Philippe et Sophie Albanhac, de Baudessert (Lunac)[185], sans descendance le couple adopte leur neveu René, fils d’Henri et d’Eugénie Andrieu.

d- Henri Jonquières (1875-1958), marié le 22 avril 1903 avec Marie Léonie Barria (1880- ), fille de Joseph et Bellonie Lagarrigue, de Flauzins ; remarié le 23 février 1906 avec Eugénie Andrieu (1877-après 1954), sœur de Sophie, voir ci-dessus. D’où nés à Flauzins :

- René Jonquières (1906- ), marié avec Marie Loupias, adopté par ses oncle et tante de Beaudessert (voir c). D’où cinq enfants nés à Beaudessert :

. Jean Jonquières. D’où deux fils. Descendance à Beaudessert, Toulouse.

. Robert Jonquières, marié à Saint-Igest.

. Charles Jonquières. Descendance à Capdenac.

. Gilbert Jonquières. Descendance.

. Andrée Jonquières, épouse de Pierre Maurel. Descendance à La Salvetat-Peyralès, Rieupeyroux, Région parisienne.

- Paul Jonquières (1913- ), marié avec Eliette Déléris. D’où :

. Michel Jonquières, marié avec Raymonde Bareille. Descendance à Tournefeuille (31).

. Régis Jonquières, marié avec Suzanne Akopian. Descendance à Colomiers (31).

. Gérard Jonquières, marié. Descendance à Salon-de-Provence.

g- Marie Amélie dite Célina Jonquières (1882-1961 à Carcassonne), mariée le 1er avril 1916 à Saint-Etienne avec Mathurin Poujade, descendance inconnue.

8- Thérézine Izard (1852- ), mariée le 20 février 1876 avec Jean Couronne (1845-1882 à Préziès), fils de feu Joseph Victor et Rose Deltor, de La Barraque d’Armand (Lunac), remariée le 19 avril 1888 avec Pierre Loupias (1846- ), fils de Jean Louis et Marie Anne Rose Marty, de Saulières (Bor-et-Bar). D’où du premier lit nées à Lunac :

a- Laurencie Couronne (1877 à Préziès-1927 à La Coste-de-Couronne), mariée le 6 novembre 1906 avec Casimir Aymes (1872-1948), fils de feu François Philippe et Eulalie Lagarrigue, de La Coste-de-Couronne (La Fouillade). Sans descendance.

b- Marie Adeline Couronne (1881 aux Vaysses- ), descendance inconnue.

9- Rosalie Eulalie Izard (24 septembre 1854-1941), mariée le 20 février 1876 avec Jérome Bories (6 avril 1851-entre 1936 et 1941), menuisier à Lunac, fils de Jean Géraud et feue Marie Anne Roquette. D’où trois enfants nés à Lunac (le dernier décédé à 1 an) :

a-    Noémie Bories (1877-1969 à 92 ans à Lunac), mariée avec Célestin Cadillac, cordonnier, puis marchand de chaussures à Lunac. D’où :

-  Alice Cadillac (1897- ), marié avec Elie Couronne, épicier à Lunac, descendant de Louis XI voir Tranier II.2 Bulletin n° 74. D’où nés à Lunac :

. Jacques Couronne. Descendance à Villefranche.

. Hubert Couronne. Descendance à Toulouse.

-  Ernest Cadillac (1898- ), cordonnier, célibataire.

-  Denise Cadillac (1909- ), mariée avec Roger Pouget, de Lunac, sans descendance.

b-    Théophile Bories (1878- ), marié le 20 octobre 1904 à Paris avec Léonie Lagarde, descendance inconnue.

10-    Appolonie Izard (1857-1915), mariée le 2 juillet 1879 avec Baptiste Andrieu (1853-après 1915), facteur à Béluel (Najac), fils de Jean-Baptiste et feue Marie Vialelles. D’où nés à Beluel :

a-    Flavie Andrieu (1881- ), mariée le 6 mars 1901 avec Ferdinand Saby (31 mai 1881- ), fils de Joseph et Rosalie Loupias, de La Prade (Najac). D’où :

- Philémon Saby (1901- ), marié avec Anna Farjounel, du Paraire (Lunac). D’où né à La Prade :

. Charles Saby, marié avec Paulette Cadène. Descendance à La Prade, Villefranche, La Bruguière (31).

- Emile Saby (1903- ), cordonnier à Saint-André, marié avec Marie-Louise Dalet. D’où née à Saint-André :

. Suzette Saby, épouse d’Yvon Fabre, de Carmaux (81). Descendance à Najac, Privezac, Toulouse, Tarbes, au Cameroun.

- Fernande Saby (1910- ), épouse Labrunhie, de Villefranche. D’où deux filles. Descendance dans la Région parisienne.

b- Emile Andrieu (1885- ), cultivateur à Beluel, marié le 10 février 1907 avec Marie Pezet. D’où :

- Fernand Andrieu, marié avec Léa Molinier, de Lunac. D’où :

. Yvette Andrieu, épouse Rabayrol. Descendance à Beluel, Najac, Olemps, Bouloc (31), Toulouse, Région parisienne.

11-  Marcellin Izard (23 juin 1860- ), marié le 2 juillet 1884 avec Eugénie Bories (1855- ),  sœur de son beau-frère. D’où nés à Lunac :

a- Marcellin Izard (25 juin 1885- ), aveugle en 1922, marié en 1919 à Decazeville avec Irma Lagarrigue, de Vabre. D’où nés à Lunac :

- Jeannette Izard, mariée avec Paul Trouche, de Lunac, d’où un fils sans descendance.

- Paulette Izard, épouse Le Map. Descendance à Lunac, dans le Nord.

b- Marie Izard (1887-1974 âgée de 87 ans à Lunac).

c- Alain Izard (1890-1914 âgé de 24 ans à Beaumont, 54), mort pour la France.  

                                               Rameau Izarn-Cayrou-Pomiès

V.5- Marie Rose Izarn (28 mars 1762-7 mars 1793), fille d’Antoinette Loupias et de Jean Izarn, de l’Hom (Lunac) se marie le 17 août 1789 avec Jean-Pierre Cayrou (3 février 1738-11 mai 1797 âgé de 59 ans), tisserand et vigneron de Bar, fils d’Alexis et de feue Lucie Izarn[186]. Dans le contrat de mariage passé le 21 juillet, Marie Rose reçoit en dot la somme de 1 050 livres (800 livres de son père, 80 livres de sa mère, 170 livres de son frère) dont 400 livres comptant, deux brebis…[187]. Cette famille Cayrou est présente au village de Labadenq-Grande dans la paroisse de Bor depuis au moins neuf générations. Alexis, fils cadet, s’installe à Bar par son mariage.

Marie Rose Izarn décède à l’âge de 31 ans à Bar trois ans après son mariage et son mari quatre ans plus tard, le 11 mai 1797.

Quelques jours avant son décès, Jean-Pierre Cayrou, reçoit de son beau-frère la somme de 150 livres, part de la dot échue à sa feue femme et le même jour il vend à Jean-Antoine Guibbert, son cousin de Labadenq, deux vignes, une chambre joignant la cuisine de sa maison et la moitié d’un petit jardin pour la somme de 1 250 livres payée en 50 pièces d’or[188]. Le 18 mai, Jean-Antoine Guibbert, qui a recueilli chez lui la jeune orpheline, fait procéder à l’inventaire de sa maison soit deux lits garnis donc un à tombeau avec des rideaux de sargette bleu, une table à quatre pieds, une garde-robe à quatre portes et trois tiroirs (estimé 15 livres), une grande table, trois chaises, un archibanc, etc., le tout estimés 280 livres. Les tuteurs seront nommés ultérieurement par un conseil de famille.

Le couple a eu deux filles dont une seule survivra et aura une nombreuse descendance :

1-Marie Rose Cayrou, qui suit.

2- Marie Anne Cayrou (26 juin 1792-21 août 1792).

VI- Marie Rose Cayrou (14 juillet 1790-22 novembre 1831 à 41 ans en couches) se marie le 8 novembre 1811 à Villefranche avec Etienne Pomiès (18 juin 1785-10 avril 1841 âgé de 56 ans), fils d’Etienne et de Marie Guillen, de Flauzins (Lescure). Un contrat de mariage est passé le 3 juin 1810 devant maître Panissal, notaire à Villefranche. Or Rose Cayrou, orpheline de mère à 3 ans et de père à 7 ans, n’étant pas majeure, a donc besoin de l’accord de ses tuteurs (ses parents de L’Hom), accord qui lui est refusé. Les fiancés doivent attendre pour se marier la majorité de Marie-Rose. Le 20 juillet 1811, ils passent un second contrat chez le même notaire de Villefranche où ils résident depuis Noël.

Le couple habite ensuite à La Bicasse, village dépendant de la paroisse de Bar, mais commune de Montirat en Albigeois. Le 28 février 1815, il vend à Jean-Pierre Olmières, médecin de Bar, la maison de Rose Cayrou située dans ce village composée d'une cuisine, d’une petite chambre et d’un galetas, pour la somme de 1 000 francs et, le 13 novembre de la même année, les biens situés à Flauzins, se réservant les meubles de la maison. Deux jours plus tard Marie-Rose, assistée et autorisée de son mari, vend à François Dutaur, les propriétés laissées par son père à La Bicasse pour 2 750 francs. Et le 5 octobre 1815, le couple achète à Joseph Saurel et Marie-Anne Rouquière, de Bor, une ferme de 13 hectares à La Coste-Haute (La Fouillade). 

De leur union sont nés neuf enfants (le dernier décèdera jeune) :

1-    Etienne Pomiès, qui suit.

2-    Victor Pomiès (vers 1814-1898), cultivateur à Toulzanes puis à la Coste, sans descendance.

3-    Rose Pomiès (1817-1895), mariée le 2 février 1840 avec Victor Delcausse (1810-1983), fils de Jean-Antoine et Thérèse Miquel, de La Coste (La Fouillade). D’où nés à La Coste six enfants (un décédé à 6 mois) :

a-    Marie dite Nathalie Delcausse (1840-1890), mariée le 4 juillet 1864 avec Jean-Pierre Alègre (1841-1888), fils de Jean-Pierre et Marie-Anne Lafon, de Belpech (Saint-André). D’où quatre enfants (deux décédés en bas âge), nés à Belpech :

- Maria Alègre (1865- ), mariée le 11 janvier 1888 avec Philippe Lacalm, de Béteille (Saint-André), fils de Philippe et Julie Lacoste. D’où neuf enfants (deux décédés à quelques jours) :

. Octavie Lacalm (1888-1951 à Toulouse), sans descendance.

. Augustin Lacalm (1894-1985 à Albi à 88 ans), marié avec Constance Conté, de Varen (82). D’où un fils. Descendance à Montpellier.

. Maria Lacalm (1897-1980 à Laguépie), mariée à Toulouse avec Alexandre Méric, sans descendance.

. Emile Lacalm (1901-1974 à Laguépie), époux d’Yvonne Dalet, de Béteille. Descendance à Martigues (13).

. Fernand Lacalm (1905-1976 à Paris 10e), marié avec Alice Moisset, sans descendance.

. Anna Lacalm (1910-1990 à Villefranche), épouse d’Emile Rey, de Pradials (La Salvetat-Peyralès). D’où un fils et une fille mariés, habitant Villefranche, sans descendance.

- Jean-Pierre Alègre (1866- ), marié le 12 juillet 1884 avec Eugénie Delbourg, fille de Jean et Victoire Chambert, de Lacalm (Sanvensa). D’où nés à Belpech :

Gilbert Alègre (1893-entre 1931 et 1936), sans descendance.

Maria Alègre (1895- ), célibataire sans descendance.

Germaine Alègre (1898- ), couturière, célibataire sans descendance.

Hélène Alègre (1908-1986), mariée avec Marius Rey, du Roc de Pradials. Descendance au Roc de Pradials, à Rodez.

- Julienne Alègre (1876-1967 à Laguépie âgée de 91 ans), mariée le 20 mai 1900 à Saint-Martin-Laguépie (81) avec Félix Loubers, teinturier à Laguépie. D’où un fils et une fille sans descendance.

c-  Thérèse Delcausse (1843-1901), mariée le 1er novembre 1866 avec Jean Antoine Tranier (1836-1913), fils de Jean Baptiste et Marie Angélique Albar, de Trébessac (La Fouillade). D’où neuf enfants (trois décédés en bas âge) nés à Trébessac :

- Casimir Tranier (1869-1946 à Villefranche), aubergiste à Villefranche, marié le 11 août 1897 avec Marguerite Vivent, fille de Cyprien et Marguerite Cavalié, de La Bastide-l’Evêque. Descendance inconnue.

- Denis Tranier (1871- ), marié en 1903 avec Marie Eugénie Bousquié (1872- ), fille d’Antoine et de Julie Dintilhac, de Fournaguet (Saint-Salvadou), régisseur à Kaymard en 1904. Descendance inconnue.

- Marie Tranier (1873- ), résidant à Toulouse en 1904. Descendance inconnue.

- Victor Tranier (1877-1949 à La Fouillade), marié en 1906 avec Marie Durand (1881-1967), fille de Casimir et Marie Mercié, cultivateur à Trébessac (La Fouillade). D’où nés à Trébessac :

. Eloi Tranier (1909-2002 âgé de 93 ans à Castres). D’où trois enfants. Descendance à Castres.

. Edmond Tranier (1911-2000 âgé de 89 ans à Villefranche), marié avec Lucienne Tranier (1913-2010 à 97 ans), descendante de Louis XI, fille de Louis et Marthe Molinier, de La Fouillade, voir Bulletin n°74 Branche Rouquette II.8.c.

. Fernande Tranier (1914-2011 âgé de 97 ans), mariée avec Abel Maruéjouls ( -19  ), mort pour La France, de La Bastide-l’Evêque. D’où :

Roland Maruéjouls, à Trébessac, époux d’Odette Fricou voir Bulletin n°72 II-10.c.

. Emmanuel Tranier, clerc de Saint-Viateur.

. René Tranier, marié avec Suzanne Sauvage, voir Bulletin n°82 Branche Guibbert du Puech V.4.a.

- Emilie Tranier (1881-1953 à Morlhon), mariée avec Germain Alcouffe, de La Tapie (La Fouillade), fils de Justin et Charlotte Salesses. D’où :

       . Emilienne Alcouffe (1909 à Decazeville- ), mariée en 1933 avec Elie Breil, de Morlhon. Descendance inconnue.

- Valentine Tranier (1887- ), mariée avec Théophile Bros, de Cadours (La Bastide-l’Evêque). Descendance inconnue.

d- Alexis Delcausse (1845-1923), marié le 2 juin 1869 avec Rose Julie Ginestet (1848-1918), fille de Joseph et Julie Rigal, du Cayrou de La Fouillade. D’où six enfants (un mort à 3 mois) :

- Alexandre Delcausse (1868 au Cayrou-avant 1923), propriétaire à Mateu (Tunisie) en 1919 lors de l’arrangement de famille, marié à Tunis. D’où :

André Delcausse (1906 à Tunis-1965 à Toulouse), marié avec Juliette Adriano. D’où quatre filles. Descendance à Toulouse, Marseille, Nice, Région parisienne.

- Rose Marie Delcausse (1872 au Cayrou-à Paris), mariée le 21 avril 1891 avec Philippe Rossignol (1862-avant 1919 à La Beaume de Villefranche), mineur, fils de Jean François et Charlotte Segons, de Lagarrigue (La Fouillade). Veuve, Rose va travailler à Vézinet puis à Paris laissant ses enfants au soin de leurs oncles. D’où nés à Villefranche :

. Louise Rossignol (décédée à 100 ans), épouse Jicquel. Descendance à Saint-Brieuc (22).

. Jean-Baptiste Rossignol. Descendance à Montargis (45). 

. Gabriel Rossignol, aubergiste à Paris. D’où une fille sans descendance.

-  Jules Delcausse (1874 au Couderc de Montirat- ), commerçant à Tunis en 1919, puis à Buzet-sur-Tarn (31) en 1923, marié le 6 août 1899 avec Mathide Delcros (1876-1969 âgée de 93 ans), fille de Joseph et Félicité Segons, de La Lande (La Fouillade). D’où :

. Edmond Delcausse, marié, sans descendance.

. Raymonde Delcausse, mariée avec Jean Lèguevaque. D’où quatre fils.

André Lèguevaque, marié avec Jeanine Bou. Descendance à Villefranche, Toulouse, Région parisienne, Sénégal.

Jacques Lèguevaque Descendance à Toulouse, Rennes.

Jean-Pierre Lèguevaque. Descendance à Toulouse, Clermont-Ferrand.

Michel Lèguevaque. Descendance à Saint-Jean-de-Luz (64).

. Emilienne Delcausse, sans descendance.

- Emile Delcausse (1878-1965), marié en 1924 avec Marie-Louise Marc (1894-1988 à 94 ans), veuve de guerre, fille d’Alphonse et de Rosalie Gaffard, de Toulzanes. D’où né à La Coste :

     . Jean Delcausse, marié avec Georgette Prat. Descendance à La Coste, Rodez, Lyon.

- Alexis Victor Delcausse (1886-1914 âgé de 28 ans), marié à Rodez avec Rose Barthe, de Rodez, mort pour la France le 11 novembre 1914 à Veldoiels en Belgique. Sans descendance.

e- Marie Philippine Delcausse (1849- ), mariée le 10 octobre 1872 avec Auguste Roumanhac (1845-1886), de Laguépie. D’où nés à Laguépie quatre enfants (un décédé jeune), descendance inconnue :

- Auguste Roumanhac (1874- ), marié en 1900 avec Marie Barbé.

- Louise Roumanhac (1878- ), mariée à Toulouse avec Paul Commenay.

- Gaston Roumanhac (1879- ), marié à Toulouse avec Marie Dufoux.

f- Auguste Delcausse (1856- ), marié le 6 novembre 1882 avec Marie Déléris (1862- ), du Portail (Sanvensa). D’où :

- Louis Delcausse (1885-1956), marié avec Eugénie Gueyde, de Marseillan (34). D’où nés à Sète (34) :

Washington Auguste Delcausse, marié avec Françoise Fennetaux. D’où :

Gabriel Delcausse, marié avec Etiennette Nicolas. Descendance à Sète.

. Eugène Delcausse, marié avec Reine Pascal (1922- ). Descendance à Sète.

4-  Marie Jeanne Pomiès (1819- ), mariée le 4 août 1844 avec Jean Bosc (vers 1815-1854 à 39 ans), fils de Jean et Marie Jeanne Alègre, du Puech-Bousquet (Saint-André). D’où nés au Puech-Bousquet :

a-  Rosalie Bosc (1845- ). 

Jean-Joseph Bosc (1847-1935 à 87 ans), soldat de la guerre 1870-1871, marié le 7 août 1876 avec Marie Julie Cavalié (16 août 1852-1938), fille de Jean Joseph et Marie Julie Rivière, de Pradines (Saint-André), partis en Argentine vers 1890. D’où nés au Puechbousquet pour les deux premiers :     

- Marie Louise Bosc (1877-1968 à 90 ans), mariée le 15 septembre 1898 à Pigüé  (Argentine) avec Henri Bras (1875- ), fils d’Augustin et de Rose Rocanières, d’Aurelle-Verlac. D’où sept enfants nés à Pigüé avec Descendance.       

Marie Albanie Bosc (1880-1945), mariée à Pigüé le 28 septembre 1899 avec François Bras (1871-1941), beau-frère de sa soeur, d’Aurelle-Verlac. D’où cinq enfants nés à Pigüé, descendance à Pigüé et Buenos-Aires :             

. Firmin Bras (1900- ), marié avec Rosa Domergue.

. Luisa Bras (1902-1985), mariée avec Irinès Ferrand.

. Elisa Bras (1905-1992), mariée avec Prosper Domergue. D’où :

Ethel Domergue, épouse Valière. Descendance, voir ci-dessous.

. Thérésa Bras (1907-1984).

. Rosa Bras (1912-1996), mariée avec Léon Fraysse.

- Marie Elisa Bosc (1886 à Soulages - ).

- Clément Bosc (1900 à Piguë-1927), marié avec Luisa Segonds. D’où :

. Roberto Bosc (1924-1970), marié avec Rosanna Rodriguez. D’où deux fils dont un marié avec une fille d’Ethel Domergue. Descendance.

5-  Jean Joseph Pomiès (1821-1843 à 23 ans au régiment des hussards à Béziers). S'étant porté volontaire comme remplaçant, avant de partir le 10 juillet 1842, il désigne pour héritier et procureur son frère Victor.

6-  Charles Pomiès (1823-1898 à la Coste), marié le 31 août 1881 avec Hélène Agar (1835-1914), recueillie à l'hospice de Rodez le 14 juin 1835, sans descendance.

7-  Baptiste Pomiès (1826-1898 rue Basse à Najac), marié le 4 juillet 1854 avec Dorothée Albène (1834- ), fille de François et Cécile Durieu, de Najac. D’où :

a- Cécile Pomiès (1855-1887 âgée de 32 ans), mariée le 1er juillet 1875 avec Esprit Soulié (1849-1897), descendant de Louis XI, fils de Pierre et Jeanne Lombard, de la rue Basse. D’où nés à Najac, descendance inconnue :

- Gaston Soulié (1882- ).

- Maria Elise Soulié (1885-1950 à Villejuif, 94), mariée en 1909 à Paris avec Eloi Guérin.

- Armand Soulié (1887- ), marié en 1919 avec Anaïs Alcouffe.

b- François Isaïe Pomiès (1861- ), marié le 28 août 1891 avec Rosalie Saint-Amaux (1859- ), fille de Charles et Charlotte Carrière, de Najac. nés à Najac, descendance inconnue.

8-  Julie Pomiès (1829-1907), mariée le 6 septembre 1854 avec Jean Pierre Laubiès (1814-1903), cordonnier à La Fouillade, fils de Jean Pierre et Jeanne Landes, de Toulzanes (La Fouillade). D’où :

a-    Julie Marie Laubiès (1858-1924), mariée le 10 mai 1880 avec Jean Blanquet (1857-1895 chez le docteur Bach à Najac âgé de 45 ans), cordonnier et aubergiste à La Fouillade, fils de Pierre et Marie Rose Bories, d’Arcanhac (La Fouillade). D’où :

-  Casimir Blanquet (1882-1934), aubergiste à La Fouillade, marié en 1909 avec Louise Pezet (1886-1976 à 90 ans), fille de Jean André et Elisa Alaux, de Trébessac (La Fouillade). D’où :

. Fernand Blanquet (1910-1989), marié avec Andréa Rivière, de La Bertrandie (La Fouillade). Descendance à Najac, Rodez, Région toulousaine.

b-    Marie Laubiès (1865-après 1932), mariée le 20 septembre 1886 à Lunac avec Pierre Guibbert, (1850-1932), descendant de Louis XI, fils de Joseph et d’Anne Bathilde Debar, de La Barraque d’Armand (Lunac), voir Bulletin n°82 Branche Guibbert, du Puech V.4.a.

VII- Etienne Pomiès (1811 à Villefranche-1889 à Toulzanes), marié à La Fouillade le 28 juillet 1836 avec Marie Jeanne Causse (1805-1890), fille de Jean et d’Anne Bessou, du Mas-de-Bonnet (Cuzoul-Parisot, 82), employée à La Fouillade. D’où né à La Pendarie (Saint-André) :

1- Etienne Pomiès (1843-1924), cultivateur à Toulzanes, marié le 3 février 1869 avec Marie Léontine Albar (1845-1888), fille de feus Jean-Joseph et Julie Pradines, de La Capélanie (Saint-André). D’où nés à Toulzanes :

a- Henri Pomiès (1869-1930 à La Fouillade), garde républicain à Paris, marié le 22 août 1894 avec Euphrasie Gasquet (21 février 1875-2 mars 1962), fille de Baptiste et Marie Segons, de La Prade (Najac). D’où :

- Berthe Pomiès (1899 à Toulzanes-1978), mariée avec Donatien Lacombe, épicier à Saint-André. Descendance à Montauban, Castres, Toulouse, Andernos (33), Cogolin (84), Chambéry (73), Région parisienne, La Réunion, New-York.

- Georges Pomiès (1905 à Paris-1994 à Sully-sur-Loire, 45), employé à la RATP à Paris, marié avec Maria Leblanc. Descendance à Malves (11), Armor-Baden (56), Haute-Garonne, Gironde, Région parisienne.

- Madeleine Pomiès (1909 à Paris-2003 âgée de 94 ans), mariée avec Edouard Saurel (1906-1988), fils de Philippe et d’Eulalie Marre, de Puechganel (Lunac). Descendance à La Fouillade, La Salvetat-Peyralès, Rodez, Millau, Mirandol-Bourgnounac (81), Montauban, Castanet (81), Montpellier, Toulouse.

b- Zéphirin Pomiès (1872-1952), marié le 22 juin 1899 avec Justine Landès, de Saint-Jean-de-Marcel (81), fille de Jean-Baptiste et Cécile Treillou. D’où :

- Elise Pomiès (1901-1974 à Albi), mariée avec Fernand Azam, de Carmaux. D’où :

. Lucienne Azam, épouse Delpech sans descendance.

- Achille Pomiès (1903-1966 à Blaye, 81), marié avec Antoinette Genest. D’où :

Jeanine Pomiès, épouse Durand. Descendance en Gironde, Allemagne.

- Madeleine Pomiès (1913-1983 à Carmaux), mariée avec Georges Armengaud. D’où :

. Suzanne Armengaud, épouse Dénèque, sans descendance.

c- Marie-Fébronie Pomiès (1875-1925 à l'Hôtel-Dieu de Villefranche), mariée le 18 novembre 1894 avec Justin Sautarel (1869-après 1926), aubergiste à La Fouillade, fils de Louis et Julie Bories. D’où :

- André Sautarel (1895-1959), marié avec Georgette Matha (1901-1984), de Canabral (Saint-André). D’où nés à La Fouillade :

. Andrée Sautarel, célibataire décédée à La Fouillade.

. Irène Sautarel, mariée avec Maurice Alet, de La Fouillade. Descendance à La Fouillade, Rodez, Toulouse.

. Jeanne Sautarel, mariée avec Ernest Bouby (La Fouillade). Descendance à La Fouillade, Paris, en Guyane, Brésil.                                 

- Germain Sautarel (1898-1975), marié avec Emilienne Carré, de Paris. D’où :

. Renée Sautarel, mariée avec Jean Foulié, d’Angers (49).  Descendance à Incarville (27), Saint-Denis-de-L'Hôtel (45)

. Jean Sautarel, marié avec Jacqueline Giraud, de Paris.  Descendance à Fontenay-sous-Bois (94).

- Camilla Sautarel (1900-1984 à 84 ans), mariée avec Ernest Viguier (1897-1979), fils de Jean Baptiste et Julie Blanc, de La Fouillade. D’où :

. René Viguier, sans descendance.                                                     

Descendance d’Isabeau Guibbert, épouse Gaudou

Le patronyme Gaudou, peu répandu, est signalé au village des Tampes (Estampes, Tempes) dans la paroisse de Tizac, lors de reconnaissance de fiefs au seigneur de Loupiac[189] :

en 1415, on note Pierre Gaudou. en 1462, également Pierre Gaudou, en 1488, dans la liste des chefs de famille qui paient le Commun de Paix, nous trouvons Johan Gaudou, « Vielh », Johan Gaudou, « Jouve », Guiral Gaudou.

en 1562, plusieurs familles y sont encore présentes : Johan, fils de feu Thony, Johan « Jouve », Peyre dit « Peyrot », Peyrre, fils de feu Arnaud, et Anthony.

La généalogie de cette famille de propriétaires meuniers peut se présenter ainsi :

I-     Antoine Gaudou, cité en 1545[190], décédé avant 1556.

II-  Jean Gaudou, cité en 1562 comme fils de feu Antoine, peut-être le même que :

 Jean Gaudou, marié avec Jeanne Laval, de Cadours (La Bastide-l’Evêque), qui possède le moulin bladier à deux meules[191] en 1582, et reconnaît être co-tenanciers du fief de Tanus (Lunac) en 1605.

Cette famille de paysans possèdera ce moulin jusqu’en 18, certains fils exerceront le meunier et s’établiront dans d’autres moulins : du Cambou (Compolibat), de Rodomiala (Vabre).

III-      Pierre Gaudou, marié avec Jeanne Malfettes, de Jonquières (Saint-Salvadou).

IV-         Jean Gaudou ( -avant 1681), dit « Grand », marié en premières noces le 25 juin 1638 avec Françoise Sérignol, fille de Pierre, notaire de Saint-Salvadou et de Catherine Gasquet, et en secondes noces le 19 juin 1646 avec Marie Jolfre, fille de Forton et Jeanne Bérail, de Souloumiac (La Fouillade). C’est son fils qui s’allie aux Guibbert.                                           

                                           Famille Guibbert-Gaudou

 II- Isabeau Guibbert (8 décembre 1654-12 mars 1721), fille d’Amans et Antoinette de Marcilhac, se marie le 13 août 1681 avec Jean Gaudou (2 février 1649-4 août 1736 à 87 ans), propriétaire meunier au moulin des Tampes, fils de feu Jean et Marie Jolfre. D’où au moins neuf enfants dont trois avec descendance :

1-    Amans Gaudou (1682-avant 1734).

2-    Marie Gaudou (8 décembre 1683-2 février 1738), mariée le 3 février 1712 avec Joseph Falip, laboureur, fils de Pierre et Marie Bessou, des Cazes ( Tizac), voir prochain Bulletin Branche Gaudou-Falip III.2.

3-    Jean Gaudou (27 mars 1685-29 octobre 1763), qui suit.

4-    Anne Gaudou (6 septembre 1686-avant 1734).

5-    Jeanne Gaudou, décédée le 26 décembre 1745 après avoir testé en faveur de son neveu Jean[192].

6-    Antoinette Gaudou (5 mai 1690-après 1702), sans descendance.

7-    Louis Gaudou, décédé le 5 novembre 1728.

8-    Annette Gaudou (2 novembre 1694-7 septembre 1719), mariée le 4 février 1719 avec Jean Boyer, métayer à La Boriette (Les Mazières), appartenant au seigneur de Sanvensa. Sans descendance.

9-             Antoine Gaudou (vers 1699- ), voir prochain Bulletin Branche Gaudou, de Flauzins III.9

III- Jean Gaudou (27 mars 1685-29 octobre 1763), marchand des Tampes, praticien, marié avec Thérèse Teulier ( -1732), fille de Laurent et Marguerite Barrau, du Théron (Combrouzes). Dans le contrat de mariage, passé le 20 juillet 1719, la mariée apporte en dot la somme de 700 livres, une génisse, quatre brebis avec leur agneau, trois robes, quatre linceuls[193]. Jean teste le 28 avril 1754 en faveur de son fils aîné, lègue 850 livres à Pierre, sa légitime à Antoine au cas où il ne voudrait plus jouir de son titre clérical et 5 sous à Jeanne dotée à son mariage[194].  D’où :

1- Jean Gaudou (2 juillet 1720-29 octobre 1764), qui suit.

2- Jeanne Gaudou (18 juillet 1722-8 mars 1766), mariée le 23 janvier 1748 avec François Chambert, de Cougoussac, Rameau Gaudou-Chambert IV.2, qui suivra.

3- Antoine Gaudou (vers 1728-1793), docteur en théologie, vicaire à Monteils en 1749. Le 17 mars 1761, il prend possession de la cure de Tizac[195]. En janvier 1791, il nomme pour procureur son neveu, François, qui devra se rendre à Villefranche auprès des sieurs du Directoire pour toucher le bénéfice de sa cure de Tizac.

4- Pierre Gaudou (vers 1734-14 novembre 1769), marchand aux Tampes, qui teste le 27 septembre 1769 en faveur de son neveu Jean Gaudou[196].

IV- Jean Gaudou (2 juillet 1720-23 septembre 1764 à 44 ans), marchand des Tampes, marié le 9 mars 1739 avec Elisabeth Labro (28 août 1721-4 juillet 1763), fille de Charles, hôte et praticien de Lunac et de Marie Gaudou[197]. D’après le contrat de mariage passé le 26 janvier 1739, Elisabeth apporte en dot 1 500 livres dont 500 livres de la part de sa mère, un coffre, une garde robe en noyer et cerisier…[198]. D’où :

1-    Charles Gaudou (1740-1741, âgé de 1 an ½).

2-    Françoise Gaudou (10 janvier 1742-après 1799), mariée le 10 mars 1766 avec Louis Ervet (1735-avant 1796), procureur en la ville de Najac, fils de François, notaire, et de feue Marie Guibbert. Lors de son contrat de mariage passée le 7 février en présence de ses oncles Antoine et Pierre, exécuteurs testamentaires, Françoise est dotée de la somme de 4 000 livres, tandis que le père du fiancé lui donne la moitié de ses biens et l’émancipe[199].  D’où :

a- Jacquette Ervet (vers 1772-24 novembre 1833 à Najac), mariée le 7 février 1796 avec Jean Antoine Rouziès ( -1835 à Najac), né en Lozère (Sainte-Croix-Vallée-française), entrepreneur de travaux publics, propriétaire du château de Najac qu’il revend quelques années plus tard. Sans descendance.

3-    Jean Gaudou (11 octobre 1744-19 septembre 1772 à 28 ans), négociant, marié avec Catherine Atquié, fille de feu François, bourgeois des Martres (Combrouzes) et de Marie-Anne Marre. Dans le contrat passé le 11 février 1770, Jean hérite de la moitié des biens paternels et Catherine reçoit en dot la somme de 1 000 livres, hérite des biens de son père, devra verser une pension alimentaire de 400 livres à sa mère et vivre au même « pot et feu »[200]. Jean décède deux ans plus tard et son fils Jean-Antoine âgé de 2 ans, six mois après. Sa veuve se retire aux Martres et se remarie.

4- Marie Rose Gaudou (12 août 1747-avant 1799).

5- Jean-Pierre Gaudou (13 mars 1749-après 1799), dragon en 1769, puis marchand, marié le 1er mai 1771. Lors de son contrat de mariage le 24 avril avec Marguerite Palayssal, fille de Jean et Marie Viale, de Villefranche, il se constitue la somme de 5 000 livres[201]. Descendance inconnue.

4-    Rose Gaudou (19 octobre 1751- ), mariée à Najac le 6 juillet 1772 avec Pierre Palmier, bourgeois de Rodez, fils de Pierre et Jeanne Bruyère. Rose teste le 22 juillet 1816 aux Tampes, donne la moitié de ses biens en jouissance à son mari et le quart à sa fille Jeanne Palmier « plus jeune »[202]. 

D’où au moins trois enfants, descendance inconnue :

a- Jean Joseph Palmier (29 avril 1772 à Najac – ).

b- Jeanne Palmier « plus âgée ».

c- Jeanne Palmier « plus jeune ».

5-    Pierre Martin Gaudou, qui suit.

7- Pierre Gaudou (25 novembre 1756-après 1799), sans descendance.

9- François Gaudou (1759-après 1799), célibataire.

10- Jean-Joseph (1762-1762).

V- Martin Gaudou (9 avril 1754-31 mars 1799), marchand des Tampes, marié le 6 novembre 1779 avec Marie-Jeanne Vialadieu (1760-1820), fille de feu Jean, marchand papetier au moulin d’Ayres (Rieupeyroux) et de Jeanne Marre. Dans le contrat de mariage passé le même jour, la future est dotée de la somme de 7 000 livres, signe l’acte ainsi que sa mère[203]. Martin teste le 24 mars 1799 en faveur de sa femme, laissant un domaine estimé à 20 000 francs et la légitime à ses frères et sœurs survivants[204]. Le couple eut huit enfants dont trois avec descendance :

1-    Marie-Jeanne Gaudou (1780-1785).

2-    Rose Gaudou (1782-1867), voir dans le prochain Bulletin Rameau Gaudou-Fraysse VI.2.

3-    Marie-Renée Gaudou (1783-1823), mariée le 27 janvier 1812 avec Paul Fraisse (1776-après 1846), fils de Pierre et de Marie Alet, des Cabanelles (Prévinquières).  D’où nés aux Cabanelles.

a- Jean Philippe Fraisse (1818-1887 à Bonels, Lunac), marié le 29 septembre 1840 avec Marie Couronne (1820-après 1887), fille de Sauveur et Marie Izard, de Lunac. D’où né à Lunac :

- Louis Fraisse (1841- ). Descendance inconnue.

b- Marie Fraisse (vers 1820-1857), mariée le 7 février 1840 à Prévinquières avec Louis Viguié (1810-1892), fils de Jean Louis et Marie-Anne Loupias, du Puech de Tizac. Le  31 octobre 1872, Louis Viguier fait le partage de ses biens entre son fils Louis et ses deux filles Rosalie et Marie[205]. Il avait eu huit enfants nés au Puech de Tizac (dont quatre morts en bas âge) :

- Louis Viguié (1841- ), marié le 3 mars 1867 avec Philippine Segonds (1843-1897), fille de Joseph et Julie Couffin, d’Oubax (Lunac). D’où nés au Puech de Tizac mais n’y habitant plus en 1931 :

. Célestin Viguié (1871-entre 1921 et 1931), marié le 24 juin 1894 avec Euphrasie Maruéjouls (1872-1951 à Morlhon), fille de feus Antoine et Julie Pradines, de Tizac. Sans descendance.   

. Marie Julie Viguié (1873-après 1926), marié le 21 janvier 1895 avec Léon Chambert (1862-vers 1926), fils de Jean Joseph et Philippine Alaux, des Mazières (Lunac). D’où née aux Mazières :

 Marthe Chambert (1904-1965), marié en 1926 avec Germain Marty (1900-1959), fils de François et Germaine Albar, du Croup (La Fouillade). D’où trois filles. Descendance à La Fouillade, Sanvensa, Carmaux (81), Toulouse, Région parisienne.

. Elie Viguié (1883- ), descendance inconnue.

- Rosalie Viguier (1846-1908), mariée le 6 novembre 1872 à Vabre avec Jean-Pierre Marty (1836-1925 âgé de 89 ans), de La Tapie (La Fouillade), fils de Jean-Pierre et Marie Rose Marty. D’où six enfants nés au Puech, dont deux décédés en bas âge :

. Casimir Marty (1874- ), marié en 1920 avec Marie Bargues, de Lescure. D’où nés aux Cazals (Lescure) :

Edmond Marty (1922-1962), sans descendance, marié avec Paulette Rigal, descendante de Louis XI, voir Bulletin n° 84 V.3.b

     . Eugénie Marty (1876-1960 à Bar), religieuse dominicaine.

. Marcellin Marty dit « tsandrou » (1877-1950), marié en 1905 avec Marie Tranier (1886-1975 âgée de 89 ans), descendante de Louis XI voir Bulletin n° 74 I.7.e.

. Julie Marty (1880-1964), mariée en 1904 avec Jean Baptiste Combettes (1869- ), fils de Jean Baptiste et Marie Rose Aurel, de La Guionie (La Salvetat-Peyralès). Descendance inconnue.

- Marie Viguier (1855-après 1926), mariée le 3 novembre 1872 avec Jean Baptiste Loupias (1846-avant 1911), fils de Bernard et Marie Blanc, de Flauzins (Lescure-Jaoul). D’où :

. Frédéric Loupias (1873- ). Descendance inconnue.

. Zéphirin Loupias (1885-1914), mort pour La France le 26 octobre 1914 à Langemark (Belgique) âgé de 29 ans.

4-    Pierre-Martin Gaudou, qui suit.

5-    Jean-Pierre Gaudou (8 mars 1787-20 novembre 1872), célibataire qui teste le 17 décembre 1857 en faveur de son neveu Paul-Auguste, donne 500 francs à sa nièce Victorine et aux pauvres ses habits et 8 hectolitres de seigle[206].

6-    Jeanne Gaudou (21 février 1789-4 mai 1805 à 16 ans).

7-    Marie Gaudou (12 novembre 1790-après 1815).

8-    Philippe Gaudou (1793-1857), curé à Marmon (Morlhon).

 

VI- Pierre-Martin Gaudou (1785-1862 à Moussouse), propriétaire aux Tampes, marié le 14 février 1813 avec Félicité Foulquié (vers 1793-1865 à Moussouse), fille d’Amans et de Marie Madeleine Trémolières, du Batut (Ceignac). En 1871, a lieu le partage entre trois enfants Gaudou : Eulalie, épouse Garric, Marie, épouse Roques, et Augustin[207]. Le couple avait eu :

1-      Philippe Martin Gaudou (1815-1849 à 34 ans).

2-    Marie Gaudou (1820-1864), célibataire décédée à Puchméja (Maleville).

3-    Eulalie Gaudou (1823-après 1891), mariée le 14 février 1844 avec François Garric (1814- ), fils de François, martinaire de Moussouse (La Bastide-l’Evêque) et de Marie Jeanne Viguié. D’où nés à Moussouse, descendance inconnue :

a-    Emilie Garric (1845-après 1901), célibataire.

b Marcellin Garric (1847- ), marié avec Marie Alet, n’habitant plus à Moussouse en 1891. D’où :

- Albanie Garric (1877-1956), mariée en 1900 avec Etienne Orcibal.

c- Marie Célestine Garric (1849- ).

4-    Victor Jean-Pierre Gaudou (1826-1846 à 20 ans).

5- Marie Anne dite Victorine Gaudou (1828-1867 à 39 ans). D’où une fille naturelle légitimée Nouviale après son mariage :

a- Nathalie Gaudou (1847-1887 à Vabre), mariée le 4 février 1874 avec Joseph Vergnes (1843- ), fils de Jean et Rose Bourdoncle, de Lacalm (Saint-Salvadou). D’où nés à Linars (Tizac) n’y habitant plus en 1891, descendance inconnue :

- Joseph Vergnes.

- Alphonse Vergnes.

- Marie Vergnes (1881-1947), mariée le 4 février 1907 avec Maximin Masse (1861- ), fils de Jean Louis et Charlotte Taché, de Peyres-Albes (Vabre), à La Nouvialette en 1929. D’où :

. Marie Masse (1909- ). Descendance inconnue.

Victorine se marie le 13 février 1848 avec François Nouviale (1817-1887), fils de François et Marie-Rose Taché, métayers à Linars (Vabre). D’où sept enfants nés à Linars (un décédé jeune) :

b- Philippine Nouviale (1850-après 1911), mariée en 1872 avec Louis Cabrit (1841- ), fils de François et feue Marie Lacoste, de Sauzet (Lescure). D’où né au Parairet (Vabre) :

- Louis Cabrit (1873-1947), métayer à Linars en 1911, marié en 1905 avec Euphrasie Jonquières (1882-après 1921), fille de Jean Baptiste et Julie Cabrit, de Flauzins (Lescure). D’où née au Suc del Périé (Vabre) :

. Louise Cabrit (1909-1974 à Linars), célibataire.

c- François dit Eusèbe Nouviale (1852-1918), marié en 1878 avec Julie Alcouffe (1849- ), fille de Jean Antoine et Marie Jeanne Izard, de La Tapie (La Fouillade). D’où nés à Vabre :

- Zéphirin Nouviale (1880- ), curé à Ceignac, décédé à Clairvaux.

- Albanie Nouviale (1882-1957), mariée en 1902 avec Basile Lagarrigue (1877-1948), fils de Jean François et Charlotte Alcouffe, des Fargues (Vabre). D’où nés au Fargues :

. Marthe Lagarrigue (1903- ), mariée avec Louis Lagarrigue (1902- ). D’où nés aux Fargues :

Raymond Lagarrigue. Descendance à Vabre.

Marie-Louise Lagarrigue. Descendance à Toulouse.

Jeanine Lagarrigue. Descendance à Albi.

. Basilie Lagarrigue (1906- ), épouse d’Achille Rouziès, voir ci-dessous 6.b.

. Alice Lagarrigue (1909- ), religieuse à Ceignac, Clairvaux.

d-    Eulalie Nouviale (1855- ), mariée le 31 juillet 1881 à Lunac avec Joseph Loupias (1856- ), fils de Charles et Rose Couderc, de Ravetou (Lunac). D’où deux fils, descendance inconnue :

- Alexis Nouviale (1877 à Linars- ), fils naturel, marié en 1909 à La Salvetat-Peyralès avec Adeline David.

- Wilfrid Cyprien Loupias (1882 à La Rousselie, Lunac- ).

e-  Pierre Martin dit Auguste Nouviale (1857- ).

f-  Césarine Nouviale (1861-1952 à 91 ans), mariée en 1884 avec Victor Molinier (1851-entre 1931 et 1936), fils de Joseph et Rose Loupias, de Loupias (Lunac). D’où nés à Loupias, sans descendance :

- Marie Molinier (1885-vers 1905).

- Justin Molinier (1891-1956), marié en 1923 avec Eugénie Caussanel.

- Valérie Molinier (1893-1978), célibataire.

g- Julien Nouviale (1864- ), marié en 1901 à La Jonchère (85) avec Rose Moret, sans descendance.

6-    Marie Gaudou (1829- ), mariée le 5 novembre 1849 avec Louis Roques (1819-1856 à 37 ans), cordonnier, fils de Jean-Pierre et feue Françoise Gayrard, de Salles-Curan. D’où nés à Vabre :

a- Marie Christine Roques (1850-1886 à Vabre), mariée en 1869 avec Cyprien Courchinoux (1846- ), fils de feu Jean Antoine et Marie Jeanne Segonds, d’Oubax (Lunac). D’où né à Oubax :

- Jean Cyprien Courchinoux (1870- ), descendance inconnue.

 b- Louis Roques (1852-1899), cordonnier à Vabre, marié en 1875 avec Henriette Fournier (1847-1886 en couches), fille de François et Marie Rose Cabrit, de Lauriol (Vabre). D’où sept enfants nés à Vabre dont quatre décédés jeunes, descendance inconnue :

- Marie Roques (1876-1969), mariée en 1902 avec Jean Baptiste Rouziès (1871- ), fils de Jean Baptiste et Julie Nattes, de La Griffoulie (Vabre). D’où nés à Vabre : 

. Achille Rouziès (1908-1997 à Tarbes), mécanicien, marié en 1947 avec Basilie Lagarrigue, voir 5.c, d’où un fils à Tarbes sans descendance.

. André Rouziès (1912-1991 à Villefranche), marié en 1937 à Villeneuve avec Rosa Delhom.

- Auguste Roques (1884- ).

- François Roques (1886- ).

c- Marie Eulalie Roques (1856- ), descendance inconnue.

7- Augustin-Paul Gaudou (1833- ), qui suit.

 

VII- Augustin Gaudou (1833-1920), propriétaire aux Tampes. En 1873, Augustin vend à Célestin Blanc, de Lescure, meunier au moulin dit de « Gaudou », le moulin et la scierie pour la somme de 6 000 francs avec la clause de moudre gratuitement le blé dudit Gaudou pendant sa vie[208]. Deux ans plus tard, Célestin Blanc revend le moulin à François Pouget. Augustin avait épousé :

· en premières noces le 1er février 1853 Rosalie Viguier (1837-1856), fille de Baptiste et Victoire Souyri, du Castagnier (Saint-Salvadou). D’où :  

1- Auguste Gaudou (1856-avant 1920).

· en secondes noces le 9 juin 1858 avec Victoire Marre (vers 1838-1896), fille de Jean-François, marchand de cuivre, et de feue Catherine Bouscayrol, de Lortal (La Bastide-l’Evêque). D’où :

3- Julien Gaudou (1860- ), employé aux chemins de fer à Carcassonne, marié à Najac en 1885 avec Rose Césarine Savy (1863- ), fille de Charles et Rose Falipou, de Najac. Descendance dans la région parisienne.

5- Alphonse Gaudou (1864- ), instituteur à Aubin.  Descendance.

6- Adeline Gaudou (1865- ), célibataire.

7- Eugène Gaudou (1868- ), époux de Jeanne André.  Descendance dans la région des Sables-d’Olonnes.

8- Léon Gaudou (1870-1943), qui suit.

9- Marie Gaudou (1874- ), mariée le 23 juin 1894 avec Louis Amiel (1867- ), fils de Charles Victor et feue Virginie Rouziès, de Talespie (Saint-Salvadou). D’où :

a.     Alice Amiel (1902- ), épouse Cadrès, de La Bastide-l’Evêque. D’où trois filles. Descendance à Toulouse.

b.    Olivier Amiel (1904- ), mariée avec Agnès Fraysse, fille de Julien et Célina Alaux, de Sayssou (Vabre), descendante de Louis XI, voir prochain Bulletin. D’où :

- Marie-Louise Amiel, épouse Puech, de Castanet. Descendance à Castanet, Baraqueville, Millau, Toulouse.

- Rolland Amiel, époux Vernhet. Descendance à Talespie, Rodez, Castres.

- Claude Amiel, époux de Geneviève Marty, de La Roque (Najac), descendante de Louis XI, voir prochain Bulletin. Descendance à La Roque, Revel (81), Nancy.

c.     Berthe Amiel (1907- ), épouse Mouly, de La Bastide-l’Evêque. D’où deux filles sans descendance.

10- Sophie Gaudou (1874- ), mariée en 1902 avec Séverin Blanc (1874- ), forgeron à Lescure. D’où :

a- Roger Blanc (1906- ), célibataire.

b- Valentin Blanc (1908- ), marié sans descendance.

c- Maria Blanc (1911- ), épouse de Georges Dintilhac, de Saint-Salvadou, sans descendance.

 

VIII- Léon Gaudou (1870-1943), propriétaire aux Tampes, marié en 1905 avec Rosalie Cueye, des Pesquiés (Villefranche-de-Rouergue). D’où :

1-    Léonie Gaudou (1906- ), épouse Siméan en premières noces, Carrié en secondes noces. Descendance aux Pesquiés, à Villefranche, Toulouse.

2-    Flavie Gaudou (1910-1943), mariée avec Albert Antoine, de Vabre. D’où six enfants. Descendance aux Tampes, à Vabre, Villefranche, Rodez, Millau, dans le Lot, la Haute-Garonne, la Corrèze, la Loire.

3- Berthe Gaudou (1919- ), épouse Antoine. D’où trois fils. Descendance dans le Tarn-et-Garonne, l’Ain, le Morbilhan.    

                              Rameau Gaudou-Chambert

 

IV.2- Jeanne Gaudou (1722-1766), fille de Jean et Thérèse Teulier, se marie le 23 janvier 1748 avec François Chambert (1725-1808), paysan de Cougoussac (Vabre), fils de feu François et Marie-Anne Reilhan. Dans le contrat de mariage passé le 11 décembre 1747, Jeanne a pour dot la somme de 1 000 livres, une robe, deux brebis, deux linceuls[209]. D’où nés à Cougoussac :

1- Marie Chambert (4 janvier 1749- ), descendance inconnue.

2- Isabeau Chambert (3 février 1750-29 janvier 1792), qui suivra Sous-Rameau Chambert-Pourcel V.2.

3- Jean François Chambert (23 octobre 1752-15 décembre 1814), qui suit.

4- Marianne Chambert (29 juillet 1756- ), mariée le 18 novembre 1783 avec Jean Vidal (1747- ), fils de François et Catherine Carles, de Monteils. Descendance inconnue.

5- Jeanne Marie Chambert (16 juin 1759- ), célibataire.

6- Marie Chambert (12 janvier 1763- ), mariée avec Antoine Bros, tailleur d’habits, des Imberts (Villefranche). D’où nés à Villefranche :

a- Antoine Bros (vers 1792-1836 à Monteils), marié le 5 février 1831 avec Marie Jeanne Mathieu, fille de feu Pierre et Suzanne Boissière, de Cailou (Monteils). D’où nés à Monteils :

- Joseph Antoine Bros, marié le 8 février 1882 avec Rose Joséphine Rossignol (1849-après 1909), fille de Jean Antoine et feue Victoire Pétronille Lalangue, de Lafage (Monteils). D’où

. Louise Bros (1887- ), mariée en 1909 avec Séverin Lafon (1881- ), de  Sanvensa. D’où au moins deux fils nés à Lafage n’y habitant plus en 1926, descendance inconnue.

b- Joseph Bros (vers 1801-1865 à Monteils), marié en 1826 avec Jeanne Mathieu (1796-1871), fille de Guillaume et Marguerite Couibes, de Caylou (Monteils)). D’où nés à Monteils 7 enfants dont 4 décédés en bas âge, descendance inconnue :

- Catherine Julie Bros (1828-1881), célibataire.

- Marie Rose Bros (1830- ).

- Antoine Joseph Bros (1833- ).

7- Jean François Chambert (1765-1768).

V- Jean François Chambert (1752-1814), tisserand à Vabre, marié en 1787 avec Marguerite Guilhem ( -1826) fille de Jean et feue Marie Taché, de Vabre. D’où nés à Vabre :

1- Elisabeth Chambert (13 novembre 1787-avant 1826), sans descendance.

2- Marie Rose Chambert (18 octobre 1789-19 août 1790).

3- Marie Chambert (12 août 1791- ), descendance inconnue.

4- Jean François Chambert (25 avril 1796-après 1851), qui suit.

5- Jeanne Chambert (5 novembre 1799- ), descendance inconnue.

6- Rose Chambert (29 janvier 1803-1854), mariée le 15 juillet 1832 avec Jean Baptiste Segonds (1804-1847), cultivateur à Teulières (Sanvensa), fils naturel de Catherine Segonds, de Saulières (Bor-et-Bar). D’où nés à Teulières :

a- Marie Rose Segonds (1834- ), mariée le 24 octobre 1857 avec François Blazy (1827- ), tisserand, fils de Barthélémy et Catherine Costes, de Teulières, descendance inconnue.

b- Marie Segonds (1837- ), mariée 23 avril 1873 avec Joseph Marty (1840- ), fils de Pierre et feue Marianne Frayssinet, de Murat (La Salvetat-Peyralès). D’où né à Vabre :

- Ferdinand Marty (1875-1915), marié en 1904 avec Sylvie Poux (1872- ), fille de Jean Pierre et Rosalie Izard, de La Servilie (Lescure), mort pour la France tué à Beauséjour le 10 juillet, laissant deux enfants mineurs.

c- Marie Caroline Segonds (1843- ), mariée le 28 juin 1865 avec Pierre Chambert (1838- ), fils de Pierre et Marie Bugiès, du Bès (Vabre). D’où nés au Bès :

- Marie Chambert (1867- ), mariée en premières noces en 1894 avec Hippolyte Groc (1866- ), fils naturel de Léontine Groc, de Lunac ; mariée en secondes noces en 1927 avec Joseph Marty.

-  Flavie Chambert (1869-après 1936), mariée en 1898 avec Fabien Bouyssi (1857- ), fils de feu Etienne et Marie Françoise Lobinhes, du Puech (Morlhon). D’où né au Puech :

. Louise Bouyssi (1901- ), épouse Ricard. Descendance à Septfonds (82), Montauban.

. Camille Bouyssi (1903-1982), marié avec Emma Calvet. D’où deux fils René et Maurice Descendance à Montauban, Toulouse, Bayonne, Luchon, Poitiers, Grenoble, les Deux-Sèvres.

- Caroline Chambert (1872- ).

- Casimir Chambert (1874- ), marié en 1900 avec Léontine Vabre.

- Marcellin Chambert (1876- ), marié en 1904 à Decazeville avec Séraphine Vigouroux.

- Emilie Chambert (1879-1964 à Decazeville), mariée en 1903 à La Salvetat-Peyralès avec Pierre Victor Lagarrigue.

- Gabriel Chambert (1887- ), marié en 1911 avec Claude Pauline André.

7- Marie Charlotte Chambert (30 octobre 1806- ), mariée le 13 février 1828 à Saint-Salvadou avec Guillaume Noailles, de Souzils (La Rouquette). Descendance inconnue.

VI- Jean François Chambert (25 avril 1796-après 1877), marié le 12 juin 1827 à Saint-Salvadou avec Marie Lagarrigue (1806-1877), fille de Joseph et Marie Jeanne Loupias, des Tempes. D’où nés à Vabre :

1- Jean Joseph Chambert (1829- ), qui suit.

3- Marie Chambert (1834-1851 à 17 ans).

4- Cyprien Chambert (1842- ), sabotier à Vabre en 1878.

VII- Jean Joseph Chambert (1829- ), marié le 8 octobre 1856 avec Henriette Cavalié (1835- ), fille de feu François et Marie Rose Pradines, des Landes (Vabre). D’où neuf enfants nés à Vabre (six décédés très jeunes) :

1- Marie Chambert (1857- ). Descendance inconnue.

2- Flavie Chambert (1862- ), mariée en 1883 avec Jean Baptiste Boutonnet (1851- ), charron à Vabre, fils de Charles et feue Rose Alet, de Trébessac (La Fouillade). Descendance inconnue.

3- Caroline dite Rosalie Chambert (1864-1919), mariée en 1892 avec Célestin Denis (1865-1933), cordonnier à Vabre, fils d’Antoine et de Marie Périé, de La Capelle-Bleys. D’où nés à Vabre :

a- Michel Denis (1896-1980), cordonnier à Vabre, marié à La Capelle en 1921 avec Elisa Grès (1902- ). D’où :

- Josette Renée Denis. Descendance Marmiesse.

b- Marthe Denis (1903- ), mariée en 1921 avec Alfred Grès, frère d’Elisa ci-dessus. Descendance Fournié.

                                      Sous-Rameau Chambert-Pourcel

V.2- Isabeau Chambert (1750-1792), mariée le 27 février 1770 avec Jean Pourcel (vers 1740-1810), fils de Jean et Catherine Falipou, de Combret (Teulières). D’où nés à Cougoussac (Vabre) :

1- François Pourcel (1773-1837), qui suit.

2- Jean Pourcel (1776-1847), marié le 15 juillet 1807 avec Marie Anne Alet (vers 1785-1838), fille de feus Jean et Marie Blanc, de Bleyssol. D’où cinq enfants nés à Cougoussac (trois décédés jeunes) :

a- Rose Pourcel (1809-1855), mariée le 5 juin 1833 avec Cyprien Marre (1801- ), fils de Nicolas, métayer aux Cazelles (La Bastide-l’Evêque), et de Marianne Falipou, voir Famille Guibbert-Marre Bulletin n° 83 IV.2. D’où cinq enfants nés à Cougoussac (deux décédés jeunes):

- Marie Rose Marre (1834-1871), mariée le 12 juillet 1863 avec Jean Baptiste Segons (1822 aux Agassats (Lunac)-après 1892), fils de Jean et Rose Conte. D’où nés à Cougoussac :

. Marie Segons (1864- ), mariée en 1887 avec Jules Barthélémy (1852- ), fils de Jules et Rose Loupias, au moulin du Bouscal (La Salvetat-Peyralès). D’où nés au moulin du Bouscal :

    Jules Joseph Barthélémy (1889-1954 à Albi). Descendance dans la région parisienne.

    Baptiste Michel Barthélémy (1891- ). Descendance inconnue.

. Rosalie Segons (1866- ). Descendance inconnue.

. Baptiste Segons (1867- ), marié en 1892 à Lunac avec Léontine Lafon (1864-1945 à Sanvensa), fille de Louis et Léontine Saurel, du Méjanet (Lunac). Descendance inconnue.

. Nathalie Segons (1871-1949 à La Fouillade), mariée en 1896 avec Alexandre Dardenne (1861-1909), du Mas de Cabrit (La Fouillade), voir Branche Guibbert-Marre Bulletin n° 83 IV.2.d.

- Mélanie Marre (1842- ). Descendance inconnue.

- Jean Pierre Marre (1849- ). Descendance inconnue.

b- Marie Anne Pourcel (1813-1856), mariée le 23 juin 1835 avec Jean Lortal (1809- ), fils de Jean et Marie Delhom, du Rieu (La Bastide-l’Evêque). D’où cinq enfants nés au Rieu, descendance inconnue :

- Marie Lortal (1837-après 1906), mariée en 1872 avec Joseph Pourcel (1842- ), fils de Joseph et feue Rose Rives, du Suc (La Bastide-l’Evêque). D’où nés au Suc mais n’y habitent plus en 1891 :

. Paulin Pourcel (1875-vers 1900), marié le 9 juillet 1899 avec Emilie Marie Bessière (1877-1959 à Carcassonne), fille de Jean Antoine et Marie Falipou, de Bordes (Vabre). Sans descendance.

. Marie Pourcel (1878-1960 à Andillac, 81), mariée le 12 avril 1899 à La Bastide avec Jean Joseph Jourda (1865- ), fils de Jean et Rosalie Jonquières, de Vialelles (Sanvensa).

. Marie Pourcel (1882- ).

-  Jean Lortal (1840- ).

-   Rosalie Lortal (1842- ).

-  Jean Baptiste Lortal (1844- ).

-   Symphorien Lortal (1845- ).

3- Marie Jeanne Pourcel (1779- ). Descendance inconnue.

4- Marie Pourcel (1784- ), mariée à Monteils le 7 juillet 1822 avec Jean-Pierre Aymard, fils de Raymond et Françoise Linon, de Bach (Lot). Descendance inconnue.

5- Elisabeth Pourcel (1786-1839 à Cougoussac), célibataire.

6- Marie Rose Pourcel (1788-1843), célibataire.

7- Jean François Pourcel (1790- ). Descendance inconnue.

VI- François Pourcel (1773-1837), marié le 18 octobre 1797 avec Thérèse Marre (vers 1780-1811), fille  de Jean et Madeleine Trébosc, de Cruolgues (La Bastide-l’Evêque)). D’où neuf enfants nés à Cougoussac (deux décédés jeunes) :

2- Marie Pourcel (1797-1879 à Cougoussac), mariée avec Pierre Cabrit (vers 1793-1877), cultivateur à Lugan (Vabre). D’où sept enfants nés à Lugan (deux décédés jeunes). Descendance inconnue :

b- Marie Rose Cabrit (1824- ).

d- Marie Rosalie Cabrit (1832-avant 1891), mariée à Rieupeyroux en 1858 avec Jean François Laumond (1822-après 1891), fils de feu Jean Louis et Jeanne Bénavent, du Bouscal (Rieupeyroux). D’où nés au Bouscal :

- Eulalie Laumon (1862- ), mariée en 1889 avec Auguste Rouziès (1866-vers 1900), fils de Joseph et Charlotte Lacombe, de Boursac (Vabre-Tizac). D’où nés à Boursac n’y habitant plus en 1901 :

. Auguste Rouziès (1891- ).

. Frédéric Rouziès (1892- ), marié en 1919 à Villeneuve avec Marie Adeline Bousquié (1896- ), fille de Marcellin et Julie Vaur, du moulin du Bès (Vabre).

e- Cyprien Cabrit (1835-après 1876).

f- Philippe Cabrit (1837- ).

g- Philippe Cabrit (1839- ).

h- Marie Cabrit (1840-après 1876).

3- François Pourcel (1801-1859), marié en 1842 avec Marie Gautié (1815-1885), fille de Joseph et feue Marie Segons. D’où nés à Cougoussac :

a- Joseph François Pourcel (1842- ), marié avec Justine Raynal. D’où nés à Cougoussac n’y habitant plus en 1896, descendance inconnue :

- Julien Pourcel (1876- ).

- Philomène Pourcel (1878- ).

- Emilie Pourcel (1880- ).

- Germain dit Léon Pourcel (1882- ).

- Nathalie Pourcel (1884-1949 à Constantine).

- Lucien Pourcel (1887- ).

b- Nathalie Pourcel (1845- ), mariée en 1866 avec Cyprien Fraysse (1834- ), fils de feus Pierre et Marie Anne Alaux, de Bleys (La Capelle-Bleys). D’où cinq enfants habitant Peyrelade (Saint-Salvadou) en 1876, mais n’y sont plus recensés en 1921, descendance inconnue :

- Frédéric Fraysse  (1867- ).

- Emilie Fraysse (1870- ).

- Célestin Fraysse (1874- ).

- Auguste Fraysse (1878- ), marié le 5 mai 1908 à Monteils avec Philomène Fraysse. D’où :

. Raymond Fraysse.

-  Cyprien Fraysse (1882- ).

c- Marie Eulalie dite Emilie Pourcel (1847-1872 à Monteils à 25 ans).

d- Marie Thérèse Pourcel (1849- ).

4- Marianne Pourcel (1803-1851), mariée en 1828 à La Bastide-l’Evêque avec Jean Alcouffe (1797- ), fils de feu Pierre et Françoise Rouziès, de La Bessarède (La Capelle-Bleys). D’où nés à La Bessarède:

a- Marie Julie Alcouffe (1835-1897 à Moyrazès), mariée :

·      en premières noces le 15 février 1863 à Rieupeyroux avec Pierre Alcouffe (1827-1866), fils de feu Pierre et Marie Auréjac, de Recoules (Prévinquières). D’où nés à Miquels (Rieupeyroux) :

- Henri Alcouffe (1865- ). Descendance inconnue.

·      en secondes noces le 12 février 1873 à Castanet avec Joseph Barrès (1838- ), fils de feus Pierre et Marie Vedel, de Sever (Castanet). D’où nés à Sallevezines (Rieupeyroux) :

- Joseph Barrès (1873-1946 à Castanet), marié à Pradinas en 1899 avec Léontine Rayet (1876- ), fille de Pierre et feue Marie Garrigues, des Planques (Pradinas). Descendance inconnue.

- Pierre Jean Barrès (1876-1955 à Moyrazès), marié en 1901 avec Julie Ginestet, de Ginestet (Moyrazès). Descendance inconnue.

- Marianne Julie Barrès (1879-1962 à La Capelle-Bleys), mariée avec Henry Augustin Alcouffe (1863-1929 à Moyrazès), de La Bessarède (La Capelle-Bleys), voir ci-dessous.

b- Augustin Alcouffe (1838-1929 à Moyrazès), cultivateur à La Bessarède, marié le 24 février 1862 avec Rosalie Pons, de Laval (La Capelle-Bleys). D’où :

- Henry Augustin Alcouffe, mariée avec Marianne Julie Barrès voir ci-dessus. D’où :

. Henriette Alcouffe, épouse de Jacques Raynal. Descendance.

5- Jean Baptiste Pourcel (1806- ). Descendance inconnue.

6- Thérèse Pourcel (1807- ). Descendance inconnue.

7- Jean Joseph Pourcel (1809- ). Descendance inconnue.

                                      Rameau Gaudou-Fraysse,  de Sayssou (Vabre)

IV- Rose Gaudou (1782-1867), fille de Jean et Thérèse Teulier, des Tampes, se marie le 30 janvier 1802 avec Louis Fraysse (1777-après 1867), paysan de Sayssou (Vabre), fils de Louis et Marie Rose Mouli[210]. La famille Fraysse est originaire du Bouyssou (Prévinquières) et s’est implantée à Sayssou(s) ou Saissou(s) par mariage en 1710 avec Marie Bérail, descendante d’une famille de paysans présents en ce lieu depuis le XVIIe siècle. Le couple a eu cinq enfants :

1- Louis Fraysse (1802-après 1868), célibataire, cultivateur à Sayssou.

2- Marie Rose Fraysse (1805-1871 au Verdier), marié le 18 juillet 1824 avec Jean Antoine Colomb (1788-1841), du Puech de Tizac. D’où nés au  Verdié (Vabre) :

a- Marie Colomb (1825-après 1911), mariée le 29 juin 1845 avec Barthélémy Vaur (1812-avant 1876), fils de Joseph et Marianne Plancade, du Parairet (Vabre). D’où huit enfants nés à Tizac dont trois décédés très jeunes :

- Victor Vaur (1852-après 1911), descendance inconnue.

- Marie Vaur (1856- ), mariée le 11 août 1876 avec Victor Pascal (1850-1930 à Lunac), fils de Jean François et Marie Anne Izard, métayer à Pratla (Lunac). D’où :

. Victor Pascal (1877- ), marié en 1908 avec Marie Rivière, de Loupiac (La Fouillade). Descendance inconnue.

. Léon Pascal (1891-1968 à Toulouse), marié en 1922 avec Marie Debar, de La Salvetat-Peyralès. D’où nés à l’Hiversenc (Lunac) :

Fernand Pascal, époux Caussanel. Descendance à Rodez, Montpellier, Toulouse.

Marie Pascal, religieuse à Marcilhac.

Yvonne Pascal, épouse Cayrou. Descendance à Toulouse.

Michel Pascal. Descendance à  Tarbes.

- Jean Victor Vaur (1859- ).

- Euphrasie Vaur (1861- ), mariée le 3 février 1886 avec Jean Baptiste Segons (1854- ), fils de Louis et Julie Vidal, de La Landelle (Sanvensa). D’où nés à La Landelle, descendance inconnue :

. Jules Segons (1887- ).

. Albanie Segons (1889- ), mariée en 1912 avec Irénée Mercadier, de Castanet (82).

. Casimir Segonds (1897-1977), marié en 1924 avec Marie Lortal.

- Albine Vaur (1866- ), mariée le 29 janvier 1888 avec Cyprien Fabre (1858- ), fils de Jean François et Marie Anne Rouziès, de Puechganel (Lunac). D’où nées à Puechganel n’y habitant plus en 1906.

. Anna Fabre (1889-).

. Maria Fabre (1891-1979 à Caussade), mariée en premières noces en 1913 à Vabre avec Gustave Maruéjouls (1883-1915), mort pour la France, tué à Bois-Haut (Meuse), fils de Célestin et Rosalie Bruel, de Tizac, et en secondes noces en 1920 avec Justin Delpérié (1876-1954 à Villefranche), fils de Joseph et Julie Coursières, de Pesse-Grande (Lunac). D’où :

   Gustave Maruéjouls (1915- ), époux Sizes. Descendance.

. Bernadette Fabre (1895-1959 à Montauban), mariée en 1924 à Paris avec Séverin Mourlhou, de Louradou (La Fouillade). D’où quatre enfants. Descendance à Montauban, Narbonne.

. Albanie Fabre, mariée en 1921 à Lunac avec Alphonse ThéminesDescendance à Narbonne.

b- Marie Colomb (1828- ), mariée le 20 février 1848 avec Jean Pierre Guibbert, du Puech, descendant de Louis XI voir Bulletin n°82 Branche Guibbert-Viguier V-3. 

c- Victor Colomb (1830- ), cultivateur et aubergiste à Tizac, marié le 20 juillet 1862 avec Caroline Combettes (1838- ), fille de Jean Pierre et d’Antoinette Bassal, de Vabre. D’où nés à Tizac qu’ils n’habitent plus en 1896, descendance inconnue :

- Casimir Jean Colomb (1863 - ).

- Julien Antoine Colomb (1867- ), marié à Paris en 1909 avec Louise Herbert.

d- Jean-Pierre Colomb (1840-1888 au Gua), mineur, marié en 1864 avec Julie Chinchole. D’où nés au Verdié :

- Marie Colomb (1865- ), mariée avec Jean Bosc.

- Philippe Colomb (1867-1946 à Bouillac, 46), mineur au Gua, marié le 6 novembre 1891 avec Nathalie Masbou, de Bouillac. D’où au moins deux fils.

e-  Antoine Colomb (1833-1854 à 21 ans).

f- Jeanne Colomb (1835-avant 1911), mariée le 19 octobre 1859 avec Jean Nouviale (1827-1905), fils de Jean et Marie Blanc, de Boscadoule (Lescure-Jaoul). D’où nés au Verdié :

- Euphrasie Nouviale (1860-1918), mariée le 15 novembre 1881 avec Louis Alcouffe (1852- ), cultivateur à La Brousse (Saint-Salvadou), fils de Joseph et Marie Mazars. D’où nés à La Brousse :

. Louis Alcouffe (1882- ), marié le 8 octobre 1907  avec Alice Cadène, de Morlhon. D’où :

Sylvain Alcouffe (1910- ), marié avec Raymonde Daydou. Descendance à La Brousse.

. Sylvain François Alcouffe (1887- ), descendance inconnue.

. Alice Alcouffe (1889- ), descendance inconnue.

- Louis Nouviale (1863-après 1911), cultivateur au Verdié, marié avec Eugénie Bastide. D’où :

. François Nouviale (1897-1917 âgé de 20 ans), mort pour la France le 18 juillet 1917 dans l’ambulance le conduisant à Mourmelon-le-Petit (51).

. Alfred Nouviale (1901-1965 à Paris), marié en 1927 avec Marie Falipou. Descendance au Bès (Vabre).

. Maria Nouviale (1902- ), mariée en 1924 avec Louis Cadène, des Cabanelles (La Bastide-l’Evêque). Descendance aux Cabanelles, à Villefranche, Rignac, Rodez, Bozouls.

. Joséphine Nouviale (1906- ), mariée en 1925 avec Denis Bros, de Pierre Change (Vabre). Descendance à Vabre, Régions montalbanaise, parisienne.

- Emilie Nouviale (1868- ).

- Albanie Nouviale (1870-1949 à Lescure), épouse Higounenq. Descendance aux Tampes, à Baraqueville.

- Casimir Nouviale (1872-1958 à Marcenat, 15), marié le 26 novembre 1897 à Saint-Santin (15) avec Rosa Marie Rouquette.

- Marie Nouviale (1874 au Puech- ), mariée le 5 août 1896 avec Victor Guibbert (1867-1947), fils de Jean-Pierre et Rosalie Blanquet, de Lauriol (Vabre). D’où nés au Puech de Tizac :

. Elie Guibbert (1897-1947 à Vabre), marié en 1920 avec Lauréa Loupias, de Louradou (La Fouillade), descendante de Louis XI, voir ci-dessous 5.c. Descendance au Puech, à Pradials, Rodez, Toulouse, les Pyrénées.

. Michel Guibbert (1899-1976 à La Salvetat-Peyralès), marié avec Anna Landez, de La Salvetat-Peyralès. Descendance à Tizac, La Salvetat, Toulouse, Lille.

. Honoré Guibbert (1- ). Descendance Région toulousaine.

- Augustin Nouviale (1876-1962 à Rodez), célibataire.

3- Martin Fraysse (1807-1893), qui suit.

4- Jeanne Fraysse (1811-1880 à Sayssou), célibataire.

5- Henriette Fraysse (1815-1895), mariée en 1831 avec Victor Cazals (1803-1885), fils de François et Antoinette Saint-Hilaire, des Tempes. D’où neuf enfants nés aux Tempes dont trois décédés en bas âge :

a- Victor Cazals (1831-1898 à Villefranche), marié en 1872 avec Marie Caroline Couzy (1828-après 1898), fille de Jean Pierre et Marie Frayssinet, de Vabre. D’où une fille décédée à quelques mois.

 b- Marie Rose Cazals (1834-1860 à Villefranche, âgée de 26 ans), mère célibataire de Marie Cazals (1857-1864 à l’hospice de Villefranche).

  c- Antoine Cazals (1835-1915), marié en 1867 à Saint-Salvadou avec Virginie Couronne (1834-1909), fille d’Alexis et de Charlotte Boyer, de La Rivière-Basse (Saint-Salvadou). D’où nés aux Tempes :

- Marie Cazals (1869-1946 à Campes, 81), mariée en 1894 avec Jean Henri Loupias (1865- ), fils de Jean Baptiste et Rosalie Cazals, de Louradou. D’où nées à Louradou :

   . Lauréa Loupias (1898-1974 à Vabre), épouse d’Elie Guibert (voir ci-dessus) 2.f.

   . Emma Loupias (1904-1985 à Campes, 81), épouse Granier. Descendance dans le Tarn.

- Martin Cazals (1871-1948 aux Tempes), marié en 1903 avec Sophie Mazars (1879-1940) fille de Jean Louis et feue Julie Fabre, de Cassenodre (La Salvetat-Peyralès), sans descendance.  

- Calixte Cazals (1875-1898), célibataire.

d- François Arthémon Cazals (1839- ), descendance inconnue.

e- Louis Cazals (1842-1909 aux Tempes), célibataire.

f-  Julie Cazals (1847-1931), mariée en 1872 à Saint-Salvadou avec Louis Cayssials (1848-1926), fils de feu Antoine et Marie Anne Valière, de La Brousse. D’où sept enfants nés à La Brousse (cinq décédés en bas âge).

- Marie Cayssials (1888-1919 à Saint-Salvadou), mariée en 1905 avec Cyprien Marty.

- Germaine Cayssials (1889-1974), mariée en 1909 avec Firmin Tamalet. D’où née à La Brousse :

. Clotilde Tamalet (1920- ), épouse de Michel Sicard. Descendance Sicard à La Brousse, Lunac.

h- Victor Christophe Cazals (1853- ), descendance inconnue.

III- Martin Fraysse (1807-1893), cultivateur à Sayssou, marié le 28 août 1827 avec Marie Lagarrigue, du Muret (Saint-Salvadou), fille de Louis et Marianne Lagarrigue. D’où :

1- Louis Fraysse (1828-après 1911), épicier, marié en premières noces en 1864 à Lescure avec Rosalie Blanc (1842-1868 en couches), fille de Jean Antoine et Marianne Frégières, de Lescure et en secondes noces en 1869 avec Marie Julie Viguié (1829- ), fille de Cyprien et Marie Sénergues, de Bonières et des Fargues (Vabre). D’où née à Sayssou du premier lit :

a- Marie Anastasie Fraysse (1868- ). Descendance inconnue.

2-    Agathe Fraysse (1830-après 1882), mariée le 13 février 1849 avec Jean Baptiste Pradines (1819-1898), fils de Jean Baptiste et Marie Rose Boyer, des Tempes (Vabre). D’où :

b- Victorine Pradines (1852-vers 1930), mariée en 1876 avec Jean-Pierre Dumoulin, fils de Jean et Marie Rose Olié, du Verdié. D’où nés à Puechlong (Tizac) :

- Jean Joseph Dumoulin (1880-1962), marié en 1905 avec Irma Dumoulin (1887-1962), fille de François et Léontine Bessou, du Verdié. D’où :

. Paul Dumoulin (1913- ). Descendance à Saint-Salvadou, Toulouse.

. Marius Dumoulin (1919- ). Descendance à Tizac, Albi, Région toulousaine, Vendée.

c- Auguste Pradines (1854-1909), marié en 1878 avec Rosa Loupias (1856- ), fille de Joseph et Marie Rose Galy, de Lunac. D’où nés aux Tempes :

- Gustave Pradines (1880-1914), mort pour la France disparu le 27 septembre 1914 à Chauvoncourt (55), marié en 1911 avec Maria Tranier (1892- ), du Puech (Vabre). D’où :

. Clotilde Pradines, épouse Mayran, de La Bourdarie (Lunac). Descendance à Lunac, La Fouillade.

- Elisa Pradines (1883- ), mariée en 1907 avec Albert Déléris (1880-1976), fils de Jean François et Julie Mayran, de Lescure. D’où nés à Lescure :

. Séraphin Déléris (1913-2012 âgé de 99 ans), célibataire

. Madeleine Déléris, épouse Blanquet. D’où un fils sans descendance.

- Marie Pradines (1887- ), mariée en premières noces en 1912 avec Germain Fraysse (1887-1915), de Sayssou voir III.9.c ; et en secondes noces en 1919 avec Gabriel Viguié, sans descendance.

- Jules Pradines (1891-1973), marié en 1919 avec Noëlie Fraysse (1894- ), sœur de Germain. D’où :

. Rodophe Pradines. D’où Evelyne Pradines, épouse Roux, de Cousteaux (Saint-Salvadou). Descendance à Cousteaux, Villefranche, Toulouse.

. Gabrielle Pradines, épouse Dintilhac, de Talespies (Saint-Salvadou). Descendance à Talespies, Privezac, Toulouse.

d- Marie Agathe Pradines (1855- ), descendance inconnue.

f- Nathalie Pradines (1857- ), mariée en 1880 à Saint- Salvadou avec Jean Louis Mazières (1853-  ), fils de François et Rose Lacombe, de Saint-Salvadou. D’où nés à Fournaguet :

- Richard Mazières (1883 à Villefranche- ), marié en 1909 à La Fouillade avec Valentine Couronne (1888- ), descendante de Louis XI, voir Bulletin n°74 Famille Tranier. II.2.b. Descendance.

- Louise Nathalie Mazières (1898 à Saint-Salvadou- ). Descendance dans le Tarn.

 g- Angélique Philomène Pradines (1859- ), mariée en 1880 avec Joseph Hugonnet (1851- ), fils de Joseph et feue Marie Boyer, de Laurélie (Bor-et-Bar). Descendance inconnue.

 h- Euphrasie Pradines (1863-après 1891), mariée en 1882 avec Jean Baptiste Pradines (1854- ), fils de Jean et Charlotte Alet, du Verdié (Vabre). Sans descendance.

3- Pélagie Fraysse (1832-1915 à Lescure), mariée avec Joseph Borie, de Lescure. D’où une fille, épouse de Joseph Blanc, descendance inconnue.

4-    Auguste Fraysse (1834-1909), cultivateur à Sayssou puis à Vabre, marié avec Sophie Lacombe. D’où :

a-    Albert Fraysse (1869- ), marié en 1894 avec Irma Fraysse, de La Salvetat-Peyralès. D’où nés à Vabre :

- Camille Fraysse (1895- ), marié avec Berthe Boyer, de Cabanès.

- Marie Sophie Fraysse (1896- ), mariée avec Elie Graffan.

- Alix Fraysse (1899- ), mariée en 1921 avec René Bosc (1896- ), de Lescure.

b- Emilie Fraysse (1871- ), descendance inconnue.

c- Marie Fraysse jumelle (1871-1948 à Paris), descendance inconnue.

d-    Marie Germaine Fraysse (1874- ) descendance inconnue.

5- Clémentine Fraysse (1836-1868 à Laucédat La Fouillade), mariée en 1859 avec Jean Pierre Calvignac (1833-1902), fils de Jean Pierre et d’Antoinette Boyer, de La Vergne (Bor-et-Bar). D’où :

a- Henry Calvignac (1861 à Laucédat- ), limonadier à La Fouillade, marié en 1895 avec Rosalie Gibergues (1874- ), fille de Jean-Louis et Mélanie Lagarrigue, du Breil (Sanvensa). D’où :

- Rémy Calvignac (1897-1960), marié en 1925 à Toulouse avec Marie Louise Loubet.

- Achille Calvignac (1902-1967 à Lyon), marié à Lyon en 1924 avec Claudine Callet

- Léopold Calvignac (1911-1954 à La Fouillade), célibataire.

b- Julien Calvignac (1863-1909), cordonnier à La Fouillade, marié avec Antonia Bourgade. D’où  :

- Irénée Calvignac (1899- ), marié en 1927 à Clichy avec Jeanne Vergnes.

- Emile Calvignac (1903 à Laucédat- ), marié en 1926 avec Olga Saurel (1905-1990), fille d’Amédée et de feue Germaine Ardourel, d’Arcanhac. Descendance.

c - Jean Pierre Frédéric Calvignac (1864- ).

6- Isidore Fraysse (1838-après 1894), marié en 1869 avec Alexandrine Marre (1845- après 1894), fille de Jean Pierre et d’Apollonie Guibbert, du Puech de Tizac, descendante de Louis XI voir Bulletin n° 83 VI.

7- Victorine Fraysse (1840-après 1926), mariée en 1863 avec Martin Gayrard (1839- ), fils de Jean François et Marianne Bruel, du Bessayras (Vabre). D’où nés au Bessayras (Vabre) :

a- Victorine Gayrard (1864-après 1926), mariée en 1886 avec François Lacoste (1854- ), fils de Pierre et Marie Pomiès, des Cayroux (Lescure). D’où nés au Bessayras, descendance inconnue :

- Jean François Lacoste (1886-1917), mort pour la France, tué à son poste de combat le 26 mai 1917 à Loivres (51), marié en 1913 avec Gabrielle Cabrit, de Maleville. D’où :

. Gaston Lacoste (1915- ), adopté par la nation en 1918, marié avec Marie Loupias, de Lescure. Descendance.

- Jules Lacoste (1888-1960 à Naucelle), marié en 1921 avec Marie Sudres, de Naucelle.

- Thérèse Lacoste (1890-1950 à Cordes), mariée en 1920 avec Louis Delsol.

- Adrien Lacoste (1892- ), marié en 1920 à Lunac avec Maria Guibbert.

- Hélène Lacoste (1893-1975 à Montpellier), mariée en 1920 avec Séraphin Taillefer.

- Marie Lacoste (1895-1963 à Neuilly le Réal, 03), mariée en 1922 avec Théophile Ricard.

- Emilie Lacoste (1897- ), mariée en 1921 à Paris 9e avec Louis Delcausse (1899-1984 à Arpajon), fils de Cyprien et d’Adeline Alcouffe, de La Peyrade (Lunac), sapeur pompier à Paris.

- Gabriel Lacoste (1903- ).

- Berthe Lacoste (1905- ).

b- Auguste Gayrard (1866- ), descendance inconnue.

c- Casimir Gayrard (1868- ), descendance inconnue.

d- Anastasie Gayrard (1869- ), descendance inconnue.

e- Cyprien Gayrard (1872- ), descendance inconnue.

f- Adeline Gayrard (1873-1954 à Fort-de-France).

g- Césarine Gayrard (1883-1954 à Lunac).

8-    Rosalie Fraysse (1843-après 1898), mariée en 1865 avec Pierre Delpérié (1836-1890), fils d’Antoine et de Marie Rose Viarouge, des Landes (Vabre). D’où nés aux Landes treize enfants (dont huit décédés naissants, un à 5 mois et un autre à 3 ans) :

a- Isidore Delpérié (1867- ), marié en 1902 avec Euphrasie Saint-Amans, fille de Pierre et d’Agnès Ginestet, de Tizac. D’où nés aux Landes, descendance inconnue :

- Irénée Delpérié.

- Marie Delpérié.

b - Emilie Delpérié (1876- ), mariée en 1898 avec Charles Garric (1865- ), fils de Julien et d’Henriette Cabrol, de Vinnac (Lugan). Descendance inconnue.

c- Albertine Delpérié (1887-1972 à Villefranche).

9-    Marie Anastasie Fraysse (1845- ), mariée en 1873 avec Jean Pierre Segons (1843- ), fils de Jean Pierre et Marie Massol, d’Oubax (Lunac). D’où nés à Oubax :

a- Augustin Segons (1873- ), marié en 1902 à La Bastide avec Marie Bessou. D’où nés à Oubax :

- Andréa Segonds (1908- ), religieuse dominicaine de Bor.

- Emilien Segonds (1914- ), marié avec Lucette Clapié, de La Fouillade. D’où deux filles. Descendance à Lunac, Sanvensa.

b- Léonie Segons (1877-1963 à Albi), mariée en 1898 à Villefranche avec Jean Frédéric Martin.

c- Marie Flavie Segonds (1885- ), mariée en premières noces avec Louis Pinel et en secondes noces en 1929 à Vabre avec Edouard Fabre, de Saint-Martin-Laguépie (81).

d- Albert Segonds (1887-1966 à Saint-Martin Laguépie, 81), marié en 1919 à Najac avec Maria Vinel.

10-  Cyprien Fraysse (1848-après 1911), marié avec Marie Pauzié. D’où cinq enfants nés à Sayssou dont trois morts à la guerre en 1915 (les deux aînés à une semaine d’intervalle) :

a- Julien Fraysse (1878-1915), mort pour la France, décédé le 11 janvier 1915 de fièvre typhoïde à Bar-le-Duc, marié en 1909 à Saint-Salvadou avec Célina Alaux. D’où quatre enfants (dont deux jumelles nées posthumes le 28 février 1915) adoptés par la nation en 1918 :

- Agnès Fraysse (1910- ), mariée avec Olivier Amiel, de Saint-Salvadou, descendant de Louis XI, voir Bulletin n°84 VII.3.

- Noël Fraysse (1912- ), marié avec Madeleine Marty (1915- ), de La Roque (Najac) voir V-3.e. D’où :

. Christiane Fraysse, épouse Auréjac. Descendance à Toulouse.

. Bernard Fraysse. Descendance à Sayssou.

. Jean Fraysse. Descendance en Région parisienne.

. José Fraysse. Descendance en Lorraine.

- Emma Fraysse (1915-2010 à 95 ans), institutrice, célibataire.

- Angèle Fraysse (1915- ), jumelle, religieuse de la Sainte-Famille à Villefranche.

b- Louis dit Denis (1884-1915), mort pour la France le 4 janvier 1915 à l’Hôpital militaire de Toul, marié en 1910 avec Marthe Chabbert.  D’où nés à La Tarenquie (Lanuéjouls) :

- Angela Fraysse (1910- ), mariée en 1931 avec François Cabarrot. Descendance.

- Augusta Fraysse (1913-1988), mariée en 1935 avec Jean Marie Rigaldiès. Descendance.

c- Germain Fraysse (1887-1915), mort pour la France le 25 septembre 1915 à Perthes-les-Hurlus (51), décès transcrit à la mairie de Vabre en juin 1916 après avoir été signalé le 11 mars 1916 à Paris, marié en 1912 avec Marie Pradines (voir III.2.c), descendante de Louis-XI dont il eut un fils décédé en 1914.

d- Virginie dite Thérèse Fraysse (1891- ), mariée en 1910 avec Jean Pierre Galaup, hôtelier à Laguépie (82). Descendance à Montauban.

e- Noëlie Fraysse (1894-1981), mariée en 1919 avec Jules Pradines (1891-1973), descendant de Louis-XI, voir ci-dessus III.3.e.

                                       Branche Gaudou, de Flauzins

III.6- Antoine Gaudou (1690-24 avril 1749), meunier au moulin de Rodomiala (situé tout près du moulin des Tampes), Antoine se marie le 9 février 1727 avec Jeanne Segons (vers 1705-1760), fille de feu Jean dit « Garric », du Périé (Saint-Salvadou), et de Françoise Périé (sa seconde épouse).

Le 27 avril 1734, il reçoit de son frère Jean Gaudou, des Tampes, la somme de 99 livres, reste de la constitution faite par son père dans son contrat de mariage, reçu par Me Fizes. Il teste le 13 février 1749 et cite pour recevoir l’hérédité un de ses enfants ou le posthume au cas où sa femme serait enceinte, « donnant plein pouvoir à sa femme d’en faire le choix quand bon lui semblera ». D’où nés à Rodiomala :

1-    Jeanne Gaudou (27 octobre 1732-1er juin 1755), mariée le 20 mai 1749 avec Jean Lagarrigue ( -1762), installé à Rodomiala, fils de Jean et de Marguerite Salvagnac, du Vignou (Les Mazières). Jeanne teste le 9 avril 1755 en faveur de son mari et donne à sa mère une pension viagère constituée de seigle, chanvre, châtaignes sèches et vertes, d’huile de noix… Elle avait eu une fille Marie décédée à un an.

2-    Jean Gaudou (vers 1732-1755 à 23 ans).

3-    Marie Anne Gaudou (12 février 1735-1749 à 14 ans).

4-    Jean Gaudou (19 avril 1738- 7 mars 1752 à 14 ans).

5-    Antoine Gaudou (12 avril 1746-9 novembre 1806), qui suit.

6-    Jean Pierre Gaudou (1749- ), sans descendance.

IV- Antoine Gaudou (1746-1806 à Flauzins), meunier à Rodomiala, marié le 15 février 1773 avec Marie-Anne Balat (1742-1826), fille de Blaise et d’Antoinette Rouquié. D’où nés à Rodomiala :

1-    Jean-Antoine Gaudou (13 mars 1774- ), qui suit.

2-    Jean Gaudou (13 juin 1775-avant 1806).

3-    Marie Gaudou (3 février 1777-après 1806).

4-    Jean-Baptiste Gaudou (1778-1803 à 25 ans).

5-    Marianne Gaudou (29 octobre 1780-avant 1806).

6-    Rose Gaudou (13 mars 1786-après 1806).

V- Jean-Antoine Gaudou (13 mars 1774-14 décembre 1847), propriétaire cultivateur à Flauzins et Rodomiala, marié le 1er février 1806avec Marie Campagnac ( -1841), fille de Pierre, cultivateur à Flauzins, et de feue Marie Jonquières. Le contrat de mariage est passé le 29 janvier 1806, la mariée hérite des biens de son père et le marié du quart par préciput des biens de ses parents, six brebis, un cochon, un lit garni... . D’où nés à Flauzins :

1- Marie Gaudou (vers 1808-1854), mariée en 1833 avec Joseph Labit (1808-1878), fils de Joseph et Rose Saint-Hilaire, de Bellecombe (La Salvetat-Peyralès). Veuf, Joseph se remarie avec Rosalie Lagarrigue. D’où nés à Bellecombe :

a- Joseph Labit (1833- ), descendance inconnue.

b- Rosalie Labit (1837-1881), mariée en en 1859 avec Joseph Issaly (1834-1893), fils de Joseph et Julie Delmas, de Bellecombe. D’où nés à Bellecombe :

- Jean Joseph Issaly (1860- ), n’y habite plus en 1876.

- Joseph Issaly (1871-1965 à 94 ans), marié en 1894 avec Marie Garrigues, de Rieupeyroux. D’où :

. Marie Issaly (1899- ).

. Zélia Issaly (1901-1986 à Jouqueviel, 81), marié en 1922 avec Albert Durand.

. Alfred Issaly (1902- ).

. Louise Issaly (1903-1984 à Villefranche), marié avec Louis Mailhé.

. Gaston Issaly (1905- ), épicier à La Salvetat. D’où cinq filles et un garçon, nés à Bellecombe. Descendance.

. Marguerite Issaly (1908-après 1926).

. Augustin Issaly (1911- ).

. Augustine Issaly (1913- ).

- Emile Issaly (1873- ), marié à Paris 12e en 1898 avec Augustine Vallée.

- Léon Issaly (1877-1980 âgé de 103 ans à Privas, 07), marié en 1903 à Ivry-sur-Seine avec Marie Boudet (1882-1929), en secondes noces en 1931 avec Adèle Miquel. Descendance.

- Marie Issaly (1878- ), marié en 1896 avec Adrien Rigal, de Leruech (La Salvetat-Peyralès). D’où nés à Leruech, n’y habitant plus en 1926, descendance inconnue :

. Denis Rigal (1899- ).

. Augustin Rigal (1902- ).

. Alice Rigal (1904- ).

. Elie Rigal (1906- ).

. Marthe Rigal (1909- ), mariée en 1934 à Grenoble avec Henri Viroly.

. Julien Rigal (1912-1988 à Foulayronnes (47).

. Marie Marguerite Rigal (1914- ).

. Florentine Marie Rigal (1922- ), mariée à Grenoble avec Camille Fayard.

- Marceline Issaly (1880-1907 à 27 ans).

2- Antoine Gaudou (1807-1885), qui suit.

3- Rosalie dite Rose Gaudou (1810-1891), mariée le 26 février 1840 avec Antoine Bergougnou ( -1850), fils de François et Marie Sénergues, de l’Hom (Lunac) et en secondes noces le 14 août 1852 avec Jean-Pierre Francès. D’où nés à L’Hom du premier lit :

    a- Rosalie Bergounhou (1840- ), descendance inconnue.

    b- Antoine Bergougnou (1842-entre 1921 et 31), marié avec Henriette Marty. D’où nés à L’Hom :

-  Antoine Casimir Bergougnou (1868-1962 à Toulon, âgé de 96 ans).

- Baptiste Bergougnou (1870-1915), mort pour la France le 24 mai 1915 à l’Hôpital de Toul, marié avec Marie Lavit, de La Salvetat-Peyralès. D’où :

. Marius Bergougnou (1890- ), marié avec Emma Granier. D’où deux fils nés à Fournols (Lescure). Descendance à Fournols, Najac, Villefranche, Cahors, Région parisienne.

. Alfred Bergougnou (1895- ), marié avec Marthe Saint-Amans, de Lespéronie (Lescure).  Descendance à Sanvensa, Albi, Montpellier.

. Gustave Bergougnou (1898-1969), marié en 1927 avec Marie Jonquières, d’Agens (Saint-Salvadou). D’où trois filles. Descendance à Agens, La Fouillade, Arcanhac, Villefranche, Montbazens, Castres, Auch, Régions toulousaine, parisienne, lyonnaise.

-  Henri François Bergougnou (1873- ), marié à Tayrac en 1904 avec Marie Virginie Trébosc.

c- Jean Joseph Bergougnou (1847- ), marié en 1874 avec Marie Rose Combes (1854- ), fille d’Alexandre et de Thérèse Lacoste,  de Lunac.

d- Marie Rose Bergougnou (1850- ), mariée en 1868 avec Jean Izard, de l’Hom (Lunac), descendant de Louis XI, voir Bulletin n° 87 Branche Guibbert-Loupias-Cayrou VII.2.

4- Julie Gaudou (1812-1872), mariée le 1er juillet 1844 avec Antoine Lacombe (1809-1886), menuisier, propriétaire cultivateur à Laubiès (Vabre), fils de feu Pierre et Marianne Cayre. D’où nés à Laubiès :

a- Philippe Lacombe (1847-  ), marié en 1876 avec Virginie Blanc (1851- ), fille de Jean et Marianne Goutoules, de La Borie (Lescure). D’où nés à Laubiès :

- Marie Lacombe (1879-après 1906), sans descendance.

-  Philippe Lacombe (1881- ), cultivateur à Laubiès, marié avec Aimée Goutoulès. D’où :

. Antonin Lacombe (1918- ), marié avec Virginie Blanc. Descendance Fraysse à Laubiès.

. Yvette Lacombe, épouse d’Eloi Blanc, de Lagriffoulie (Vabre). Descendance à Lagriffoulie, Figeac, Région parisienne.

-  Justin Lacombe (1890- après 1906), sans descendance.

b- Jean Antoine Cyprien Lacombe (1849- ), descendance inconnue.

c- Marie Lacombe (1851- ), mariée le 1er septembre 1878 avec Augustin Léon Alet (1854-après 1891), fils de Joseph et feue Julie Cabrit, de Rieuprésens (Vabre). D’où nés à Rieuprésens :

- Léon Alet (1879- ), marié en 1909 avec Marie Nouviale (1883- ), du Blazal (Lescure). D’où :

         . Bernard Alet, époux Boyer. Descendance à Lescure.

- Marie Alet (1881-1950 à Lescure), mariée en 1904 avec Léon Aymes, de Flauzins (Lescure). D’où deux filles. Descendance Ichard, du Fournet (Bor-et-Bar) et Pagès, de Saint-Christophe (81).

- Victor Alet (1882-1964), prêtre.

- Lucie Alet (1885-1978), mariée en 1908 à Rieupeyroux avec Joachim Nattes (1881-1946), fils de Léon et Marie Ardourel, de Sanvensa. D’où nés à Rieupeyroux :

. André Nattes (1909-1999 à Albi), marié avec Léa Malrieu. Descendance à Lescure d’Albi.

. Roger Nattes (1910- ), marié avec Yvonne Debar. Descendance à Saint-Sulpice (81).

. René Nattes (1914- ). Descendance à Jarlagou (Rieupeyrou), Région parisienne.

. Maurice Nattes (1920- ), menuisier à Vabre. Descendance à Sanvensa, Toulonjac, Annecy.

. Yvon Nattes (1928- ), époux Courrège. Descendance à Lunac, Rieupeyroux, Rodez.

- Albertine Alet (1886-1967 à Vabre), célibataire.

- Hélène Alet (1890-1969 à Vabre), célibataire.

- Urbain Alet (1898-1977 à Vabre), célibataire.

5- Baptiste Gaudou (1816-1900), marié le 18 février 1852 avec Marianne Saint-Amans (1829-1907), fille de Joseph et Rose Marie Nouviale, d’Arquiès (Lescure). D’où nés à Flauzins :

a- Jean Baptiste dit François Gaudou (1852-18 ), prêtre, décédé en Algérie.

b- Marc Gaudou (1855- ), marié le 16 juillet 1884 à Arcanhac avec Elisa Boyer (1829-), fille d’Alexandre et de Julie Tranier, des Cazelles (La Fouillade). D’où nés à Flauzins :

- Ernest Gaudou (1886-1916), mort pour la France âgé de 30 ans à Combly (80).

- Bernadette Gaudou (1902-1969), mariée en 1920 avec Isidore Bouby, de Cros (La Fouillade). D’où :                                                                                                      

. Dieudonné Bouby, marié avec Rose Viguier. Descendance à Cros, La Fouillade.

. Ernest Bouby, époux Sautarel, voir Bulletin n°87 Rameau Izarn-Pomiès VII.1.c.

. Bernard Bouby. Descendance à Flauzins                       

. Andrée Bouby, épouse Mailhé. Descendance à Toulouse

. Isidora Bouby. Descendance à Montpellier.

c-  Marie Gaudou (1858- ), épouse Estival, sans descendance.

d- Joseph Gaudou (1860-1895 à Flauzins), établi à Héliopolis marié avec Marie Saint-Amans.

e- Henri Gaudou (1862- ), curé de Bor jusqu’en 1943.                                       

f- Mélanie Gaudou (1864- ), mariée avec Célestin Blanc, sans descendance.

g- Noémie Gaudou (1866- ), célibataire au service de son frère à Bor.

h- Gabrielle Gaudou (1868-1905), mariée le 28 janvier 1890 avec Nicolas Robert (1838-1905), fils de Victor et d’Anne Marty, de La Borie (Lunac). D’où :

- Anna Robert (1890-1958), épouse Frézières, de Boudailhès (Saint-André). D’où :

. Robert Frézières, époux Bernadac. Descendance Région parisienne.

. Pierre Frézières, marié avec Josie Raymond. Descendance Région toulousaine, Pyrénées orientales.                                                       

                     Jeanne Robert (1894-1978 à Tarbes), épouse de Marius Grialou. Descendance à Tarbes, Région toulousaine.

-  Madeleine Robert (1902- ), mariée en 1924 à Boulogne-Billancourt avec Louis Dumas. Descendance Région parisienne.

VI- Jean Antoine Gaudou (vers 1807-1885), marié :

· en premières noces le 26 mars 1861 avec Marie Blanc (1815-1877), veuve de Bernard Loupias, fille de feus Joseph et Marie Anne Trébosc, de la Tapie (La Fouillade). D’où un fils décédé à 2 ans.

· en secondes noces le 26 juillet 1882 avec Euphrasie Sirven (1853- ), fille de Jean Pierre et Marie Rose Granier, de La Bertrandie (La Fouillade), servant chez Gaudou. D’où :

2- Félix Gaudou (1883-1969), cultivateur à Flauzins, marié le 19 juin 1907 avec Léonie Fraysse (1884-  ), des Cayrous (Lescure). D’où :

a- Elie Gaudou (1906-1927 à 21 ans).

b- Félix Gaudou (1909-1918 à 9 ans).

b- Félix Gaudou (1918-2000), marié avec Jeanne Loupias (1920-2007). D’où : 

- Jacques Gaudou. Descendance à Villefranche.

- Annie Gaudou. Descendance à Albi.

Branche Gaudou-Falip

III.2- Marie Gaudou (8 décembre 1683-2 février 1738), fille de Jean et d’Isabeau Guibbert, se marie en 1712 avec Joseph Falip (5 août 1669-5 octobre 1738), paysan des Cazes (Tizac), fils de Pierre et Catherine Salesse. Cette famille Falip, originaire de La Bastide-l’Evêque, s’est installée au village des Cazes par mariage en 1618 avec l’héritière de la famille Fabre, présente en ce lieu en 1445.

Joseph teste le 6 septembre 1738 devant Me Loupias, notaire de Lunac et dote ses filles de la somme de 800 livres. Cette dot, jugée insuffisante par ses gendres, obligera Pierre Falip à demander un supplément de légitime à son oncle Jean Gaudou, héritier de leur grand-père maternel décédé sans testament. Le 31 août 1740, après un procès terminé à l’amiable, les trois enfants Falip recevront chacun un supplément de 166 livres. Le couple aura peu de descendance :

1-    Marianne Falip (1716-1742), mariée le 27 mai 1739 avec Pierre Rouziès (1714-1787), paysan de Jonquières (Saint-Salvadou), fils de Jean et Jeanne Segons. D’où nés à Jonquières :

a- Jean Rouziès (5 octobre 1740-27 juin 1769 à 28 ans).

b-  Anne Rouziès (15 mars 1742- ), mariée le 13 juin 1763 avec François Pourcel, laboureur à Douzoulet (Rieupeyroux), fils de Jean et Catherine Falipou. D’où né à Douzoulet :

-  Jean Pourcel (1767- ), marié en 1806 avec Marie Jeanne Françoise Couderc (1775- ), fille de Pierre, notaire à Maloire (La Bastide-l’Evêque), et de Jeanne Boyer-la-Reule. Descendance inconnue.

2-    Joseph Falip (30 juillet 1718-avant 1738).

3-    Thérèse Falip (3 octobre 1719-23 avril 1761 à 42 ans), mariée le 19 juillet 1740 avec Pierre Couronne ( -16 octobre 1759), forgeron d’Arcanhac (La Fouillade), fils de Pierre et Marie Rudelle. D’où huit enfants nés à Arcanhac sans descendance :

a- Marie Couronne (26 août 1742- ), sans descendance.

b- Pierre Couronne (1er août 1744-26  mai 1769 à 25 ans).

c- Jeanne Marie Couronne (5 mai 1747-30 juillet 1772 à 25 ans à Arcanhac), mariée avec François Marre, du  Puech (Tizac), sans descendance.

d- Thérèse Couronne (15 septembre 1748-27 décembre 1775 à 27 ans), mariée avec Jean Granier (1739-1779), d’Arcanhac. D’où deux enfants un décédé à 5 ans.

- Jean Augustin Granier (12 septembre 1774- ), sans descendance.

e- Louis Couronne (3 novembre 1750-8 mai 1771 à 21 ans).

f- Marie Anne Couronne (19 mars 1753-16 juillet 1753 à 4 mois).

g- Marie Rose Couronne (12  mai 1755-14  mai 1759 à 4 ans).

h- Marianne Couronne (19 septembre 1757- ), mariée le 11 juin 1798 à Saint-André avec Jean Pierre Breil (1755- ), forgeron de Saint-André, fils de feus Jean et Marianne Miquel. Sans descendance.

4- Pierre Falip (1723-27 janvier 1789), qui suit.

IV- Pierre Falip (vers 1723-1789), marié le 22 septembre 1744 avec Antoinette Viguié (1722-5 juin 1789), fille d’Antoine et de Marie Faral, de Lacalm (Saint-Salvadou). D’où douze enfants nés aux Cazes dont un seul avec descendance :

1-    Pierre Falip (2 novembre 1745- ), célibataire, qui teste en 1832 en faveur de son neveu, Jean-Pierre.

2-    Thérèse Falip (12 juillet 1747-21 février 1824), mariée le 6 février 1771 avec Jean Albanhac (1736-1814), propriétaire à Tanus (Lunac), fils de Pierre et Jeanne Castanié, de Contensou (Tayrac), sans descendance.

3-    Marie Anne Falip (22 avril 1749- ), sans descendance.

4- Jean Falip (avril 1751-4 janvier 1836 à Mazelourgues), qui suit.

5- Joseph Falip (1er avril 1753- ), célibataire à Linars, qui teste le 17 janvier 1819 en faveur de son neveu Jean-Antoine, habitant au Puech, et donne 100 francs à chacun de ses autres neveux, Joseph, François et Victor.

6- Marie Falip (27 mars 1755-21 février 1835), célibataire décédé chez François Pouget aux Tampes.

7- Marie Anne Falip (30 mars 1757-21 novembre 1757).

8- Françoise Falip (25 octobre 1758-18 mars 1816), laquelle teste en faveur d’Antoine Espinasse, des Cazes (Vabre)

10- Jean Pierre Falip (23 février 1762-18 août 1763).

11- Rose Falip (30 mars 1764-18 février 1834 au Fraysse), célibataire.

12- mort-né 4 février 1766.

IV- Jean Falip (1751-1836), marié le 22 juin 1779 à Arcanhac avec Marie Coustaux (30 septembre 1756-29 mars 1829 à Lunac), fille de Jean et feue Marie Clapié, de Trébessac (La Fouillade). D’où nés à Trébessac :

1- Jean Pierre Phalip (2 décembre 1783-27 novembre 1857), qui suit.

2- Antoine Phalip ( -après 1840), célibataire habitant au Puech en 1819, à Mazelourgues en 1833.

3- Rose Phalip, qui en 1839 reçoit de son frère Jean-Pierre, la somme de 900 francs, acte signé de sa main Roze Phalip.

4- François Phalip (9 avril 1793-après 1820), célibataire.

5- Victor Phalip (12 février 1795-28 octobre 1828 au Griffoulas âgé de 33 ans), marié le 18 février 1828 avec Marguerite Phalip (1788- ), fille de François et Marie Cardaillac, de Cabanes, veuve Loupias, du Griffoulas, sans descendance.

6- Joseph Phalip ( -26 décembre 1828 au Fraysse, Tizac), célibataire, qui teste en faveur de sa tante Rose.

V- Jean Pierre Phalip (1783-1857), marié le 5 septembre 1833  avec Catherine Ricard (1798-1868), fille de Jean et Marie Acquié, de Labro (Saint-Salvadou). D’où nés à Mazelourgues (Vabre-Tizac) :

1- Marie-Rose dite Eulalie Phalip (1835-1912), célibataire.

2- Philippine Phalip (1837-1917), célibataire.

3- Jean Pierre Phalip (1838- ), marié avec Virginie Couronne (1849- ). D’où nés à Mazelourgues :

a- Marie Phalip (1872-1957 à 85 ans), célibataire.

b- Emilie Phalip (1873- ), célibataire.

c- Germaine Phalip (1876- ), célibataire.

d- Victorine Phalip (1877- ), religieuse infirmière de la Sainte-Famille.

e- Marie Sylvie Phalip (1882-1964 à Najac), mariée en 1910 avec Alphonse Marty (1879- ), de La Roque (Najac), descendant de Louis XI voir bulletin. D’où :

- Gabriel Marty (1911-2011 centenaire), marié avec Noëla Campagnac, de La Fouillade. D’où trois filles. Descendance à La Roque (Najac, Revel (81), Brignolles, Nancy, Allemagne.

- Madeleine Marty, épouse de Noël Fraysse, de Sayssou (Vabre), voir ci-dessus III.10.a. D’où une fille et trois fils.

Christiane Fraysse, épouse Auréjac Descendance à Toulouse.

Bernard Fraysse. Descendance à Sayssou.

Jean Fraysse. Descendance à Paris.

José Fraysse. Descendance en Lorraine.

Francis Cazals, Jean-Louis Déga, Geneviève Rigal-Saurel



[1]              Voir la communication « Les filles naturelles de Louis XI et leurs mères : mise au point » par Michel Durand-Delga, Héraldique et Généalogie,  n° 171, Avril-Juin 2004,  pages 107 à 111.

[2]              Voir la communication « Le mariage de Jean II d’Arpajon et d’Anne de Bourbon » par Lucien Mazars, dans Revue du Rouergue, 1983, n° 146, p. 97-107.

[3]              Louis de Bourbon, dit l’amiral de Bourbon, comte de Roussillon, seigneur de Lavogne, de’Usson, de Crémieu, de Beuaregard, de Vizille, de Moras et de Cirnillon, de Montpensier en Loudunais, baron de Landorre, amiral de France, gouverneur du Dauphiné, lieutenant général de Normandie, décédé le 14 janvier 1487 à Valognes, inhumé dans l’aglise Saint-Françpois de Valognes, marié en 1465 avec Jeanne de Valois, décédée vers 1515-19 et inhumée dans l’église de Mirabeau. Ils eurent :

a-      Jean (1465-1488), bâtard, protonotaire du Saint-Siège.

b-      Suzanne (1466-1531)), comtesse de Roussillon et de Ligny, mariée avec Jean de Chabannes et en 1510 avec Charles de Boulainvillers.

c-       Anne, dame de Mirabeau, mariée en 1793 avec Jean d’Arpajon.

d-      Catherine.

e-       Charles (1481-1510), marié en 1506 avec Anne de La Tour.

[4]              Maintenues de noblesse de la famille de Marcilhac conservées en série C aux Archives de Tarn-et-Garonne à Montauban, publiées par Jean Vignau dans son Nobiliaire des généralités de Montauban, d’Auch et du pays de Foix, tome II, Biran, 1999, p. 894-95.

[5]              Maintenues de noblesse de la famille de Lescure conservées en série C, dossier C 91,  aux Archives de Tarn-et-Garonne, publiées par Jean Vignau dans son Nobiliaire des généralités de Montauban, d’Auch et du pays de Foix, tome IV, Biran, 2001, p. 2350-51.

[6]                                                                                                                                                                                     Acte retenu par Revière, notaire de Villefranche, A.D.A., 3E  2985, fol. 1.                                                                                                                     

[7]             A.D.A., minutes de Gaffard, 1636-54, 3E 14 854.

[8]                 Conservé dans le dossier 13J 119, A.D.A.

[9]             A.D.A., 3E 10 865.

[10]            A.D.T-G., minutes de Pierre Nolorgues, notaire de Caylus, 1623-28, 5E 199 884.

[11]            A.D.T.-G., minutes de Pierre Izarn, notaire de Caylus, 1636-37, 5E 3781.

[12]             Conservé dans le dossier 13J 119 aux A.D.A.

[13]            Merlin, notaire de Sauveterre, A.D.A., 3E 8519.

[14]            Registres paroissiaux de Saint-Beauzile, Archives départementales du Tarn, en ligne sur Internet.

[15] Archives départementales de la Haute-Garonne,  Insinuations, Série B, volume B, folio 517.

[16]                  Registres paroissiaux de Vaour (81), Archives du Tarn en ligne sur Internet.

[17]            Contrat de mariage dans le registre 3E 19/274, folio 447 et suivants.

[18]    Minutes de Vital Bonnet, ADA, 3E 5555.

[19]            Minutes de Vital Bonnet, 1704-07, ADA, 3E  5561.

[20]            Contrat de mariage en date du 24 novembre 1685 d’après les maintenues de noblesse.

[21]            D’après la notice Marcilhac dans l’ouvrage d’Hippolyte de Barrau, tome III, pages 729 à 732.

[22]            Cité dans un acte d’achat avec son beau-fils François Buysson, notaire del Bez (Lanuéjouls) – Acte conclu chez Me Nicolas Lacout, notaire de Vaureilles le 30 janvier 1647 - A.D.A. 3E 15 355.

[23]            Citée en 1634 dans le testament de son père qui lui lègue 300 livres (à son mariage ou à ses 25 ans).

[24]                  Dynastie de forgerons continuée à Belcastel par Pierre, fils de Gabriel Marty, mort jeune.

[25]            L’analyse de la variante patronymique et les propositions d’ascendances de Jean (de) Cavilhe sont construites à partir d’informations et d’archives personnelles fournies par Jean-Louis Déga.

[26]        A.D.A. 3E 3114 à 3118 (1590-1655) et communication de Norbert Klein suite à échanges de messages sur la famille Caville dans liste discussion Internet « genealogie-aveyron », déc. 2006.

[27]        Recherches personnelles de Jean-Louis Déga, co-auteur de l’article cité en introduction.

[28]        Union citée dans testament de Catherine de Don du 21 août 1637 retenu par Me Maliany, not. de Sauveterre, A.D.A. 3E 8469.

[29]        Bernardin (de) Caville, prêtre de Clairvaux, décédé à Rignac, est peut-être issu de Pierre (de) Cavilhe et Jeanne de Saunhac-Talespuès.

[30]      Le Bureau de l’Enregistrement de Rignac (A.D.A. Sous-série 2C22) note un contrat de mariage du 24 janvier 1720 devant Maître Dubruel, notaire de Rignac.

[31]      Régularisation contrat de mariage « verbal » d’avril 1731, devant Me François Gombert, notaire de Rignac, le 4 mai 1739 – A.D.A. 3E 15415bis.

[32]    Cf. Bulletin du C.G.R. n°49 – page 9 : « La famille et les ascendants de Sainte Émilie de Rodat, la Sainte du Rouergue ».

[33]            (Marie) Gabrielle Dubruel, belle-mère de Julienne Françoise Colom est aussi sa parente. Sa mère Marie (Claude) de Buysson est à l’origine de la branche DubrueL de Rignac (cf. article lié, cité en introduction).

[34]            Cm du 2 septembre 1739 reçu par Me Gombert, notaire de Rignac – A.D.A. : 3E 15415bis.

[35]  Françoise Laporte, Delle, est issue de Pierre Laporte et de Marie Neuville, auteurs du Sous-Rameau Laporte, de Rignac.

[36]     Contrat de mariage entre le sieur Jean Antoine Delclaux et Delle Françoise Garrigues retenu par Me Maurandy, notaire de Rignac le 23-11-1768 – A.D.A. : 114 J 209-1 Contrôle Rignac - série 2C.

[37]            Marguerite Bosc : son frère Antoine est marié à Delle Marie Dubruel de la Branche Dubruel, de Rignac (cf. article lié, cité en introduction).

[38]            C.m. du 19 juin 1775 reçu par Me Calvet, notaire à Rignac – A.D.A. 3E 14 804

[39] Acte de notoriété du 30 juin 1808 entériné par le Tribunal de Rignac à la demande des parents : relatif à sa naissance non enregistrée en 1778 - Précède-t-il un mariage imminent (hors Rignac) ?

[40]            C.m. du 23 janvier 1765 à Rignac – Notaire : Me Auzouy, de Rignac – A.D.A. 3E 14 765.

[41]            Riguetorte : appellation contemporaine de ce village qui devint provisoirement Guarriguetorte de 1773 à 1780 (au moins) dans les registres paroissiaux de Rignac.

[42]            C.m. du 14 février 1754 à Rignac – Notaire : Antoine Bosc, de Rignac – A.D.A. 3E 3112 : l’époux apporte la moitié des biens de sa mère (Élizabeth Rey) et l’épouse 1150 livres en tout, trois robes et leurs jupes, du linge de maison, une garde-robe et une brebis « garnie ».

[43]            C.m. du 28 janvier 1785 à Rignac – Notaire : Me  Calvet, de Rignac – A.D.A. 3E 14 814.

[44]            Le village de Lintez appartenait à la paroisse de Rignac avant la Révolution. Rattaché ensuite, comme aujourd’hui, à la commune de Belcastel, il dépendait aussi administrativement de la mairie de Rignac.

[45]            Cf. dans cette étude : « Le Sous-Rameau Laporte, de Rignac » - III-2 6-b. -

[46]     Sœur de Marianne Rabois (1780-1832), qui épouse en 1806 François Marie Delclaux (1777-1853) – Cf. Rameau Garrigues, de La Bouldoire – Rignac.

[47]     Ce lieu-dit pourrait aussi s’être appelé Le Barry près Rignac (plusieurs citations de 1806 à 1813).

[48]     Cf. Rameau Neuville de Rignac – II-1. 6. d.

[49]     Cf. Sous-rameau Neuville de Mancelle – III-5. 4. d.

[50]    C.m. du 17 août 1772 retenu par Me Calvet, notaire à Rignac – A.D.A. 3E 14 801.

[51]            Naissance et décès : absents des registres de l’état civil de Maleville (collections du Greffe et de la Commune), année 1817. Informations extraites de l’édition 2002 des Tableaux généalogiques des ancêtres et des descendants des Roux de La Broutie, du Mauron en Rouergue - Les Roux dits Azemar, de Brandonnedel de Brandonnet par Maurici Andrieu.

[52]              Voir la généalogie de la famille de Morlhon par Geneviève Rigal-Saurel, publiée dans le Bulletin du C.G.R. n° 36.

[53]            Voir Autrefois au pays des Serènes, de G. Rigal-Saurel, page 178 – Consultable aux A.D.A.

[54]            Considérée parfois comme une fille naturelle de Guillaume de Morlhon d’Auteyrac, Gabrielle de Morlhon n’appartient alors pas à la descendance d’Anne d’Arpajon et de Louis XI.  

[55] On lit également dans les registres paroissiaux de Lunac : le 30 avril 1638 « fut meurtri Mathieu, serviteur du sieur Bertrand de M ontlauzeur, seigneur de La Mothe »  A.D.A. 2E 1.

[56] Famille étudiée dans le Bulletin du C.G.R. n° 36.

[57] date ?

[58] testament passé devant Me Ferrié, absent du registre.

[59] A.D.A. 2E 173.

[60] A.D.A. 3E  16 062.

[61] A.D.A. 3E  16 063.

[62] A.D.A.  2C 48.

[63] (de Barrau).

[64] Jean de Peytavin se réserve dans la  maison une chambre et le cabinet situés au second étage, une place dans la cave pour son vin et dans l’écurie pour ses chevaux A.D.A. 3E 16 061.

[65] A.D.A E 1490.

[66] A.D.A 3E 2520.

[67] voir article dans le Bulletin du C.G.R. n° 22 p. 11

[68] Famille étudiée dans le Bulletin du C.G.R. n° 29

[69] Après l'achat du fief de Cassagnoles, situé dans la paroisse d'Anglars (ou Revel), cette famille signe en ajoutant la particule de à son patronyme et en 1780 Rouch sera supprimé au profit de leur fief, Labruyère.

[70]            Il manque dans les registres de Lunac, la période de 1730 à 1737.

[71] A.D.A 3E 5020.

[72] A.D.A 3E 24 773.

[73] A.D.A 3E 5345.

[74] Famille étudiée dans le Bulletin du C.G.R.

[75] Famille étudiée dans le Bulletin du C.G.R.

[76] A.D.A. 9U 1418.

[77] Id.

[78] Famille étudiée dans le Bulletin du C.G.R.

[79] De nombreuses autres familles Loupias sont recensées dans des villages de Lunac et des communes voisines, proches de ce village.

[80] B.n.f. Naf 1072.

[81] Ce couple a eu au moins quatre enfants dont un des fils Antoine, établi à Oubax (Les Mazières).

[82] Un de leur fils Jean, s’établit à Lagriffoul (Bor-et-Bar).

[83] Deux fils cadets du couple fonderont les branches Jean au Mas-de-Moulis (Saint-Salvadou) et autre Jean à La Trivalle (Sanvensa), auteur d’une lignée d’horlogers à Sanvensa, Sauveterre et Nouméa (Nouvelle-Calédonie).

[84] mariage sûrement organisé par le recteur d’Arcanhac, Jean Palis, oncle de l’épouse.

[85] un des fils est l’auteur d’une descendance jusqu’à nos jours dans le village de Louradou, situé entre Lunac et La Fouillade.

[86] A.D.Aveyron 3E 5346.

[87] A.D.Aveyron ib.

[88] A.D.Aveyron 3E 5020.

[89] A.D.Aveyron 3E 24 773.

[90] A.D.Aveyron 146J 42.

[91] livres de géométrie, arithmétique, trigonométrie, traités d’arpentage, de charpentier, des servitudes, science de levée de plans…

[92] A.D.Aveyron 3E 27 786.

[93] A.D.Aveyron 3E 27 765.

 

[94] A.D.Aveyron 3E 5324.

[95] La famille Fricou, venue du Tarn, possède le moulin de La Soulairie depuis le XVIIe siècle. Chargée de relever les censives des terres seigneuriales du château de Bar et enrichie par la gestion de ses biens, en 1753, elle achète avec le sieur Courrège, hôte de La Planque (La Fouillade), les terres et prend le titre de seigneur de Bar jusqu’à la Révolution.

[96] Descendante sûrement d’une branche naturelle des seigneurs de Bar.

[97]   A.D. .Aveyron 3E 5354.

[98] Les deux dernières vignes situées dans le vignoble de Bar.

[99] A.D.Aveyron 3E 27 775.

[100]              La famille Fricou a la particularité de donner un nombre important de prénoms (parfois très originaux) à ses enfants.

[101]              Dans cette famille de La Bertandie, les fils se marient tardivement, Félix a 48 ans tandis que sa femme est âgée seulement de 17 ans, soit 31 ans de moins que lui.

[102]              Famille étudiée dans le Bulletin du CGR  n° 54.

[103]              A.D.Aveyron, 3E 12 849.

[104]              Le 24 juin 1898, Julien Rigal écrit d’Uzerche à son beau-frère pour prendre des nouvelles de sa femme gravement malade résidant à La Bertrandie et lui envoyer de l’argent pour la faire soigner. Il ne parle pas de leurs enfants.

[105]               Justin Bessou (1845-1918), célèbre poète occitan, est né dans la commune de Saint-Salvadou. Dans son livre D’al Brès à la Toumbo (édition 1974), il écrit : Q’un es lou gran tresor per efans et las filhos ? Aquos sous las tatas. Urouses lous oustals que i a de brabos tantos.

[106] Surnommé « l’idiot de village ».

[107] Village qui a donné son nom aux familles Trézières (qui feront l’objet d’une parution dans un prochain numéro) ou l’inverse.

[108]  Jeanne de Morlhon, née à Auteyrac (Lunac), épouse de Simon Loupias, descend d’Anne de Marcilhac (de La Bastide-Capdenac), petite fille d’Anne d’Arpajon (de Calmont-de-Plantcatge - Ceignac), elle même petite-fille d’Anne de Bourbon-Roussillon, également petite-fille du roi Louis XI.

[109] Le 7 décembre 1792, Jean Tranier reçoit de son beau-père par mains de Jérôme Fricou, son gendre, la somme de 200 livres pour l’extinction de la pension annuelle de 24 quintaux de foin (Archives privées). Lors du c.m. passé le 17 septembre, Antoinette avait reçu en dot 2000 livres et 20 quintaux de foin par an (ou 400 livres) 3E 27 766.

[110]              Né à Villefranche, il est reconnu par ses père et mère lors de leur mariage.

[111]              En 1472, dans un livre de reconnaissance au seigneur de Lescure on note : Joan Costa, de Rieuprésens (Vabre-Tizac).

[112]              Cette maison aura 10 mètres de long, 5 mètres de large et une hauteur de 3,50 mètres au-dessus du rez-de-chaussée. Les fournitures seront en grande partie payées par le couple Fricou-Loupias (pierre, lauze, bois, planches, encadrements de porte, poutre de la cheminée, éguière… acte sans date d’Archives privées.

[113]          Cf. Bulletin du C.G.R. N° 66 page 20

[114]          Voir le site internet de Jérôme Saurel

[115]          Cf. N° 68 du Bulletin du Cercle Généalogique du Rouergue

[116]          Variantes du patronyme : Planacassagne, Plenacassagne, Pleinecassagne, Plainecassagne, Planecassaigne, Planecassanhe, Planecassainhe...

[117]          Planacassaigne : Il signe ainsi, très tôt, à plusieurs reprises (1695, 1700, 1717...)

[118]          Selon P. Lesueur, repris dans l’ouvrage de Laurent Barthe  Sur les chemins de nos ancêtres ; reparia provient de res patria qui signifie « chose transmise par le père ».

[119]          Cités  avec leur fils François au contrat de mariage de leur fille Marie avec Anthoine Théron le 26 juin 1620 – A.D.A. : Notaire Bony (Montbazens) – 3E 6078

[120]           Aujourd’hui Les Cohuaires (cf. carte I.G.N. 1/25000 N° 2338 Ouest – 1996)

[121]      Marianne Ière née vers 1764 (date calculée) pourrait être identique à Marianne II née en 1767

[122]      Comporte l’ascendance du cardinal-archévêque de Paris, Gabriel Auguste « François » Marty (1904-1994)

[123]          Selon son acte de décès à Rignac serait née à Vaureilles vers 1837. Naissance non confirmée EC de Vaureilles.

[124]          Selon son acte de mariage elle serait née à Cureboursot, à la date de naissance (1840) de sa sœur Rosalie décédée à l’âge de 4 mois  ! L’âge à la naissance de ses enfants indique une naissance vers 1842 cependant absente des registres de l’état-civil de Vaureilles.

[125]          Pas d’autres naissances identifiées à Cransac jusqu’à 1892.

 

[126]          Note marginale acte naissance n°60 de 1877 / Vaureilles : « Suivant jugement rendu par le Tribunal Civil de Villefranche d’Aveyron de la date du trente mai 1894, l’acte ci-contre a été rectifié en ce sens que 1° l’enfant devra être déclaré du sexe féminin au lieu du sexe masculin et 2° qu’il devra porter les prénoms de Marie Léonie au lieu de Jean-Baptiste ».

[127]          Poudleur provient du nom Pudler. Le Puddleur est un ouvrier sidérurgiste effectuant le puddlage, procédé de fabrication utilisant un four Pudler pour affiner la fonte afin de la transformer en fer ou en acier.

[128]      Ce village de Vaureilles est aussi appelé La Carreyrie ou La Carairie

[129]          La transcription de l’acte de décès d’Aubin à l’Etat Civil de Vaureilles (N°25/1890) indique une descendance de plusieurs enfants, probablement à La Barrabie (Vaureilles).

[130]          Petit fils de Jean « François » Foissac et de sa première épouse Marianne Claire Brasc – Cf. I-5. d. v.

[131]           Données extraites du site internet de Bernard Foissac.

[132]          Référence du « Plan général de la descendance Planecassagne – de Morlhon  sur trois degrés »

[133]          Prénommée "Delphine" à la naissance et "Joséphine" à plusieurs reprises sur les actes de naissance de certains de ses enfants.

[134]                    Extrait du dépliant de Vaureilles, fourni par J.-C. Loncke

[135]          Neveu de Marie Anne Gineste épouse Pierre Bras – Cf. « Rameau Bras-Marty de Vaureilles » § 4.

[136]          Jugement Trib. civil de Villefranche-de-R. du 14 août 1895 rectifie orthographe du nom Marrhe en Marre

[137]          Marie Anne au décès de son premier époux Louis Roux (Mas de Miquel - 15 août 1871)

[138]   Jean Odilon Bras appartient également à la descendance naturelle du Roi Louis XI – Cf. « Rameau Bras-Marty de Vaureilles » - Réf. - 7. e. i.

[139]          Ses prénoms : Marie Justine à sa naissance, Marie à son mariage, Célestine à la naissance de ses enfants et Céleste à son décès.

[140]          Pas d’autre enfant identifié à Montbazens comme à Vaureilles jusqu’à 1892 inclus.

[141]          Marie Anna Audurand appartient également à la descendance naturelle du Roi Louis XI – Cf. « Rameau Bras-Marty de Vaureilles » - Réf. - 1. e. (3ème lit).

[142]          A son mariage est prénommée Marie Anne Rose et il lui est attribuée la date de naissance (1/04/1832) de sa jeune soeur Marianne. Plutôt née vers 1830 ou 1831 : âge (déclaratif) de 27 ans à chaque naissance de ses 2 premiers enfants à Drulhe (01/1857 & 04/1858). Il s'agit plus vraisemblablement de Rose Bras, née fin 1829, confondue à son mariage avec sa jeune soeur Marianne.

[143]           Cf. en début d’article le « Plan général de la descendance Planecassagne – de Morlhon sur trois degrés » Ces Lacout appartiennent à la « Ière sous-branche Joulie de Lugan » Réf. - I. 5. a.

[144]     Née Jeanne, décédée Joséphine ; sans explication autre que le déclarant du décès n’est pas le père.

[145]           Famille étudiée dans le Bulletin n° 27.

[146]           Annonces dans le registre paroissial de Tizac, le lieu du mariage à Lescure s’explique par la parenté d’Antoinette avec les seigneurs de Lescure descendants d’Anne d’Arpajon, voir Bulletin n° 66..

[147]                   Communiqué par Stéphane Grégoire, de Gaillac.

[148]   ADA 3E 5128.

[149]   3E 9755.

[150]   3E 97 

[151]   ADA 3E 5546

[152]   ADA 3E 55

[153]              c.m. le 27 janvier Mader, not., ADA 3E 5346.

[154]              Famille Moly étudiée dans le Bulletin n° 69

[155]   ADA 3E Teulié

[156]              Famille étudiée dans le Bulletin n° 76.

[157]              Famille étudiée dans le Bulletin n° 48.

[158]   A.D.Av. 3E 10 037.

[159]   Dans les registres de Tizac, les années 1722 à 1730 sont incomplètes.

[160]              A.D.Av.. 3E 25 042.

[161]   A.D.Av. 3E 10 032

[162]   Jeanne Rouquet, descend par sa mère, Charlotte de Raffiny, des seigneurs de La Planque, paroisse de Pradinas, voit Bulletin C.G.R. n°50.

[163]   A.D.Av.  3E 10 047.

[164]   A.D.Av. 3E 5027.

[165]   A.D.Av. 3E 11 146.

[166]   A.D.Av. 3E  5 325

[167]              A.D.Av. 3E 5 311

[168]              Reconnaissance féodale

[169]   Cette famille a la même origine que les familles Guibbert, de Banhaca, étudiées dans  Bulletin n°27.

[170]   A.D.Av. 3E 8 737.

[171]   A.D.Av. 3E 10 036.

[172]               A.D.Av. 3 10 037.

[173]              A.D.Av. 3E 5345.

[174]              A.D.Av. 60Q 371.

[175]   A.D.Av. 60Q 142 .

[176]   A.D.Av. 3E 27 814, c.m. 24 octobre 1851.

[177]   A.D.Av. 3E 27 894, c.m. 15 octobre 1861.

[178]                [178] A.D.Av. 60Q 371.

[179]   A.D.Av. 60Q 143.

[180]   A.D.Av 60Q 371.

[181]              A.D.Av. 6M 123, quatre domestiques sont employés la ferme en 1886.

[182]   A.D.Av. 60Q 371.

[183]   A.D.Av. 60Q 371.

[184]   A.D.Av. 60Q 142.

[185]              A.D.Av. 6M 245, en 1936 la famille a pour ouvrier agricole Victor Borstein, juif né à Berlin en 1914.

[186]              Famille venue d’Arcanhac non apparentée à celle de Marie-Rose.

[187]              A.D.Av. 3E 5320.

[188]              A.D.Av 3E 5324.

[189]              A.D.Av.70J.

[190]   A.D.Av.70J 31.

[191]   A.D.Av.70J 36 bis.

[192]              A.D.Av. 3E10 034.

[193]   A.D.Av. 3E 9 939.

[194]   A.D.Av. 3E 10 037.

[195]   A.D.Av. 3E 5 348.

[196]   A.D.Av. 3E 5 312.

[197]              Cette famille Gaudou est originaire de Lunac et n’a pu être rattachée à celle des Tampes.

[198]   A.D.Av. 3E 10 032.

[199]   A.D.Av. 3E 10 045.

[200]   A.D.Av. 3E 9 967.

[201]   A.D.Av. 3E 10 051.

[202]              A.D.Av. 3E 25 035.

[203]   A.D.Av. 3E 9 763.

[204]              A.D.Av. 63Q 289.

[205]              A.D.Av. 3E 27 901.

[206]   A.D.Av. 63Q 289.

[207]   A.D.Av. 63Q 35.

[208]   A.D.Av. 3E 24 834.

[209]   c.m. le 11 décembre 1747 A.D.Av. 3E 10 035.

[210]   succession le 25 avril 1868, A.D.Av. 63Q 62.