Famillle Moli,
de Naucelle
Sources A.D.A :
Registres paroissiaux ou d’état civil d’Anglars, de Ceignac, Compolibat, Naucelle, Prévinquières, Rieupeyroux, Roussennac, Rodez, Saint-Félix d’Anglars, Saint-Just, Salan, Salmiech,
Sauveterre.
Registres de notaires de Calmont-de-Plantcage, Cassagnes-Bégonhès, Gramont, Naucelle,
Prévinquières, Rieupeyroux,
Salmiech, Sauveterre.
A.D.T. : Registres paroissiaux de Lagarde-Viaur, série A
Gilbert Imbert,
Actes notariés et chicanes, Naucelle bribes d’histoire, Jalenques
Ce patronyme, très répandu, a des
écritures diverses : Moli, Moly, Molis, Mouli, Mouly,
Moulis, ce qui rend parfois difficile les filiations.
Il est présent à Naucelle en 1417, Pierre
Moli y est cité dans une reconnaissance pour des
terres (3E 8 263).
Le 10 mars 1501, Bernard Moly et sa femme
Johanna Casalo sont
mentionnés dans un acte comme ayant des terres confrontant le moulin de Bonnefon.
Dans le censier de 1519 de Naucelle,
plusieurs Moli y figurent : Guiral,
Robert, Bernat.
La famille que nous présentons ici a
plusieurs ramifications établies dans les régions voisines et au-delà du
Rouergue. Constituées de marchands, de notaires, d’artisans, certaines branches
auront une ascension rapide et accèderont à la noblesse, d’autres seront agriculteurs
après la Révolution.
I-
Antoine, marié en 1596 avec Jeanne Gasc (c.m. cité dans le répertoire de Me Estivals, 3E 1 767). D’où :
1-
Jean,
qui suit Famille A de Naucelle.
2-
Bernard,
marié avec Catherine Savy, qui suivra voir Famille
B de Naucelle II.2.
3-
Jeanne,
épouse d’Antoine Calhol, cordonnier de Naucelle. Le
24 août 1642, un compromis a lieu entre le couple et Bernard Moly pour un
impayé de la dot de ladite Jeanne (3E 8 474).
4-
Antoine,
prêtre.
5-
Sans
doute Jean, qui suivra voir Branche de Salmiech
II.5.
II-
Jean
(+ 1653),
marchand, qualifié de bourgeois de Naucelle ou de Jalenques
(étant rentier de Jalenques et procureur du baron de Rollet), marié avec Marguerite Marty (+ 1671 à
Sauveterre à l’âge de 100 ans !), de La Borie de Poujols
(Cassagnes-Bégonhès), quittance dotale le 6 octobre 1675 (3E 6 873). Jean
teste le 14 avril 1652, dans le château de Jalenques,
en faveur de Paule Rudelle, sa belle-fille, épouse de
son fils Jean qui devra nourrir et entretenir sa femme et cite ses enfants. En
1653, il prête de l’argent à François de Pomerol pour l’achat de la baronnie de
Jalenques estimée à la somme de 72 000 livres (3E
2 716). D’où :
1-
Jean,
qui suivra Branche de Sauveterre III.1.
2-
Antoine,
qui suit.
3-
Marie,
épouse de Pierre Jordan, de Lédergues. D’où Catherine
et Paule, citées dans le testament de leur grand-père.
4-
Antoine,
qui suivra Branche de Ceignac III.4.
III.2-
Antoine (+ avant 1701), marchand de Naucelle, syndic de la communauté de
Jalenques le 24 février 1651 (Me Lavernhe,
notaire), marié le 16 août 1650 avec Anne Malgouyres
(1667-1702), sans doute fille d’Etienne (cité dans le compois
de 1643), laquelle teste le 16 novembre 1702. D’où :
1- François, qui suit.
2- Antoine (1651-1702), lui ou son frère
éponyme, prêtre à Naucelle, qui teste le 4 février 1702 en faveur de son frère
François et lègue 100 livres à son frère Jean-François et à sa sœur Catherine (3
E 20 572).
3- Antoine (1654- avant 1702).
4- Marc-Antoine
(1656- avant 1702).
5- Jean-Antoine,
jumeau du précédent (1656- avant 1702.
6- Anne, mariée le 6 juin 1701 (c.m. le 1er
mai chez Me Fizes, de Calcomier,
registre absent) avec Raymond Dintilhac (° 1673), praticien,
fils de François et de Marie Fizes, de Celles-Basses (Monteils).
7- Jean-François (1659-1708), praticien
et marchand de Naucelle, marié le 4 mai 1701 (c.m. le 5 février, son cousin et
tuteur Jean Moly, avocat lui donne 1 200 livres, six linceuls, six
serviettes, six brebis, 3E 20 571) avec Jeanne Lamane, fille de
Jean, notaire et de Louise Courbiens, de Naucelle. Jean-François
teste le 29 octobre 1708 en faveur de son frère François, donne 150 livres à
son fils naturel que sa femme devra entretenir jusqu’à l’âge de 15 ans, 40
livres à chacun de ses nièces et neveux Gasc, du
moulin de Gary, fils de Catherine et lègue une pension viagère à sa femme. Jeanne
se remarie le 17 novembre 1717 avec Pierre Cabrol, de
Salle-Curan, établi depuis dix ans à Naucelle.
D’où de Jeanne Vidal
a-
Louis (° vers 1708), fils naturel, laboureur au Faubourg de Naucelle
après son mariage en premières noces le 4 octobre 1740 avec Marguerite Frayssinet qui hérite des biens de ses parents (Jean-Pierre
Frayssinet et Catherine Molinier)
avec lesquels ils devront vivre au « même pot et feu », d’après le
contrat passé le 5 juillet (3E 20588) ; en deuxièmes noces le 26 février
1754 avec Jeanne Barrau, fille de Jean et de
Jeanne Boyer, de Naucelle et en troisièmes noces (c.m. le 20 juin 1757, 3E
20 596) avec Marguerite Marty, fille d’Antoine et de Marguerite
Raynal, de Salan.
D’où du premier lit :
-
Anne (1702-avant 1708).
-
Marie-Anne (1705-avant 1708)
Du deuxième lit :
-
François, marié le 15 mai 1786 avec Marguerite Mazenc,
fille de Blaise, laboureur et d’Antoinette Malgouyres,
de La Fabrie (Salan).
Du troisième lit :
-
Marie (° 1761).
-
Louis (° 1764), cultivateur à Camboulives
(Saint-Just), marié (c.m. le 14 janvier 1806 chez Me Calmès (Saint-Just)) avec Anne Frayssinet,
fille de feus Pierre et Cécile Douziech, de Camboulives (Saint-Just. D’où :
.
Jean-Louis (° 1807), marié avec Catherine Mazet.
D’où
Jean-Louis (° 1835), marié avec Marie-Anne Rieunau.
D’où
Albert-Philippe, marié avec Eloïse
Enjalaran. Descendance.
7- Marguerite (1661- avant 1702).
8- Catherine (1664-avant 1702), mariée
avec Joseph Gasc, praticien du moulin de Gary
(Naucelle).
9- Jean-Pierre (+ avant 1702).
IV- François (° 1651), marchand du
Faubourg de Naucelle, mariée le 16 janvier 1703 (c.m. le 21 décembre 1702, 3E
20 572) avec Thérèse Roupeyroux (+ 1733),
fille de feu Pierre, chirurgien de Naucelle et de Demoiselle Marie de
Liancourt. Il fait donation de tous ses biens à sa fille Thérèse lorsqu’elle se
marie en 1734 et il se réserve « d’être vêtu, nourri et entretenu sa vie
durant », de pouvoir doter sa fille Catherine de 300 livres et ses deux
fils François et Antoine de 150 livres. Lorsqu’il teste le 3 novembre 1738, suite
à une malencontreuse chute qui l’empêchera de signer, il fait alors héritière
sa fille Catherine, tandis qu’il donne 5 sols à ses autres enfants et 18 livres
à Thérèse (3E 20587). D’où :
1-
Marie (° 1704), mariée le 31 août 1728 avec Jean Lacombe, fils de feu Antoine
et de Jeanne Taillefer, de Naucelle.
2-
Jean-François (° 1705).
3-
Antoine (° 1707), marié le 1er février 1736 avec Quiterie Tournier, fille de Jacques et de
Jeanne Gascq, du Faubourg de Naucelle. D’où :
a-
François (° 1737).
b-
Jean-Pierre (° 1741), cultivateur au Faubourg de Tinhet, marié le 24 juillet 1770 (c.m. le 24 mai, 3 E
20622) avec Marie-Anne Espié, fille de feus Guillaume
et Catherine Savy, de Cabrespine
(Teillet), servante depuis 10 ans au château de Bonnefon (Naucelle). Dans son contrat du 24 mai, la future
apporte en dot 60 livres qu’elle a gagnées et 60
livres que son frère lui doit (3E 20622).
c-
Antoine (° 1745).
d-
Thérèse (° 1759).
4-
Thérèse (° 1710), mariée le 23 février 1734 avec Etienne Roubellat,
forgeron à Naucelle depuis quatre ans, fils d’Antoine et de feue Catherine Vaysse, de Taurines. Le contrat de mariage, passé le 26
janvier 1734, indique que son père lui fait donation de la moitié de ses biens.
5-
Catherine (° 1712), mariée avec Joseph Jean, travailleur de La Maurie (Tauriac).
6-
Jean-Antoine (1721-avant 1734).
III.1- Jean (+ 23 juin 1679), marchand
de Naucelle, fermier de Jalenques, puis bourgeois de
Sauveterre, marié en 1633 (cité dans le répertoire (3E 15834) avec Paule de Rudelle (+ 1653), fille de Guitard,
bourgeois de Naucelle. Paule teste le 1er juin 1653, fonde une
procession au Saint-Sacrement à Naucelle et veut être ensevelie dans la
chapelle Saint-Jean (3E 8484). En 1666, Jean baille une grange, une écurie, un
grenier, un jardin et deux chenevières qui ont
appartenu à son beau-père (3E 17 271). Il écrit son testament olographe le
23 avril 1679 (cacheté à ses armes) et décède le 23 juin ; il lègue 2 000
livres à son fils Joseph outre son titre clérical, 5 sols à Pierre, une
rémission de 400 livres de dettes à son frère Antoine et nomme héritier son
fils Jean-Antoine ; il fait de nombreux dons à
l’église et aux institutions de Sauveterre, Naucelle et Rodez (3E
17 280). D’où :
1- Jean-Antoine,
qui suit.
2- Marie (° 1654), qui contracte mariage le
28 juillet 1659, avec Pierre de Rodat, conseiller au
Sénéchal et présidial de Rodez, puis président du présidial de Millau, fils
d’Antoine, prêtre, seigneur d’Olemps, conseiller du
roi et premier président en l’élection du Haut-Rouergue
et de feue Antoinette de Bonald. La dot de Marie se compose de 8 000 livres,
droits légitimes de sa mère (dont 6 000 livres payées comptant au moyen de
300 louis d’or ou pistoles d’Espagne, 8
livres de louis d’argent et 300 pièces de 20 sols). Son père lui donne
une somme de 7 000 livres en obligations et dettes (avec les intérêts)
dues par ses emprunteurs. Le futur reçoit de son père 16 000 livres et son
office de premier président [présents François-Pons
de Rodat, docteur en théologie, Antoine de Rodat, avocat, Guitard de Rudelle, écuyer de Naucelle, Antoine Moly, bourgeois de
Naucelle, etc.] (3E 8491).
3- François (1645-avant 1679).
4- Paule (1647-avant 1703).
5- Joseph (° 1648), prêtre en 1671, année
où il reçoit son titre clérical, docteur en théologie, prieur de Saint-Martial.
6- Pierre (1650-1703), avocat en
parlement, habitant Sauveterre, marié le 29 septembre 1675 avec Antoinette
de Dalmas, veuve de Jean Izarn,
sieur de La Balme (Coupiac), fille de feus Antoine Dalmas et de Jeanne de Coudercy,
de Sauveterre. Pierre teste le 23 juillet 1703, son testament sera ouvert le 7
décembre de la même année, il lègue à ses filles 2 000 livres et nomme
pour exécuteur testamentaire son beau-frère, Antoine Richome,
praticien de Rieupeyroux (3E 8 332). D’où :
a-
Françoise
(1677-1764), mariée le 6 janvier 1707) avec Jean-Jacques de Rességuier,
seigneur du Pouget, commandant du deuxième bataillon du régiment de Condé, fils
de François et de Marguerite de Colonges, de Villefranche (grands-parents du navigateur Lapérouse).
b-
Dalmas (1678-1680).
c-
Jeanne
(1679-1707), mariée le 26 septembre 1702 avec Guillaume Azémar
(+ 1726), avocat de Sauveterre.
d-
Marie-Anne
(° 1680), mariée le 16 janvier 1708 avec Jean-Antoine
Garrigues, avocat, fils de Jean-Antoine, de La Garcie (Sauveterre) et de Marie-Anne de Flottes. Dans le
contrat de mariage passé le 24 décembre 1707, Marie-Anne reçoit en dot la somme
de 4 000 livres en capital et intérêts (rentes et censives) (3E 17 282).
e-
Marie
(1681-avant 1703).
f-
Thérèse
(1684-avant 1703).
g-
Charles
(1685-avant 1703).
7-
Jean.
IV- Jean-Antoine (+ avant 1682), habitant Albi, avocat en
parlement, fermier de Bonnefon, puis capitoul de
Toulouse en 1681, écuyer, marié (c.m. le 16 janvier 1667, dot 10 000
livres, A.D. 31 3E 1 743) avec Anne de Chassan,
fille de Charles, seigneur de Terssac, avocat à la
Cour et d’Antoinette de Catel. D’où :
1- Charles, habitant Albi,
seigneur d’Azeyrac en Albigeois, marié avec Marguerite
Delhom, fille de Louis, avocat en parlement et de
Marie de Padiès, d’Albi. Il teste le 2 décembre 1703
et le 5 janvier 1715 (3E 8 332 et 20 577). D’où :
a-
Françoise, religieuse au couvent de Fargues (Albi).
b-
Anne, religieuse au couvent de Fargues (Albi).
2- Charles, seigneur de Rieucourt, baron de Quelle, Belloc et autres places,
gendarme de la Garde ordinaire du roi en 1712-1714 (3E 20 577). Sans
descendance connue.
3-
Marie,
mariée (c.m. le 18 avril 1687, dot 8 000 livres de son père et 7 000
livres de sa mère, 3 E 20 564) avec Pierre d’Imbert,
chevalier, capitaine au régiment de Lombes, fils de Pierre, seigneur du Bosc (Centrès) et d’Anne-Victoire de Génibrouse de
Saint-Amans.
4-
Jeanne
(° 1675).
5-
Antoinette-Marthe (° 1677).
6-
Antoinette
(° 1679).
III.4- Antoine, bourgeois de Ceignac, marchand, marié vers 1638 avec Jeanne de Blanc (+
1690), fille de Jean, de Ségonzac (Ceignac) et de Françoise d’Hérail.
Antoine fait son testament olographe le 11 novembre 1677 (écrit en cinq pages
par Jean de Mazeau, prieur de Ceignac,
n’estant pas en estat de
l’écrire moy-même), lègue 100 livres à Jean
marié, Pierre et François prêtres, 1500 livres à Jean-Antoine
et Joseph, 200 livres à Paule, 1 800 livres à Anne et Catherine. Il
distribue de 20 à 100 livres à ses
filleuls ou filleules et nomme héritière sa femme qui pourra prendre avis de
ses beaux-frères s’ils sont en vie, sans pourtant qu’elle soit obligée de faire
aucun inventaire, ni de vendre. Ce testament sera ouvert le 20 décembre 1689 en
présence de sa famille. Le 21 janvier 1690 dans la maison presbytérale de Ceignac comparaissent ses enfants pour l’ouverture du
testament clos de leur mère Marie. Cette dernière a testé en faveur de ses deux
fils prêtres, a donné quatre setiers de seigle aux pauvres et autant aux
étrangers, 50 livres pour les employer à la dorure du retable de l’église de Ceignac, 150 livres à Jean-Antoine,
Catherine, Marie de Perrin, 700 livres à Paule, 2 100 livres à Joseph, 500
livres à la fille aînée de Paule et 30 livres aux autres (petits-enfants), 100
livres à la fille aînée de son fils aîné et 30 livres aux autres, 100 livres au
fils de Saunhac et 200 livres à la cadette. Tous deux
demandent à être enterrés dans la chapelle Saint-Martial
de l’église de Sauveterre (3 E 18 323, fol. 81 et 109). D’où :
1-
Jean,
qui suit.
2-
Jeanne
(1642-avant 1677).
3-
Paule
(1644-après 1690), mariée (c.m. le 1er décembre 1663) avec Jean
Dupuy, notaire de Sévérac-l’Eglise (+ avant 1677),
fils de Jean et d’Anne Delpuech.
4-
Pierre
(1645-entre 1704 et 1710, docteur en théologie (E 1380), curé de Ceignac, syndic des fraternisants
de Ceignac lors du procès contre le prieur en 1685.
5-
François
(1647-après 1690), docteur en théologie, prêtre (sans doute enseignant) au
séminaire de Treize-Pierres (Villefranche)
en 1722, Il donne 200 livres pour des travaux d’embellissement de l’église de Ceignac (3E 3218).
6-
Jeanne
(1648-avant 1677).
7-
Anne,
mariée le 18 octobre 1678 avec noble Guy (ou Guyon) de Saunhac,
fils de François et de Catherine de Boularot, seigneur
de La Calsade (Ampiac).
8-
Jean-Antoine (vers 1650-1734), avocat en parlement, juge
de La Garde-Viaur en Albigeois, marié (c.m. le
14 mai 1680) avec Marie Blanc, fille de Gabriel et de Jeanne de Ginestel, de La Garde-Viaur.
D’où :
a-
Jean-Antoine (° 1681), juge de La Garde-Viaur,
mariée le 25 septembre 1714 avec Jeanne de Verlhac,
fille de noble François et d’Antoinette de Raynal, d’Arpeyre
(Cahuzac en Albigeois). D’où Jean, avocat à Lagarde-Viaur. Descendance à Vieux (Albigeois).
b-
Jeanne,
mariée le 7 novembre 1707 avec Jean Soulier, procureur au présidial de Villefranche, né à Léonard (Saint-Grat).
c-
Marie
(° 1686).
d-
Pierre
(° 1687).
e-
Gabriel
(° 1689).
f-
Hyacinthe
(1694-1694).
g-
Thérèse
(° 1696).
h-
Ignace
(° 1697).
9-
Guillaumette (1656-avant 1677).
10- Joseph (1657-1702), conseiller
du roi, maire de Rodez avant 1696, seigneur des Combettes. D’où peut-être Guillaume, conseiller au
sénéchal et Présidial de Rodez en 1741 (neveu de François, prêtre).
11- Catherine, mariée le 30
juillet 1684 (c.m. le 2 juillet, dot 1 800 livres, 3E 18 320) avec Jean-Antoine d’Izarn, avocat d’Albinet (Magrin, terre de Calmont-de-Plantcage), fils de Pierre et de Françoise de Palous (cousins au 4ème degré).
12- Marguerite (1662-avant 1677).
13- Marie (1664-1669).
IV- Jean (° 1639 à Rodez-1719 à
Toulouse), docteur ès droit, avocat au présidial de la Sénéchaussée de Rodez,
puis à Toulouse, marié le 14 février 1663 (c.m. le 9 février, dot 2 900
livres tandis que Jean reçoit 12 000 livres de son père, 3E 17272 fol. 55)
avec Marie de Perrin, fille de Jean, docteur, avocat en parlement et de
Catherine de Ladous, de Rodez. D’où :
1-
Antoine,
qui suit.
2-
Jean
(° 1670 à Rodez), prêtre, docteur en théologie, qui teste le 25 mai 1710 (3E
6 306).
3-
Pierre
(° 1672 à Rodez).
4-
Marie
(° 1674 à Ségonzac), mariée le 25 décembre 1695 avec François
Lapeyre, de Mondalazac, fils de N. et de Catherine Dalmayrac.
5-
Marie-Anne
(° 1676), mariée à Ceignac le 15 août 1698 (c.m. le 1er
juillet) avec Barthélémy Azam
(+ avant 1707), bourgeois de Montautat (La Selve),
fils de Barthélémy et de Françoise de Berne et en
secondes noces le 14 février 1707 avec Barthélémy Canivenq, fils de Barthélémy et
de Marguerite Martine, de La Selve.
6-
Jean-Antoine (° 1677).
7-
Françoise
(° 1680), mariée le 14 février 1706 (c.m. le 30 janvier, dot 2 000 livres,
E 2 030) avec Antoine Bauguil, marchand de La Costarie (Inières), fils de Jean-Antoine et de feue Catherine Viala.
8-
Catherine
(° 1682), mariée le 29 janvier 1716 avec Jacques Dalbin,
fils de Jean et de Françoise Cousty, de Lagarrigue (Naves).
9-
François,
titulaire de la chapelle de Saint-Martial dans
l’église de Ceignac le 18 novembre 1735 (3E 15999), prieur
de l’église de Ceignac du 26 juillet 1739 à 1759.
10- Jeanne, mariée le 9 février
1717 avec Jean Lavernhe, bourgeois de Pessens (La Loubière), fils de
Jean et de Marie Seguy. Jeanne teste le 7 juillet
1759 à Mondalazac (3E 5 475).
11- Marguerite (1696-1759),
mariée le 14 février 1718 avec Pierre Cannac, de Noyès (Camboulazet), fils de
Pierre et de Marie Demonte.
V- Antoine (1668-1722), avocat,
conseiller au Présidial par achat à Jean-Raymond de Villaret, marié à Ceignac le 1er
décembre 1703 avec Marguerite de Calviac,
fille de Jean-Louis, avocat de Rodez, et de Marie-Françoise d’Azémar. D’où :
1-
Jean (1704-1723).
2-
Jean-Louis (° 1705).
3-
Jeanne (° 1707), mariée le 1er janvier 1723 à Ceignac
avec André de Balssa-Vialatelle, lieutenant en
l’élection de Rodez, fils d’Antoine, seigneur de Vialatelle
et d’Anne de Delmas.
4-
Marie (° 1708), mariée avec Jean-François de Vidal, seigneur de La Coste,
avocat, juge d’Entraygues.
5-
Guillaume, qui suit.
6-
Marguerite (° 1712), mariée avec François Labro,
avocat de Villecomtal.
7-
Joseph (° 1716).
8-
Marie-Anne (° 1718).
VI- Guillaume (1710-ap.1735),
conseiller au Sénéchal et présidial de Rodez, consul de la cité de Rodez,
capitoul de Toulouse, déclaré noble en 1765, marié (c.m. le 6 février 1736, dot
de 25 000 livres, 3E 4070) avec Marie-Appolonie
de Julien, fille de Joseph, bourgeois de Billorgues
(Mondalazac) et de Denise Calmette. D’où :
1-
Joseph-Marie, qui suit.
2-
Jeanne-Rose (1738-avant 1778), mariée en 1762 avec Joseph-Raymond Lavernhe, sieur de
La Garde, conseiller du roi au sénéchal et présidial de Rodez, fils de Jean-Antoine et de Marie de Vernières.
3-
Jean-François
(° 1739).
4-
Marie-Françoise
(° 1740).
5-
François-Amans (° 1742).
6-
Marie-Marguerite (° 1743).
7-
François-Marie (° 1744).
8-
Jean-Guillaume (° 1746).
9-
Jean-Antoine (1748-1749).
10- Antoine-Régis (° 1750), grand vicaire à Châlon-sur-Saône.
11- Marie-Appolonie (° 1751).
12- Guillaume (° 1753),
chevalier, sous lieutenant en 1778.
13- François-Marie (° 1754).
14- Ursule-Denise (° 1754), mariée en 1785 avec son cousin
François de Labro, avocat de Villecomtal,
fils de François et de Marguerite de Moly.
15- Marguerite (° 1756), mariée
le 26 avril 1785 dans la chapelle de Billorgues avec
François Marre ?.
VII-Joseph-Marie (° 1736), seigneur de Billorgues, chevalier et écuyer, habitant Rodez, marié le
12 janvier 1778 avec Elisabeth Garrigues de La Garcie
de Bellefort (sa parente au quatrième degré de
consanguinité), fille de Jean-Antoine, seigneur de La
Garcie, Boussac, La Roque… et de feue Marie-Antoinette
de Sicard. Dans le contrat passé le 11 janvier 1778, la fiancée reçoit 30 000
livres en dot, dont 14 000 de sa mère (3E 17 294). D’où :
1-
Marie-Elisabeth (° 1778).
2-
Guillaume-Antoine (1780-1849 Toulouse), président au
Tribunal civil de Toulouse en 1824, conseiller à la Cour de Cassation, ancien
membre des Cinq-Cents, marié avec Bénédicte de Liborel, fille du baron de Liborel
(dans le Nord). Sans descendance connue.
3-
Jean-Baptiste-Denis (° 1781), receveur des finances à Lombez
(Gers), puis à Villefranche-de-Lauragais, marié avec Dorothée Clausel de Coussergue, fille de Jean-Amans-Amable,
conseiller à la cour de cassation et de Dorothée de Cassan
de Floyrac.
4-
Julie-Antoinette-Françoise (° 1783), mariée avec Jean-Ignace-François Delcamp, d’Entraygues (son cousin), conseiller général de l’Aveyron), fils
d’Alexis et de Claire-Ursule de Vidal de La Coste.
5-
Marie-Hippolyte-Guillaume (° 1788).
6-
Auguste,
marié avec Julie Ponsard, d’Aubin. Sans descendance connue.
7-
Amans-Edouard, qui
suit.
VIII- Amans-Edouard
(+ 1875), procureur du roi (ancien élève de l’Ecole Polytechnique), marié
avec Rose de Maleville, fille du marquis de Maleville, pair de France.
D’où :
1-
Henry, qui suit.
2-
Justine,
mariée avec Louis de Bellerive.
3-
Joséphine,
épouse Rigal.
4-
Marie,
religieuse du Sacré-Cœur.
5-
Léonie
(+ 1877), religieuse du Sacré-Cœur.
6-
Caroline,
mariée avec Georges Serville.
IX- Henry, président au Tribunal
de Foix, marié avec Mademoiselle de Talavignes.
D’où :
1-
Léonie
(° 1866), mariée avec Adolphe de Chaumel de Dienne.
2-
Marie
(1866-1875).
3-
Henriette
(° 1868), mariée avec Gaston Ducros.
4-
Joseph
(1870-1875).
5-
Edouard
(° 1871), lieutenant d’infanterie, marié avec Elisabeth de Castelnau, fille de
Léonce, comte de Curières de Castelnau.
6-
Charles
(° 1876), lieutenant d’infanterie.
7-
Louise
(1879-1891).
II.5- Jean, marié avec Antoinette
Bauguil. D’où :
III- Antoine (vers 1640-1712),
notaire à Salmiech, décédé au Bourg de Rodez le 2
février 1712, marié avec Marguerite Enjalbert
(+ entre 1721 et 1727), fille de Bernard et de Flore Bousquet, de Taurines.
D’où :
1-
Joseph,
qui suit.
2-
Pierre,
praticien à Salmiech.
3-
Jean-François,
praticien cité en 1693.
5- Marie, mariée (c.m. le 4 juin 1685,
dot 1 100 livres, 3 E 3564) avec Jean Raouls,
fils de Guillaume et de Marie Alric, de La Barthe (Saint-Sauveur-de-Grandfuel).
6- Catherine, mariée (c.m. le 21 mai
1697, dot 800 livres, une génisse de valeur de 200 livres et 300 livres données
par son cousin Jean Malfette, de Pampelonne,
3E 18 213) avec Jean Delmoly, marchand de
Naucelle, fils de Jean et d’Antoinette Camboulas, de Peyrusse (Naucelle).
7- Louis, écolier en 1694.
8- Antoine, qui suivra Rameau de Prévinquières V.8
9- Jeanne, mariée le 30 décembre 1727 avec
Grégoire Besse, fils de Bernard, notaire et de Françoise Rouquière,
de Cransac (Saint-Amans-de-Salmiech).
Dans le contrat de mariage passé le 30 décembre, le futur apporte une dot de
800 livres et la future de 300 livres (3E 18 333, fol. 89).
-
Marie, fille naturelle d’Antoine et de Jeanne Barthe, de La Selve (Caplongue), mariée (c.m. le 25 septembre 1726, 3E
18 332) avec Antoine Barthes, fils de Michel et de feue Jeanne Mazières, de Salmiech (neveu de
Bernard Barthes, meunier de Mondoys près de Cassagnes-Bégonhès).
IV- Joseph (+ avant 1721), avocat
en parlement, décédé en 1703 à Ceignac, marié (c.m.
le 14 mai 1696, dot 1 800 livres, 3E 18 216) avec noble Louise de Méjanès, de Randan (Auriac),
fille de feu Guillaume et d’Antoinette de Canac [présents
au contrat Joseph Moly, ancien maire de Rodez, seigneur des Comettes,
Raymond de Méjanès, seigneur de Beaulieu, Louis de Méjanès, frère de Louise, seigneur de Randan]. D’où :
1-
Antoine, qui suit.
2-
Jeanne.
3-
Pierre, prêtre.
V- Antoine (° 1697), bourgeois de Saint-Amans-de-Salmiech, notaire de 1743 à 1758, marié le
18 novembre 1721 avec Marie-Anne de Garrigues, de La Garcie
(Sauveterre), fille de feu Jean, bourgeois et de Marie-Anne Flottes (c.m. le 2
octobre, la future apporte une dot de 2 700 livres, l’aïeule Marguerite Enjalbert et sa belle-fille Louise de Méjanès
font donation de leurs biens au futur marié, sous réserve de vivre à
« même pot et feu » ou de recevoir une chambre garnie et une pension
viagère, il est également convenu que la mère se réserve de donner 200 livres à
sa fille Jeanne et 100 livres à Pierre, prêtre (3E 18 331, fol. 172).
D’où :
1-
Pierre-Joseph, qui suit.
2-
Elisabeth, marraine en 1764.
3-
Antoine (vers 1735-après1796).
VI- Pierre-Joseph,
notaire à Saint-Amans de Salmiech de 1760 à 1776,
marié en février 1764 avec Marie-Anne Galtier,
fille de Joseph, bourgeois de Réquista et de feue Anne de Pougenq.
D’où :
1-
Jean-Joseph, qui suit.
2-
Marie-Rose (° 1766), mariée le 30 floréal an VII (1799) avec Pierre-Jean
Durand, propriétaire foncier de Crayssac (Carcenac-de-Salmiech), fils de feu Jean et de Marie-Anne Boudes.
3-
Jean-Antoine-Louis (° 1771).
4-
Antoine-Raymond (° 1774), habitant Carcenac en 1799.
VII- Jean-Joseph (1764-1844),
notaire de Cassagnes-Bégonhès de 1832 à 1843, maire de Saint-Sauveur de Grandfuel en 1804, habitant Saint-Amans de Salmiech, marié le 5 fructidor an IV (1796) avec Antoinette-Valentine Monestier,
fille de feu Valentin et de Françoise Blanchy.
D’où :
1-
Françoise-Antoinette-Valentine (° 1797).
2-
Joseph-Hyppolite (1798-1800).
3-
Joseph-Louis (1798-1799), jumeau du précédent.
……
V.8- Antoine (vers 1675-1731), praticien
en 1590 lors du testament de Jeanne Blanc, de Ceignac),
notaire de Compolibat, habitant Félix (Prévinquières), marié le 2 août 1700 à Asprières
avec Gabrielle Viguier (vers 1680-1723), veuve de Jean-Jacques Delmon, fille de Jean et de Gabrielle Rivière, de Félix. D’où :
1-
Antoine (1703-après 1712).
2-
Pierre (1705-1774), célibataire.
3-
Cécile (1708-1746), mariée le 25 novembre 1732 avec Antoine Garrabuau,
fils de Jean et d’Anne Francès, de Labro (Prévinquières).
4-
Marie (° 1710).
5-
Jean, qui suit.
6-
Jeanne (° 1714), mariée le 4 février avec François Borie, praticien de La Garde-Viaur, fils de Bernard et de Jeanne Vialars.
7-
Anne (1716-après 1749).
8-
Gabrielle (° 1719), mariée vers 1746 avec François Garrigue, de Labro (Prévinquières).
9-
Marie-Anne (1721-avant 1731).
VI- Jean (1712-1789), praticien,
marié le 26 janvier 1741 avec Marguerite Tournamire
(1717-1789), fille de Jean, praticien de Gélis
(Maleville) et de Marie Palis. D’où :
1-
Jean-Pierre,
qui suit.
2-
Marie-Anne
(° 1744), mariée le 12 février 1772 avec Etienne Rey, de Rignac.
3-
Cécile
(1745-après 1776), mariée le 8 octobre 1776 (c.m. le 11 septembre chez Me
Gombert) avec Pierre Nartous, de Monméja
(Privezac). En 1801, veuve elle reçoit de son neveu
1 300 francs, reste de sa dot (3E 24 858).
4-
Antoine (1746-1805), cultivateur à Filhols (Anglars), marié le
13 novembre 1776 avec Catherine Calvet, fille de Jean et de Madeleine Cauvet, de Filhols. D’où :
a-
Jean-Antoine (1777-1777).
b-
Antoine
(1778-1782).
c-
Joseph
(1781-1847), cultivateur
à Filhols, marié le 23 août 1810 (c.m. le 16 août,
dot de la fiancée 4 000 francs, 40 mètres de toile, 3 brebis, une
garde-robe, 3E 24 862) avec Jeanne Delmas,
fille d’Antoine et de Jeanne Escudier, de Trayrac (Cadours). D’où :
-
Jean-Joseph
(° 1813)
-
Casimir, marié (c.m. le 26 octobre 1845, 3E
24 874) avec Rose Lavernhe, fille de
Baptiste et de Marguerite Magne, de La Carreyrie (Vaureilles).
-
Antoine, marié (c.m. le 15 mars 1852, 3E
24 970) avec Marie Serres, de Bedène (Prévinquières), fille de Pierre, cultivateur à Albaret (Rieupeyroux) et de Marie
Boutonnet.
-
Augustin
(° 1826).
-
Victoire
(° 1828), mariée (c.m. le 1er septembre 1850, 3E 24 874) avec
Joseph Lavernhe, frère de Rose, citée ci-dessus.
-
Jean-Pierre
(° 1830).
d-
Jean-Louis
(° 1784).
e-
Jean-Pierre
(° 1784)
f-
Antoine
(1787-1804).
g-
Jean-Pierre
(1790-1804).
h-
Catherine
(1798-après 1812).
i-
Jean-Joseph
(1801-1804).
5-
Jean-Antoine (1749-1826), célibataire, qui teste le 14
juillet 1816 en faveur de son petit-neveu Jean-Antoine
(lequel ne pourra jouir de l’hérédité qu’après le décès de son père) et lègue
20 francs à Cécile et à Rose, ses nièces.
6-
Jean (° 1751), marchand de Masméja (Anglars), puis cultivateur
à Vertuac (Compolibat),
marié le 23 février 1789 avec Marie Viguier, fille de Jean et Catherine Garric, de Vertuac. D’où :
a-
Jean
(1789-1789).
b-
Christine
(° 1790), mariée avec Joseph Rouziès, propriétaire
cultivateur de Trayrac (Cadours),
fils de Pierre et de Marguerite Mouli (c.m. le 11
janvier 1814, 3E 24 865, les mariés se réservent 1 800 francs sur les
biens du décédé, toutefois si le marié meurt le premier, son épouse aura
2 400 francs).
c-
Jean
(° 1793).
d-
Marie
(° 1795), mariée le 12 février 1822 avec Pierre Douziech.
e-
Rose
(° 1797).
f-
Thérèse
(° 1804).
7-
Jean-Baptiste
(parrain en 1785).
8-
Jean-Pierre (1755-1807), à Roussennac,
marié avec Marie Trémouilles. D’où :
a-
Jean-Pierre
(° 1783), marié le 25 février 1808 avec Jeanne Monserat,
fille de Jean et de Madeleine Viguier, de Saint-Martin-de-Bouillac.
b-
Jean-François
(° 1789).
c-
Cécile
(° 1791).
d-
Antoine
(° 1794).
9-
Joseph
(1757-1759).
10- François (1759-1762).
VII- Pierre (1742-1810),
praticien, bourgeois, marié le 16 février 1773 avec Marie Andrieu
(1745-1787), de Saint-Félix d’Anglars,
fille de Guillaume, bourgeois, fermier de la grange de Bonnecombe
et de Françoise Delmas. D’où :
1- Marie-Victoire
(1773-1848). Elle passe un premier contrat de mariage le 27 nivôse an VI avec
Ambroise Delbès, de Grélières
(Prévinquières), fils d’Ambroise, cultivateur (la dot
est constituée de 3 000 livres en numéraire, douze cannes d’étoffe maison,
quatre de burat, quatre de rase ou cadis, quatre d’étamine, huit de la couleur
qu’elle voudra, huit de toile ménage, 25 livres de filasse, dite paladou, femelle et autant de mâle, quatre brebis, 3 E 24
856). Contrat sûrement annulé, car un an après, le 30 prairial an VII, elle se marie
avec François-Georges Segons, fils de Jean et de
Marie-Rose Rigal, de Testas (Sanvensa).
Dans le contrat du 7 prairial an VII (16 mai 1799), la dot est alors de
4 000 francs en numéraire mais comporte moins de toile ou d’étoffe (3 E
24 857).
2- Marc-Antoine
(1775-1775).
3- Jean-Antoine,
qui suit.
4- Cécile (1778-1838), mariée (c.m. le 4
février 1811, 3E 24 863) avec Pierre Rivière, fils de François et d’Anne Delhon, de Félix. Cécile annule le 24 décembre 1809 le
contrat de mariage qu’elle avait passée il y a trois ans avec Louis Regourd, sans l’assentiment de son père (3E 24 860).
Elle teste le 28 novembre 1838 en faveur de son mari et de son fils Jean-Pierre
(3E 24 873).
5- Jean-Louis (1781-1849), cultivateur à
La Vernhette (Rieupeyroux),
marié le 13 juillet 1806 (c.m. le 7 frimaire 1805) avec Marie-Rose Couderc,
fille d’Antoine et de Marie-Anne Rous, de La Blaquière
(Compolibat). D’où :
a-
Julie (° 1804), mariée le 12 février 1838 avec Joseph Garrigues, cultivateur de
Bertrand, fils de Joseph et d’Anne Miquel.
b- François
(1806-après 1876), marié le 11 février 1835 avec Rose Moly, fille de
Guillaume, cultivateur de Nègrefoyt (Lavals-Rieupeyroux) et d’Anne Bernussou.
-
Victor
(° 1837), marié (c.m. le 8 septembre 1862, dot 3 500 francs, 3E
24 940) avec Marie Pascal, de La Rouairie (Rieupeyroux), fille de François et de Marie Tardieu.
-
Julie
(1843-1843).
c-
Jean-Antoine (1809- ), mariée le 26 janvier 1842 avec
Marie-Anne Rigal, fille de Pierre et de Marie-Anne Barriac, de Peyrebosc (Prévinquières).
d-
Marie (1821-1832).
e-
Justine (° 1827), mariée le 2 février 1849 avec Louis Regourd,
fils de Joseph et de Françoise Fraysse, de Rivière (Rouffiac-Rieupeyroux).
6- Rose (1783-1817), mariée avec Jean
Caste, tailleur de Félix (Prévinquières). Rose teste
le 7 mai 1812 en faveur de son mari qui devra lui faire dire pour 300 francs de
messes « et le plus tôt possible après ma mort » (3E 24 864).
7- Jean-Baptiste (1785- ).
8- Anne (1787-1787).
VIII- Jean-Antoine
(1776-1821), propriétaire à Félix, émancipé par son père le 2 germinal an V (3E
24 856), marié le 21 septembre 1797 avec Marie-Jeanne
Bessière, fille de Jean, forgeron de Prévinquières et de Jeanne Montfort. D’où :
1- Jean-Antoine,
qui suit.
2-
Marie
(1800-1866), mariée (c.m. le 20 novembre 1825, dot 2 000 livres, 3E 24 870)
avec Jean-Baptiste Maurel, propriétaire de La Bessière (Prévinquières), fils de
François et de Madeleine Tournemire.
3-
Jean-Pierre (1803-1868), cultivateur à Félix, marié le 23 mars
1831 avec Marie-Jeanne Sudre
(1801-1881), fille de Jean et de Cécile Hugounet, de
Recoules (Prévinquières). D’où :
a-
Marie-Rose (° 1832), mariée (c.m. le 8 février 1865, dot 3 000 francs, 3E
26 321) avec Jean-Pierre Caste, fils de François et de Marie Marre, de Filhols (Anglars).
b- Antoine-Martin
(° 1834), propriétaire cultivateur à Félix, marié le 27 août 1860 (c.m. le 7
août, dot de la fiancée 2 000 francs, une garde-robe, 16 mètres de toile,
etc. 3E 26 316) avec Marie Higounet (° 1838),
fille Joseph et de Marie-Jeanne Deltort,
de La Serre (Colombiès). D’où :
-
Martin (1861-1862).
-
Baptiste (1863- ), marié le 3 juin 1894 avec Marie-Rose Contensou,
d’Espeillac, fille de Pierre et de Julie Mestre.
-
Marie-Julie (° 1865).
-
Casimir (1867-1867).
-
Adrien (1868-1869).
-
Célestin (1870-après 1876).
-
Cyprien (1680-1680).
c-
Julie (1836-1854).
d-
Jean-Baptiste
(° 1838).
e-
François (° 1839), cultivateur de l’Hom (Prévinquières), marié le 31
janvier 1869 avec Marie-Julie Andrieu, fille de Joseph et de Marie-Anne Alazard, de L’Hom. D’où Nathalie,
née le 15 octobre 1869.
f-
Julie
(1841-1841).
g-
Brigitte
(1842-1858).
h-
Jean-Antoine (1843-1843).
4-
Pierre (1805-1806).
5-
Cécile (° 1806), mariée le 24 février 1829 avec Antoine Pourcel,
fils de Guillaume et d’Elisabeth Lavernhe, des Faux (Pachins). Le 20 février 1829, elle reçoit de son neveu Jean-Antoine 875 francs soit le quart de sa légitime (3E 24 831).
6- François.
7- Marie-Rose (1809-1846), mariée le 3
février 1836 avec Jean-Antoine Falguière, de Bedène (Prévinquières), fils
d’Antoine et d’Anne Ramon.
8- Jean-Louis, cultivateur à Félix, qui
teste le 28 février 1833 en faveur de son frère aîné.
IX- Jean-Antoine
(1800-avant 1896), cultivateur à Félix, marié le 7 juillet 1829 (c.m. le 19
juin, 3E 24 871, dot 2 319 francs) avec Catherine Espinasse, fille
de Jean et de Marie-Anne Ginestet, du Bruel (Anglars). D’où :
1- Jean-Antoine
(1832-avant 1876)
2- Louis, qui suit.
3- Marie-Rosalie
(vers 1834-après 1876).
4- Jean-Antoine-Louis
(1835-après 1876).
5- Martin (° 1837).
6- Jean-Pierre (1840-1854).
X- Louis (1835-1868), cultivateur
à Félix, marié le 2 août 1857 avec Pauline Fraysse,
de La Caze (Prévinquières),
fille de Jean-Antoine et de Marie-Anne Regourd. D’où :
1- Louis-Séraphin
(1858-après 1921), célibataire.
2- Jean-Baptiste (1860-après 1921),
célibataire.
3- Victor (1861-1861).
4- Martin-Célestin
(° 1862).
5- Philippe (1864-après 1921),
marié le 25 janvier 1891 avec Darie Veyriac (1870-après 1921), fille de Pierre-Jean et de
Rosalie Pouget, de La Bouyssounade (Prévinquières). Descendance féminine.
6- Casimir (1866-1867).
7- Marie-Rosalie (° 1868).
II.2- Bernard (+ avant 1665), boucher
et marchand de Naucelle, marié en 1635 (voir répertoire 3E 15834) avec Catherine
Savy (+ avant 1672), fille de Pierre et peut-être
de Rose de Maritan, de Monmoyrac
(Naucelle). D’où :
1-
Pierre,
qui suit.
2-
Jean,
marié le 4 juin 1671 avec Marie Calmettes.
D’où :
a-
Marguerite
b-
Marie
(° 1684).
c-
Jeanne
(° 1688).
3-
Catherine,
mariée le 15 janvier 1654 avec Pierrre Vidal, de Monestiès.
4-
Antoine,
qui suivra voir Branche de La Mothe III.4
5-
Bernard
(° 1646).
6-
François
(° 1650).
7-
Jean-Antoine (1652-1722), marchand et laboureur
à Malepère, marié le 7 février 1695 (c.m. le
16 janvier, en dot maison, grange, châtaigneraie, la mariée est dotée de 698
livres, 3E 20568) avec Marie-Anne Roupeyroux,
fille de Pierre, chirurgien de Naucelle et de Marie de Liancourt. D’où :
a-
Jean-Pierre (1696-avant 1728), trafiquant, sabotier, marié en premières
noces le 20 janvier 1725 (c.m. le 2 janvier, la fiancée hérite des biens de ses
parents, 3E 20580) avec Françoise Ginestet, fille
de François et de Marguerite Fabregal, de Naucelle.
S’étant aperçu qu’ils étaient parents au quatrième degré, le mariage est réhabilité le 17 avril 1728 (après avoir obtenu le 13 avril la
dispense de consanguinité).
b-
Marianne (° 1696).
c-
Guillaume (° 1698).
d-
Thérèse (1699-1699).
e-
Jean-Baptiste (° 1700).
f-
Bernard (° 1701), cordonnier à Malepère, marié
le 1er mars 1729 avec Catherine Routaboulp,
fille de Jacques et de Jeanne Cransac, de Soulages
(Naucelle). D’où :
- Amans (° 1729).
- Jacques (° 1732).
- Pierre-Bernard (° 1737).
- Pierre (° 1743).
g-
Thérèse (1703-1737).
h-
Marie-Anne (° 1704), mariée le 26 février 1726 avec Amans Routaboulp
(frère de Catherine, belle-sœur à Marie-Anne), fils de Jacques et de Jeanne Cransac, de Soulages (Naucelle).
i-
Joseph (° 1705).
j-
Marie (° 1707).
k-
Jean-Antoine (° 1708).
l-
Joseph (° 1711).
III- Pierre (vers 1637-1710), boucher,
marchand, fermier de Bonnefon, marié en premières
noces (c.m. le 28 février 1672, dot de la fiancée : 1300 livres du père,
200 livres de la mère, 300 livres d’elle-même, 3 E 17 275) avec Françoise de
Maritan (vers 1644-1677), fille de Pierre et de
Jeanne de Rudelle, de Naucelle et en secondes noces le
24 avril 1679 avec Françoise Laroque (1661-1706), fille de Pierre et de Guillaumette Fraysse. En 1700,
Pierre achète à noble Pierre de Vernhes la métairie
de La Bécade. Il teste le 20 juillet 1710 en faveur
de Bernard, lègue 100 livres à Pierre, prêtre et à Antoine, 200 livres à autre
Pierre, 5 livres à ses trois filles mariées et 400 livres à Françoise ; sa
femme avait testé le 3 septembre 1706 (3E 20575). D’où du premier lit :
1-
Catherine
(+ après 1710), mariée le 27 août 1694 avec Pierre Lalo, marchand de Montbazens,
fils de Jean et de Marie de Lavernhe.
2-
Jeanne
(1675-après 1720), mariée le 30 septembre 1695 avec François Garrigues,
apothicaire de Sauveterre, puis de Rieupeyroux le 30
janvier 1720 (3E 9900), fils de François et de Jeanne Gaffard.
3-
Françoise
(1680-avant 1710).
Du second lit :
4-
Bernard,
qui suit.
5-
Jean-Pierre
(1683-après 1745), prêtre en 1707. Lors de la visite pastorale effectuée le 24
août 1745, il est « dans la démence et infirme depuis quelques
années » (G 123 p. 55).
6-
Marie
(1684-après 1710), mariée le 28 septembre 1707 à Campjac
avec Jean-Pierre Mercadier, fils de Jean et de Jeanne
Bousat, de Camjac.
7-
Françoise
(1685), mariée le 27 août 1721 avec Bernard Espinasse, marchand de Vabre, fils de Guillaume et de Marguerite Redon et en
secondes noces le 12 septembre 1728 avec Jean Alaux,
de Ginestous (Bor-et-Bar),
fils de Jean et de Marquise Itier (veuf de Cécile
Durand, de Canezac en Albigeois).
8-
Marie-Anne
(1686-avant 1710).
9-
Jean
(° 1688-avant 1710).
10- Jean-Antoine (1692-après 1710), qui suivra voir Rameau
de chirurgiens IV.10
11- Marguerite (1692-avant 1710).
12- Pierre (1694-après 1745), acolyte
en 1732, clerc tonsuré en 1745 lors de la visite pastorale et absent :
« on nous a dit qu’il était allé aux eaux de Cransac
pour ne pas se trouver à la visite et qu’il continue de scandaliser la paroisse
par sa mauvaise conduite, fréquentant depuis longtemps une jeune fille, sa parente
au 3ème degré (G 123 p. 55).
13- Françoise (1696-avant 1710).
14- Marie-Anne (1697-avant 1710).
15- Jean-François (1698-avant
1710).
IV- Bernard (1681-avant 1738), bourgeois
de Naucelle, marié (c.m. le 8 décembre 1706, 3E 20 574) avec Françoise de Féral, fille de feu François, avocat au siège de Lédergues et de Marie de Raymond, habitant Blaye (Lédergues). La fiancée reçoit 1 000 livres de droits
légitimaires et son frère François Féral, comme
donataire de sa tante Françoise de Don, veuve Dufau,
de Sauveterre, lui cède 3 000 livres sur la métairie de La Borie-Blanque en Albigeois. Françoise teste le 12 mars 1753,
désigne pour héritière sa fille Marie, épouse Alary, légue 2000 livres à son fils Bernard et ne peut signer à
cause « de la faiblesse de sa main » (3E 20 594). D’où :
1-
Marie
(° 1707), mariée en premières noces le 9 février 1734 avec Michel Pachins, fils de feu Barthélémi
et Marie Alric, de Maleville et en secondes noces le
29 juillet 1742 avec Joseph Alary, praticien, fils d’Antoine
et d’Antoinette Mazières, de Naucelle.
2-
Françoise
(1710-1736).
3-
Bernard,
qui suit.
4-
Catherine
(° 1714), marié le 20 février 1732 avec Pierre Lestang,
chirurgien de Monestiès (81), fils d’Antoine et de Jacquette
Verdier.
5-
Christine
(° 1716), mariée le 16 avril 1738 avec Jean Laroque, du Ségalar
(Ségur en Albigeois), fils d’Antoine et de Jeanne Mouli.
6-
Jeanne
(° 1718).
7-
Marthe
(1719-avant 1753), mariée le 27 novembre 1742 avec Gabriel Couffinhal,
fils de feu Gabriel et de Madeleien Gombert, du Clot (Naucelle).
8-
Thérèse
(° 1721), mariée le 27 septembre 1743 avec Martin Gaffard,
fils de feu Martin et de feue Marie Malgouyres, de
Naucelle.
9-
Bernard
(1723-avant 1753).
V-
Bernard (1712-après 1776), bourgeois, marié le 6
mai 1748 avec Françoise Mazières, fille de feu
Antoine, bourgeois de Sauveterre et de Cécile Caussanel* ;
dans le c.m. du 7 mars, Françoise Féral se réserve,
s’ils ne peuvent vivre « au même pot et feu », la maison qui confronte
celles de Bessière et du couple Joseph Alary-Marie Moly, une pension viagère et les revenus de la
métairie de La Bécade tandis que la marié reçoit en
dot 2 200 livres (3E 20592, fol. 49). D’où :
1-
Bernard.
2-
Antoine
(° 1750).
3-
Pierre
(° 1751).
4-
François
(° 1752).
5-
Bernard
(° 1755).
6-
Pierre
(° 1757).
7-
Joseph
(° 1760).
8-
Jean-Antoine (° 1763).
VI- Bernard (° 1749), géomètre de
Naucelle en 1816.
IV.10- Jean-Antoine
(1692-1753), Me chirurgien à Naucelle, marié en premières noces le 9 novembre 1719
avec Thérèse Martin (parente du troisième au quatrième degré), fille de
Paul et de Marguerite Baudy, de Naucelle et en
secondes noces (c.m. le 18 décembre 1730, d’après le testament noté ci-après)
avec Marie-Jeanne Alary
(1703-1765). Jean-Antoine teste le 20 septembre 1735
en faveur de son épouse (3E 20 585), le 14 mars 1739 en faveur également de
Marie-Jeanne Alary,
« sa chère épouse » et donne 200 livres à ses enfants et au posthume ;
il défend de faire aucun inventaire de ses effets, se reposant sur la fidélité
et l’équité de son épouse (3 E 20 587, fol. 143). Le 29 juillet 1753, il
teste une troisième fois, laissant à sa femme le choix de désigner son héritier
tout en gardant l’usufruit de ses biens (3E 20 591, fol 349).
D’où du premier lit :
1-
Jean-Antoine (1721-avant 1730).
2-
Marie-Jeanne (1722- avant 1730).
3-
Jean-Hyacinthe (1724-1724).
4-
Françoise (1726-avant 1730).
Du second lit :
5-
Jean-Antoine, qui suit.
6-
Jeanne-Marie (1735-après 1768). Le 28 avril
1768, elle déclare avoir reçu de son frère Jean-Antoine,
la somme de 200 livres pour reste et fin de paye de celle de 600 livres pour
ses droits légitimaires (3E 20560).
7-
Jean-François (1737-1739).
8-
Marthe-Françoise (1739-1772), mariée le 22
janvier 1760 avec Jean-Baptiste Lacombe, bourgeois de Naucelle (veuf de
Catherine Vernhes), fils de Jean-Pierre et de Marie
Bousquet.
9-
Joseph (1743-avant 1753).
V- Jean-Antoine
(1733-1804), maître chirurgien, marié le 21 avril 1765 avec Jeanne-Thérèse Massabiau,
de Pampelonne. D’où :
1-
Jean-Antoine (° 1766).
2-
Georges-Cécile (° 1767).
3-
Guillaume-Augustin (1769-1817), marié le 22 avril
1847 avec Marie-Anne Rey. D’où :
a-Baptiste-Augustin-Romain (1821-avant 1894),
marié le 3 septembre 1856 avec Marie Lacombe, de Cazac
(Centrès). D’où :
-
Jean-Antoine (1859-
), marié en 1894 avec Rosalie-Eugénie Devals, de Malphette.
4-
Jeanne-Marie-Thérèse-Cécile (° 1771).
5-
Marie-Claire (° 1772).
6-
Marie-Anne-Henriette (° 1774).
7-
Jean-Baptiste-Louis (° 1778).
8-
Victor, cité en 1798 dans le livre de raison de son oncle Guillaume Massabiau.
9-
Rose-Lucie (° 1783), mariée le 7 février 1805 avec Jean-Pierre-Joseph Merlin, géomètre, fils de Joseph,
notaire et de Thérèse Renaud, de Sauveterre.
III.3- Antoine (vers 1615-1695),
marchand, boucher des faubourgs de Naucelle, marié avec Antoinette Mournes, laquelle
teste le 4 octobre 1688 ( ).
D’où :
1-
Catherine
(° 1659).
2-
Antoinette
(° 1660).
3-
Marguerite
(° 1663), mariée le 3 juillet 1686 à Broquiès avec
Isidore Monpar, fils de Gabriel, notaire de Broquiès et de Félicie de Brassac. Dans le contrat passé le
19 mai, elle reçoit en dot 800 livres de ses parents et 200 livres de son frère
[présents Guillaume Mournes, praticien, Antoine Moly,
prêtre ]( 3E 18 321).
4-
Antoine,
prêtre.
5-
Joseph,
qui suit.
6- Marie (° 1671), mariée le 25 novembre
1692 avec François Bru, marchand de Carmaux, fils de François et d’Anne Rigal.
IV- Joseph (1667-après 1724),
fermier du relais de La Mothe (Salan) et fermier du
prieuré de Quins en 1698, marié (c.m. le 19 octobre
1688, dot de la fiancée 1 300 livres, deux robes noires… 3E 20 565)
avec Anne Mazières* (+ après
, fille d’Antoine, marchand et hôte de La Mothe
(Salan) et d’Anne Tourette. Le 27 mars 1700, Joseph achète
la métairie de La Besse, moyennant la somme de 1 300 livres (3E 20571 ). Anne teste le 21 juin 1722, en faveur de son mari,
lègue 400 livres à ses filles Marguerite et Marthe (3E 8 332). D’où :
1- Anne (1689-avant1722), mariée le 30
janvier 1714 avec Mathieu Boyer, marchand de Faniols
(Naucelle), fils de Mathieu et de Catherine Blanc.
2- Joseph-Antoine
(° 1692), qui suit.
3- Marie (° 1695), mariée le 28 octobre
1715 avec Jean Teulières, fils de Martial et
d’Antoinette Falgayrat, de Vernhes
(Carmaux en Albigeois).
4- Marguerite (° 1699).
5- François (1702-avant 1761),
marchand de Sauveterre, marié le 31 juillet 1724 avec Marie Crayon, fille
de feu Antoine, marchand de Sauveterre, et de Marie-Anne Bourdoncle.
Le contrat de mariage est passé le 10 juillet, le futur apporte une dot de
1 200 livres chez sa fiancée, qui reçoit la moitié des biens de ses
parents et est émancipé pour pouvoir librement négocier ses affaires (3E
20 580, fol. 65). D’où :
a-
Marie-Anne
(1725-1771), mariée le 3 janvier 1745 (c.m. le 31 octobre 1744, 3E 17 147) avec
François Navech, fils de Jean, fermier du logis de La
Mothe et de Fauste Boyer
(remariée avec Joseph Moly).
b-
François
(° 1727).
c-
François
(° 1729).
d-
Marie
(° 1731).
e-
Marie
(° 1732), mariée avec Gabriel Rigal, fils de Gabriel,
forgeron d’Arvieu et de Marie-Anne Moly (ou sa sœur
éponyme).
f-
Jeanne-Marie (° 1733).
g-
Françoise
(° 1735).
g- Marguerite (° 1737).
h- Jeanne-Marie
(° 1742).
6- Marthe (° 1706).
7- Antoine (° 1709), avocat en
Parlement, marchand de Saint-Just, marié le 21 juillet 1732 à Notre-Dame de Rouquairol (c.m. le
17 juin, dot du fiancé 400 livres, 3E 17 143) avec Catherine Calmès, fille d’Ignace, de Saint-Just et de Marguerite Pailhous. D’où :
a-
Antoine (° 1734), bourgeois, marié (c.m. le 19 juin 1775, dot 1280 livres, une
robe, un deshabillé fermé à clef, 3E 20625) avec
Marie-Anne Ginestet, fille de feu Joseph et de Jeanne
Acquié, des Cazes (Lardeyrolles).
b-
Catherine (° 1737), mariée le 2 octobre 1771 avec Pierre Cayré,
bourgeois de Montautat (La Selve).
c-
Joseph (° 1740).
d-
François (° 1743).
e-
Marie (° 1744), mariée le 20 novembre 1773 avec Jean Rudelle,
fils de feu Jean et de Madeleine Azam, de Saint-Jean-de-Castelpers.
f-
Marie-Thérèse (° 1747).
8- Jean (° 1713-1714).
V- Joseph-Antoine
(+ 1762), marchand des faubourgs de Naucelle, puis fermier de la Mothe après son mariage, marié le 22 octobre 1725 avec Fauste Boyer (1692-1754), veuve de Jean Navech (fermier de La Mothe),
fille de François et de Fauste Savy,
de La Fabrie (Salan). Fauste
doit adresser trois actes respectueux à son père opposé à son mariage (c.m. le
11 octobre 1725, 3E 20580). Joseph-Antoine teste le
11 mai 1745 en faveur de sa femme et de son frère Antoine, avocat de
Saint-Just, donne 200 livres à ses trois filles Marie-Anne, Marie et Marguerite,
la légitime à ses quatre fils et veut que sa mère ait l’usage de la chambre
haute qu’elle occupe en ce moment (3E 20 590). Fauste
teste le 11 août 1754 en faveur de son mari, lègue à François et Antoine Navech, ses fils du premier lit leur légitime ainsi qu’aux
deux filles et trois fils de son second lit (3E 20595). Le 13 septembre 1754,
Joseph teste une seconde fois en faveur
de son fils aîné et annule son premier testament (3E 20 595). D’où :
1- Marie-Anne, mariée (c.m. le 6 août
1751, 3E 20 593) avec Pierre Maurel, maréchal-ferrant,
fils de Pierre, maréchal des Faubourgs de Naucelle et de Marie-Anne Martin.
Marie-Anne est dotée de la somme de 1 500 livres (dont 100 livres de sa
mère), le futur marié reçoit 650 livres affectées à l’achat d’outils pour son
métier.
2- Marie, mariée le 31 septembre 1752
avec Jean Ruols, fils de François et de Jeanne Boudou, de Luc.
3- Marguerite, décédée entre 1745 et 1754.
4- Joseph, marchand de Naucelle, marié
(c.m. le 16 janvier 1755, dot 2 700 livres et le marié reçoit la moitié
des biens de son père qui se réserve 1 000 livres en cas de discorde, 3E
20 595) avec Jeanne Rougié (ou Rouquier), fille d’André, marchand de Belmon
(Crespin) et de feue Marie Boyer.
5-Jean-Antoine, qui suit.
6- Jean-François, cité en 1754.
7- Alexis, né en 1739, décédé entre 1745
et 1754.
VI- Jean-Antoine
(1733-1794), marchand, marié le 9 février 1763 (c.m. le 1er février,
dot 4 000 livres, 3 E 17129) avec Elisabeth Marre* (1737-1804),
fille de Joseph, martinaire de Cadours et de Jeanne Delmas. Le 4
mai 1800, il vend une grange à Pierre Maurel, cadet.
D’où :
1- Elisabeth (1763-), mariée le 30
décembre 1800 avec Joseph Devals, fils de Pierre,
cultivateur de Quincet et de Jeanne Sudre.
2- Jean-Baptiste (° 1765).
3- Jeanne-Marie-Cécile
(° 1767).
4- Marie-Anne-Félicité
(° 1770).
5- François-Antoine-Joseph-Gaspard
(° 1772).
6- Marie-Anne-Cécile-Christine
(1774-1843), qui teste le 12 novembre 1814 (Archives privées ?).
7- Jean-François-Stanislas,
qui suit.
8- Marie-Rose-Félicité
(° 1781), célibataire, qui cède ses biens à sa petite-nièce fille d’Elisabeth Devals.
VII- François-Stanislas
(1776-après 1831), marié le 23 vendémiaire an XIV (c.m. le 26
complémentaire an XIII, 3E 20 631) avec Henriette Bos,
fille de Guillaume et de Suzanne Lanoual. Le 18
février 1801, il délaisse à sa sœur, une « chambre de haut en bas » à
Naucelle ainsi que des terres à Besse. D’où :
1- Joseph-Stanislas,
qui le 24 octobre 1834, vend à sa tante Rose un jardin (Archives
privées ?).
2- François-Stanislas,
cité dans le cadastre de 1831.
Geneviève Rigal-Saurel, Jean Delmas,
Jacques Poulet et Gilbert Imbert lequel nous a
beaucoup aidé par ses nombreuses recherches sur la région de Naucelle.