Famille SEGONS de la Brousse

 
Armes : d’or à la scie de sable posée en bande.
Sources : A.D.A registres paroissaux de La Fouillade, Marmont, Rieupeyroux, Saint-Salvadou, Teulières, Vabre ; registres de notaires de La Bastide-l’Evêque, Rieupeyroux, Saint-Salvadou, Villefranche.

 

Le patronyme Segons est très répandu dans la région de Saint-Salvadou et peut venir du village Segons, situé dans cette paroisse, ou au contraire avoir donné son nom à ce lieu. Le nom de Segons s’est éteint dans ce village au XVII° siècle (Jean est établi à Rodez en 1634 comme chapelier), mais  il se retrouve dans nombre de villages de la région sans pouvoir trouver de lien de parenté.

En 1416 au village de la Brousse, Guillaume et Jean son fils sont cités forgerons ; au XVI° siècle plusieurs familles portent ce patronyme d’où les surnoms « Forcat », « Baillou », « La Bize », « Guillaumou »… C’est cette dernière famille avec quelques ébauches de ramifications que nous présentons. Elle s’est anoblie après des alliances avec des familles nobles et a porté le titre de seigneur de La Brousse par des achats : une partie de la seigneurie de La Brousse à Guillaume Durieu, seigneur de Saint-Salvadou, le 25 mai 1538 et la partie restante, le 15 juillet 1579 (2E 28b). Le 22 mars 1701, elle est inscrite à l’Armorial général (tome XIII, fol 104) et le 7 juillet 1716 le jugement de maintien dans sa noblesse d’extraction est signé par l’intendant de Montauban.

Après la Révolution elle porte les patronymes : Segons-Labrousse, Segons-Lestang, Lestang de Labrousse...

I-                   Guillaume (+ après 1554), paysan, en 1502 il est cité comme neveu d’Olivier (3E 5582). D’où :

1-     Jean, plus vieux, qui suit.

2-      Jean, prêtre.

3-     Jeanne.

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II-                Jean (+ après 1556), paysan, dit « Guillaumou » ou « Jehan de Guillaumou ». D’où :

1-     Antoine, plus vieux, qui suit.

2-     Jeanne, mariée (c.m. le 2.09.1554, dot 1050 livres, 3E 5670) avec Jean Valette, fils de Barthélémi, forgeron d’Arcanhac.

3-     Jean, qui suivra (voir Branche de Mazières, III.3).

4-     Antoine, plus jeune.

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III-              Antoine (+ avant 1570), dit « Thony Grand », marchand, le 25.05.1564, il fait bâtir la caussade sive batude de l’étang de La Brousse (3E 5674). Marié en secondes noces avec noble Béatrix d’Antraygues, fille de noble Antoine, seigneur de Moret (c.m. le 14 janvier 1556, non cités « fille naturelle et légitime » et le nom de la mère, faible dot, 300 livres, 3E 5669). Béatrix se marie en deuxièmes noces avec N. Lacalm et en troisièmes noces avec Jean Phalip, de La Borie de Cabanes. Elle teste le 12 juillet 1590 à La Borie (La Bastide-L’Evêque) chez son troisième mari, en faveur de son fils aîné, lègue 33 écus à  Pierre, prêtre, 100 livres à Jean, de Lonnac et la métairie de Naujac avec maison et vigne à Bar à Jean Lacalm de son deuxième mariage (3E 5568).

D’où du premier lit (mère inconnue) :

1-     Antoine, qui suivra (voir Branche de Marmont, IV.1)

2-     Jean, établi au Sol (Marmont), marié avec Jeanne Lagarrigue, fille de Dordé, du Sol. Il teste le 30 avril 1596 en faveur de sa femme (3E 6581). D’où :

a- Antoine, marié (c.m. en 1637, 3E 5703 fol. 29) avec Jeanne Gipoulla, veuve Nespoulous.

b- Catherine, mariée avec Antoine Bonhomme, de Puechbayssac (Saint-Salvadou).

c- Marie.

Du second lit :

3-     Antoine, plus jeune, qui suit.

4-     Pierre, prêtre.

5-     Jean, dit « Brousse » (signe), paysan à Lonnac (Teulières), marié avec Isabeau Bessou, fille de Pierre, paysan de Lonnac (Teulières). Isabeau teste le 27 février 1637 en faveur de son fils aîné (3E 5703). D’où :

a-      Jean, plus vieux, dit « Cénac », qui teste le 28 mai 1631, avec la permission de son père il peut disposer à son gré des biens gagnés depuis quelques années chez ses maîtres qu’il lègue à sa mère. Il cite son frère et ses trois sœurs (3E 5698).

b-     Jean, plus jeune, martinaire en Languedoc en 1631 et 1637 1.

c-      Antoinette (+ avant 1637), mariée avec Pierre Lortal.

d-     Béatrix, mariée (c.m. le 11 juin 1625, 3E 5693) avec Jean Delbourg, fils de Jean, dit « Jehandet », de Vezac (Saint-Salvadou).

e-      Marie.

---- Jeanne, illégitime, mariée (c.m. le 10 novembre 1632, 3E 2601) avec Jean Pascal, fils de Pierre et Marie Laubiès, de Fornac (Saint-Salvadou).

IV-             Antoine (+ 1631), marchand en 1579-1596, qualifié de seigneur de La Brousse et de Combret lorsqu’il rend hommage et fidélité au roi, en 1607. Il se marie (c.m. le 30 avril 1579, 3E 2978, dot 300 écus soit 900 livres)), avec noble Jeanne de Colon, fille de noble Pierre, marchand bourgeois de Villefranche et de noble Marguerite de Soulages. Antoine teste le 14 avril 1631 en faveur de son fils Antoine, lègue 150 livres en plus de leur dot à ses filles Jeanne et Antoinette, cite sa fille naturelle Antoinette (3E 2694). D’où :

1-     Jeanne (+ après 1634), mariée (c.m. le 21 novembre 1610, 3E 2685, dot 700 livres, une vache, 8 brebis) avec Jean Loupias, paysan de Tanus (Lunac), fils d’Antoine et de Delphine Ginestous (ancêtres d’Honoré de Balzac).

2-     Antoine, qui suit.

3-     Antoinette, mariée avec Bernard Caminade, meunier.

----- Antoinette, illégitime, mariée (c.m. le 25 juin 1623, dot 160 livres, un plat, une assiette et une écuelle en étain, un chaudron en cuivre 3E 5691) avec Jean Boyer, fils de Géraud, du Baudas (Saint-Salvadou).

----- Jean, illégitime, tailleur, marié vers 1612 avec Jeanne Pourcel (pas cité dans le testament de son père).

V-                Antoine, dit « plus jeune » en 1629, seigneur de La Brousse, marié (c.m. le 22 février 1618, 3E 2689) avec noble Gabrielle de La Tour, fille de Bertrand, seigneur de Lédou et d’Isabeau d’Arpajon 2. D’où :

1-     Charles, qui suit.

2-     Isabeau, citée dans le testament de son aïeul.

3-     Marie, mariée en premières noces avec Pierre Courrège, hoste de La Bruyère (La Fouillade), fils de Jean et d’Anne de Morlhon 3 et en secondes noces (c.m. le 6 février 1673, 3E 5214) avec François Barrès, praticien de Najac, fils de François, notaire et Marie Michel.

4-     Antoinette (vers 1638-1693), mariée le 24 février 1653 à Marmont avec François Pezet, fils d’Antoine, paysan de Pezet (Saint-Salvadou) et de Catherine Traynier. Sans descendance, Antoinette teste le 18 mai 1693 en faveur de son neveu Pierre Segons (3E 5628).

VI- Charles (+ avant 1677), seigneur de La Brousse. Il passe un premier contrat de mariage le 29 juillet 1652 (3E 8484) avec Anne de Foulcras, fille de Claude, seigneur du Théron et d’Anne de Roumégous, de Man (Quins) 4 et un second le 11 février 1654 avec Isabeau de Hautpoul (+ 8 novembre 1699 à Saint-Salvadou), fille de noble François, seigneur de Salettes en Albigeois et de Marquise (ou Marguerite) Dupuy. Charles teste le 12 avril 1668 en faveur de son fils Pierre Segons de Lestang, cite ses autres trois enfants et la dernière, « La Néné autre leur fille à baptiser » (3E 8828). Isabeau teste le 6 novembre 1680 chez Me Garrigues, notaire de Laguépie, « se rendant à Toulouse craignant un accident en chemin ». Quelques mois auparavant elle avait passé un contrat de mariage avec François de Montméja, marchand de Villefranche, qui n’est pas cité dans le testament (3E 3188). D’où :

1-     Marie, mariée avant 1696 avec Jean Teules, de Pierrefort en Auvergne. Elle habite le Cayrou (Arcanhac), métairie des seigneurs de Loupiac, lorsqu’elle assiste, comme créancière, à l’inventaire des biens desdits seigneurs le 4 juillet 1701 (3E 5283).

2-     Pierre, qui suit.

3-     Isabeau (née le 9 octobre 1659).

4-     Jeanne, mariée en premières noces en 1691 (c.m. chez Me Albaret) avec André Balssa (+ 1694), marchand bourgeois du Pont-de-Cirou (81), fils de Pierre et de Marguerite de Valeux (sœur de Françoise, épouse Rodat) ; mariée en secondes noces (c.m. 23.09.1696 chez Me Albar, AD 81, en dot « aucuns biens, elle se réserve ses droits, la famille est fort pauvre ») avec Pierre Granier, fils de François et de Marguerite Dalet, de La Nougarié (Canezac, 81).

5-     Isabeau (née en avril 1668), dite « La Néné », mariée avec Jean Dardignac, bourgeois d’Alam en Comminges. Elle est citée dans le testament de sa tante Antoinette épouse Pezet.

6-     Marie-Anne (née après 1668).

VIII- Pierre Segons de Lestang (vers 1657-18 novembre 1744), seigneur de La Brousse, Montou, Villescours et autres lieux, mariée (c.m. le 22 octobre 1685 chez Me Delafon, notaire d’Ambialet AD 81, 2000 livres de dot 5) avec Dorothée de Saunhac (vers 1657-24 mars 1734), fille de noble François, seigneur de Rodelle et de demoiselle Marguerite d’Authémar, de La Capelle (Saint-Martin-de-Limouse). Pierre teste le 27 janvier 1677 avant  de partir au service du roi, en faveur de sa mère (3E 3371), en 1700, il habite le château de Salesse. Dorothée confirme le 17 février 1732 la donation que fit son mari de la moitié des biens à leur fils François lors de son mariage, elle déclare qu’elle a dans son coffre un testament olographe dicté à Me Fizes, notaire de Saint-Salvadou  (3E 5652). D’où :

1-     Antoinette (4 janvier 1690-29 décembre 1777), mariée avec Jean Cornac, bourgeois de Vabre, fils d’Etienne et de Marquise Martiny. D’où François Cornac (voir IX.8).

2-     Jean (né le 22 mars 1691).

3-     Jeanne (née le 9 avril 1692), mariée vers 1725 avec Aymeric-Ignace Gineste, juge de Pleaux (15).

4-     Dorothée (née le 9 août1693).

5-     Françoise (16 septembre 1694-16 janvier1770), mariée avec Joseph-Déodat Garrigues (+ 31 mai 1755), notaire de La Bastide-l’Evêque, fils de Jean-Louis et de Guillaumette Viven 1.

6-     François, qui suit.

VIII- François (vers 1701-6 janvier1750), seigneur de Lestang, de La Brousse, marié le 8 février 1725 à Morlhon (c.m. chez Me Savignac) avec Marguerite Clapié (25 juillet 1699-15 septembre 1728), fille de François, bourgeois d’Auzits et de Marguerite Médal. D’où :

1- Pierre-François, qui suit.

2- Marie-Antoinette (1728-après 1791).

IX- Pierre-François Segons de Lestang (20 novembre 1726-6 novembre1785), seigneur de La Brousse, Montou et autres lieux (1766), marié le 1er  juin 1750 à Morlhon (c.m. chez Me Hugonenc le 14 mai) avec Suzanne-Marie-Marguerite Gaillard 6 (1729-1812), fille de Pierre-Louis, lieutenant criminel en la sénéchaussée de Villefranche et de Catherine d’Alibert. Vers 1760, il rachète au sieur Courrège, de La Planque (La Fouillade) les droits sur la coseigneurie de Bar. Après son décès, le 7 novembre 1785, sa veuve fait apposer les scellés sur la plupart des meubles en gardant les objets nécessaires au service de la maison. Le 16 janvier 1786, est dressé l’inventaire très détaillé du château de La Brousse composé au rez-de-chaussée de cuisine, cave, salon, secrétaire, au premier étage une salle, quatre chambres et une chambre sous la tour, au second étage trois chambres et au dernier étage un galetas, « les bâtisses et le couvert sont en très mauvais état, les fenêtres et portes ont besoin de réparations » (3E 9769-9770). D’où :

1-     Armand-Marie-Jean-François (13 août 1751-9 janvier 1819), prieur de Bleissol en 1788, prêtre réfractaire, transféré à Rodez puis à Bordeaux et emprisonné à Port des Banques, près de Rochefort. Libéré en mars 1795, il reprend la cure de Bleissol, prêtre succursal d’Asprières de 1809 jusqu’à sa mort survenue le 9 janvier 1819. Le domaine de Puechusclat (Vabre) qui lui appartenait en indivis avec son frère, Victor, fut vendu comme bien national en 1794.

2-     Antoinette-Victoire-Charlotte (28 juillet 1755-avant 1786).

3-     Charles-Jean-François-Amable de Montou, qui suit.

4-     Marie-Victor-Auguste-Marie-Joseph de Segons de la Brousse 7 (11 août 1757-3 mars 1821), lieutenant de cavalerie dans la légion de M. de Maillevois en Hollande en 1786 (3E 9770) puis capitaine et chevalier de Saint-Louis, émigré à la Révolution, (garde du corps du roi en 1820). Le 13 octobre 1821, l’inventaire de ses biens, comprend surtout des habits : deux redingotes, trois pantalons, un calson, trois culotes, quatre gilets, dix chemises, deux chapeaux, un lit garni, six couverts en argent avec un écusson, deux couteaux de table avec le manche en argent, le tout estimé à la valeur de 325 francs. Le partage a lieu entre ses six nièces et neveux (3E 25 036).

5-     Louise-Marie-Rose (1759-1759).

6-     Marie-Agnès-Antoinette-Justine (25 mars 1760-28 juillet 1840), mariée le 31 janvier 1789 avec Jean-Julien Cornac, bourgeois de Vabre (cousins au troisième degré), fils de François (voir VII.1) et de Marie-Cécile de Boyer. D’où Jean-Julien Cornac (voir X.3 et tableau).

7-     Marie-Thérèse-Félicité (née le 12 juillet 1761), célibataire en 1786.

8-     Dorothée-Marie-Justine (21 juin 1763-avant 1786).

9-     Henriette-Victoire-Clotilde (née le 26 janvier 1766), religieuse au monastère des ursulines à Saint-Claire en 1786 (Villefranche).

10- Charles-Louis-Hyppolite (8 décembre 1769-1782).

X- Charles-François-Amable Segons de Labrousse de Lestang (11 août 1756-15 septembre 1814), seigneur de La Brousse et de Montou, avocat, marié le 24 mars 1791 (c.m. chez Me Mader, dot 11 000 livres) avec Marie-Anne-Félicité Mazars, fille d’Antoine-François, homme de loi de Colombiès et d’Anne de Gaston. D’où :

1-     Marie-Joseph-Amable-François (né le 29 août 1792), qui suit.

2-     Amans-Victor-Auguste (né le 5 novembre 1793). Le 23 octobre 1820 Amans-Victor-Auguste de La Brousse est garde du corps à Paris lorsqu’il met  « en son lieu, droit, priorité et privilège » son frère aîné pour la somme de 400 francs (3E 25 036).

3-     Marie-Henriette-Euphrasie (née le 24 septembre 1795), mariée le 26 janvier 1820, avec Jean-Julien Cornac, gendarme à la résidence de Villefranche, son cousin germain, fils de Jean-Julien et de Justine de Segons (voir IX.8). Elle doit présenter trois actes respectueux à sa mère qui s’oppose au mariage, « elle supplie humblement sa mère de consentir à son union avec ledit Cornac quoique sa fortune, éducation, croyance soient en rapport avec les siennes... » Sa mère (peut-être en raison de la forte consanguinité) « n’entend nullement donner son acquiessement à l’enregistrement du mariage de sa fille » (3E 25 036).

4-     Armand-Marie-Edouard, présent au partage en 1821.

5-     Marie-Rosalie-Dorothée, mariée le 9 juillet 1822 avec Jean-Pierre Teulat, notaire de La Salvetat-Peyralès, fils d’Alain-Dominique et de Marie de Morlhon.

6-     Marie-Gabrielle-Joséphine (née le 23 juin1802), mariée le 20 avril 1825 avec Louis Boë, de Creyssels.

XI- Joseph-François Lestang de La Brousse, avocat, huissier en droit, notaire à la résidence de La Fouillade de 1859 à 1865, marié le 24 octobre 1820 avec Louise-Antoinette-Thérèse-Clotilde d’Hélyot, fille de Jean-Baptiste-Antoine, chevalier de Saint-Louis et de Marie-Françoise-Joséphine de Moreau de Gorenflot, habitant Couanac (Lot). Vers 1875 le château et le domaine de La Brousse sont vendus par la famille. D’où :

1- Marie-Louise-Augustine-Adèle-Sylvie (1828-1889).

2- Marie-Edouard-Auguste (1835-1904), marié avec Ramone-Alberte de Walls de Marimon (1846-1920), fille de Vincent, vice consul d’Espagne. Descendance.

3- Sophie (+ 1910), épouse Brueys, de Saint-André.

 

Branche de Marmont

III.1- Antoine (+ vers 1625), dit « Brousse », établi à Marmont, marié avec Jeanne Duran (+ avant 1630), fille de Jean, hoste de Marmont et de Peyronne Ficat. Jeanne teste le 8 avril 1594 en faveur de son mari (3E 5680). D’où :

1- Antoine (+ vers 1622), dit « Brousse », marié en premières noces avec Marguerite Viallèles, fille de Jean, hoste de La Bruyère (La Fouillade) et en secondes noces avec Isabeau Bosc, fille de Jean, du Bosc (Compolibat). Antoine teste le 23 septembre 1622 en faveur de son fils aîné (3E 5690).

D’où du premier lit :

a-      Antoine (+ après 1682), dit « Brousse », marié en premières noces avec Anne Bedène, fille de Jean et en secondes noces (c.m. en décembre 1631, 3E 5698) avec Anne Fournier, fille de Barthélémi, de Vabre.

D’où du premier lit :

-                  Marguerite, mariée le 22 avril 1646 avec Pierre Ricard, fils de Pierre et d’Antoinette Gaudou, de Rieupressens (Bleissol).

Du second lit 

-                  Anne, mariée le 18 février 1653 avec Jean Delbruel, fils de Guillaume.

-                  Antoinette, mariée le 13 février 1657 avec Dalmas Gil, fils de Jean de Sommart (81).

-                  Pierre (né le 20 septembre 1647).

b-     Jean, praticien.

c- Jeanne, mariée avec Jean Roumégous, de La Bruyère (La Fouillade), fils de Raymond et de Catherine Cadène (c.m. le 7 juin 1634, en présence de Claude d’Agens, prieur d’Arcanhac, de Jean Courrège, hoste de La Bruyère, 3E 5701).

Du second lit :

d-  Pierre (+ 2 octobre 1661), roudié, marié le 9 février 1657 à Marmont avec Antoinette Loupias (+ 21 octobre 1661), de La Roque (Lescure), fille d’Antoine et d’Anne Lacassagne. D’où Anne (née le 2 juillet 1660).

e- Antoinette.

2- Jean (+ avant 1630).

3- Pierre, prêtre, recteur de Marmont en 1630.

4- Jean,  dit « Pichou », qui suivra (voir Rameau de Combret IV.4).

5-     Jean, qui suivra (voir Rameau du Puech IV.5)

6- Antoine, dit « Tony Pichou », qui teste le 22 septembre 1630 en faveur de son frère Pierre, cite ses quatre autres frères, ses neveux et nièces (3E 5697).

7-     Béatrix (+ avant 1630), mariée en premières noces avec Pierre Lacaze, de Rodez et en secondes noces avec Mourlhou, del Pon (Vailhourles).

8-     Pierre, qui suit.

IV- Pierre (+ 21 mars 1666), « Brousse », dit « Peyre La Lune », hoste à Marmont, marié (c.m. le 22 juin 1625, 3E 5693) avec Antoinette Delbourg (+ 9 janvier 1676), fille de Jean, dit « Johanet » et d’Antoinette Garrigues, de Vezac (Saint-Salvadou). D’où :

1-     Pierre, qui suit.

2-     Antoine, laboureur à La Salvetat-Peyralès, marié (c.m. le 24 janvier 1656, 3E 5524) avec Antoinette Cadilhac, fille de Bernard et de Madeleine Boyer, de La Salvetat-Peyralès.

3-     Guillaume, praticien au Puech (Saint-Salvadou), marié en 1670 (3E 5708) avec Marie Fabre, fille de Pierre, paysan du Puech (Saint-Salvadou) et de Catherine Coste. Guillaume teste le 6 janvier 1701 en faveur de sa femme à charge de rendre l’hérédité à sa nièce Antoinette mariée avec le frère de sa femme (3E 5632).

4-     Antoinette, mariée le 1er juin 1659 avec Pierre Boyer, fils de François et d’Isabeau Gautié, des Mazières.

5-     Pierre, cité en 1660 comme parrain.

6-     Jean, tisserand au Mazet (Marmont) en 1667.

V- Pierre (+ avant 1693), « Brousse »,  laboureur à Marmont, marié le 4 juillet 1658 (c.m. le 22 juin chez Me Devals, dot 400 livres, voir 6 novembre 3E 2541) avec Catherine Dintilhac (1634-14 septembre 1693), fille de Guillaume, dit « Grelat », laboureur de Durcu (Morlhon) et de Jeanne Nouviale. Catherine teste en août 1693 en faveur de sa fille (3E 5628). D’où :

1- Antoinette (5 décembre 1660-vers 1714), héritière de sa mère, mariée 2 septembre 1694 (c.m. le 8 août, 3E 5629) avec Antoine Fabre (+ 1695), du Puech (Saint-Salvadou), fils de Pierre, paysan du Puech (Saint-Salvadou) et de Catherine Coste et en secondes noces (c.m. le 20 mai 1696 avec Pierre Segons, dit « Cartier », tailleur, fils de Pierre et d’Antoinette Ginestet, de Puechbessac (Saint-Salvadou). D’où Guillaume, marié le 27 novembre avec Louise Truel, fille de Guillaume et d’Anne Fricou.

2- Marie (26 juillet 1663-16 août 1666).

3- Guillaume (né le 18 juin 1665), laboureur à Talespies (Saint-Salvadou), marié le 22 juillet 1699 avec Marie Gautier, veuve Pierre Lasserre, de Saint-Salvadou.

4- Marie (25 septembre 1667-31 décembre 1668).

5- Antoinette (8 juillet 1669-20 septembre 1669).

6- Jean (17 septembre 1671- avant 1693).

7- Pierre (31 août 1673-avant 1693).

8- Antoine, laboureur au Suq (Saint-Salvadou), travailleur, marié (c.m. le 2 février 1706, 3E 5635) avec Catherine Laval, du Suq, fille d’Antoine et de Catherine Arnal.

Rameau de Combret (Teulières)

IV.4- Jean, dit « Brousse », marié (c.m. le 8 janvier 1612, 3E 2580, dot 180 livres) avec Jeanne Devaur, fille et héritière de Barthélémi et d’Anne Malaterre, de Combret. D’où :

1-     Pierre, qui suit.

2-     Antoinette.

3-     Antoine.

4-     Françoise.

5-     Isabeau.

V- Pierre (1617-1687), dit « Pagès », paysan, marié avec Jeanne de Morlhon 3 (c.m. le 28 septembre 1644, 3E 10 148, ses beaux-frères les sieurs Courrège et Dufau lui donnent 600 livres), fille naturelle de noble Louis, seigneur de Kaymar et de Jeanne Sabathier. D’où :

1-     Catherine, héritière, mariée le 28 février 1672 à Teulières avec Paul Alet 8, fils de Guillaume, laboureur de Montloubet (Rieupeyroux) et d’Anne Vialadieu.

2-     Anne, mariée le 13 octobre 1679 à Teulières avec Jean Delbès, fils de Jean et Jeanne Campanhac, de Montloubet.

 

Rameau du Puech (Marmon)

V.5- Jean, « Brousse », dit « Capblanc », laboureur du Puech, marié avec Catherine Nouviale du Puech. Jean teste le 6 avril 1632 en faveur de sa belle-mère Marie Julien, de sa femme et de son beau-frère François Nouviale (ils devront rendre l’hérédité à un des enfants « qui mieux gouvernera »), lègue 150 livres à Marie et 80 livres à ses fils (3E 5629). D’où :

1-     Marie (+ 4 novembre 1669), mariée le 14 août 1655 avec Antoine Thémines, du Puech, fils de Jean et de Jeanne Duran.

2-     François, qui suit.

3-     Pierre.

4-     François, laboureur de Gally (La Salvetat-des-Carts), marié avec Jeanne Molinier, veuve Miquel, de Gally. Le 28 mars 1694, il fait donation de ses biens à sa fille Antoinette (3E 5629). D’où :

a-      Antoinette, mariée avec Pierre Lagarrigue, meunier de Vezac, fils de Guillaume et de Catherine Segons.

b-     Ne épouse Jean Lafon.

5-     Antoine, qui teste le 2 septembre 1693 en faveur de Jean Laserre, neveu (3E 3168).

VI- François (+ 13 mars 1676), laboureur du Puech, marié vers 1648 avec Catherine Falipou (+ 17 septembre 1691), fille de Géraud, paysan de Bessous (Morlhon) et de Jeanne Déléris. François teste en 1659 en faveur de sa femme (3E 3168). D’où :

1-     Antoinette, héritière, mariée (c.m. en 1673, 3E 3180) avec Jean Laserre, dit « Goudoune », charpentier, fils d’Antoine et de Jeanne Fraisse, de La Griffoulière (Morlhon).

2-     Catherine (née le 2 octobre 1651).

3-     Marie (née le 23 février 1653), mariée le 16 février 1676 avec Pierre Falipou, fils de Jean et de Jeanne Lacombe, du Bosc (Morlhon).

4-     Pierre (né le 18 juillet 1658).

5-     Antoine (né le 16 mars 1664).

6-     Marie (née le 30 avril 1672), mariée le 18 février 1694 (c.m. 3E 5629) avec Jean Rouziès, fils d’Antoine et de Jeanne Alcouffe, du Verdier (Morlhon).

 

 

Branche de Mazières (Rieupeyroux).

III.3- Jean de Segons (+ avant 1586), paysan de Mazières. D’où :

1- Jean, qui suit.

2- Jeanne, mariée vers 1571 avec Antoine Déléris, fils de Jean, paysan de Lugan (Vabre).

3- Géraud (+ avant 1610), paysan de Fénayrols (Bor-et-Bar), marié vers 1570 avec Marie Viallèles, fille de Jean, paysan de Fénayrols. Il est dit cousin d’Antoine Segons, de Marmont et d’Antoine Segons de La Brousse (1593, 3E 9979). D’où :

a- Catherine, héritière, laquelle teste à Rébirou (Arcanhac) le 23 avril 1619 en faveur de son mari, cite ses enfants et lègue une robe à sa belle-mère (146 J 25), mariée avec Pierre Lafage, fils de Jean et d’Anne Montarri, de La Tapie (Arcanhac).

b- Bernard, praticien, sans doute établi à La Roque (Lescure), marié avec Marguerite Deléris.

c- Jean (+ avant 1623).

4- François, marié (c.m. le 26 février 1588 3E 9852) avec Anne Chambert, fille et héritière de Jean, paysan du Bouscatel (Vabre).

IV- Jean (+ entre 1595 et 1601), paysan de Mazières, marié avec Catherine Couffinhal (+ avant 1615). D’où :

1-     Jean, qui suit.

2-     Antoine, habitant en 1619 (3E 3015) à Blazal (Lescure).

3-     Françoise (+ après 1630), mariée vers 1588 (3E 2595) avec Antoine Chambert, de Lugan (Vabre).

4-     Catherine, mariée (c.m. le 5 janvier 1594, dot 100 écus, six brebis, un brau 3E 9852) avec Antoine Lacombe, meunier d’Ayres (Rieupeyroux), fils de Jean, meunier et de Jeanne Salesses.

5-     Antoinette, mariée (c.m. le 5 juin 1595, 3E 9852, dot 100 écus, ses frères Jean et Antoine lui donnent 50 écus chacun) avec Jean Déléris, fils de Jean, plus vieux, paysan des Cayroux Blancs (Vabre).

6-     Géraud (+ avant 1655), laboureur des Peyrières (Rieupeyroux), marié (c.m. le 22 février 1615, dot 100 écus, 3E 9836) avec Catherine Garric, fille de Pierre et Catherine de Segons, des Peyrières. D’où Gabriel, cité en 1655.

7-     Gabriel.

V- Jean (+ 7 décembre 1640), paysan de Mazières, marié (c.m. le 18 octobre 1601, 3E 2715, dot 800 livres, présents Pierre de Rodat, receveur à Rodez et André de Rodat, marchand du Pont de Cirou, oncles de la fiancée) avec Catherine de Raynaldi, fille de Pierre, notaire de Rieupeyroux et de Marguerite de Rodat et en secondes noces le 7 juin 1639 à Rieupeyroux avec Catherine Pagès, de Fabrègues (Tayrac). Catherine de Raynaldi teste le 3 mai 1628 en faveur de son mari (3E 9842). Catherine Pagès fait donation en 1668 à son fils Pierre, laboureur de Monloubet.

D’où du premier lit :

1-     Catherine, mariée avant 1628 avec Pierre Castanier, de Castelmary.

2-     Antoinette (1605-avant 1628).

3-     Jean. D’où Jean, né en novembre 1637, fils illégitime de Marie Lafargue, d’Ayres.

4-     Géraud (né en 1608), laboureur à Douzoulet (Rieupeyroux), marié (c.m. le 18 janvier 1646 chez Me Carrié) avec Antoinette Lacombe, de Douzoulet. Géraud teste en faveur de sa femme le 12 mai 1666, cite ses trois enfants (3E 9867). D’où :

a-      Bernard.

b-     Madeleine, mariée avec Pierre Déléris.

c-      Jeanne.

5-     Gabriel, qui suit.

6-     Marie, mariée à Moyrazès.

7-     Bernard, curé de Lescure en 1678 (titre clérical en 1637).

 

 

8-     Catherine, mariée avec Louis Carnejac, notaire de Vailhourles. Elle teste en 1681 chez Me Salesses.

9-     Antoine.

Du second lit (nés hors mariage) :

10- Jeanne (née en 1629).

11- Pierre (1635-1694), laboureur à Montloubet (Rieupeyroux), marié avant 1677 avec Jeanne Viguier, fille de Gabriel et de Catherine Bousquié, du Bouyssou (Marmont).

- Géraud, illégitime, marié (c.m. le 21 février 1653, 3E 9867) avec Hélix Bou, fille d’Antoine et de Paule Salesse de Cabriès (Rieupeyroux). D’où Jacques marié (c.m. en 1682, 3E 9867, fol. 660) avec Isabeau Farran.

VI- Gabriel (+ avant 1702), marchand trafiquant, marié en premières noces avec Magdeleine Carrié (+ vers 1654), fille de Jean, paysan de Calm (Lescure) et en secondes noces avec Cécile de Saint-Pétro (+ après 1685), de Saint-Projet en Quercy. Magdeleine teste le 12 janvier 1654 en faveur de son mari, lègue 30 livres à ses trois fils et 60 livres à ses deux filles (3E 9886, fol 2578) et Gabriel le 20 octobre 1678 en faveur de sa seconde femme, lègue 400 livres à Bernard, 300 livres à ses autres fils, 500 livres à sa fille Antoinette et la légitime au descendant de son fils Jean, décédé ab intestat, dont sa femme est enceinte (3E 2753). Des procès auront lieu à propos de la succession entre Gabriel Segons, Cécile de Saint-Pétro et leur belle-fille Françoise de Malet, en novembre 1681 une sentence est rendue par la Cour de M. le sénéchal.

D’où du premier lit :

1-     Catherine, mariée avec Antoine Devaur, fils de Jean, tisserand de Monloubet. 

2-     Jeannette, mariée en premières noces (c.m. le 30 décembre 1660, 3E 8861) avec Gabriel Vabre, fils de Gabriel, paysan de Bleys et de Jeanne Lagriffoul et en secondes noces (c.m. 1668, dot 1000 livres, 3E 9869) avec Antoine Lacombe, praticien d’Ayres, fils d’Antoine, marchand et de Gabrielle Lacombe.

3-     Jean (février 1638-décédé jeune).

4-     Jean (né en mars 1639), qui suit.

5-     Bernard, prêtre de Lescure.

6-     Joseph (né en février 1643-décédé jeune).

7-     Julien (né en 1645-décédé jeune).

8-     Gabriel, cité en 1654.

Du second lit :

9-     Jean-Bernard,

10- Joseph (+ 1730), paysan, martinaire en 1716 (3E 5563), marié (c.m. l692, 3E 9890 fol 328) avec Françoise Rouziès, fille de Jean, paysan de La Bessarède (Rieupeyroux) et de Marguerite Lacombe.

11- Gabriel, laboureur à Mazières, marié (c.m. le 12 février 1702, 3E 5560, dot 800 livres) avec Catherine Alègre, fille de Pierre et de Marie Mazières, de Cassanis (Teulières).

12- Pierre, prêtre de Lescure en 1730.

13- Antoine.

14- Antoinette.

 

VI-             Jean (1639-1678), marchand, passe un premier contrat de mariage le 29 mars 1665 avec Françoise de Malet (+ 1726), fille de Raymond, bourgeois de Rieupeyroux et de Marguerite de Miquel, Son père lui donne la moitié des biens tout en se réservant l’usufruit, il lui relaxe l’entière hérédité de sa mère, en cas de discorde il lui baille la jouissance d’une métairie à Douzoulet composée du labourage d’une paire de bœufs avec les cabaux et outils, de plus la moitié de la jouissance de ses vignes au vignoble de Laurélie (Bar) et de la maison avec la moitié des fruits desdites vignes. Son oncle Bernard, recteur de Lescure, lui donne toute la jouissance que son frère Gabriel lui a assigné dans son titre clérical et une robe à la future épouse. Les parents de la future mariée constituent à leur fille la somme de 2 000 livres, une robe de burat de Nîmes, un cotillon de serge de Londres, un captal de bétail. Le futur pour droit d’augment attribue la somme de 300 livres à sa fiancée et la future celle de 150 livres à son fiancé ( 3E 5527).

 Que s’est-il passé ? Le contrat a dû être cancellé car peu après Françoise épouse (c.m. le 12 février 1667, 3E 5527) François Colon, maître chirurgien, de Rieupeyroux, sa dot est la même, les droits d’augment sont de 600 et 300 livres. Or François Colon décède quelques années après (il teste en 1574 laissant deux enfants, Raymond et Marie) et regret… Françoise passe un second contrat de mariage le 30 décembre 1677 avec Jean Segons, son premier prétendant, les dotations sont sensiblement les mêmes, les droits d’augment ont doublé (3E 5531). A la fin septembre 1678, un an à peine après le mariage, Jean meurt subitement, sans faire de testament, laissant sa femme enceinte. Suite à la lettre adressée le 7 octobre au viguier de Najac par son épouse indiquant que « les meubles, immeubles et cabaux dépérissent tous les jours au grand préjudice de la suppliante et du posthume qu’elle porte en son ventre », un inventaire est dressé le 21 octobre énumérant tous les biens appartenant au défunt mari (3E 9805). En 1687, Françoise de Malet est en procès avec Philippe de Lulli, originaire de Picardie (neveu de son beau-frère époux de Renée de Malet) pour obtenir réparation pour la fille naturelle qu’elle a eu de lui ; le 31 octobre 1687 elle obtient 700 livres de dédommagement, à la charge pour ledit Lulli de nourrir et entretenir leur fille (3E 5535). D’où :

VIII- Renée de Segons (née vers 1678), mariée (c.m. le 1er avril 1692, 3E 9819) avec Estienne de Boyer, maître chirurgien, habitant Rodez, fils de Pierre, marchand de Saint-Just. C’est Renée de Malet sa tante qui est déléguée par Françoise de Malet, absente lors du contrat, pour transmettre les biens qui lui viennent de son père, aïeul et bisa aïeul, elle lui donne la somme de 300 livres tandis que le futur apporte en dot  la somme de 6 000 livres et donne 1 000 livres d’augment. Le contrat est passé en présence de Raymond de Buisson de Bournazel, marquis de Mirabel, Jean-Antoine Foucras, conseiller et procureur en l’élection de Rodez, etc. Leur fille Renée épouse le 16 octobre 1726 sire Jean-Jacques de Montor, de Puycelsi (81).     

Geneviève Rigal-Saurel

1- Pour les familles Phalip, Segons, Viven voir Les Martinaires de La Bastide-L’Evêque et du Rouergue de Jean Delmas, Geneviève Rigal-Saurel, 2003.

2- Famille du Tarn, branche cadette des La Tour de Salle et des d’Arpajon de Calmont.

3- Famille étudiée dans le bulletin n° 33.

4- Le contrat fut résilié ou bien Anne mourut peu de temps après.

5-  Présents au contrat : Jacques de La Raffinie, sieur de La Planque cousin du fiancé, David de Saunhac beau-frère et oncle de l’épouse, son frère Ignace de Saunhac, François Scipion d’Authémar, vicomte de Trébas et Jacques de Saunhac, chevalier de Flavin, cousins germains de l’épouse.

6- Famille originaire de Najac.

7- Voir article Un officier de l’armée de Condé : Le chevalier de La Brousse dans Revue du Rouergue n° 20, 1989 de Lucien Mazars, que je tiens à remercier pour ses informations et blasons.   8- Famille étudiée dans le bulletin n° 32.