La famille et les ascendants de Sainte Émilie de Rodat,
“ la Sainte du Rouergue ”
Les Rodat de Druelle, la famille paternelle de Sainte Émilie de Rodat, blasonnent d’après le vicomte de Bonald d’or à un chêne de sable terrassé de sinople, au chef d’azur chargé de trois roues d’argent . Guitard de Rodat, juge de Sauveterre-de-Rouergue, issu de la branche du Pont-de-Cirou, déclara lui comme armes au bureau de l’élection de Villefranche en 1701 d’or à une roue de gueules. Il s’agit dans les deux cas d’armes parlantes car “ roue ” se dit roda en occitan (du latin rota) et rodat (qui se prononce roudat) signifie entouré, contourné, arrondi en occitan (du verbe occitan rodar : rouler, tourner, arrondir). Le nom rodat désigne d’après Frédéric Mistral (Tresor du Felibrige ) un champ autour duquel on a tracé quelques sillons et qui est interdit aux troupeaux. On trouve dans le roman médiéval de Fierabras le vers suivant (vers 914) Pendrai a mon col mon fort escut rodat que Raynouard traduit dans son Dictionnaire de la langue des troubadours par Je pendrai à mon cou mon fort écu arrondi. Le patronyme occitan RODAT ou ROUDAT peut donc venir soit d’un sobriquet (lo rodat) soit d’un microtoponyme (del rodat).
Les Rodat demeuraient au milieu du XVIe siècle au Pont-de-Cirou, à l’époque importante bourgade marchande à la limite du Rouergue et de l’Albigeois et située sur la route principale de Rodez à Albi et Toulouse (la route actuelle par Tanus datant seulement du XVIIIe siècle).
C’est sans doute de ce village, où ils sont attestés au début du XVIe siècle, que les Rodat s’établirent dans d’autres gros villages du voisinage comme Carmaux, Pampelonne et Najac où on trouve mentionnés des porteurs de ce nom au XVIe siècle dans les minutes notariales subsistantes, la plupart étant marchands et s’alliant déjà à des familles notables (comme les Cambefort de Najac et de Villefranche, les Lacombe de Carcenac-Peyralès ou les Combettes de Gaillac en Albigeois).
La famille de Rodat n’a jamais possédé le château de Mirandol (ou de la Mirandole !) comme on le trouve parfois écrit. Ce château, peu éloigné du Pont-de-Cirou, et la seigneurie associée ont appartenu successivement aux familles de Mirandol, de Calmont, de Vernhes de Castelmary, de Morlhon, de Monestiès et enfin de Roquefeuil, suite au mariage en 1560 d’Arnaud de Roquefeuil avec Jeanne de Monestiès, jusqu’au XVIIIe siècle. Tout au plus peut-on signaler que Thérèse Pertuis, native d’Onrazac (12) et fille d’Isabelle de Roquefeuil (celle-ci fille de Charles de Roquefeuil, seigneur de Mirandol, et de Marie de Faramond), épousa vers 1680 Pierre de Rodat, de la branche aînée des Rodat demeurée au Pont-de-Cirou.
La branche de Rodez dont descend Sainte Émilie de Rodat remonte probablement à Guy Rodat notaire au Pont-de-Cirou qui épousa Bérengère du Cros, fille de Jean du Cros, coseigneur du Boyssou (paroisse de Flavin) et de Jeanne de Roquetaillade. Le contrat de mariage fut établi le 16 janvier 1536 par Hugues Moysset, notaire de Rodez, et Guy est dit fils de feu Jean Rodat, du lieu de Carmaux en Albigeois (ADA, E 1956).
Les Rodat du Pont-de-Cirou, où la branche la plus notable subsista jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, descendent d’un neveu ou d’un parent plus éloigné de Guy. On trouve en effet mentionnés au Pont-de-Cirou dans les minutes de Delfau, notaire de Pampelonne en 1540 et 1541 Jean Rodat, marchand et entre 1546 et 1551, Maître Jean Rodat, marchand et Sire Antoine Rodat, marchand, ce dernier attesté également en 1560. Antoine pourrait bien être le fils (ou le frère ?) de Jean. Des branches cadettes de ces Rodat du Pont-de-Cirou, exerçant des métiers d’artisans et d’un niveau social plus modeste que la branche principale, subsistèrent dans les environs jusqu’au XIXe siècle. Signalons enfin que le nom Rodat existait ailleurs que dans la vallée du Viaur et qu’il existait par exemple au début du XVIIIe siècle une famille de ce nom à Gaillac d’Aveyron.
N. Rodat, marié vers 1560, peut-être François mentionné en 1599 (qui pourrait être le fils d’Antoine ou de Guy), fut le père d’André Rodat, marchand au Pont-de-Cirou, marié vers 1590 à Marguerite Besset (fille d’une Balssa) et peut-être d’autres fils demeurés au Pont-de-Cirou (Antoine et Sébastien Rodat) qui y firent souche. André Rodat eut au moins deux fils : François Rodat demeuré au Pont-de-Cirou et Antoine Rodat qui s’établit à la Fabrie (commune actuelle de Mirandol-Bourgnounac 81) et épousa Delphine de Morlhon (fille de François de Morlhon et Souveraine de Solages, de la branche des Morlhon de La Salvetat-Peyralès). Il fut aussi le père de Marguerite Rodat (mariée avec Guitard Campmas, de Monestiès), de Quitterie Rodat (mariée avec Arnaud de Saint-Hilaire, seigneur de Candour) et sans doute d’une troisième fille qui épousa Pierre Dalmas, de Sauveterre. Remarquons que le prénom Quitterie, donné déjà à celui d’une sœur d’André Rodat, était celui de la sainte patronne de l’église de Lespinassole dont dépendait la partie rouergate du village du Pont-de-Cirou. François Rodat, bourgeois du Pont-de-Cirou épousa vers 1630 une albigeoise, Françoise Valeux, fille de Raymond Valeux, marchand d’Albi, et de Françoise de Resseguier (mariés en 1611) et devint ainsi le beau-frère de son voisin du Pont-de-Cirou, Pierre Balssa, fils d’Ardouin Balssa et Jeanne Darthus, qui avait épousé lui Marguerite Valeux, sœur de Françoise. On peut remarquer une certaine similitude dans la trajectoire de ces deux familles de marchands, d’ailleurs cousines, les Rodat et les Balssa, du Pont-de-Cirou. Alors que pour chacune d’elle la branche demeurée dans cette bourgade, tout en gardant un niveau social honorable tout au long du XVIIe siècle, finit par s’éteindre au début du XVIIIe siècle, la branche établie à Rodez, profitant des opportunités de la grande ville, s’enrichit considérablement et s’agrège à la noblesse rouergate : ce sera pour l’une les Balsac, de Firmy et pour l’autre les Rodat, de Druelle et d’Olemps. François Rodat et Françoise Valeux eurent plusieurs fils qui se firent prêtres, au moins trois filles (Françoise, Catherine et Marie qui épousèrent respectivement Jean Pradines, du Cros de Lagarde-Viaur, Jean Sudre, de Castelnau-de-Lévis et Raymond Bosquet, de Villeneuve-sur-Vère) et trois autres fils qui se marièrent. Deux demeurèrent au Pont-de-Cirou : Jean (1633-1690) qui épousa Anne d’Hébrard (sans postérité) et Pierre (+ 1710) déjà cité, époux de Thérèse Pertuis. Le troisième fils, Guitard Rodat (1640-1710), filleul de son grand-oncle par alliance, Guitard Campmas, devint juge de Sauveterre-de-Rouergue. Il épousa en 1668 à Sauveterre Anne de Vernhes (fille de Pierre ou Jean de Vernhes, sieur de Puechméja et d’Anne de Beauclair) puis en 1676 Anne de Reilhan (fille de Pierre de Reilhan et d’Anne de Lautrec) et laissa postérité, au moins féminine (dont Thérèse Rodat, mariée en 1717 Pierre Carrols, papetier de Jaoul). La branche principale du Pont-de-Cirou s’éteignit avec le fils de Pierre, Jean Rodat (+ 1751), époux d’Angélique Joucaviel et dont la fille Thérèse Rodat, née en 172, épousa en 1738 Antoine Laroque.
Antoine Rodat fondateur des branches Rodat d’Olemps et de Druelle mérite qu’on s’attarde un peu sur lui. Fils probable de Guy Rodat, notaire au Pont-de-Cirou, et de Bérengère du Cros mariés en 1536, on le trouve dès 1558 c’est-à-dire sans doute âgé d’environ une vingtaine d’années à Rodez où il afferme à Georges de Bonald pour une durée de sept ans, sous la caution de François de Bourzès, le prieuré de Ceignac pour 200 livres annuelles plus les dîmes (ADA, E 1963). Il achète ensuite aux Rossignol la seigneurie de Druelle et épouse vers 1565 Claire Cat, fille d’Antoine Cat, marchand de Rodez, seigneur de Billorgues, et de Catherine Daymes. Il avait un frère Pierre Rodat, prêtre de Saint-Amans à Rodez et une sœur, Marie Rodat qui épousa en 1576 Jacques Combettes, de Gaillac d’Albigeois. Cette dernière figure également, en lignée presque exclusivement féminine, dans l’ascendance de Sainte Émilie de Rodat (quartiers avec son mari N° 508 et 509).
Malgré une parenté assez éloignée au milieu du XVIIe siècle, les Rodat, de Rodez (branches de Druelle et d’Olemps) semblent avoir maintenu des liens avec leurs homonymes du Pont-de-Cirou. Dans un acte retenu par Louis Teulier, notaire de Sauveterre en 1664 (ADA, 3E 17 270) concernant la succession d’Antoine de Rodat, seigneur d’Olemps, et d’Antoinette de Bonald son épouse et où interviennent François-Pons de Rodat, recteur de Sauveterre et Antoine de Rodat, docteur et avocat au Parlement de Toulouse, pour faire subrogation à leur frère Pierre de Rodat, président en l’élection de Millau, figurent parmi les témoins, outre leurs deux oncles Pierre de Rodat, prêtre de Rodez et Guillaume de Rodat (fondateur de la branche des Rodat de Druelle), leur cousin éloigné François Rodat, bourgeois du Pont-de-Cirou, représentant la branche aînée de la famille, les Rodat de Rodez étant eux issus d’une branche cadette.
Sainte Émilie de Rodat accordait une certaine importance à la généalogie puisque voilà ce qu’elle déclare dans son autobiographie dictée à l’abbé Fabre :
“ Je suis née le 6 septembre 1787, de Jean-Louis-Guillaume-Amans de Rodat et d’Henriette de Pomairols, au château de Druelle, paroisse de Saint-Martin de Limouze, près de Rodez, Aveyron.
J’ai été baptisée le lendemain de ma naissance, dans l’église de Saint-Martin de Limouze, Messire Guillaume de Rodat, mon grand-père a été mon parrain, et Marie-Marguerite de Pomairols, ma grand’mère, a été ma marraine.
Je suis d’une famille de saints. Si j’ai quelques vertus, je les dois aux bons exemples que j’ai eus sous les yeux et à la bonne éducation que mes parents m’ont donnée. M. de Ramondy, natif de Najac, mon trisaïeul, se dépouilla en faveur des pauvres, dans un temps de famine. Les habitants de Najac professaient pour lui une grande vénération ; ils disaient à leurs enfants : “ Quand vous passerez devant la maison de Monsieur de Ramondy, levez le chapeau : c’est un Dieu sur terre. ”
Mme de Selves, mère de ma grand-mère et fille de cet homme de bien, fut la digne héritière des vertus de son père. L’esprit de miséricorde était en elle... La bonne éducation qu’elle avait donnée à ma grand’mère, sa fille unique, avait fait passer dans son âme les vertus dont elle était elle-même le modèle. ”
Nous avons relevé dans un bail passé
le 6 juin 1722, par M. Forton Ramondy, de sa métairie de Kaymard (La
Fouillade), un détail significatif : « Au cas, où ledit Jean Déléris, recueille
dans son domaine une récolte qui ne soit pas suffisante pour l’entretien de sa
famille, il lui prêtera 8 setiers de grains et les enfants dudit Déléris
pourront nourrir 6 brebis sans aucun profit pour lui ». (ADA, 3 E 5645)
Son ancêtre, côté maternel, Jean-Albert de Solages (n° 98), faisait preuve aussi de générosité, lorsqu’il dicte son testament le 27/05/1634, alors qu’il est malade dans son château de Cambolaret (Saint-Georges de Camboulas), il lègue 300 livres à 3 filles orphelines lorsqu’elles se marieront. (ADA 3 E 3026)
Émilie de Rodat ouvrit une école pour les pauvres à Villefranche-de-Rouergue (1816) qui donnera naissance à la Congrégation de la Sainte-Famille pour l’enseignement et le soulagement des pauvres. A sa mort le 19 septembre 1852 à Villefranche-de-Rouergue, la Congrégation comptait trente-huit fondations, dans plusieurs pays, s’adonnant à l’enseignement ou à des oeuvres sociales. Émilie de Rodat sera béatifiée le 9 juin 1940 et canonisée le 23 avril 1950 par le pape Pie XII. Le Rouergue avait déjà donné naissance à d’autres saints mais dans un passé lointain et c’est pourquoi on appellera désormais Sainte Émilie de Rodat “ la Sainte du Rouergue”. Comme on le verra, c’est en Rouergue qu’ont vécu la majeure partie de ses ascendants mais on trouve également des familles de provinces proches ou plus lointaines comme L’Albigeois, Le Languedoc (Lacroix de Castries), Le Quercy, Le Gévaudan (La Fare), Le Périgord (Buade), Le Bordelais (Secondat de Montesquieu) et La Saintonge (Polignac) ou de pays étrangers (L’Italie avec la famille de Montecuccoli).
1 Marie-Guillemette-Emilie de Rodat, née 06/09/1787 à 9h 25 TU au château de Druelle (12), + le 19/09/1852 à Villefranche-de-Rouergue, inhumée le 23/09 dans l’oratoire du jardin de Notre-Dame de la Salette, situé dans l’enceinte du couvent de la Sainte-Famille
2 Jean-Louis-Guillaume-Amans de Rodat, seigneur de Druelle, trésorier de France, x 10/06/1786 avec :
3 Henriette de Pomairols, née sans doute au château de Ginals (canton de Villeneuve 12)
4 Guillaume de Rodat (né en 1729), seigneur de Druelle, trésorier de France dans la généralité de Montauban en 1770, x 1751 avec :
5 Marie-Jeanne Foulquier, née sans doute à Rodez, + 1770 à Druelle
6 Stanislas-Etienne-Guillaume-Victor de Pomairols, lieutenant de cavalerie, né à Villefranche, x 12/04/1762 avec :
7 Marguerite Ginestet de Selves, née sans doute au château de Selves (Grandvabre, 12)
8 Guillaume de Rodat (1666-1740), seigneur de Druelle et La Garrigue, conseiller au Présidial de Rodez, consul du Bourg en 1698 et 1703, x 1707 avec Marie-Catherine de Lagorrée (fille de Jean-Gabriel de Lagorrée et Marie-Anne Régis) xx 1726 avec :
9 Catherine Rous, née Rodez
10 Jean-André Foulquier, avocat en Parlement, juge et bailli de Rodez, né vers 1690 à Boscus (Onet-Le-Château), x 5/05/1723 à Saint-Mayme avec :
11 Marguerite Trébosc, née à Rodez
12 Jean de Pomairols, seigneur de Ginals par son mariage, né à Villefranche, x 10/10/1730 avec :
13 Marie-Charlotte de Raynal, dame de Ginals (canton de Villeneuve)
14 Henri-Joseph Ginestet de Selves, né à Villefranche, x 08/01/1731 à Najac avec :
15 Antoinette Ramondy (dite Toinon), née à Najac
16 François Rodat (1635 Rodez-1693), avocat en parlement, seigneur de Druelle, x 1667 avec :
17 Anne Dumas de Corbières, née à Villefranche ?
18 Jean Rous (né le 20/02/1660 à Rodez), avocat en parlement à Rodez, c.m. en 1689 (3E 6381, ADA) avec :
19 Antoinette de Séguret, née à Rodez
20 Simon Foulquier (24/06/1659-26/06/1737), bourgeois de Boscus (Onet-le-Château), x 21/06/1688 à Salles-la-Source avec :
21 Jeanne Guirbaldy (6/07/1667 Salles-la-Source-26/03/1690 Boscus)
22 Pierre Trébosc (+ avant 1723), marchand du Bourg de Rodez, c.m. 31/01/1673 (Rudelle, notaire de Rodez) avec
23 Marguerite de Bonaterre (+ avant 1723), née à Saint-Geniès
24 Jean de Pomairols (16/11/1641-22/04/1707), capitaine d’infanterie à Villefranche, x 01/03/1698 avec :
25 Marguerite d’Arribat-Salvagnac, née sans doute à Salvagnac (12)
26 Jean de Raynal, président au Présidial de Villefranche, seigneur de Farrou, né à Villefranche, c.m. 16/02/1693 (Bros, notaire de Villefranche) avec :
27 Marie de Campmas, née à Villefranche
28 Jean Ginestet, né à Villefranche, x vers 1695 avec :
29 Marie de Lagardelle, dame de Selves, née au château de La Bastide-Marsa, près de Beauregard (46)
30 Forton Ramondy, procureur du roi à Najac, né à Najac, x 24/01/1695 à Najac avec :
31 Catherine Saby, née à Najac
32 Guillaume de Rodat (+ 1679), docteur et avocat, président au présidial de Rodez, seigneur de Druelle, né à Rodez, x 14/09/1629 (Roquette notaire) avec :
33 Marie de Maynard, née à Rodez
34 Raymond Dumas de Corbières, contrôleur en l’élection de Villefranche, né à Saint-Geniez-d’Olt, x 1629 avec :
35 Marie de Junius, née à Toulouse
36 Pierre Rous (+ après 1690), marchand de Rodez, x avec :
37 Anne Lacas, née au Faubourg Saint-Cyrice (Rodez)
38 Jean Séguret, docteur en mèdecine à Rodez, consul du Bourg en 1669, c.m. 6/11/1665 (Boscus, notaire de Rodez) avec :
39 Catherine Ferrier, née à Rodez
40 André Foulquier (vers 1630 Pousthomy-2/03/1697 Boscus), x 25/06/1654 à Onet-le-Château avec :
41 Catherine Rey, née vers 1634 à Boscus, + 01/07/1670 à Boscus
42 Antoine Guirbaldy (1630-1710), notaire à Salles-la-Source, x 7/01/1665 avec :
43 Françoise Labadie, de Touget, diocèse de Loubers (32)
44 Guillaume Trébosc, marchand de Rodez, x avec
45 Madeleine de Vernet
46 Guillaume Bonaterre, marchand de Saint-Geniez, x avec
47 Marie de Lisle, née à Saint-Geniez
48 Jean de Pomairols (1602-1646), receveur des tailles de la Basse-Marche du Rouergue, habitant à Villefranche, c.m. 8/02/1632 à Villefranche avec :
49 Louise de Solages-Frédault, née en 1612 à Villefranche
50 Jean-Aymeri d’Arribat, conseiller du roi et trésorier du domaine du roi en Rouergue, seigneur d’Escamps (46), c.m. 25/02/1666 avec :
51 Jeanne Le Franc de Latour, née à Salvagnac (12)
52 Etienne de Raynal, seigneur de Farrou, conseiller du roi et magistrat présidial en la sénéchaussée du Rouergue à Villefranche, c.m. 29/10/1651 (Benoît Murat, notaire de Villefranche) avec :
53 Antoinette de Pomairols, née à Villefranche, de la branche de La Pèze
54 Guillaume Campmas, vicomte d’Elbes, seigneur de Saint-Rémy, Salles-Courbatiès, x 1667 avec :
55 Isabelle de Raynaldy, née à Villefranche
56 Jean-Joseph Ginestet (né en 1644), bourgeois de Villefranche, x 1/06/1667 avec :
57 Elisabeth ou Isabelle Murat, née à Villefranche
58 Pierre de Lagardelle (1636-1695), seigneur de La Bastide-Marsa (46), x vers 1670 avec :
59 Marie Anne Henriette de Selves de Gimbrède (+ 1716), dame de Selves
60 Jean Ramondy, né à Villefranche, apothicaire à Najac, x 16/06/1664 à Najac avec :
61 Marie Ferrier, née à Najac
62 Antoine Saby, marchand de Najac, x 30/04/1641 avec Antoinette Joulia, xx 13/02/1653 avec Catherine Barrès, xxx 07/09/1669 (annonces) avec :
63 Catherine d’Albusquier, née à Alzonne, commune de Verfeil (82)
64 Pierre Rodat (vers 1570 Rodez-avant 1631), seigneur de Druelle et d’Olemps, receveur des décimes, testament 12/02/1629, x vers 1595 avec :
65 Antoinette Focras, née à Rodez, fille de Guillaume Focras, marchand, et Jeanne Perrin
66 Jean Maynard, bourgeois de Rodez, receveur des tailles du Haut-Rouergue, tué d’un coup de mousquet en 1617 à Rodez, x 1592 avec :
67 Antoinette de Paraire, née à Rodez, fille de Raymond Parayre et Cécile Le Tellier
68 Pierre Dumas de Corbières (+1623), bourgeois de Saint-Geniez-d’Olt, x 08/06/1591 avec :
69 Anne de Girels, née à Saint-Geniez-d’Olt, fille de Jean Fontanier, dit « de Girels » et Agnès de Bonamy
70 Jacques de Junius, conseiller au Parlement de Toulouse, ° Toulouse, c.m. 20/09/1604 (Du Jarric, notaire de Toulouse) avec :
71 Marie de Percin, née à Toulouse, fille de Valentin de Percin et Jacquette Belly (ou Belin)
74 Antoine Lacas (vers 1600-1675), marchand du Faubourg Saint-Cyrice (Rodez), x 1624 avec :
75 Antoinette de Cat de la Boissonade (1608 Rodez-1684), filleule de son oncle Guillaume Cat et de sa grand-mère maternelle, Antoinette Causse, fille de Jean de Cat et Anne d’Austry
76 Jean Séguret (+ avant 1665), de Saint-Etienne de Viauresque, c.m. 13/07/1627 (3E 7844) avec
77 Marie Puech, fille de Jacques et Marie Guitard, de Saint-Etienne de Viauresque
78 George Ferrié (+ avant 1665), marchand de Rodez
79 Antoinette de Pomarède
80 Bernard Foulquier, né vers 1595 à Pousthomy, x vers 1620
81 Jeanne Bonnafous, née vers 1600 à Billorgues (Salles-La-Source), + 10/07/1630 à Pousthomy
82 Georges Rey, né à Boscus (Onet-le-Château), + 7/02/1663 à Boscus, x avec :
83 Jeanne Blasi (+1676), à Boscus (Onet-le-Château)
84 Jean Guirbaldy, notaire à Salles-La-Source, x avec :
85 Françoise Terrieu (vers 1600-avant 1651), née à Salles-La-Source, fille de Pierre et Françoise Portal
96 Pierre de Pomairols, seigneur de Gramond et de la Pèze, né à Villefranche, c.m. 04/10/1590 (Belly , notaire de Villefranche) avec :
97 Marie Patras, née à Villefranche, fille de François Patras et Peyrone Imbert
98 Jean-Albert de Solages-Frédault (1580-1634), seigneur de Camboularet, premier consul de Villefranche en 1628, x 27/10/1611 à Cavillargues (30) avec :
99 Cassandre de la Fare, fille de Jacques de la Fare et Hélix Delpuech
100 Bernard d’Arribat, trésorier du domaine du roi en la sénéchaussée du Rouergue, c.m. 17/02/1629 avec :
101 Marguerite de Prévost, fille d’Antoine de Prévost et Béatrix de la Valette
102 François Le Franc, seigneur de Salvagnac (12), x vers 1635 avec :
103 Angélique de Cajarc, fille de Jacques de Cajarc et Jeanne de la Valette-Labro
104 Jean Raynal, conseiller au présidial de Villefranche, c.m. 27/03/1625, Gabriel Demayres, notaire de Villefranche, avec :
105 Marguerite d’Ambes, fille d’Antoine d’Ambes et Isabeau de Vedel, de Villefranche
106 Jean de Pomairols, seigneur de Gramond et de la Pèze, juge criminel au Sénéchal de Rouergue à Villefranche, x 4/02/1617 (c.m. 4/12/1616 Raymond Lasserre, notaire de Villefranche) avec :
107 Jeanne de Maritan, dame de Graves, fille de Jean de Maritan, trésorier des domaines et Anne de Frézals, habitants de Villefranche
108 Nicolas Campmas, trésorier de France en 1635, conseiller d’état en 1652, vicomte d’Elbes par achat, de Villefranche, x 24/12/1633 avec :
109 Antoinette de Garibal, née à Villefranche, fille de Jean Garibal trésorier du domaine et Anne de Rességuier
110 Jean-François Raynaldy, président à la Cour des Aides de Montauban, seigneur de Marmont, de Colombiès, Rulhe, Calzins, habitant de Villefranche, c.m. 16/06/1647, Etienne Facieu, notaire de Rabastens, avec :
111 Gabrielle de la Roque-Bouillac de Saint-Géry, née le 6/10/1626 à Saint-Géry près Rabastens (81), fille de Clément de la Roque-Bouillac, seigneur dudit lieu et de Mié, et d’Anne de Buade de Frontenac
112 Jean Ginestet, marchand, bourgeois de Villefranche, x 1637 avec :
113 Delphine Boulcier, fille de François Boulcier, marchand de Villefranche et de Catherine Granier
114 Jean Murat, marchand, bourgeois de Villefranche, c.m. 29/12/1642, Maliany, notaire de Sauveterre, avec :
115 Jeanne de Flottes, fille de Louis Flottes, notaire de Sauveterre et d’Isabelle Dalmas
116 Emmanuel de Lagardelle (vers 1607-1681), seigneur de La Bastide-Marsa, près de Beauregard (46), testament le 14/02/1659 (Jean Olier, notaire de Beauregard), x 16/08/1634 avec :
117 Constance-Françoise du Maine (+1681), fille d’Isaac du Maine et Marie de Durfort
118 Antoine de Selves, sieur de Genibrède, seigneur de Selves (La Vinzelle, 12), testament le 24/05/1654, c.m. 19/03/ 1643, Pons Pradel, notaire d’Entraygues, avec :
119 Guillemine de Montvallat, né à Entraygues (12), fille de Jean-Raymond de Montvallat et Françoise du Rieu
120 Bernard Ramondy, notaire de Villefranche, x vers 1625 avec :
121 Anne Puylaurens, peut-être née à Gaillac (81) et fille de Jean Puylaurens et Françoise Dalmas ?
122 Forton Ferrier, apothicaire de Najac, fils de Jean Ferrier et Brenguière Granier, x vers 1630 avec :
123 Isabelle Audouy, fille de Noël Audouy, bourgeois de Najac et Marguerite de May
124 Géraud Saby (né en 1575), marchand de Najac, (xx 1641 Jeanne Ervet), x 1610 avec :
125 Cécile Boyer, née à Najac, fille d’Antoine Boyer et Marie Vidal
126 Etienne d’Albusquier, né à Entraygues (12), sieur de Laroque, demeurant à Alzonne commune de Verfeil (82), x (c.m. 4 juin 1633, Carrié, notaire) avec :
127 Marguerite de Combettes, née à Gaillac (81), fille de David de Combettes et Marie de Fournier
128 François Rodat, marchand du Pont-de-Cirou vers 1540 :
Nous souhaiterions compléter cette ascendance par les quartiers manquants Rous (72-73), Labadie (86-87), Trébosc (88-89), Bonaterre (90-91).
Cette ascendance et les générations antérieures permettent d’identifier de nombreux “ cousins ” au sens généalogique d’Émilie de Rodat. En nous limitant, nous citerons :
· le philosophe Montesquieu (1689-1755) par le couple, Jean II de Secondat de Montesquieu x 1564 Eléonore de Brenieu, N° 894 et 895
· le philosophe Louis-Gabriel-Ambroise de Bonald (1754-1840), inspirateur de la pensée politique de Balzac ( j’écris à la lumière de deux vérités éternelles : la Religion et la Monarchie) par le couple ruthénois, Raymond Parayre x Cécile Le Tellier, N° 134 et 135
· le philosophe et historien Guillaume-Thomas Raynal (1713-96) par le couple de Saint-Geniez-d’Olt, Jean Fontanier dit « de Girels » x 1558 Agnès de Bonamy, N° 138 et 139
· l’écrivain Honoré de Balzac (1799-1850) par le couple villefranchois, Antoine de Solages x 1542 Antoinette Dardenne, N° 392 et 393
· le célèbre médecin Jean-Louis Alibert (1768-1837), né à Villefranche, par le couple villefranchois, Jean Dardenne x Marguerite Imbert, N° 686 et 687
· l’écrivain Charles de Pomairols (1843-1916) et le navigateur albigeois Lapérouse par le couple villefranchois, Jean de Pomairols x 1617 Jeanne de Maritan, N° 106 et 107
· l’amiral albigeois de Rochegude (1741-1834) par le couple gaillacois, Jacques de Combettes x 1576 Marie de Rodat, N° 508 et 509
· l’ancien premier ministre Raymond Barre par le couple villefranchois, Jean Murat x 1642 Jeanne Flottes, N° 114 et 115
· l’ancien maire de Villefranche-de-Rouergue, Robert Fabre par le couple de Lagarde-Viaur (81), Guillaume de Ginestel x 1547 Marguerite Buisson, N° 494 et 495
· le peintre Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) par le couple villefranchois, Pierre de Pomairols x 1590 Marie de Patras, N° 96 et 97 et N° 212 et 213
· Eugénie de Guérin (1805-1848), son frère Maurice de Guérin et le général d’Hautpoul (1754-1807) par le couple d’Entraygues, Henri de Montvalat x 1601 Paule de Vialar, N° 476 et 477
· le généalogiste Hippolyte de Barrau (1794-1863) par le couple quercinois, Nicolas de la Roque-Bouillac x 1531 Jeanne de Clugny, N° 888 et 889 et sa belle-sœur Coraly Manzon (x Eugène de Barrau) par le couple najacois, Forton Ramondy x 1695 Catherine Saby, N° 30-31
· la romancière Françoise Sagan (de son vrai nom Quoirez), née à Cajarc (46), par le couple villefranchois, Bernard Ramondy x vers 1625 Anne Puylaurens, N° 120 et 121
· le philosophe et homme politique Jean Jaurès (1859-1914) par le couple Jean de Roquefeuil, seigneur de Padiès (81) x 1495 Blanche de Capluc, N° 1280 et 1281
· enfin, et là il s’agit d’un parent proche, le journaliste et homme politique Maurice Pujo (1872-1955), directeur de l’Action française, arrière-petit-fils d’Éléonore de Rodat (1788-1833), sœur d’Émilie.
On peut remarquer que la famille paternelle d’Emilie, les Rodat, et la famille maternelle, les Pomairols, figurent chacune deux fois dans l’ascendance d’Emilie (au niveau des 256 quartiers).
La famille bourgoise ruthénoise de Cat est différente probablement de la famille noble du nord du Rouergue, Cat de Cocural. Mais les deux figurent dans l’ascendance : Antoinette de Cat de la Boissonade (N° 75) et Claire de Cat de Billorgues (N° 129) pour la famille de Rodez avec ses deux branches principales et Catherine de Cat de Cocural (N° 959) pour la seconde.
Émilie de Rodat descend deux fois de François du Rieu, président juge-mage du Présidial du Rouergue à Villefranche : une fois avec sa première épouse (mariage en 1561), Françoise de Campmas (N° 956 et 957), une fois avec sa seconde épouse (mariage en 1568), Béatrix de la Valette-Parisot (N° 442 et 443). Elle descend deux fois également de Robert de La Valette, seigneur de Labro (marié vers 1520 avec Béatrix de Torsiac, fille d’Ippolita de Montecuccoli).
La famille Dalmas, de Sauveterre figure aussi deux fois dans l’ascendance, en supposant qu’Anne Puylaurens (marié vers 1625 avec Bernard Ramondy) était bien (filiation restant à confirmer) la fille du couple gaillacois, Jean Puylaurens, marié vers 1583 avec Françoise Dalmas, celle-ci fille de François Dalmas (marié avec Jeanne Falc), celui-ci frère de Pierre Dalmas (marié avec Isabelle de Pause) arrière-grands-parents de Jeanne Flottes (N° 115). Cette famille Dalmas était alliée aussi aux Rodat du Pont-de-Cirou.
Émilie de Rodat descend des familles Raynal et Raynaldy de Villefranche. Malgré la similitude des deux patronymes, l’un étant une latinisation de l’autre, il s’agit de deux familles différentes, les Raynal venant de Laguiole et les Raynaldy descendant de notaires villefranchois au XVe siècle.
Un très grand nombre d’aveyronnais descendent du roi, Saint-Louis ou Louis IX (1214-1270). Nous avons donc prospecté quelques branches de l’ascendance de Sainte Émilie de Rodat pour étudier si la “ Sainte du Rouergue ” avait elle aussi dans son ascendance le roi de France, canonisé en 1297 par le pape Boniface VIII. Et effectivement Émilie de Rodat descend très probablement du roi Charles VI, lui-même descendant quatre fois du roi Saint-Louis, par trois de ses enfants (Philippe III Le Hardi, Robert de Clermont et Agnès de France, épouse du duc Robert II de Bourgogne). L’ascendance s’établit en lignée naturelle par Marguerite de Valois, fille du roi Charles VI et de sa compagne Odette de Champdivers (1391-1424) et qui épousa en 1428 Jean de Harpedanne, chambellan du roi Charles VII. Ce dernier légitima sa demi-sœur, Marguerite en janvier 1428 par des lettres données à Montrichard. L’ascendance passe ensuite par Louis de Harpedanne (marié en 1455 avec Marguerite de Culant), Catherine de Harpedanne (mariée vers 1475 avec Philippe de Cousdun), N. de Cousdun (marié vers 1495 avec François de Poquières), Bonaventure de Poquières (marié en 1515 avec Bonaventure de Polignac), Christophe de Polignac (marié en 1544 avec Renée Gillier), Louise de Polignac (marié en 1574 avec Jean de Durfort), Marie de Dufort (mariée vers 1605 avec Isaac du Maine), Constance-Françoise du Maine (mariée en 1634 avec Emmanuel de Lagardelle), ce dernier couple, quartiers 116 et 117 de l’ascendance d’Émilie.
Émilie de Rodat descend de plusieurs familles de Gaillac en Albigeois (dont les Combettes et sans doute les Puylaurens) et nous avions pour cette raison espéré trouver un cousinage avec une autre sainte, de même prénom, et dont la vie présente un grand parallélisme avec celle d’Émilie de Rodat. Il s’agit de Sainte Émilie de Vialar, née à Gaillac en 1797 et décédée à Marseille en 1856, fondatrice en 1832 de la Congrégation missionnaire des Soeurs de Saint-Joseph de l’Apparition. Elle fut béatifiée en 1939 (un an avant Émilie de Rodat) et canonisée en 1951 (un an après). Hélas notre espoir a été déçu, du moins en limitant notre recherche au 32 quartiers d’Émilie de Vialar mais une parenté plus lointaine ne peut bien sûr être exclue car Émilie de Vialar avait des ascendants dans la partie de la vallée du Viaur (Montirat, avec la famille Madern) située non loin de Najac où Émilie de Rodat avait de nombreux ancêtres. Une autre piste de cousinage possible réside dans les Alric qui figurent dans les deux ascendances (famille de Villefranche pour Émilie de Rodat avec Jeanne Alric N° 881, famille de Cordes pour Émilie de Vialar mais peut-être venue de Villefranche fin XVIe siècle).
Tous les compléments concernant les lacunes de cette ascendance ou d’éventuelles rectifications ou des additions concernant les ascendants cités seront bien sûr les bienvenus. Si un intérêt assez vif se manifestait pour le sujet, la réalisation d’une brochure consacrée aux 1024 ou aux 2048 quartiers de Sainte Émilie de Rodat pourrait être envisagée dans l’avenir.
Jean-Louis DEGA (membre fondateur CGR) et Geneviève RIGAL-SAUREL (vice-présidente CGR)
Barrau (Hippolyte de) Documents historiques et généalogiques sur des familles du Rouergue, 4 tomes 4, Ratery, Rodez, 1853-1860
Bernonville(Gaétan) La Sainte du Rouergue, Emilie de Rodat, Fondatrice de la Sainte-Famille, Grasset, 1959
Bonald (Vicomte) Documents généalogiques sur des familles du Rouergue, Carrère et Brun, Rodez et Toulouse, 1902
Bouilhac Indications sur les origines des Chevaliers de Bouilhac, Carrère, Rodez, 1907
Colomb (André) Flavin, Editions Subervie, Rodez, 1970
Déga (Jean-Louis) La Famille d’Ardouy Balssa, marchand au Pont-de-Cirou, Bulletin du Cercle généalogique de Languedoc, N° 66, 1er trimestre 1995, pp. 49-51
Fabre (Abbé) Vie de la mère Marie-Guillemette-Emilie de Rodat, fondatrice de la congrégation de la Sainte-Famille, dictée par elle-même à Monsieur l’Abbé Fabre, chanoine honoraire de Rodez, Rodez, 1958
Pelat (Thierry) Famille de Girels, Bulletin du CGR N°34, 0ctobre 2000
Pomairols (J. de) Une famille de Villefranche-de-Rouergue : Pomairols, 1926
Sahut d’Izarn (André) Généalogies Rouergates, Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de l’Aveyron, Tome 28, Rodez, 1964
Saint-Saud (Comte de) Généalogies périgourdines, tome II, Généalogie du Buade, pp. 25-39, Bergerac, 1925
Saurel-Rigal (Geneviève) Famille Murat de la Treille, Bulletin du CGR N°40, Avril 2002
Saurel-Rigal (Geneviève) Famille Morlhon de Sanvensa, Bulletin du CGR N°36, Avril 2001
Valady (Marquis de) Les châteaux de l’ancien Rouergue, tome III, cantons de Villefranche et Villeneuve, Maury à Millau, 1961
Valynseele (Joseph) et Grando (Denis) À la découverte de leurs racines, 1ère et 2ème série, 1988 et 1994, Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux, Paris
Vignau (Jean) Nobiliaire des généralités de Montauban, d’Auch et du pays de Foix, 4 tomes, HFSO, 1998 à 2001
Villain (Jules) La France Moderne, Haute-Garonne et Ariège, 2 tomes, Montpellier 1911 et 1913.
Correspondances
postales ou électroniques (privées ou sur les listes)
M. Pierre Cote (Guirbaldy), M. Jean-Michel Gil (Polignac x Poquières), M. Pierre Hocquellet (Guitard de Rodat), M. Paul Decer (Rous x Lacas), M Emile Méjane ( Trébosc x Bonnaterre).
Sites Internet
Biographie abrégée d’Emilie de Rodat : http://www.scolagora.com/ndsannois/club/saintefamille1.htm
Isabelle Joubert (ascendance Pomairols) : http://membres.lycos.fr/ijoubert/
Jérôme Saurel (familles najacoises) : http://site.voila.fr/jerome.saurel/
Claude Barret (ascendance Foulquier x Trebosc) : http://www.claude.barret.net/
Henri Bourjade (ascendance Lagardelle) : http://hbourj.free.fr/
Hervé Gros (ascendance Polignac x Gillier) : http://www.gros.nom.fr/
Liste Entraide-nobiliaires : http://fr.groups.yahoo.com/group/Entraide-nobiliaires/